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Nos pulsions taboues de couple

Chapitre 9

La découverte de Marie

Inceste
Une fois Laura enfuie pour retrouver son petit frère, nous nous retrouvions Marie et moi, assis seuls et nus sur le rebord de la piscine. Marie se tourna vers moi et, tout en me lançant un sourire ravageur, me dit :
— Waouh ! Elle avait l’air déterminée !— C’est clair ! Faut dire que ça fait tellement longtemps qu’on fantasme là-dessus que c’est dur de retenir ses ardeurs une fois qu’on y a goûté. Mais c’est vrai que ce soir, elle est particulièrement excitée. J’adore la voir comme ça.— Oui, moi aussi j’adore quand elle est à fond comme ça. Je ne sais pas comment elle s’y prend, mais elle réussit à m’exciter tellement facilement à chaque fois qu’elle parle comme ça. Alors c’est vrai ? Vous fantasmiez sur Maxime depuis longtemps.— Oui, ça faisait un moment. Mais on ne fantasmait pas seulement sur Maxime. Disons qu’on parlait beaucoup de lui parce qu’on imaginait ça plus probable qu’avec toi. Mais j’ai pas mal fantasmé sur toi aussi.— J’adore à chaque fois que je t’entends dire ça. Ça me paraissait tellement impossible. Pourquoi tu fantasmais sur moi ?— C’est pas « pourquoi je fantasmais », mais « pourquoi je fantasme » encore sur toi tu veux dire ? La repris-je d’un ton séducteur.— Est-ce qu’on peut vraiment encore fantasmer sur quelqu’un qu’on a déjà baisé ? Je ne sais pas. Dit-elle, amusée.— Bien sûr que si. Il y a encore plein de choses que j’ai très envie de te faire goûter et qui restent à découvrir ensemble. Lui dis-je en descendant du rebord de la piscine pour me placer face à elle, mes hanches entre ses cuisses écartées.— Ha oui ? Comme quoi par exemple ?— Je préfère le faire que d’en parler. Je trouve ça bien plus intéressant, tu ne trouves pas ?
Sans qu’elle ne dise un mot, je venais de poser ma main délicatement contre sa joue pour lui caresser son visage d’ange, puis je repris :
— Et pour répondre à ta question, au-delà des choses que j’ai envie de te faire, j’ai beaucoup de raisons de fantasmer sur toi.
Lentement, je déposai mes doigts sur toutes les parties de son corps qui m’enivraient de désir et provoquaient ma passion pour elle. A chacun de mes gestes, je lui annonçais qu’il s’agissait d’une partie de son corps qui nourrissait mon fantasme. Je vins toucher ses lèvres, puis l’embrassai. Je vins caresser sa nuque et la mordillai. Mes mains vinrent se poser sur sa poitrine et je léchai ses tétons au garde à vous. Je vins ensuite attraper ses deux petits pieds que je joignis ensemble pour en lécher les orteils. Mes mains glissèrent vers ses cuisses que j’embrassais d’un bout à l’autre. Mes mains finirent alors par écarter les cuisses de ma belle-sœur entre lesquelles je ne jetai qu’un léger souffle.
— Tu vois ? Ça en fait beaucoup de raisons de fantasmer sur toi.— Hmmm, t’es terrible de me faire ça ! Comment tu peux t’arrêter comme ça ?!
Toujours face à elle, qui était restée assise devant moi, les jambes écartées, je mis mes mains sur ses hanches pour avancer son bassin vers moi et je la projetai légèrement en arrière. Ses jambes venaient de se refermer délicatement derrière ma tête qui plongeait entre ses cuisses. La garce était déjà trempée. L’intérieur de ses jambes suinté de mouille. Il y avait même une petite tâche sur les dalles encore chaudes. Ma langue se promenait doucement sur sa fente et écarta légèrement ses lèvres comme si je cherchais à découvrir les lieux. Ma langue fit la rencontre de son clitoris qui me semblait particulièrement gros pour une chatte si petite et bien retroussée. Excité par cette découverte, ma langue se fit plus vigoureuse et mes doigts la rejoignirent pour s’engouffrer en elle. Je la sentais fébrile de plaisir. Elle s’était complètement allongée sur le dos et elle agitait ses fesses pour se serrer plus fort contre mon visage.
Je restais là de longues minutes entre ses cuisses, occupé à découvrir comment procurer du plaisir à ma nouvelle partenaire.

Puis j’attrapai l’un de ses bras pour ramener son visage à moi et l’embrasser passionnément. Elle était comme enivrée de plaisir. Notre baiser se fit plus sauvage. Elle léchait le coin de mes lèvres pour goûter sa mouille qu’elle y avait laissée.
