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Nos premières vacances ... diférentes

Chapitre 4

La tension monte...

Erotique
Résumé : Trois filles qui se connaissent depuis longtemps, trois filles qui commencent à se découvrir, trois filles qui se dévoilent peu à peu par le biais de vacances naturistes communes.
Après cette nuit magique à jouir nous revenons d’un pas presque chancelant à notre logis. Nous avons juste la force de reprendre une douche rapide pour nous rincer du sel avant de nous écrouler. Quand je sors de la douche, Cat dort déjà et Céline est prête à succomber. Son regard me fixe et ses yeux se ferment quand je m’abandonne aux bras de Morphée. Néanmoins, une ultime pensée me traverse avant de lâcher totalement prise ; laquelle a passée volontairement sa main sur mes fesses quand nous avons joué dans les vagues ?
Au petit matin, quand je me réveille, les deux dorment encore et la même question revient, de façon plus claire cette fois. Je regarde Cat qui est allongée sur le dos ; le drap la recouvre jusqu’au ventre laissant tout le haut de son corps apparent. Comme son t-shirt ample est remonté au cours de la nuit, son sein droit est apparent. Curieusement c’est plus érotique que de la voir nue. Je contemple ce sein rond, ce téton un peu rosâtre et je m’imagine le lécher et éveiller sa sensualité. Ma petite culotte s’humidifie rien que d’y penser. Oh, comme j’ai envie d’elle ; si inaccessible pour moi. Est ce elle qui a touché mes fesses hier soir ?En fait je ne suis sûre que d’une chose, c’était trop long pour un accident, trop précis puisque la main a parcouru toute ma fesse du haut de mes cuisses au creux de mon dos. Je tourne mon regard vers Céline qui sommeille encore sur le ventre. Elle est juste en culotte, toute simple, bleu pâle unie qui moule une croupe que j’ai follement envie d’embrasser. Était ce elle qui m’a caressée l’espace d’une seconde d’éternité ?Du diable si je le sais !Pourtant l’une des deux a bien eu ce geste affolant. Après si on parle de geste affolant, ce qui c’est passé autour de ce couple d’amoureux, la façon dont nous avons les regardés, la façon dont nous leur avons offert notre plaisir, nos orgasmes. Waouh ! Le couple, y compris l’homme (même si je l’ai moins regardé évidemment) était beau, sensuel, en harmonie. Je n’étais pas gênée de me montrer à lui, c’était une offrande au couple, à la lune et à mes deux amies, mes deux complices. Ce moment unique à les regarder se faire jouir ; la façon dont Cat tirait sur les pointes roses de ses petits seins, la façon dont elle plongeait deux doigts dans sa petite chatte. Et puis Céline, la façon dont ses seins opulents bougeaient, la façon dont elle se touchait en venant régulièrement mettre ses doigts en bouche avant de les replonger presque frénétiquement en elle comme si elle piochait le plaisir. Et leurs cris, oh leurs cris d’extase et puis cette jouissance, cette communion entre nous cinq, et encore plus intense entre nous trois.Le soleil commence à éclairer la pièce commune et je les regarde s’éveiller, s’étirer comme des félins au petit matin, ouvrir les yeux et puis me sourire. C’est Cat qui résume le mieux ce qui c’est passé en disant :— Quel pied mes amies, quelle nuit !Céline et moi lui sourions complices, qu’y a t’il a rajouter de toute façon ?
La journée se déroule sous les meilleurs auspices, grand soleil, paddle le matin sur une plage « textile » ; inutile de préciser que rires et et chutes sont au programme ! Après-midi balade dans les villages ostréicoles, Mimbeau, Gujan-Mestras, le village de l’Herbe prés de Lège Cap-Ferret, un vrai périple photo qui étanche une des passions de Cat pour qui nous prenons la pause selon ses indications plus ou moins réalistes ou cocasses.
Au soir, et une fois revenues « at home » comme mues par un réflexe conditionné, nous nous rendons à la plage pour un bain de minuit. Mais cette fois un vent frais s’est levé qui raccourcit la sortie et nul couple en plein ébats. Nous revenons avec comme un sentiment d’avoir raté quelque chose. Pour se réchauffer une petite douche et puis un petit verre pour se détendre, et puis un deuxième avant de se caler devant la télé. Elle est judicieusement placée afin que nous puissions la voir chacune de notre lit. C’est la première fois que nous l’allumons et en zappant nous découvrons que nous avons droit à une chaîne cryptée. Laquelle de nous a dit - Oh laisse c’est rigolo, quand nous sommes tombées sur le porno ? Je crois bien que c’est moi en fait, mais je n’ai pas eu a insister beaucoup !Comme nous avons raté quelques minutes, nous ne connaissons pas le titre, mais est ce vraiment important d’ailleurs ? Il s’agit de l’histoire d’une femme skipper d’un voilier qui accueille différents passagers pour une croisière avec un bateau qui se transforme rapidement en lupanar comme vous vous en doutez. Bon il y a au moins une once de scénario et les paysages sont plutôt paradisiaques entre petites criques isolées et scènes sur le catamaran avec le coucher de soleil en fond d’écran.
