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Nos pulsions taboues de couple

Chapitre 6

Orgie / Partouze
Une pour tous et tous pour une.Le jeu allait enfin commencer. Ces scénarios qu’on avait maintes et maintes fois imaginés devenaient enfin réalité. Dans la chambre de Laura, je récupérais notre mallette que nous avions apportée sciemment chez ses parents. Cette mallette était remplie d’objets et de joujoux en tous genres pour faire de nos ébats des moments d’intense plaisir et de domination-soumission. Je me demandais ce que nous allions pouvoir utiliser. Les godes, le plug anal, les cordes, les pinces à tétons, ou encore le fouet ? Peut-être nos autres jouets aussi ?De retour, munis de nos outils de plaisir, je vis Laura et Marie, nues, debout sur le tapis moelleux du salon en train de s’embrasser. Ne voulant brusquer personne par mes ardeurs qui commençaient à se faire de plus en plus pressantes, je déposai la mallette fermée sur le sol et j’allai m’assoir sur le canapé, en face de celui sur lequel était assis Maxime.
— Hmmm, parfait ! Maintenant, ferme les yeux Marie, demanda Laura.
Une fois les yeux de Marie fermés, Laura alla ouvrir la mallette et en sortit un bandeau de soie noire qu’elle attacha fermement autour des yeux de sa belle-sœur.
— On va bien s’occuper de toi, ne t’inquiète pas. S’il y a quelque chose que tu n’aimes pas, que tu ne veux pas qu’on te fasse ou que tu ne veux pas faire, tu n’auras qu’à le dire et on arrêtera tout de suite, d’accord ? Lui demanda Laura au creux de son oreille.— D’accord. Mais y a peu de chance que je dise stop. Répondit-elle avec une voix tremblante, comme si en elle se mêlaient l’excitation et l’appréhension de ce qui allait se passer.— Maxime, toi aussi, s’il y a quelque chose qui ne te plaît pas, tu le dis tout de suite. L’objectif c’est que vous passiez un bon moment et pas que vous soyez gênés ou jaloux, d’accord ? Reprit Laura d’un ton assuré.— Pas de souci, mais j’aime beaucoup ce que je vois. Répondit-il.— Je t’explique ce qu’il va se passer. Reprit Laura. Tu auras les yeux bandés du début jusqu’à la fin. Comme ça, tu pourras te concentrer sur ton plaisir et arrêter de trop cogiter. Mais je veux que plus tard, tu puisses voir tout ce qui s’est passé. Alors je vais demander à Maxime qu’il nous filme avec ton téléphone, tu es d’accord ?— J’adore ton idée ! Oui, bien sûr. Répondit-elle.— Allez Maxime, tu sais quoi faire pour pouvoir profiter du spectacle, lança Laura.
Pendant que Maxime était allé chercher le téléphone, Laura s’était munie d’une corde. Elle s’approcha alors de sa belle-sœur pour lui attacher les mains devant elle en laissant dépasser un bout de corde pour pouvoir s’en servir de laisse. C’était la première fois qu’elle prenait ce rôle. D’habitude, c’était moi qui l’attachais, c’était toujours elle qui prenait le rôle de la soumise. La voir assumer avec passion ce statut de dominatrice était terriblement excitant.
Après un long baiser langoureux, Laura allongea délicatement Marie sur le dos. A cheval par-dessus elle, elle continuait de l’embrasser. Elle quitta lentement sa bouche pour promener ses lèvres vers ses petits seins. Elle léchait ses tétons qui étaient durcis d’excitation. Pendant qu’elle suçait sa poitrine, ses deux mains allaient serrer délicatement le cou de sa belle-sœur. Puis elle continua son voyage jusqu’à arriver entre ses cuisses. Après quelques prémisses de léchouilles, elle ouvrit vigoureusement les cuisses de Marie et y plongea sa tête pour sucer son clitoris boursoufflé d’impatience.
— Maxime, viens là, il faut que tu filmes de plus près, il faut qu’elle puisse voir comment je lui ai bouffé la chatte. Lança Laura.
