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Nos meilleures vacances

Chapitre 1

Hétéro
Je m’appelle Eric, j’ai 33 ans, je mesure 1m78, je pèse 74 kilos. Je suis brun aux cheveux courts. Je suis marié à Julie, 33 ans elle aussi. Brune aux yeux bleus, elle mesure 1m62 et a des formes magnifiques. Ses seins et ses fesses me rendent complètement dingue. J’ai décidé de vous raconter une histoire qui s’est passée il y a 4 ans.
Nous étions en vacances dans le Sud. Sur la plage, j’avais convaincu ma femme d’enlever le haut. La voir seins nus devant des hommes qui ne se privent pas de la regarder est un grand plaisir pour moi.Un soir, au restaurant, nous avons sympathisé avec un couple un peu plus vieux que nous, Frédéric et Béatrice. Ils avaient une petite quarantaine d’années. Lui, brun et plutôt bien conservé, elle, blonde, assez mince, et beaucoup de charme. Ils avaient un petit bateau et nous ont invités à passer la journée avec eux le lendemain. Rendez-vous était pris à 11 heures.
Quand nous sommes rentrés, nous étions très heureux d’avoir rencontré un couple très sympathique et de profiter d’une belle journée en bateau. Julie m’a appris que Béatrice lui avait dit que quand elle était seule avec Fred sur le bateau, elle se mettait entièrement nue. Nous en avons plaisanté, mais ma femme était un peu inquiète malgré tout. Je l’ai rassurée en lui disant que je n’étais pas particulièrement attiré par Béatrice (ce qui d’ailleurs était vrai).
Le lendemain, nous sommes arrivés au port à l’heure. Julie portait une robe légère avec, en dessous, un maillot rouge deux-pièces. Fred et Béa nous ont accueillis chaleureusement. Leur bateau était très sympa : deux transats à l’avant, un emplacement avec table et banquette à l’arrière, et le poste de pilotage surélevé. Julie et Béatrice se sont rapidement mises à bavarder ensemble. Béatrice portait un paréo sous lequel on devinait qu’elle avait les seins nus. Fred et moi avons partagé une bière avant de sortir du port.
Une fois en mer, Béa s’est levée et a dit à ma femme :
— Aller viens, on va bronzer un peu. Tu fais comme tu veux, mais je te préviens, je mets pas de haut !
Joignant le geste à la parole, elle a défait son paréo pour apparaître simplement en slip. Elle avait de jolis petits seins et un corps superbe. Julie s’est levée à son tour :
— D’accord, je te suis, en enlevant sa robe.
Je trouvais ma femme vraiment magnifique en maillot. Ses seins étaient bien plus développés que ceux de Béatrice. Je voyais qu’elle plaisait à Fred. Je me demandais si elle allait se mettre seins nus elle aussi, mais non.
Fred et moi sommes montés au poste de pilotage. Nous discutions une bière à la main, tous les deux captivés par le spectacle à l’avant du bateau, nos deux femmes allongées presque nues.Nous avons fait une halte. Fred a jeté l’ancre dans une baie. Nous avons tous piqué une tête. La sensation de l’eau et de la chaleur était très agréable. Nous sommes remontés et nos hôtes nous ont offert une coupe de champagne. C’était Béatrice qui servait. Quand elle s’est penchée pour me servir, ses seins étaient à quelques centimètres de mon visage. J’ai eu envie de les embrasser, mais bien sûr je ne l’ai pas fait.
Nous avons fini la bouteille de champagne. L’ambiance était encore plus gaie. Fred et Béa sont retournés se baigner, nous laissant seuls Julie et moi. On s’est levés et on s’est embrassés longuement et langoureusement. Je lui ai demandé :
— Ca va ? Ca te plaît ?
— Oui, je suis vraiment contente d’être ici.— Tu sais, tu peux te mettre seins nus si tu veux...
Elle est restée quelques secondes sans dire un mot. Elle s’est détachée de moi et, en me regardant droit dans les yeux, elle a défait le nœud de son maillot et m’a dit :
— Oui, t’as raison. En fait, j’en ai envie depuis tout à l’heure. Je la regardais enlever son haut, dévoilant ses superbes seins. J’étais dans un état second. Elle s’est assise sur la banquette le plus naturellement du monde et a fini sa coupe de champagne.
Quand Fred et Béa sont remontés, j’ai remarqué la surprise dans leurs regards. Béatrice, avec un grand sourire, a dit à ma femme :
— Tes seins sont superbes ! Ca aurait été dommage de les cacher plus longtemps. Viens, on va bronzer.
