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Nos premières vacances ... diférentes

Chapitre 7

Un peu de repos

Lesbienne
Une soirée magique entre filles sur la dune du Pyla, une nuit magique où tout se révèle entre nous...

Si vous désirez vous rendre à une partie plus animée ********************.
Je crois que c’est la faim qui me réveille et me tire de mon repos. Quand j’ouvre les yeux, la première chose que je vois, c’est le visage de Céline. Visage franc au regard lumineux fixé sur moi et qui est comme débarrassé de toute lueur parasite. Elle paraît apaisée tout simplement et son sourire naissant est comme un rayon de soleil. Nous sommes pelotonnées, chacune d’un côté de Cat qui dort encore, couchée sur le ventre, le visage presque enfoui dans son oreiller. Nos jambes se touchent par-dessus les fesses nues de Cat et ces contacts me procurent un sentiment de plénitude, car c’est tout simplement l’expression de notre amour, cet amour si longtemps porté, caché en nous et qui s’est révélé au cours d’une longue, très longue journée.
Nos regards parcourent le corps nu et les courbes si affolantes de son dos, ses reins, ses fesses joliment musclées et ses longues jambes fines. Le petit sourire du réveil est maintenant bien plus grand, c’est comme si nous venions de réaliser en même temps que oui, nous avons bien passé la nuit à faire l’amour avec cette superbe blonde. Superbe blonde qui se trouve être notre amie depuis toutes ces années. Je tends une main vers Céline qui immédiatement fait le même geste. Nos doigts se touchent et ce simple et tout petit contact fait passer entre nous tout ce que nous ne nous étions jamais dit.
Puis nos mains se séparent, car nous ne pouvons résister à la tentation et chacune parcourt doucement le côté pile de son corps. Oh, c’est un peu égoïste, car elle dort et nous allons forcément la réveiller, mais elle est si jolie.Au bout de quelques instants, nous sentons à certains frémissements qu’elle se réveille doucement et ses petits soupirs trahissent son réveil. Elle se tourne et ses premiers mots " bonjour mes amours" nous remplissent d’allégresse. Oui, je sais tout cela fait un peu fleur bleue, mais c’est si bon.
Nous déposons un dernier baiser sur la pointe de ses seins encore un peu rougis de la nuit et échangeons un doux baiser entre nous. L’ordre n’a aucune importance, nous savons ce qui se passe entre nous.Nous redevenons sérieuses et convenons que nous sommes trop fatiguées pour reprendre vraiment des "activités ludiques" disons et préférons aller à la plage reprendre des forces dans l’océan nourricier. Mais d’abord une petite collation !Une heure plus tard, nous sommes allongées (nues bien entendu), à nous dorer au soleil. Je regarde vers le large et lâche doucement :
— Je n’osais même pas imaginer ce qui s’est passé entre nous, j’ai l’impression de vivre un rêve.
Ma petite phrase est le point de départ d’une longue discussion, d’une véritable ouverture de nos cœurs. Quelques larmes et surtout beaucoup de sourires, des confidences et de doux aveux.Si j’avais découvert très tôt mon orientation, il n’en était pas de même pour Cat qui au final a connu plus de garçons que Céline. Céline qui craignait tant de ne pas être dans la "norme" qu’elle inventait et parlait tout le temps de garçons. Un peu comme un homosexuel qui se cacherait derrière la boxe ou le football américain. Sa seule expérience masculine a été une telle catastrophe qu’elle a presque versée dans la clandestinité, entre étreintes rapides et une seule vraie expérience lui ayant pourtant confirmée ses envies profondes. Et Cat qui collectionnait les amants, courant désespérément après de vraies sensations et luttant contre tout ce que son cœur et son esprit lui criaient.
Après, avec ses parents si peu à l’écoute de leur enfant, si focalisés sur le qu’en dira-t-on, la "norme" leurs phrases sur les "malades", les "anormaux"
— Avec eux, c’était le siècle dernier ou au mieux les années cinquante ! Vous étiez ma bouffée d’oxygène toutes les deux. Et puis au fur et à mesure, j’ai osé voir les choses en face, osé mettre des mots sur ce que je ressentais. Comme vous le savez si bien toutes les deux dans une petite ville comme la nôtre...

