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Nos pulsions taboues de couple

Chapitre 5

Le goût de Maxime

Orgie / Partouze
Une fois notre repas terminé, Laura, Marie et moi sommes allés nous installer sur la table du jardin, au bord de la piscine. Maxime nous y rejoint avec une bouteille de rhum arrangé et nous en sert un verre chacun. Munis de notre précieux breuvage qui délie les langues et étouffe la pudeur, Marie interroge Laura :
— Je suis désolée de revenir encore une fois là-dessus, mais votre histoire avec Sabine m’intrigue énormément. Je me demandais, Laura, si c’était ta première expérience avec une femme ?— Non, j’avais déjà couché avec d’autres filles avant, mais je pense que c’est celle avec qui j’ai pris le plus de plaisir, répondit-elle.— Est-ce qu’elle t’a fait jouir ?— A vrai dire, on a tous joui plusieurs fois ensemble. Autant elle, que moi et Mickaël aussi.— Et tu n’es jamais jalouse à l’idée que Mickaël puisse jouir avec une autre femme ?— Tant que je suis là pour le voir jouir, ça me plaît beaucoup. Ce n’est pas comme si je n’avais pas de plaisir moi non plus. Être touchée par une femme, c’est un kif que toutes les femmes devraient connaître, je te jure ! Sentir une autre paire de seins contre soi, goûter à la chatte d’une autre femme, je t’assure qu’il y a un plaisir vraiment spécial à ressentir, qu’on ne peut pas avoir avec un homme.— Oui, ça, je l’imagine très bien. Ça me donne très envie d’ailleurs. On en parle souvent avec ton frère, mais j’ai trop peur d’être jalouse de voir Maxime prendre du plaisir avec une autre femme et qu’il la préfère à moi.
Sur ces mots, je répondis à mon tour :
— C’est normal d’avoir ces inquiétudes avant de l’avoir fait pour la première fois. Mais il ne faut pas se sentir obligé de quoi que ce soit. D’ailleurs, rien ne vous oblige à autoriser Maxime à toucher l’autre femme si vous faites un plan à trois. Ça peut même être une bonne manière de débuter. En plus, tu aurais tout le monde concentré sur ton plaisir. C’est carrément le genre de situation où tu serais gagnante. Et pour Maxime, ça peut être super excitant aussi de te voir prendre ton pied avec une autre femme. Je me trompe Maxime ?— Alors là ! Non, pas du tout ! C’est clair que le simple fait de te voir avec une autre fille c’est déjà un fantasme, même si je ne peux pas la toucher, répondit Maxime.— C’est vrai que vu comme ça, le cap me paraît plus facile à passer. Deux personnes occupées à me faire jouir, c’est OK ! Je signe où ? On fait ça quand ? s’amusa Marie.— Franchement, quand tu veux ! Ce n’est certainement pas moi qui retarderais les choses ! reprit Maxime.— Il vous reste plus qu’à trouver la bonne personne et hop ! En route pour le septième ciel ! s’exclama Laura. Si jamais vous ne trouvez personne, faites-moi signe, je me ferai un plaisir de te rendre ce service Marie, et de t’apprendre quelques petits trucs au passage !— Hahaha, arrête de dire ça, parce que tu sais très bien que t’es tout à fait le genre de fille qui me plaît ! Par contre, c’est ton frère qui serait moins content, de me voir bouffer la chatte de sa sœur, dit-elle en riant à l’unisson avec Laura.— Vu comment il a réagi hier soir en voyant sa sœur nous sucer, je doute que ce soit vraiment quelque chose qui le rebute, dis-je à mon tour en rigolant. Mais le principal intéressé peut peut-être nous répondre directement ?— Très honnêtement ? C’est clair que ça me ferait bizarre de voir ma copine se faire caresser par ma sœur. Mais si le but c’est d’être tous les deux concentrés sur Marie, au fond ça ne me gêne pas. Surtout si c’est parce qu’elle se sent plus à l’aise avec ma sœur, répondit Maxime. Mais c’est clair que ce serait vraiment bizarre.