Maxime qui bandait comme un âne s’approcha et se mit à genoux contre sa petite amie pour mieux filmer sa sœur qui lui léchait le minou. L’une des mains de Maxime commença à se promener sur les cuisses de Marie. CLAQUE ! Laura mit une gifle à son frère. Elle n’était pas suffisamment forte pour lui faire mal, mais suffisamment surprenante pour stopper net son frère.
— Je ne t’ai pas encore invité à jouer avec nous. Pour l’instant, Marie n’est rien qu’à moi. Lança Laura d’un ton ferme.
— D’accord, c’est toi qui décides.— J’aime mieux ça, rétorqua Laura.
Plongeant son regard dans les yeux de son frère, elle enfonça deux doigts dans la chatte de sa petite copine. Toujours en fixant son frère, elle retira ses doigts pour les lécher goulûment. Ce qu’il voyait l’excitait terriblement. Laura voyait la queue de son frère battre la mesure d’impatience.
— Tu n’as pas encore le droit de la toucher, par contre, toi, tu peux te branler. Fais-toi du bien, je vois bien que tu n’attends que ça.
Puis elle s’allongea sur Marie pour chuchoter à son oreille :
— Tu ne les vois pas, mais ils sont tous les deux en train de baver. T’es tellement belle comme ça. Tu as envie qu’on joue encore un peu avec leur patience ?— Oui, dis-moi ce que je dois faire et je t’obéirais, tu m’excites tellement ! répondit Marie.
Laura tira sur la laisse qui maintenait joints les poignets de sa belle-sœur pour la redresser. Une fois mise à genoux, elle la retourna pour coller son visage au sol et lui grader la croupe bien relevée.
— Ma belle, t’as un cul splendide ! lança Laura avant de plonger son visage entre ses deux fesses.
Elle promenait sa langue sur sa rondelle et la poussait légèrement pour l’enfoncer dans son anus. Maxime était toujours là, juste à côté d’elles et filmait en gros plan la lague de sa sœur dans le cul de sa copine. Pendant que Laura lui léchait le cul, elle enfonçait ses doigts dans sa chatte. Marie gémissait de plus en plus librement et de plus en plus fort.
— Ho putain, tu me fais du bien ! Laura, j’adore ! Maxime ? Dis-moi que ça te plaît de voir ça ? demanda Marie.— Non, tu ne vas rien lui dire, tu vas plutôt lui faire goûter ton plaisir. Elle verra à quel point tu aimes ça ! Ma belle, prépare-toi à ouvrir la bouche. Rétorqua Laura.
Laura tira Marie en arrière par les cheveux pour la mettre à quatre pattes et qu’elle puisse relever la tête. D’un geste, elle signifia à son frère de se mettre debout face à Marie pour qu’elle puisse le sucer.
— Donne le téléphone à Mickaël, tu seras plus tranquille les mains libres.
Maxime me tendit le téléphone. Alors que je venais de le récupérer, je vins m’installer sur le tapis, à côté d’eux, pour mieux les filmer. Maxime enfonça sa queue gorgée de sang dans la bouche baveuse de sa petite amie. Pendant ce temps, Laura tendit le bras vers la mallette pour y récupérer un plug anal assorti d’une queue-de-renard.
— Mickaël, tu peux venir filmer son cul ? Je vais le décorer un peu. Me demanda Laura.
Alors qu’elle léchait la rondelle de Marie, elle commença à entrer un premier doigt délicatement, puis un deuxième, tout en demandant à sa partenaire si tout allait bien. Marie était terriblement excitée et le faisait savoir, son cul se dilatait rapidement. Laura y enfonça alors la queue-de-renard.
— Voilà Marie. Ça fait de toi notre chienne pour la soirée. Ça te plaît ? Dis Laura.— Hmmm oui. Faites de moi votre chienne ! gémissait Marie.— Tu sais ce qu’il te manque pour être une vraie petite chienne ? Il te manque un collier et une laisse !
Laura la tira en arrière pour la remettre à genoux et reprit :
— Je te la retire deux minutes frangin. Viens là petite chienne ! Mickaël, tu peux lui mettre son collier et sa laisse s’il te plaît ? Me demanda-t-elle.— Avec plaisir.
