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Nos dix jours de vacances libertines

Chapitre 2

Céline se joint à nous

Avec plusieurs femmes
Je m’appelle Nicolas et nous sommes avec mon épouse Florence en congés pour dix jours dans un hôtel d’une station balnéaire où nous avons fait la connaissance de Céline, une jeune femme également en vacances avec son mari. En cette fin d’après-midi, nous sommes au spa de l’hôtel avec mon épouse quand notre nouvelle amie nous rejoint.

Céline entre dans le spa et va pour s’installer à côté de Florence. Connaissant par cœur ma femme, je sais qu’elle ne va pas laisser passer une telle occasion de faire plus ample connaissance et j’attends la suite avec impatience et un certain amusement. En effet, elle prend aussitôt la parole :

— Attends, viens plutôt entre Nicolas et moi. Mais pour commencer, embrasse-moi, ma douce.

— Avec grand plaisir, c’est si agréablement demandé.

Céline se penche mais hésite sur l’endroit où poser ses lèvres. Pas Florence ! Elle prend le visage de son amie entre ses mains et approche sa bouche afin d’échanger un baiser qui devient vite fougueux et qui dure suffisamment longtemps pour que j’intervienne.

— Sympa les filles mais je suis jaloux à rester seul dans mon coin. Et puis, je ne suis pas contre, non plus, un tel bisou de bienvenue.

— Ah ah, les hommes vous êtes bien tous les mêmes. Dès qu’on ne s’occupe pas de vous, cela ne vous va pas. Ne t’inquiète pas, j’arrive.

Afin de répondre à ma demande, Céline délaisse les lèvres de mon épouse et se penche vers moi pour m’embrasser. Aussitôt, sa langue recherche la mienne et nous échangeons à notre tour un baiser torride. Mais notre nouvelle amie ne désire pas s’arrêter en si bon chemin et je marque un léger temps de surprise quand je sens sa main se poser sur mon sexe en érection.

— Dis-moi Nicolas, je vois que tu es loin d’être insensible à mon arrivée. J’en suis très flattée ! Florence, ai-je l’autorisation de m’occuper un peu de ton mari ? J’ai l’impression que sinon, il risque d’exploser tout seul, ce serait dommage.


— Ne t’en prive pas. Nous sommes en vacances pour nous amuser et faire des rencontres, si possible coquines. Et surtout, nous sommes un couple, comment dire… très libre dans nos relations.

Céline sourit, prend sa respiration et disparait sous l’eau. Aussitôt, sa bouche englobe mon sexe et débute des va-et-vient. Comprenant que son amie est, elle aussi, très friande de sexe, mon épouse ne reste pas inactive, me roule une pelle et joue d’une main avec un de mes tétons. Je suis au paradis avec ces deux femmes qui s’occupent si bien de moi et mon plaisir monte très rapidement. Notre invitée ressort sa tête de l’eau pour reprendre sa respiration, me lance un grand sourire et replonge poursuivre sa fellation. Mais cette fois-ci, elle n’est plus seule, Florence la rejoint et elles se relaient sous l’eau afin de me mener à l’orgasme. Avec un tel duo, celui-ci arrive vite et j’éjacule dans la bouche de notre invitée.

— Attends, n’avale pas tout, j’ai envie de goûter au sperme de mon mari. Avec ta salive, le mélange doit être des plus exquis.

Les deux femmes s’enlacent et s’embrassent une nouvelle fois. Je devine que chacune a droit à une partie de mon foutre et je suis heureux de constater qu’elles ont l’air d’apprécier.

— Bon, et bien maintenant que nous nous sommes occupées de ton homme, que dirais-tu de prendre soin de nous ? Viens Flo, j’espère que tu m’autorises à t’appeler ainsi, on va s’allonger dehors pour notre petite affaire. Ah, au fait tous les deux, vous n’avez rien à craindre, j’ai réalisé tous les tests possibles, je suis clean.

— J’arrive ma belle. Nous aussi, aucun risque. C’est Nicolas qui sera content si l’occasion se présente, il n’aura pas besoin de préservatif, il déteste en mettre.