Comme je l’avais espérée après les dernières soirées, il s’est établi un climat sensuel dans notre chalet et après des commentaires de plus en plus grivois, Céline vire son t-shirt e sa culotte, Cat se débarrasse de la serviette qui l’entourait jusqu’à la et je suis sont exemple en marmonnant que si déjà on est nues la journée, autant l’être le soir.Cette fois, plus d’atmosphère magique comme sur la plage, le porno restant un simulacre bien pâle en comparaison, mais il reste une excuse acceptable pour notre attitude qui n’est quand même pas tout à fait la norme.Nous nous caressons chacune dans notre coin, observant l’écran puis de plus en plus les autres. A plusieurs reprises nos regards se croisent avec plein d’étincelles dans les yeux. De petits commentaires sont échangés sur nos façons de faire à chacune et cela rajoute encore de l’excitationQuand Céline, comme souvent la première, déclare : - Bon excusez moi les filles mais j’ai besoin d’un accessoire ; et qu’elle sort un vibromasseur rose cela augmente la tension. Et quand dans la foulée, Cat sort le même en violet et que j’extirpe de mon sac mon ami coin-coin, l’atmosphère devient bien plus lourde.Cette fois on ne se cache plus pour se regarder l’une l’autre, on en oublie quasiment le film sauf quand une scène est vraiment réussie. Dans un coin de mon esprit j’ai l’impression que les scènes entre filles ou entre un mec et deux filles sont plus regardées mais j’avoue n’avoir pas l’esprit assez clair pour en être sûre ; tout occupée à mater tour à tour Cat ou Céline. Elles font pareil que moi et des commentaires fusent de plus en plus— Oh Céline t’y vas fort avec tes doigts— Oui, j’aime faire comme ça.— Cat tes tétons sont super sexys étirés ainsi— J’adore tirer fort dessus, essaye toi— Hmm oui, c’est booon— Hé notre sexy Laura adore son canard— Hmm oui, enfin sexy faut pas mmm exagérer— Tu mm rigoles mm t’est super sexy pas vrai Cat— Cé..Cél.. Céline a raison t’est super bien foutue— Et vous vous .. mm..êtes deux vraies bombes... Oh putain les filles je vais pas tarder à prendre mon pied, vous mmm m’excitez a vous toucher avec vos trucs— Faudra que ... tu me.. prêtes ton canard ça a l’air … efficace— Oh bon sang ouaiiiis
Je dois dire que si mon fidèle coin-coin est efficace c’est surtout de les voir se caresser, se masturber se, oh et puis zut je me lâche ! C’est de les mater se branler devant moi, se pistonner la chatte a coups de gode, avec leurs regards de petites salopes, qui me rendent folle. Voir la mouille couler sur leurs godes, voir Céline se lécher les doigts en me fixant dans les yeux, voir Cat sucer son gode avant de le refaire vibrer dans sa chatte imberbe de petite chienne… Bon sang j’en perds mon langage habituel, je mouille comme une folle sur coin-coin, je tire sur mes tétons comme Cat, je lèche mes doigts gluants de cyprine en fixant moi-aussi Céline avec un regard de salope.C’est à moitié dans les vapes que je note que le film est fini et que c’est un documentaire sur les zèbres qui passe, mais on s’en fout toutes les trois, on est focalisées sur les autres avec des regards qui passent de gestes en gestes. Comme elles sont belles dans la lumière claire du chalet à se branler devant moi, comme on est belles en fait à se faire jouir devant les autres ; plus de couple sur qui le regard se tourne comme un alibi. Non, on mate d’autres femmes, uniquement d’autres femmes qui se font jouir. Mes envies les plus folles sont largement dépassées. Le plaisir qui m’envahit est de plus en plus fort, l’océan est devenu tempête en moi. A en juger par leurs gémissements, c’est pareil pour elles. J’ose me livrer un peu en disant :— Oh comme vous êtes belles, vous m’excitez,oh bon sang je vous adore ( j’ai pas réussi , osé dire l’autre mot en quatre lettres mais j’en suis pas loin) oh mes chéries je vais jouir ; je vais jouir... — Vas-y, branle toi, branle toi prends ton pied ma chérie, je pars aussi — Oui, jouis ma belle, jouis avec nousC’est les regards fous, oscillant entre nous que nous explosons toutes les trois dans un orgasme au-delà de tous mes rêves.
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