— Prends ce coussin et mets-toi accroupie par terre. Laisse dépasser ton cul du rebord.
Ma belle-sœur tendit le bras pour attraper le coussin et s’installa comme je lui avais demandé. Telle qu’elle était, ses petits pieds et ses petites fesses étaient les seules parties de son corps qui dépassaient du rebord de la piscine. Recroquevillée sur elle-même, on aurait pu la ranger dans une valise tant elle paraissait petite. Une main occupée à maintenir son corps contre le sol, je pris ses pieds dans l’autre pour les lui lécher un par un. Je les enfonçais dans ma bouche chaude et humide en agitant ma langue autour de ses orteils. Puis je remontai ma bouche pour arriver entre ses fesses que je mordillais. Ma langue reprit du service pour découvrir son anus qui était encore dilaté de nos ébats tout juste passés. L’un de mes pouces vint alors s’y enfoncer alors que mon autre main s’occupait de pénétrer sa chatte toujours trempée.
— Hmmm Mickaël, c’est trop bon ce que tu me fais ! Je t’en supplie, ne t’arrête pas.
Je restais encore là de longues minutes à lui masser l’anus, l’intérieur du sexe et son bouton de plaisir. Je la sentais frémir de plus en plus. Ses gémissements timides du début s’étaient transformés en appels à encore plus de plaisir. Ses bras se tendaient et ses pieds s’agitaient, elle allait bientôt jouir. C’est lorsque ma main vint violemment claquer ses fesses et que mon autre main s’agitait toujours entre ses cuisses que ma belle-sœur s’abandonna dans un cri de jouissance intense. Ses jambes s’étaient mises à trembler et ses mains repoussaient les miennes comme si elle ne pouvait supporter davantage de plaisir. Retournée sur le dos pour reprendre son souffle, je montai sur le rebord pour m’installer au-dessus d’elle. Trempé du bain d’où je sortais, l’eau dégoulinait sur son corps haletant. Elle saisit fermement mon visage entre ses mains pour m’embrasser sauvagement !
— Alors toi ! Toi ! Je ne sais pas comment tu as fait ça, mais c’était divin ! Crois-moi, t’as gagné ta soirée, avec ce que tu m’as fait, je suis toute à toi !— J’entends bien que ce soit le cas ma belle.
L’une de mes mains vint serrer son visage fermement pour écraser ses joues et sa bouche.
— Maintenant, je crois qu’il est l’heure de refaire de toi une petite chienne, qu’est-ce que t’en penses ?— Vas-y, fais de moi ta chienne, ton esclave ou ce que tu veux. Je veux que tu fasses de moi tout ce que tu veux.— Très bien.
Sur ces mots, je me levai et tirai Marie avec moi. D’un pas décidé, je l’entraînais derrière moi pour qu’elle me rejoigne dans le salon où nous avions laissé la mallette. Une fois à l’intérieur, nous vîmes de la lumière dans la chambre parentale dans laquelle étaient installés Laura et son frère. On les entendait faire du bruit et quelques phrases venaient jusqu’à nos oreilles :
— Qu’est-ce qui te plaît ?— De lécher la chatte de maman !
Marie et moi croisions nos regards, l’air amusé, et je dis :
— Ils ont l’air de s’éclater les deux frangins. On dirait bien qu’ils ne s’arrêtent jamais dans les fantasmes de plus en plus pervers ces deux-là.— Vous êtes en train de pervertir mon Maxime ! Si j’avais su, j’aurais fait appel à vous plus tôt.— Bon, prends la mallette et les affaires qui sont à côté et viens avec moi, on va dans votre chambre, on sera plus tranquille.
Arrivés dans la chambre, Marie déposa la mallette sur l’immense lit de Maxime.
— Viens là toi ! dis-je à ma belle-sœur d’un ton sévère.
Elle s’approcha de moi.
— Cette nuit, tu es ma chienne, alors je te préviens comme tout à l’heure. S’il y a des choses que tu n’aimes pas, tu me le dis sans attendre. Je veux que tu prennes du plaisir dans ce qu’on fait. Si quelque chose te dérange, on arrête et on fait autrement. Si tu ne me dis rien, ça voudra dire que ça te plaît. D’accord.— Oui, d’accord.— Si je suis trop brutal, je veux que tu me le dises. Vraiment.— Oui, oui, d’accord. Mais j’adore quand c’est sauvage.— C’est ce qu’on va voir.
J’attrapais violemment ses cheveux d’une main pour l’embrasser comme si mon baiser était une insulte. En la retirant de mes lèvres, je la jetai brusquement contre le rebord du lit derrière elle.
— A genoux ! ordonnai-je.
Alors qu’elle pliait ses jambes pour s’agenouiller dos au lit, j’avais déjà attrapé son visage pour le coller contre mon sexe.