— Qu’il n’ait aucune crainte, l’occasion va très vite se présenter mais, comme je suis sûre que ton homme est galant, il comprendra la priorité donnée aux femmes.

— Allez-y, de toute façon, j’ai besoin de reprendre mes forces après votre très jouissive gâterie sous-marine !

Mes deux partenaires sortent du spa enlacées et, après avoir mis une serviette sur le sol, Céline s’allonge dessus, une jambe pliée, l’autre allongée. Florence se couche à ses côtés et, après lui avoir déposé un bisou sur la bouche, embrasse son cou tandis qu’une de ses mains lui caresse la poitrine. Resté dans le spa, je ne reste pas insensible à ce spectacle saphique et je me masturbe lentement. Je m’aperçois que les tétons de Céline pointent rapidement sous les doigts de mon épouse et elle gémit dès que la bouche de cette dernière les remplace.

Une main de Florence descend lentement, caresse les cuisses de son amante puis se glisse dans l’entrejambe. Je devine que ses doigts ont pris possession du sexe offert et je les imagine s’occuper très sensuellement des lèvres intimes puis pénétrer un antre vaginal trempé de cyprine. Mais c’est au tour de la tête de ma femme de gagner l’intimité de sa nouvelle conquête. C’en est trop pour moi et je sors du spa afin de pouvoir les admirer de plus près, voire participer aux ébats. La langue et les lèvres de Florence se sont emparées du clitoris alors que ses doigts fouillent le vagin. Céline n‘arrête pas de gémir jusqu’à ce que ses doigts agrippent fortement les cheveux de mon épouse alors que les muscles de son corps se tétanisent et qu’elle jouit dans un grand hurlement de plaisir.

Il est temps pour moi d’intervenir, surtout que mon sexe est raide depuis suffisamment longtemps.

— Maintenant que Florence s’est bien occupée de toi, à mon tour. Tiens chérie, laisse-moi la place que je puisse honorer comme il se doit de notre amie.

— Avec plaisir Nicolas, tu vas voir, elle est déjà trempée grâce à mes caresses et, je suis sûre que tu vas adorer.

— Parlez moins, ma chatte est en feu après le traitement divin de Flo et seule une belle queue pourra la soulager.

A genoux, je tire Céline vers moi et la saisis, par le haut des cuisses relevées, pour me permettre une prise plus ferme. Ses parois intimes, mouillées de cyprine, s’ouvrent sans difficulté au-devant de ma verge. Je commence mes mouvements sans forcer mais mon amante attend plus.

— Non Nicolas, ne te retiens pas et baise-moi plus fort. J’aime quand le sexe est bestial.

Je ne lui fais pas dire deux fois et j’accélère mes pénétrations. Plus celles-ci deviennent énergiques, plus Céline crie. Le spa est envahi des gémissements de ma partenaire et de mes râles. Mon épouse ne veut pas être en reste et se penche vers elle pour l’embrasser à pleine bouche alors que ses doigts courent sur ses seins, jouant avec les tétons. Manifestement elle a bien retenu les paroles de son amie et sa préférence pour les rapports plus qu’énergiques et, très vite, pince les mamelons qui pointent. Puis, elle en prend un dans sa bouche. La connaissant, je sais qu’après l’avoir sucé, elle ne va pas tarder à le mordiller.

— Ahhh, putain comme c’est bon. Je ne vais pas tarder à jouir une nouvelle fois avec vous deux, mais cela serait trop rapide. Et puis Flo, à mon tour de te faire du bien, il n’est pas question que tu sois la seule à ne pas profiter. Mets-toi à califourchon sur moi que je puisse te manger le minou.

Ma femme se met en position, son sexe au-dessus de la bouche qui ne demande que de le lécher. Aux bruits que j’entends, je me doute que la langue de Céline est entrée en action. J’arrête un instant mes mouvements du bassin pour regarder Florence : je la trouve tellement belle et attirante. Je suis si heureux qu’elle partage avec moi nos désirs sexuels que je ne peux m’empêcher de me pencher vers elle pour l’embrasser.