Je reprends au vol: - Ça oui, ce n’est pas évident et puis j’étais si convaincue que vous ne pouviez être comme moi, rien que statistiquement... Cela me paraissait impossible.
— Et puis, fait Céline. Et puis comment oser croire que vous partagiez mes sentiments ? Tu as dit impossible pour moi, c’était inconcevable !— Et pourtant je suis sûre que chacune d’entre nous a eu une petite lueur d’espoir en arrivant ici.— Une flammèche après une soirée à se caresser si tu veux.— Ah ça coin-coin nageait tant j’étais mouillée à vous voir vous faire jouir, fais-je dans un rire.
Nous restons songeuses un long moment, puis Céline résume notre état d’esprit en quelques mots :
— Un long chemin, mais que nous avons parcouru toutes les trois ensemble, une longue marche et des difficultés qui nous ont aussi forgées.— Et qui nous rendent plus solides désormais.— Oh oui, Laura, bien plus fortes.
Notre heure philosophique écoulée, nous allons nous baigner. Ah j’ai oublié de préciser que nous nous étions mises bien à l’écart et que le moment où nous nous sommes enduites de crème s’est prolongé, délicieusement prolongé...Dans l’eau, toujours à l’écart des autres, ce ne sont que frôlement et caresses sous-marines, sans parler des confidences sur la beauté de l’une, la douceur de l’autre... Et à force de les entendre me seriner que je suis très jolie, j’en viens à doucement les croire. Après tout, elles semblent avoir tout le temps envie de moi, ça veut bien dire quelque chose non ?
La canicule s’est définitivement installée sur le pays et le passage dans l’eau est bien agréable. Les caresses que nous échangeons lors d’un jeu de ballon qui n’est qu’un prétexte pour tripoter les autres me rendent toute chose et il en va de même pour elles.Autant dire que, quand nous revenons sur nos nattes, nous sommes chauffées à blanc...
****************************
Comme je l’ai dit, nous sommes à l’écart des autres personnes tant la plage est vaste. Cat est couchée comme ce matin, aussi Céline et moi rejouons la saynète. La différence est qu’elle n’est pas (encore) endormie alors quand nous commençons à caresser ses épaules et son dos, elle ne tarde pas à presque ronronner, mais surtout à légèrement (enfin un peu plus) écarter ses jambes au fur et à mesure que nous laissons descendre nos mains. Comme de surcroît, nous racontons nos envies, nos désirs, l’émoi que nous ressentons à la toucher, elle s’excite de de plus en plus.
Je lui parle du creux de son dos, insiste sur la façon dont je me suis masturbée en pensant à elle et Céline renchérit à lui disant combien elle a toujours mouillé pour elle en s’imaginant la branler (ce sont ses mots). Nos regards à Céline et moi, qui se croisent parfois sont joueurs et complices, le but est de bien exciter Cat. Et puis, discourir, parler de sexe en la caressant délicatement est un vrai régal. Sa peau est douce, chaude, même un peu moite à cause de la chaleur.
Nous sommes assises de chaque côté d’elle et un passant ne verrait pas grand-chose...Nos mains se croisent sur son dos, ses petites fesses descendent vers ses cuisses. La petite coquine a mis du sable sous son ventre, faisant un peu remonter ses fesses et écartant juste assez ses cuisses pour nous laisser accéder à toute son intimité. J’effleure l’intérieur de ses cuisses et Céline titille sa si jolie chatte rose qui bâille déjà ; ne se privant pas de rajouter des commentaires salaces.
— Dis donc ma chérie, tu es bien humide déjà.— Tu n’as pas honte, offerte sur la plage, en plein jour à te faire branler par nous.— Hmm deux jolies coquines qui me touchent, non j’ai pas honte du tout, j’adore plutôt.
D’un regard, on se comprend et on échange.
— Ah oui, sa petite chatte est humide. Je tends mon doigt à Céline en disant" goutte-moi ça ma chérie".— Mmm ah oui et quel goût exquis.— On peut pas te bouffer la chatte ici, mais on va te branler comme une petite coquine.— Faites de moi ce que vous voulez, — Tu es sûre ?— Tout ce que vous voulez mes chéries.
Un nouveau regard et je ressors mes doigts trempés de sa chatte brûlante pour laisser Céline jouer avec son clito durci pendant que j’effleure son petit anneau culier.
— Mmmm, un vrai duo de petites salopes.— Tu nous as bien dit qu’on pouvait faire ce qu’on voulait.— Mmm ouii.
Je titille son petit cul avant d’y enfoncer doucement mon majeur humide de sa cyprine pendant que Céline fait pénétrer deux doigts dans son vagin nacré.
— Oh putain c’est bon.— C’est bon de se faire branler ?— Oh oui oh ouiii.— Petite vicieuse qui se fait tripoter sur la plage, un doigt dans le cul et deux dans la chatte.— Mm oui je suis une petite vi vi.— Du mal à parler ?— Ooooh vicieuse.
Tout en connivence, nous la branlons plus fort et, si j’ai rajouté un doigt, Céline a fait pareil. A travers la fine paroi, je sens ses doigts et nos regards, animés d’une lueur trouble de contentement font encore monter la température. Comme il fait dans les 35°, vous imaginez...Pendant que ma main droite s’occupe de son mignon petit cul, je caresse le creux de son dos où s’accumulent déjà des gouttes de sueur. Céline pelote ses fesses tout en la doigtant avec allégresse, ses yeux brillants sont le reflet des miens. Un coup d’œil discret autour de nous et puis on ne résiste pas et on se roule une pelle sauvage.
