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Nos Belles Pyrénées

Chapitre 5

Gay
Je les voyais comme des hommes sains, dans la force de l’âge et qui restaient inséparables, tellement leur amour fraternel était si fort. Rien ni personne ne pouvait les séparer, ils s’étaient soudés dans les épreuves qu’ils avaient traversées.
Je crois que j’avais compris leur désir profond, inavouable et inavoué, avoir leur femelle pour eux deux, femme ou homme, peu importait, mais de créer un vrai « couple »... A trois... !!! Sans jalousie, avec le partage et la tendresse en commun. Vivre normalement, mais à trois. Deux maris pour une femelle qui les aimerait autant l’un que l’autre et qu’ils aimeraient autant l’un que l’autre.
C’était tellement inhabituel pour moi, notre moral nous enseignait, depuis des siècles qu’un couple ne peut se former qu’entre deux personnes. Mais, malgré ma culture italienne d’origine, je les comprenais. Je réalisais que si j’étais incapable de faire ce choix, de vouloir leur imposer un choix entre l’un ou l’autre des deux frères, je n’avais qu’à partir. Ils avaient été clairs et francs, honnêtes, et m’avaient exprimé sans fioriture, alors qu’ils ne me connaissaient pas, leur désir le plus profond.Après tout, même si la Loi ne le prévoit pas, je suis sûr que les « couples » à trois doivent exister beaucoup plus souvent qu’on ne le pense, quel qu’en soit leur sexe.
Et pour la première fois de ma vie, je m’étais attaché à deux hommes, si ressemblants et si différents à la fois, les « aimant » déjà tous les deux, dans leur simplicité, dans le plaisir qu’ils m’offraient de jouir de la vie dans tous les domaines.
— Allez mes hommes... On va rejoindre notre chambre ?
Par mes mots, ils ont de suite compris mon accord pour être à eux deux, en fusion totale entre nous trois et que j’acceptais ce dont ils avaient toujours rêvé.
Pierre m’a soulevée dans ses bras puissants, montée à l’étage et m’a allongée sur le grand lit. Laurent nous a suivis de près, et l’un et l’autre m’ont déshabillée avec sensualité, se mettant aussi à nu pour me rejoindre, leurs deux corps virils contre le mien.
— C’est notre lit conjugal maintenant, à tous les trois... Tu le veux bien ?
Des baisers, des caresses sur chacun et mes mains sur leurs sexes dotés d’une érection phénoménale ont été ma réponse. J’étais entre eux deux, leurs corps virils contre le mien, les embrassant tour à tour, caressant leurs torses velus, leurs cuisses de rugbyman tout aussi poilues et leurs touffes hyper-drues autour de leurs sexes. La chambre empestait l’odeur de la testostérone, des phéromones accumulées, du besoin puissant de l’homme en rut d’assouvir son instinct primaire de possession, et ça m’excitait comme un fou.
Laurent m’a mis sur le dos, écarté mes cuisses, et m’a pénétrée de toute la vigueur de son membre épais, pendant que Pierre enfournait le sien dans ma bouche.
Il m’était déjà arrivé de faire des plans à plusieurs, au Maroc, mais c’était purement sexuel. Là, c’était différent. Une magie, une symbiose entre nous trois, un plaisir fusionnel, ampli d’un désir ardent, mais aussi de tendresse et de complicité entre nous.
Leurs assauts étaient rudes, ils avaient tant été privés à la fois de sexe, mais surtout d’amour que leurs ressources me semblaient... inépuisables. Ils se sont emparés tout à tour, de tout mon corps, cherchant mes orifices, mais aussi mes caresses, mes baisers. Puissance et sensualité nous unissaient tous les trois en un trio sublime qui semblait toujours inassouvi tant notre soif était intarissable.
Sans doute mon acceptation de cette situation quelque peu inhabituelle les avait dynamisés et ils me semblaient empreints d’une fougue que je n’avais pas encore connue de leur part. Pierre me défonçait la grotte de toute la longueur de ses 24 centimètres, à grands coups de bélier, comme s’il cherchait à m’ouvrir encore davantage. J’étais dévasté et je hurlais mon plaisir.

De la position de levrette, il est sorti de moi et s’est allongé, m’empalant sur son pieu toujours aussi large et dur, forant mon réceptacle d’une manière encore plus ample. J’ai senti Laurent venir derrière moi, frottant son torse velu sur mon dos, des baisers dans mon cou et son gland approchait le sexe de son frère, totalement enfoncé en moi.
— Non... !!! Pas ça... Je pourrais pas... !!! — Mais Si, Chéri... Laisse-toi faire... Les sexes de tes deux hommes en même temps dans toi, être possédée par tous les deux... Ce n’est pas la symbiose parfaite ? — Vous êtes tellement gros tous les deux, je ne vais pas en être capable.— Bien sûr que oui... Tu t’ouvres déjà...
Si j’avais déjà pratiqué la double pénétration au Maroc avec Khaled et son frère ou son cousin, cela faisait tellement longtemps que je ne pensais pas pouvoir la supporter à nouveau, surtout avec des bites d’un tel calibre et d’une telle largeur.
Mais je pense que tous les vrais passifs me comprennent, c’est souvent dans la tête que ça se passe. Quand l’envie est très forte, le corps s’adapte, se lâche, s’ouvre et accepte la pénétration même si elle est... Spectaculaire... Et mon désir pour eux deux était hyper-fort.
Laurent a introduit son gland dans ma fente, déjà occupée par son frère, et lentement, il a continué sa progression jusqu’à ce que ses couilles me tapent sur les fesses, joignant celles de son frère. Je me sentais totalement écartelée, la douleur était intense, mais le plaisir l’était encore davantage, la submergeant. J’avais mes deux maris en moi et j’étais comblée.
Leur sperme que j’avais déjà reçu à plusieurs reprises a servi de lubrifiant à cet accouplement hors norme, et nos mouvements se sont très vite synchronisés. L’arôme qui régnait dans notre chambre était beaucoup plus aphrodisiaque que du poppers, cette odeur d’homme en rut, ils « puaient » le mâle.
Comme ils m’avaient déjà pris plusieurs fois auparavant, à ma plus grande joie, ils ont été plutôt longs à jouir. En même temps, leur liqueur s’est déversée en moi, dans une extase absolue pour tous les trois, et nous sommes restés un moment, soudés, savourant cet instant sublime qu’aucun de nous ne voulait rompre.Il était déjà 3 heures du matin, je devais aller travailler le lendemain, et eux avaient aussi à s’occuper de l’exploitation.
Repus, nous nous sommes endormis, moi entre eux deux, avec le réveil à 7 heures. Douche et solide petit-déjeuner, avec du mal à m’assoir tellement mon cul était endolori, je me suis préparée pour rejoindre Tarbes. Laurent m’a demandé, avec un regard un peu anxieux...
— Tu vas revenir ? — Mais bien sûr mes amours... Je me sens si bien avec vous deux. — Nous aussi, Marc. — Mais samedi, je finis à 16 heures, et je viendrai directement après... ça va ? — Tu sais, Tarbes n’est qu’à 50 kilomètres, tu es ici chez toi maintenant, et tu viens quand tu veux, c’est un plaisir pour nous que tu sois là.— Pour moi aussi Laurent... Je n’ai pas été aussi heureux avec vous deux, depuis si longtemps.
Je suis partie avec peine, mais je savais que j’allais les retrouver très vite, sans trop savoir où je m’engageais, mais sans trop me poser de questions non plus. Je m’étais senti super heureux, bien dans ma peau et dans ma tête, je comptais les jours.
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