Nous continuons ainsi tous les trois à nous donner du plaisir jusqu’à ce que mon épouse pousse un cri et squirte sous l’effet d’une violente jouissance, avant de s’écrouler aux côtés de son amie. Peu après, Céline atteint elle aussi l’orgasme, ses mains se crispent, son corps se cambre avant de retomber inerte. Mon plaisir est également proche et après être ressorti de mon amante, je me masturbe rapidement avant de jouir sur son ventre et sa poitrine. Nous restons, tous les trois, de longs instants sans parler avant que notre partenaire brise le silence.

— Merci à vous deux, quelle baise ! Cela faisait longtemps que je n’avais pas ressenti autant de plaisir.

— Ah bon... ne me dis pas que vous n’aimez pas les parties de jambes en l’air avec ton mari, Pierre si je me rappelle bien, répond Florence.

— Oui, c’est ça, Pierre. Mais lui, c’est tout pour le boulot et le sexe passe au second plan. Je n’ai pas le choix et je dois me satisfaire du rapport du samedi soir, vite fait et pas si bien fait. J’ai le sentiment que c’est prévu comme cela dans son emploi du temps, au même titre que ses réunions ou ses déplacements. Malheureusement, il est loin le temps où je m’éclatais au lit avec lui.

— Ma pauvre... Il lui faudrait sans doute un électrochoc ! Sait-on jamais, à notre contact, il changera peut-être, même si l’usure du temps et le stress de la vie quotidienne mettent à mal la vie sexuelle de beaucoup de couples. Avec Nicolas, nous sommes libertins, nous nous aimons mais nous acceptons que l’autre ait une relation, à la condition que celle-ci ne soit basée que sur du sexe et pas sur des sentiments. Grâce à ça, notre vie sexuelle est toujours au top.

— J’aimerais tellement qu’il change, mais je n’y crois plus. Soit je me contente de ma vie actuelle, je n’ai rien à lui reprocher par ailleurs, soit je divorce, soit je prends un amant.

— Allez, arrêtez les filles. Ce n’est pas de parler qui changera quelque chose. Je vais vous payer l’apéro, cela vous redonnera le sourire. Et puis Céline, tu vas aller chercher ton mari, au moins qu’on fasse sa connaissance.

Une quinzaine de minutes plus tard, nous voilà installés tous les quatre au bar de l’hôtel, Pierre ayant accepté notre invitation. Nous apprenons qu’il a 46 ans alors que son épouse, âgée de 42 ans, est la plus jeune de nous tous. Il est cadre commercial, chef de service dans une grande société internationale et nous assure qu’il lui est impossible de réellement faire une pause pendant ses congés car il y aurait un risque de perdre des contrats. Et quand je lui fais remarquer qu’il y a d’autres salariés dans son service, il me rétorque qu’il doit tout superviser car les enjeux sont trop importants. Nous comprenons vite avec Florence le sens des propos de Céline. Je la plains, sa vie ne doit pas toujours être des plus plaisantes.

Alors que mon épouse est installée à côté de moi, elle me met un bras dans le dos et me caresse une cuisse de sa main tout en me faisant des bisous dans le cou. Je suis sûr que c’est une attitude tout à fait volontaire de sa part afin d’émoustiller un peu Pierre. Lui se comporte comme s’il n’avait rien vu ce qui n’est pas le cas de Céline qui essaye d’imiter Florence.

— Arrête, tu te donnes en spectacle et tu sais que je n’aime pas ça, dit un peu sèchement Pierre.

— Merde, Pierre, qu’est-ce que je fais de mal ? Tu pourrais un peu te détendre et profiter des bons moments des vacances. Regarde Nicolas, il n’a pas l’air d’être gêné, lui. Et puis, je trouve cela beau un couple amoureux.

— Ils font ce qu’ils veulent mais moi, les gestes trop affectueux c’est en privé, pas devant tout le monde.

— Décidément tu m’exaspères, tu vas me gâcher les vacances. J’ai fait la connaissance d’un couple charmant, on pourrait profiter de se voir et sortir tous les quatre. Se détendre, s’amuser, quoi.