Elle a pris Julie par la main et elles sont allées à l’avant du bateau. Fred m’a dit :
— Tu as de la chance, ta femme est superbe.
On est allés au poste de pilotage. La vue sur ces deux femmes seins nus était magique. Je trouvais la situation très érotique.Plus le temps passait, plus ma femme semblait à l’aise. A un moment, elle est venue dans la cabine chercher à boire. Ses seins balançaient à chacun de ses pas. Elle me faisait beaucoup d’effet.Nous sommes allés visiter une autre baie. Le paysage était magnifique. Une fois que Fred a jeté l’ancre, Béatrice a proposé à Julie d’aller se baigner. Avant d’aller à l’eau, Béa a dit avec un grand sourire :
— Bon, cette fois, j’ai envie de nager toute nue.
Aussitôt, elle a fait glisser son slip le long de ses jambes. J’ai pu voir que son sexe était entièrement épilé. Avant que Julie ne la rejoigne, elle lui a lancé :
— Allez, Julie, enlève le bas ! Tu verras, c’est super de nager toute nue.
Voyant l’hésitation de ma femme, Béa dit :
— Aller Julie ! Je suis sûre qu’Eric aimerait bien te voir toute nue. Hein Eric ?
Je réponds :
— Oui, vas-y chérie, mets-toi à l’aise.
Quelques secondes passent puis Julie se décide à enlever le bas. Elle dévoila ainsi ses fesses et son sexe épilé. Elle a nagé un moment avec Béa. Celle-ci est remontée sur le bateau la première. Elle s’est séchée sans remettre son bas. Ma femme est remontée juste après. Elle était si belle nue et toute mouillée. Je me demandais si elle allait remettre le bas de son maillot de bain. Elle s’est séchée rapidement et s’est penchée pour ramasser son slip. Béa lui a pris la main et lui a dit :
— Tu peux rester comme ça si tu veux. En plus, tu es très belle, tu sais.
Julie m’a regardé comme pour chercher mon approbation. Je lui ai fait un léger signe de tête. Elle a posé son slip à côté de celui de Béa. Je réalise à cet instant qu’elle va passer le reste de la journée entièrement nue à quelques centimètres d’une autre femme, nue elle aussi.
Nous avons bavardé tous les quatre, assis sur les banquettes. Julie croisait les jambes pour cacher son sexe. Béatrice, elle, était plus à l’aise et laissait ses jambes assez ouvertes. Je jetais des coups d’œil sur son sexe. Au fur et à mesure, ma femme se sentait plus à l’aise, aidée par Béatrice qui avait posé une main sur sa cuisse. Julie ouvrait petit à petit ses jambes jusqu’au moment où elle a dévoilé totalement son sexe.
Nous avons passé le reste de la journée Fred et moi à discuter sur le bateau. Pendant ce temps, nos femmes alternaient entre bain-de-soleil et baignades. Elles allaient et venaient devant Fred et moi, totalement nues, sans se rendre compte de l’effet qu’elles faisaient.
A un moment, je me suis retrouvé seul avec ma femme. Je lui ai demandé comment elle se sentait. Elle m’a répondu :
— Franchement, ça me plaît d’être toute nue. Et ça me dérange pas de le faire devant Béa et Fred. Et toi, ça te plaît ?— Je te trouve tellement belle ma chérie...
Je l’ai prise dans mes bras et je l’ai embrassée.

L’heure était venue de rentrer. Nos hôtes nous ont proposé de dîner chez eux, ce qu’on a bien sûr accepté. Béatrice demande à son mari s’il voudrait bien apprendre à Julie à piloter le bateau. Elle dit que ça lui plairait bien d’apprendre. Fred se place alors derrière ma femme, tout près d’elle, et lui explique comment faire. Quand Julie arrive à se débrouiller toute seule, nous la regardons faire. Nous sommes tous les trois assis derrière elle. Nous avons une vue imprenable sur ses fesses et parfois son sexe quand elle se penche. Nos hôtes ne la quittent pas du regard. La situation m’excite terriblement.Béatrice et Julie se sont rhabillées juste avant de retourner sur la terre ferme.
Nous sommes arrivés rapidement chez nos hôtes. Ils avaient une petite piscine. Il faisait encore assez chaud, du coup les femmes ont décidé d’aller se baigner un peu. Béa s’est vite mise nue, rapidement suivie par ma femme. Elles se sont amusées à s’éclabousser et à essayer de se faire couler. Leurs corps étaient très proches et parfois même se touchaient. Cette vision n’était pas pour me déplaire, loin de là.Quand elles sont ressorties, Fred avait sorti une bouteille de champagne. A ma grande surprise, ni l’une ni l’autre n’ont remis leurs vêtements pour venir s’asseoir sur les chaises de jardin. Elles étaient assises côte à côte, offrant une vue superbe sur leurs corps nus.Les verres se sont enchaînés et à un moment, nos femmes se sont mises à comparer leurs corps. Elles nous ont demandé ce qu’on préférait chez l’une ou l’autre. Fred a répondu le premier en disant que Julie avait de très beaux seins. Béatrice a alors dit :
— Oui, c’est vrai que je suis un peu jalouse de tes seins Julie. Je trouve que les miens sont un peu trop petits.