Agenouillé derrière Marie pour lui mettre son collier, mon sexe frottait contre son dos qu’elle prenait plaisir à bouger dans un sens puis dans l’autre pour faire monter mon excitation. Pendant ce temps, Laura s’était éloignée légèrement avec son petit frère pour lui chuchoter à l’oreille :
— Maxime, est-ce que ça te dérange si Mickaël nous rejoint et qu’il fasse des choses avec Marie ?— Non pas du tout, au contraire, je trouve ça cool.— Super, j’ai envie d’un truc alors. Je veux qu’elle croie qu’elle te suce, mais ce sera lui, t’es OK pour ça ?— Haha, oui j’aime bien l’idée.
Quand ils revinrent, Marie était toujours à genoux, une laisse autour du cou. Ses mains, que j’avais détachées, étaient en train de se caresser l’entrejambe.
— Mon cœur, tu fais une superbe chienne comme ça, j’adore ! Dit Maxime.— C’est vrai que Marie est magnifique avec son collier et sa laisse, dis-je à mon tour.— Maintenant qu’elle est équipée, mets-toi à quatre pattes ma belle. Je veux voir comment cette petite chienne est capable de sucer mon petit frère pendant que je lui lèche la chatte ! lança Laura.
Laura lança un regard à Maxime et moi pour qu’on échange nos places. Maxime vint alors prendre le téléphone et je compris que c’était à mon tour d’entrer dans la bouche de ma belle-sœur. Laura s’était faufilée sous Marie pour qu’elle puisse frotter son sexe contre son visage. Excité par cette image, je pris ma queue d’une main et agrippai les cheveux de Marie de l’autre pour lui enfoncer mon pieu jusqu’au fond de la gorge. Ses deux mains posées au sol ne lui laissaient d’autre choix que de suivre mon rythme. Maxime filmait ma bite entrer dans la bouche de sa copine et semblait très excité de ce spectacle.
— Ho putain, vous allez me rendre dingue, c’est trop bon ! Mon cœur, c’est bizarre, on ne dirait pas ta bite. S’étonna Marie.— C’est normal, c’est celle de Mickaël que t’as dans la bouche, alors régale-toi. Lui susurra Maxime à l’oreille en me faisant un clin d’œil.— Hmmm, bande de cons, vous ne m’avez pas eue, j’en étais sûr, dit-elle avec un très large sourire.— Allez, ferme-la maintenant et suce-le ! Lui dit sèchement Maxime en poussant son visage contre mon sexe.
Ces mots venaient de libérer toute la retenue que j’avais jusqu’à présent pour éviter de ne brusquer qui que ce soit. Tout le monde aimait pleinement tout ce qui se passait. Nous pouvions profiter tous des corps de chacun. Je retirai alors le bandeau des yeux de Marie pour qu’elle puisse à son tour profiter du spectacle.
— Maxime, va poser le téléphone quelque part, ça nous filmera tout seul, comme ça, tu peux participer toi aussi. Lui demandais-je.— Oui bonne idée, parce que je veux pas dire, mais y a une place à prendre de mon côté. Lança Laura, amusée.
Après avoir posé le téléphone qui continuait de nous filmer, Maxime se mit à quatre pattes derrière Marie et accompagna sa sœur pour lécher la chatte de sa copine. Sa langue et celle de sa sœur se frôlaient sans le faire exprès. Puis leurs langues finissaient par se chercher volontairement tout en restant collées au sexe de leur chienne. Subitement, Maxime prit le visage de sa sœur entre ses mains pour l’embrasser.
— Ma belle, je crois que ça s’excite sous ta chatte, dis-je doucement à l’oreille de Marie.— Putain, ça m’excite trop de les voir tous les deux, ça m’excite trop d’avoir ta queue dans ma bouche, vous me faites complètement craquer ! Dit-elle avant de renfoncer ma bite au fond de sa gorge.— Baise ta chienne maintenant, il faut qu’on s’occupe d’elle. Ordonna Laura à son petit frère.