Sur ces mots, tout le monde rigola. On sentait une atmosphère de gêne mêlée à de l’excitation et de l’euphorie. Après nous avoir servi un nouveau verre à chacun, Laura annonça :
— Bon ! C’est pas tout, mais cette conversation m’a donné chaud ! Va falloir que je me refroidisse un peu les idées moi !
Elle se leva, retira ses vêtements qui cachaient les maigres bouts de tissus qui lui servaient de maillot de bain et plongea dans la piscine.
— Vous n’allez quand même pas me laisser toute seule par contre ! Allez, venez me rejoindre !
Alors que Marie embrassait Maxime d’un baiser langoureux, je me mis à mon tour en maillot et plongeai auprès de Laura. Pendant qu’on jouait tous les deux avec un ballon qui traînait, le couple d’amoureux nous rejoignit frileusement. Amusée de la situation, Laura s’empressa d’aller vers eux et enlaça le corps menu de Marie pour la tremper. Agacée mais joueuse, Marie appela à l’aide Maxime pour la noyer.Je les observais tous les trois en train de se battre dans l’eau. L’image aurait été innocente si nous n’avions pas eu cette discussion juste avant. Je ne pouvais m’empêcher de les imaginer tous les trois en pleins ébats. Je voulais voir Laura les baiser tous les deux ! Après plusieurs minutes passées dans l’eau, Laura s’exclama :
— Haaaaa, mon soutif ! Mickaël ! Il m’a volé mon soutif ! m’appela Laura pour l’aider à attraper son frère qui brandissait fièrement son haut de maillot.— Ne t’attends pas à ce que je t’aide, t’es une grande fille ! T’as cherché, t’as trouvé ! dis-je en rigolant.— Haaaaaa ! Ils m’ont foutu à poil ! Bande de p’tits cons ! Vous allez me le payer ! rigola Laura.
Cette fois-ci, c’était Marie qui lui avait retiré le bas de son maillot. Laura était complètement nue dans la piscine. Le soir se couchait à peine, et nous laissait apercevoir ses tétons dressés par le froid. Le spectacle était splendide. Laura nue qui tentait de se débattre tant bien que mal entre son petit frère et sa belle-sœur. Maxime prenait un malin plaisir à immobiliser sa sœur, les bras dans le dos pendant que Marie frottait le bas de maillot sur son visage et lui pinçait la poitrine.Une fois échappée des mains fermes de son frère, Laura vint se réfugier contre moi.
— C’est bon, je vous le laisse mon maillot si vous l’aimez tant. De toute façon, on est beaucoup mieux à poil ! C’est vrai, je vous jure, c’est tellement agréable de se baigner nue.— C’est pas faux. Allez, moi aussi ! C’est pas vraiment l’heure pour un bain de minuit, mais on peut prendre de l’avance, dis-je en retirant mon maillot.
J’étais nu à mon tour, dans cette piscine, alors que Laura venait d’entourer ses jambes autour de ma taille pour se maintenir serrée contre moi. Dans cette position, ses seins étaient hors de l’eau et bien qu’ils étaient en partie cachés contre mon torse, son frère et Marie ne se privaient pas d’y jeter des regards appuyés. Avec mon paquet accroché à moi, je m’approchai des deux amoureux.
— Ben alors les timides ? On fait les pudiques ? On n’ose pas se foutre à poil ? lança Laura. Allez-y, je vous promets, c’est super agréable.— Pudique ? Moi ? C’est pas comme si tu ne me voyais jamais à poil ! ironisa son frère en enlevant son maillot pendant que Marie faisait de même.
Nous étions désormais tous les quatre complètement nus dans cette piscine. Laura était toujours accrochée à mon cou, et Marie se mit dans la même position contre Maxime. Nous avons rigolé et discuté un petit moment puis très vite, Laura m’embrassa. Son baiser était langoureux et passionné. Alors qu’elle tournait le dos aux deux amoureux, elle interrompit son baiser pour me lancer un regard profond et insistant. Je savais ce que voulait dire ce regard complice. Je lui fis un clin d’œil pendant que je passais l’une de mes mains sous ses fesses et l’autre derrière sa nuque pour ramener ses lèvres jusqu’aux miennes. Je me décalais légèrement pour que son frère et Marie puissent nous voir de profil. J’embrassais passionnément Laura. Je promenais mes mains sur son corps qui tenaient fermement contre moi grâce à ses cuisses qui m’avaient emprisonné contre elle. Laura promenait ses mains dans mon dos, dans mes cheveux. Mon sexe commençait à pointer vers le ciel.