— Maintenant, tu vas t’occuper un peu de moi.
Sans se faire prier, elle engouffra ma queue entre ses lèvres toutes fines. Ses longs cheveux roux retombaient sur ses seins. Son visage grimaçait et ses yeux fixaient mon regard. Excité par l’enthousiasme qu’elle démontrait à me sucer, j’empoignai sa chevelure pour l’enrouler autour de son cou.
— Marie, tu es sublime ! Tu l’es encore plus avec ma queue dans ta bouche !— C’est vrai, je te plais comme ça ? Prends-moi en photo, je veux voir à quoi je ressemble avec ta queue dans ma bouche.
Je récupérai son téléphone qu’elle avait posé avec la mallette et pris quelques photos de cette petite chienne étranglée par ses propres cheveux et étouffée par le sexe qu’elle avait dans la bouche.
— Ouvre la bouche, t’as besoin de plus de bave on dirait. Lui dis-je d’un ton ferme.
Elle leva son doux visage vers moi et ouvrit grand la bouche pour y recevoir un long filet de bave que je venais de laisser s’écouler. Il en tomba un peu sur sa joue que j’étalais partout sur son visage.
— Ça, c’est une bonne fille bien dressée ! N’est-ce pas ?— Oui, répondit-elle timidement.
J’enfonçai à nouveau mon pieu jusque dans sa gorge puis j’attrapai à nouveau ses cheveux de feux pour la tirer jusque sur le lit. Assise sur le rebord, elle attendait de voir ce que je lui préparais pour la suite. Sans qu’elle ne s’y attende, je giflai violemment son visage sans rien dire. Sans qu’elle ne dise un seul mot, je lui redonnai une deuxième gifle. Elle restait toujours sans réaction, mais je sentais un agacement dans ses yeux. Je la giflai une troisième fois.
— Tu ne vas donc rien me dire ? Tu ne vas donc rien me répondre et te contenter de subir ?
Je la giflai une quatrième fois. Cette fois-ci, elle me retourna à son tour une gifle dont la violence me surprit.
— Tu viens de comprendre que les chiennes pouvaient mordre elles aussi, lui dis-je en la giflant à nouveau.
Elle perdura dans sa rébellion et m’envoya une violente claque sur la joue puis se jeta sur moi pour me mordre l’épaule. Accrochée à moi, ses jambes autour de ma taille, ses dents enfoncées dans ma chair, je lui tirai les cheveux en arrière pour lui lécher le cou. Dans notre bataille, je ne contrôlais plus mes pas, mais je réussis tant bien que mal à la plaquer dos au miroir de l’armoire derrière elle.
— Oui ! C’est ça ! Vas-y ! Lâche-toi petite chienne. Mords-moi si tu veux, en attendant, ton petit cul est à moi.
C’est avec ses jambes toujours autour de ma taille que je m’enfonçai sans ménagement dans son petit cul étroit.
— Haaaaa Mickaël ! Putain ça fait mal !— Tu le mérites !— Hmmm putain. Dit-elle crispée avant de m’embrasser sauvagement comme pour étouffer sa douleur.
Je la sentais déchaînée en m’embrassant, elle agitait la tête dans tous les sens. D’abord de douleur puis de plaisir. Pendant que ma queue ramonait violemment son minuscule petit cul, je plaquais son visage innocent contre le miroir.
— Regarde la belle chienne que tu es. Regarde ma queue rentrer dans ton cul !— Ha putain oui Mickaël, c’est trop bon. Tu m’excites tellement, putain, mais qu’est-ce que tu m’as fait.— T’as pas idée d’à qu’elle point tu m’excites toi aussi Marie !— T’as pas idée d’à quel point j’ai envie que tu me baises depuis longtemps Mickaël ! A t’entendre raconter toutes tes histoires. A te voir avec Laura. Tu n’imagines même pas à quel point t’es un fantasme pour moi !— Alors comme ça on est deux.
Marie jeta sa bouche sur mon visage pour me lécher comme un animal sauvage. Elle enfonçait sa langue pour violer ma bouche et avaler mes lèvres.
— Mickaël, je t’en supplie, baise-moi sur le lit, je veux te sentir contre moi.
Toujours avec sa bouche qui parcourait mon visage et ses jambes autour de ma taille, je m’approchai du lit pour l’y allonger sur le dos. Ses jambes étaient restées autour de mes hanches comme si elle ne voulait surtout pas que je sorte d’en elle.Tandis que j’avais prévu tout un scénario de soumission et d’utilisation de jouets, j’étais finalement bien comme ça. Là, avec elle contre-moi, dans la plus simple des positions. A dévorer son visage, sa poitrine et son corps tout entier.Je lui enfonçais mon sexe profondément dans son anus une dernière fois avant de pénétrer enfin sa chatte. Bien que je n’y avais pas touché depuis un moment, son sexe dégoulinait littéralement. Les draps étaient déjà trempés.