Maxime obéit tout de suite. Il se positionna derrière Marie et s’enfonça en elle. Il avait pris soin de décaler la queue-de-renard sur son dos pour mieux pouvoir la baiser tout en voyant le visage de sa sœur juste en dessous de lui. Laura avait le visage écrasé sous les frottements de Marie. Elle tirait la langue comme pour servir de paillasson au sexe de sa belle-sœur. Laura avait mis ses mains derrière les cuisses de son frère et c’est elle qui lui donnait la cadence pour baiser leur chienne. D’un mouvement de mains, Laura souleva légèrement Marie pour se dégager un peu de son emprise, puis elle lui sortit la bite de son frère pour le prendre en bouche.
— Tu m’excuses deux secondes Marie, mais voir mon frère te baiser comme ça, ça me donne envie de le goûter encore, mais si tu veux, tu peux me rejoindre. Dit-elle.
Je sortis alors mon sexe d’entre les lèvres de notre chienne et je tirai son visage vers le mien pour embrasser ma jeune belle-sœur. Tout en l’embrassant, je jetais un œil vers Maxime. Il me sourit allégrement comme pour m’encourager alors que son sexe trempait dans la bouche de sa sœur. Désormais sans gêne, je redressai Marie contre moi pour mieux sentir sa poitrine contre mon torse, ma langue toujours dans sa bouche. Elle gémissait d’envie. C’est alors que l’une de mes mains se logea entre ses cuisses pour caresser son clitoris. Elle était trempée et c’est presque sans faire exprès que deux de mes doigts entrèrent au fond d’elle.
— Maxime, c’est une bien belle chienne que tu as là et qui va rejoindre ta sœur pour te sucer la queue. Dis-je en regardant Marie droit dans les yeux.
Marie semblée éperdument excitée par tous ces événements. Sa main posée dans la mienne, je l’aidai à se retourner. Elle se mit à quatre pattes au-dessus de Laura qui avait la bouche pleine de son petit frère.
— Je peux goûter aussi ? demanda timidement Marie.
Laura lui tendit la queue frétillante de son frère pour qu’elle la suce. Alors que sa belle-sœur crachait sur cette queue bien épaisse, Laura léchait les couilles au-dessus d’elle. A l’arrière de ces deux petits culs, il y avait moi. J’appuyais légèrement sur le bassin de Marie pour qu’il descende et que leurs deux chattes se touchent. Pendant qu’à l’avant elles suçaient, à l’arrière je léchais. Ma langue allait d’une chatte à l’autre et d’un cul à l’autre. Maxime venait m’aider en écartant un peu plus le cul de sa copine. Puis Laura vint enlever le plug anal que nous lui avions mis et l’enfonça dans la bouche de notre chienne :
— Tien, goûte un peu à ton cul et regarde-moi sucer la queue de mon petit frère ! lança-t-elle d’un ton sec à Marie.
Pendant que Marie goûtait à son propre cul, j’approchais mon sexe pour pénétrer Laura. Pour m’aider à garder mes appuis, je venais d’enfoncer un de mes pouces dans le cul de Marie qui n’en finissait pas de gémir. Le plaisir était à son comble, je sentais l’excitation me saisir jusque dans les moindres entrailles de mon corps. C’est alors que Marie enleva sa queue-de-renard de la bouche et lécha les lèvres de Laura qui pourtant avait la bouche remplie par la bite de son frère. Elle léchait frénétiquement ce visage si parfait et la queue qui l’accompagnait puis elle s’écria :
— Laura, je veux te voir baiser ton frère !
Laura s’arrêta net et saisit le visage de Marie entre ses mains pour l’embrasser passionnément. Emportées par leur fougue, elles se mirent à tourner l’une sur l’autre. Puis une main vint attraper Maxime, et une autre saisit la mienne, sans trop comprendre qui attrapait qui. Nous nous retrouvâmes tous les quatre allongés au sol dans le même sens à nous embrasser mutuellement. Nos langues se mélangeaient, tout le monde saisissait le visage de l’autre dans ses mains. Dans cette roulade enivrante, Laura finit par se positionner sur son frère.
— Baise-le bien comme il faut, j’ai l’impression que ça fait longtemps qu’il attend ça, dis-je à Laura.