Laura jeta un coup d’œil vers son frère qui avait positionné Marie, dos au mur de la piscine.
Ils s’embrassaient eux aussi. Marie laissait échapper de tout petits gémissements. L’une des mains de Maxime avait disparu. Elle était probablement perdue entre les cuisses de sa complice, occupée à la faire tressaillir de plaisir. On y était ! Le moment était parfait pour qu’enfin Laura puisse goûter à son frère.
— Je te préviens, ce soir, je veux absolument qu’on les baise tous les deux, chuchota Laura à mon oreille.— Je te préviens, ce soir, je veux absolument qu’on les baise aussi ! lui répondis-je, excité.— Rapproche-toi un peu d’eux et baise-moi ! me dit-elle en me léchant l’oreille.— J’aime quand tu me parles comme une vraie salope !— Crois-moi, c’est pas tout ce que tu vas aimer ce soir mon garçon !— Je vais te baiser à côté d’eux, par contre, ne les bouscule pas trop en m’incluant dans votre truc. S’il faut que je reste en retrait pour cette fois, c’est pas grave. Je veux qu’on puisse au moins te voir avec eux, OK ?— Oui d’accord, fais-moi confiance, mais dépêche-toi de me baiser, j’en peux plus ! dit-elle en parlant volontairement plus fort pour que la fin de sa phrase soit entendue par nos acolytes.
Je m’approchai donc du jeune couple et mis Laura dos à moi, face au mur de la piscine. Ici, nous avions l’eau en dessous des fesses, nos corps tout entiers devenaient alors visibles malgré la luminosité qui baissait. De là où Laura était, elle n’avait qu’à tendre son bras droit pour réussir à toucher Marie et son petit frère qui avaient tourné la tête vers nous. Laura les dévisageait tous les deux silencieusement en se pinçant les lèvres alors que j’étais concentré pour lui écarter les cuisses et m’enfoncer en elle.
— Hmmmm putain enfin ! lâcha-t-elle.— Maxime, tu me fais pareil, elle m’a donné envie aussi ! dit Marie.— Avec grand plaisir ! répondit Maxime, qui dans un geste brutal, retourna sa partenaire en lui maintenant une main dans le dos et en s’enfonçant brusquement en elle.— Haaa oui ! T’es bien excité on dirait ! Je sens que ça va me plaire ! rétorqua Marie.
J’étais là, à baiser Laura, à lui caresser les seins, ma main sur son cou pour la ramener jusqu’à mes lèvres pour l’embrasser, alors que son frère baisait Marie sous nos yeux. Je voyais les seins de ma jeune belle-sœur se balancer. Ils étaient si proches que j’aurais pu les toucher. Je voyais son cul absorber les grands coups de reins que lui donnait Maxime. Je voyais sa cambrure parfaite et surtout je voyais ses yeux plonger dans les miens, puis dans ceux de Laura. En pleine extase devant ce tableau, Laura vint rompre le silence enivrant qui s’était imposé :
— Je sais pas vous, mais ça me fait un putain d’effet de vous voir baiser tous les deux ! Tu sais que t’es belle Marie, que tu prends du plaisir !— Ça m’excite tellement moi aussi de vous voir et que vous nous voyez. T’es tellement belle Laura ! Tu ne trouves pas Maxime que ta sœur est sublime ? dit Marie malicieusement.— Bien sûr qu’elle est sublime ! répondit-il.— C’est vrai ? Tu me trouves belle ? Même en train de me faire baiser ? demanda Laura, un sourire en coin.— Evidemment que je te trouve belle ! C’est bizarre, mais je trouve ça excitant de vous voir en train de baiser, répondit-il.— Ta sœur est tellement bonne qu’il y a plus grand-chose de bizarre, dis-je.— Maxime ? Tu dirais quoi là, si j’embrasse Marie ? demanda Laura.— Je suis trop occupé pour dire quoi que ce soit, faites-vous plaisir si vous voulez, répondit-il.