Puis, sans que je ne m’y attende, elle a rajouté :
— Tu veux bien que je les touche ?
Ma femme avait à peine eu le temps de répondre "oui" que Béatrice a posé ses mains sur ses seins. Elle les soupesait délicatement. Je vivais un rêve éveillé, la situation était très excitante. Béa a dit :
— J’aimerais avoir les mêmes.
Alors que je pensais qu’elle allait retirer ses mains, au contraire, elle a continué à caresser les seins de Julie, titillant même ses tétons. Fred et moi ne parlions plus. Nous regardions le spectacle qui nous était offert.A ma grande surprise, ma femme, sans doute un peu aidée par l’alcool, a répondu à Béatrice :
— Les tiens aussi sont jolis, même s’ils sont plus petits que les miens.
Et sur ces paroles, elle a caressé les seins de Béatrice. Je voyais ma femme, nue, toucher les seins d’une autre femme. La situation était chargée d’érotisme.Elles ont finalement cessé leurs caresses. Béa s’est retournée vers moi et m’a lancé :
— A toi Eric ! Qu’est-ce que tu préfères chez moi ?— Je trouve que tu as de très belles jambes...
Béatrice a un peu rougi. Elle a dit "c’est vrai ?". Et là, Julie lui a dit :
— C’est vrai que tes jambes sont magnifiques Béa.
Ma femme a alors posé une main sur la cuisse de Béatrice et l’a caressée. Notre hôtesse a aussi posé sa main sur la cuisse de Julie et l’a remercié du compliment. Petit à petit, je voyais la main de Béatrice se rapprocher du sexe de ma femme. Elle a dit :
— Hmm Julie, ta peau est si douce...
Elles se sont rapprochées et se sont embrassées. La main de Béatrice était maintenant sur le sexe de Julie. Fred et moi étions comme paralysés. Nous ne bougions ni ne parlions plus.Béatrice a dit :
— Tu as une très belle chatte, tu veux bien... ?
Julie a fait un petit signe de la tête et voilà que les doigts de Béatrice coulissaient dans le sexe de ma femme. A un moment, elle a ressorti ses doigts pour les mettre dans sa bouche. Finalement, Béatrice s’est mise à genoux devant Julie pour lui faire un cunnilingus.Au début, Julie me regardait l’air un peu inquiet, mais petit à petit, elle s’est détendue. Elle avait l’air de prendre du plaisir. Après quelques minutes, ma femme gémissait de plus en plus fort jusqu’à sa jouissance.Béatrice a repris sa place après avoir embrassé Julie et lui a demandé :
— Ca t’a plu ?— Hmm oui c’était super !— Tu veux me toucher toi aussi ?— Oh je sais pas, j’ai jamais fait ça avant...— Tu ne veux pas essayer ?— Je sais pas...
Après quelques secondes d’hésitation, ma femme a dit :
— Bon d’accord, mais il va me falloir un verre avant...
Béatrice s’adressant à son mari :
— Chéri, tu veux bien nous resservir ?
Fred est parti chercher une autre bouteille de champagne et nous a servis. Julie a bu son verre presque cul sec et a posé sa main sur le sexe de Béatrice. Celle-ci lui a demandé :
— Alors, c’est comment ?— C’est doux... et chaud...— Ca te plaît ?— Oui, je crois.
Elles se sont de nouveau embrassées. Ma femme a rentré un doigt dans la chatte de Béa. Elle avait l’air fascinée par ce qu’elle faisait. Un deuxième doigt a suivi le premier. Après quelques minutes, Julie s’est mise à genoux devant Béatrice. Elle l’a léchée un bon moment. Béa gémissait. Finalement, Julie est revenue s’asseoir. Les deux femmes se sont embrassées. Béatrice lui a demandé :
— Tu as aimé ?
Ma femme m’a regardé presque un peu honteuse. Je lui ai souri pour la rassurer. Elle a répondu :
— Oui, c’était bien... Et toi tu as aimé ?— C’était très bon ma puce.
Elles se sont embrassées langoureusement puis Béatrice a dit qu’il était peut-être temps de dîner.
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