— Oh, vous me faites saliver à vous, à vous, mmmh rouler des galoches.— Ce sera ton tour plus tard.— Oh bon sang, nue sur la plage à me faire doigter par mes deux chéries, oh le pied !
Je (et je pense que c’est pareil pour Céline) ne suis pas jalouse, car je sais bien que nous allons échanger nos rôles plus tard.Cat présente des mouvements incontrôlés du corps, se tortille, tout son corps vibre de tension et nous continuons à la masturber toujours plus vite, toujours plus fort. Entre deux baisers, on continue à lui parler de nos envies, nos désirs, lui décrire ce que nous lui faisons et ce que nous avons en tête...Elle commence à s’agiter de plus en plus, ses fesses vont à la rencontre de nos doigts, elle n’est plus que gémissements. J’ai abandonné son dos et creusé un petit tunnel dans le sable fin, ce qui me permet d’atteindre son sein et d’en titiller la pointe. Entre mes doigts qui la pincent délicatement et le sable qui la picote, elle mord dans sa serviette pour ne pas hurler la jouissance qui la saisit soudain. Enfin, comme nous avons abandonné nos caresses, elle se détend et finit par se retourner avant de lâcher dans un souffle : - Bon, c’est à qui ?
Céline nous regarde d’un air si implorant, les yeux si brillants que devant notre sourire, l’échange se fait à la vitesse de l’éclair. A peine allongée, elle lâche d’une voix sourde :- Vite, je n’en peux plus !
Nous lui caressons à peine le dos qu’elle geint déjà, trahissant une impatience non feinte. Cat, prise de pitié, car déjà passée par là, va effleurer son intimité et s’extasie sur la chaleur et surtout l’humidité qu’elle trouve. Elle humidifie ses doigts sous les soupirs de Céline et la caresse délicatement, s’interrompant parfois pour lécher ses doigts ou me les faire sucer. Comme c’est bon, comme c’est plaisant de faire cela. Les fesses de Céline sont plus rondes que celles de Cat et je les parcours longuement avant de lui caresser son petit œillet. Un frémissement de son corps montre qu’elle aussi aime cette caresse et rapidement, poussant ses fesses vers nos doigts, elle fait comprendre qu’elle en veut plus. Un clin d’œil à Cat et je me penche par-dessus ses fesses pour lâcher sur le petit œillet un léger filet de salive en y adjoignant un commentaire cru et j’acquiesce à sa demande en faisant pénétrer un doigt inquisiteur dans son petit trou.
Si le duo de masturbatrices a changé, la méthode est la même ; la caresser jusqu’à ce qu’elle jouisse en échangeant des obscénités au-dessus d’elle en essayant de garder exprès un ton neutre qui paradoxalement en renforce encore l’effet.
Nous entendons Céline ronronner, petit bruit adorable que nous commençons à connaître, ronronnement qui va en s’amplifiant au rythme de nos masturbations toujours plus fortes et de l’action diabolique de Cat sur le joli petit bouton rose de notre amie. Et puis, à l’instar de Cat un peu plus tôt, elle mord sa serviette pour ne pas hurler avant de jouir dans plusieurs soubresauts de plaisir qui nous ravissent.
Je dois avouer à ce stade de mon récit que je suis tout autant, sinon plus, excitée que mes deux amies, c’est que moi j’ai suivi deux jouissances en direct et que cela fait un long, très long moment que je suis inondée et que je me retiens à grand-peine de crier " plus vite, je veux jouir moi aussi".
Autant dire que je n’ai pas tardé pour m’allonger moi aussi au milieu, mon corps à libre disposition de mes amies de cœur. Cette sensation d’être offerte à leurs caresses en toute confiance, cette détente totale... Mmmm... Et surtout de savoir qu’elles n’avaient qu’un but, me faire jouir et se concentrer à mon plaisir. J’étais offerte à elles, mais c’est en fait elles qui m’offraient le plaisir.
La sensation d’accomplissement ressentie quand elles ont commencé à parcourir mon corps de leurs mains chaudes était ineffable. Cette impression de flotter, nue au soleil, à juste savourer leur technique, à juste ressentir leur amour. Je résistais tant que je pouvais, mais leurs mains qui se croisaient sur mon corps, leurs doigts en moi, leurs caresses sur le Niagara que j’avais entre les cuisses. Je ne savais plus qui me caressait, qui titillait mon clito gonflé, qui me pénétrait dans mon intimité la plus secrète, je savais juste que c’était bon, que j’étais emportée par le vent, les vagues, l’ouragan, la tornade, le cyclone... Enfin l’orgasme dévastateur qui me laisse pantelante, frémissante, momentanément vidée de tout souffle, tant c’est allé vite, tant j’ai pris mon pied.
Enfin je me tourne vers elles et le sourire que nous échangeons là sous le soleil témoigne de la force de ce qui nous lie.
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