Comme si c’était un signal, je m’enfonçai encore plus profondément en Laura pour la pousser contre Marie. Laura mit ses deux mains autour du visage de Marie et enfonça sa langue dans sa bouche. Elles se caressaient toutes les deux le visage, elles se suçaient les lèvres, s’embrassaient dans le cou, se mordillaient les oreilles.
— Waouh ! Quel spectacle ! Vous m’excitez tellement toutes les deux ! dis-je en tendant la main à Maxime qui tapa dans la mienne.— C’est clair, c’est trop bon ! dit-il.— Maxime, assieds-toi sur le rebord de la piscine, j’ai envie de voir comment elle te suce, demanda Laura.
Sans un mot, Maxime s’exécuta. Marie vint se mettre entre ses jambes écartées pour y enfourner son sexe épais dans la bouche. Laura se mit dans le dos de sa belle-sœur et ses mains parcouraient son corps. Mon sexe était toujours au fond de Laura. D’où j’étais, je pouvais voir la queue de Maxime se faire sucer et la langue de Laura se balader dans le coup de Marie. Une des mains de ma belle-sœur, qu’elle envoyait derrière elle, venait parfois caresser les fesses de Laura. Au passage, Marie effleurait mes bourses pleines qui allaient et venaient contre ce cul face à moi.
— Mais dis-moi, tu te débrouilles bien ! Je vois que tu t’occupes bien de mon petit frère ! Suce-lui un peu les couilles aussi, les mecs aiment ça, tu vas voir ! susurra Laura à l’oreille de Marie.
Sur ces mots, Maxime recula son bassin pour faciliter le travail de sa partenaire. Maxime et Marie semblaient vouloir être dociles et prêts à suivre nos envies. Marie engloutit les couilles de Maxime tout en continuant de le masturber. Laura caressait le visage de sa belle-sœur, allant jusqu’à frôler le sexe de son frère. Puis, l’une des mains de Marie vint attraper celle de Laura pour la déposer sur la queue tendue de son frère :
— Il faut que tu m’aides un peu alors, occupe-toi un peu de ça, dit Marie.
Sans un mot, Laura masturbait son frère pendant que Marie lui léchait les couilles. De mon côté, la main de Marie se faisait de plus en plus présente contre mes bourses. Elle me caressait peu à peu. Je posai alors mes mains sur les hanches de ma belle-sœur pour prendre Laura en sandwich. Dans cette position, Marie dit alors :
— Laura, tu veux bien la mettre dans ta bouche ? Juste un peu ? Pour goûter ? Ça m’excite de vous voir tous les deux, et je suis sûre que ton frère adorerait ça.— Juste pour goûter alors, ironisa Laura.
Elle engouffra la queue de son frère dans sa bouche. Puis elle la retira pour cracher une épaisse couche de salive sur son gland avant de l’enfoncer à nouveau au fond de sa gorge. Voyant sa sœur au bout de sa queue, Maxime mit ses mains sur les têtes des deux déesses entre ses cuisses, pour s’assurer qu’elles trouvent toutes les deux de la place pour sucer sa bite.
— Hmmm, on dirait que le petit frère aime bien les talents de la grande sœur, dis-je, amusé.— Alors ? T’es bien dans ma bouche petit frère ? demanda Laura.— C’est un délice ! Tous les deux, là, c’est trop bon. Ça ne te dérange pas mon cœur ? demanda Maxime à Marie.— Pas avec ta sœur non. Vous êtes complètement tarés vous deux, mais moi ça m’excite ! répondit Marie.— Il faut croire qu’on aime tous beaucoup ce qui est en train de se passer. Par contre, on ne serait pas mieux à l’intérieur ? Ça vous dit de rentrer ? demandai-je.
Toujours sans un mot, on se faufila en un rien de temps jusqu’au salon. Laura, arrivée la première, enleva la table basse qui était entre les deux canapés et annonça :— Comme ça, on aura plus de place pour s’amuser. Les garçons, sur les canapés ! Pour l’instant, y a que moi qui m’amuse avec Marie ! Marie, viens là ! Mickaël ? Tu peux aller chercher notre mallette s’il te plaît ?
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