Elle s’enfourcha sur sa queue raide et se pencha sur lui pour lui faire goûter sa poitrine.
— C’est ça qu’elle voulait voir la petite chienne ? Elle doit être contente maintenant ? dis-je au creux de l’oreille de Marie.— Oui c’est ça que je voulais voir, et j’ai aussi très envie de sentir ta bite en moi. Me chuchota-t-elle.
Excité par cette invitation, je l’allongeai brusquement sur le dos, collée à notre couple de frère et sœur. J’avais remonté ses jambes sur mes épaules et je frottais délicatement mon sexe contre le sien avant de l’empaler brutalement. Laura se retourna vers nous, embrassa Marie dont la tête collait son bras puis elle dit :
— Tu ne jouis pas en elle d’accord ? Je veux que vous vous finissiez sur toute les deux en même temps. T’es OK Marie ?— Je suis votre chienne obéissante, bien sûr que oui ! répondit-elle.
Les filles continuaient de s’embrasser, puis les lèvres tournèrent d’une bouche à l’autre jusqu’à ce que Laura jouisse la première. Son corps était envahi par des spasmes alors qu’elle avait ses deux mains autour du visage de son petit frère pour l’embrasser. Elle jouit bruyamment :
— Putain, j’adore ta queue Maxime !
Laura continuait de frotter frénétiquement sa chatte contre le pubis de son frère comme si elle voulait que cet orgasme dure encore. La vision de cette scène devait avoir plu à Marie puisqu’elle jouit presque aussitôt. Alors que je la voyais commencer à tressaillir, je donnai mes coups de hanche plus profondément et je la bousculais légèrement pour que sa tête remonte sur le torse de Maxime. Dans cette position, Laura pouvait se mettre au-dessus d’elle et l’embrasser tout en continuant de se frotter contre son frère. Je venais de faire jouir ma belle-sœur devant mon beau-frère alors que ma copine l’embrassait. J’étais au paradis.
Toutes les deux étaient rassasiées. Marie était restée allongée au sol sur le dos, alors que Laura s’était mise sur le côté, collée à elle. Maxime et moi nous sommes alors mis au-dessus d’elles pour qu’elles puissent nous sucer. Maxime et moi échangions de bouches chacun notre tour, pour goûter à chacune de nos bienfaitrices. Les filles serraient et frottaient nos queues l’une contre l’autre pour pouvoir les lécher en même temps. Enfin, nous avons répandu notre sperme sur leurs visages délicats presque au même moment. Alors que du sperme jaillissait encore de mon gland, elles s’embrassèrent sans attendre pour s’échanger chacune des gouttes qu’elles avaient récupérées.
— Alors, est-ce qu’on a réussi à satisfaire notre petite chienne ce soir ? demanda Laura.— Pour m’avoir satisfait ça oui, vous m’avez satisfaite ! J’ai pas l’impression d’avoir été la seule à prendre mon pied d’ailleurs. Rigola-t-elle.
Repu de plaisir, Maxime s’écroula au sol. Laura se redressa pour m’embrasser passionnément et tenait ma queue d’une main. Elle la présenta devant la bouche de Marie et lui dit :
— Tiens ma belle, t’as pas encore tout à fait fini. Il te reste cette queue à nettoyer.
Ses yeux plongés dans les miens, Marie sourit et promena sa langue sur mon sexe qui commençait à dégonfler pour dévorer chaque goutte de sperme oubliée.
— Tout ça m’a épuisé, dit Maxime.— T’es fatigué parce que t’as pas eu droit à ton nettoyage toi aussi, lui répondit sa sœur en se dirigeant vers lui.
Assise à genoux à côté de son frère, Laura suçotait sa bite ramollie encore pleine de foutre.
— Un petit tour dans la piscine ça vous tente ? demandais-je.— Allez, je suis partante, après tout ça, ça va nous faire du bien, je crois. Rigola Marie.— Je vous suis. Continua Laura.— Je suis crevé moi, je vous laisse deux minutes, je vais me poser un peu dans la chambre des parents. Dit Maxime.
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