— Aaaah oui putain !
Parcourue d’un plaisir profond, Marie cambra tout son corps en arrière, me donnant plus de place pour loger ma tête entre ses seins. Les minutes défilaient et nous restions toujours dans cette même position qui semblait finalement nous procurer tout ce que nous recherchions. Elle me sentait sien et je la sentais mienne. Elle était splendide contre moi. Ses petits cris étaient si mélodieux à mon oreille. J’avais baisé ma belle-sœur comme une chienne, mais c’était cette communion étourdissante que j’aimais le plus.Encore quelques va-et-vient et nous allions jouir.
— Je veux que tu jouisses en moi. Reste en moi s’il te plaît. Me supplia-t-elle.
Nos bouches se rejoignirent encore une fois alors que mon gland gonflait de plus en plus au fond d’elle. Ses ongles se plantèrent dans mon dos et ses jambes se refermèrent autour de moi comme dans un étau. Je peinais à lui donner mes derniers coups de bassin. Elle voulait crier à nouveau à cause de cet orgasme qu’elle avait pour la troisième fois de la soirée, mais ma bouche recouvrait la sienne et étouffai le son qui en sortait. Je jouis enfin en elle. Je sentais mes jets remplir son vagin. J’étais soudainement trempé entre les jambes. C’est alors que je vis du liquide jaillir par sursaut d’entre ses cuisses. Le lit était inondé de son plaisir et nos visages apaisés.
— Marie, mon Dieu, c’était tellement bon !— Mickaël... Mickaël ! Mickaël ! Mickaël ! Tu vas me tuer à me faire prendre mon pied comme ça !— Je peux en dire autant.— Putain, mais j’en ai foutu partout. Merde, je suis désolée.— N’importe quoi ! Ne t’excuse pas, au contraire, ça fait plaisir de voir que ça t’a plu. Je ne savais pas que t’étais du genre fontaine.— A vrai dire, je ne savais pas moi non plus. Ça ne m’était arrivé qu’une fois.— Je n’avais jamais vu ça moi non plus. C’est plutôt flatteur.— Alors il faut croire qu’on fait une bonne combinaison tous les deux. Me dit-elle en souriant.— C’est vrai. Lui dis-je en l’embrassant délicatement.— Tu dors avec moi cette nuit hein ?— Bah oui, bien sûr, c’est ce qu’on avait prévu, non ?— Oui je sais, mais tu pourrais avoir changé d’avis et vouloir aller te coucher avec Laura.— Non, non, au contraire, je suis content qu’on dorme ensemble.— C’est vrai ? Moi aussi. J’en ai envie.— Tu veux qu’on se couche ? lui demandais-je.— Oui, on peut se mettre dans le lit en tout cas.
Je me levai pour ranger les affaires qui traînaient sur le lit et je recouvris d’une serviette l’énorme trace que Marie avait laissée sur les draps. Je m’allongeai ensuite auprès de Marie qui m’escalada pour se mettre à cheval par-dessus moi, ses bras coincés sous mon dos.
— Tu sais, j’aime bien être avec toi Mickaël. Je te jure ! On rigole bien en plus tous les deux !— Oui c’est clair. Moi aussi j’aime bien quand t’es là, avec nous. Je suis vraiment content de passer cette soirée avec toi.
Le regard illuminé, Marie déposa ses lèvres délicatement contre les miennes. On restait là, à se regarder sans rien dire. Je la trouvais belle. Sa chevelure rousse ébouriffée et ses taches de rousseur contrastées avec sa peau très blanche. Elle était sublime. Elle m’observait l’observer et elle souriait. Ce moment de douceur me troublait. Ma belle-sœur me plaisait bien plus que ce que j’aurais imaginé. Après cette pause délicate, Marie tâtonna des mains pour éteindre la lumière et revint se blottir contre moi.
La nuit fut courte et longue à la fois. La nuit fut courte, car le sommeil de cette nuit-là n’était en fait qu’un demi-sommeil. La nuit fut longue, car chaque mouvement de sa part sonnait comme une alerte pour profiter de la serrer contre moi. Pour profiter de parcourir encore un peu plus son corps. Pour l’embrasser avant de nous rendormir. La nuit fut longue également, car tout au long de cette nuit, nos corps se frottèrent maintes fois l’un contre l’autre. Nous étions trop fatigués pour passer véritablement à l’acte, mais trop excités pour renoncer à nous donner encore un peu de plaisir. Cette nuit était à la fois torride et tendre. Tous les ingrédients pour faire du sevrage de ce plaisir une tâche bien compliquée...
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