Voyant que l’apéro risque de tourner en querelle entre nos deux invités, Florence retire discrètement sa main de ma cuisse et intervient dans la conversation pour calmer les esprits :

— Allez, vous n’allez pas vous disputer, nous sommes tous les quatre en congés, alors profitons de chaque instant et là c’est l’apéro, quoi de plus convivial ?

— Tu as raison Flo. Excuse-nous et parlons d’autres choses, lui répond Céline.

Nous poursuivons donc à faire connaissance. Céline est institutrice et, avec son époux, ils ont deux enfants de 18 et 20 ans. Quand Florence leur apprend qu’elle est kiné, notre nouvelle amie lui indique, avec un grand sourire plein de sous-entendus, qu’elle ne serait pas contre un massage quotidien très approfondi. Bon, nous sommes trois à comprendre cette allusion, seul Pierre semble ne se douter de rien. Pourtant, il se déride un peu en avouant qu’il ne serait pas opposé à un bon massage qui lui permettrait d’évacuer le trop plein de stress, même s’il s’exprime sans la moindre connotation sexuelle dans ses propos.

L’apéritif se poursuit et nous échangeons agréablement sur divers sujets. Avant de se quitter, Céline demande à ma femme si elle serait d’accord pour l’accompagner faire du shopping le lendemain matin car Pierre sera occupé avec son travail. Bien sûr, elle accepte avec enthousiasme.

Après le dîner et alors que nous sommes remontés dans notre chambre, mon épouse me reparle de sa sortie prévue avec son amie. Elle a une petite idée pour la rendre des plus plaisantes car elle aimerait voir jusqu’où Céline est prête à aller. Mais pour cela elle a besoin de mon aide.

— C’est quoi ton idée ma chérie ? Même si avec toi, je m’attends à tout.

— Tu verras bien ! Mais mon petit pygophile d’amour, tu ne devrais pas le regretter, sous réserve que notre récente amante soit aussi perverse que je le pense. Et là-dessus, je ne crois pas me tromper. Mais en attendant, fais-moi l’amour, j’ai terriblement envie de jouir, notre aventure au spa m’a trop émoustillée.

Le lendemain matin, nous descendons peu avant dix heures rejoindre Céline dans le hall de l’hôtel. Florence, après avoir déposé un baiser sur les lèvres de son amie, lui indique que je vais les accompagner, même si nous nous séparerons pour le shopping. Je prends chacune bras dessus, bras dessous et nous partons ainsi tous les trois.

Arrivés devant la première enseigne de vêtements féminins, je vais pour les laisser quand mon épouse me glisse discrètement à l’oreille de les rejoindre dans précisément dix minutes. Puis elle se retourne pour partir avec Céline tout en me faisant un clin d’œil agrémenté d’un grand sourire.

Précisément à l’horaire prévu, j’entre dans le magasin cherchant du regard les deux femmes. Je repère vite Florence qui me fait signe de la main.

— Tu vas pouvoir bénéficier de ta petite surprise mon amour. Céline est en cabine d’essayage, rejoins-la. Elle sera peut-être surprise mais je suis sûre qu’elle sera très heureuse.

J’entrebâille le rideau de la cabine, j’entre et découvre Céline en petite tenue, un ensemble de dentelle blanche. 

— Rebonjour Céline.
— Nicolas, toi !

— Et oui. J’espère que tu n’es pas trop déçue que cela soit moi.

— Non, pas du tout, simplement surprise et un peu étonnée car je m’attendais à voir Flo. Mais cela me ravit. Allez, entre et referme le rideau.

— C’est justement ma femme qui m’a conseillé de te rendre cette petite visite et j’avoue que j’en suis très heureux et… excité.

— Je ne peux pas vraiment dire que cette proposition de ton épouse me surprenne, je commence à bien la cerner. C’est une sacrée coquine, ta Flo ! Mais moi aussi et comme j’ai envie de m’amuser, ta visite tombe très bien. Je vais d’ailleurs te le prouver tout de suite, très cher Nicolas. Laisse-moi vérifier de visu si tu es aussi excité que tu le dis !

Aussitôt Céline se met à genoux, ouvre la fermeture éclair de mon jean et sort mon sexe. Celui-ci commence déjà à raidir.
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