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Nos retrouvailles...

Chapitre 1

Hétéro
Ma sœur et sa meilleure amie se connaissent depuis bien longtemps. A l’époque, je n’avais qu’une vingtaine d’années et venait d’avoir tout récemment mon permis de conduire. Afin de dépanner ma sœur qui elle ne l’a pas, je l’emmenai passer quelques jours chez sa meilleure amie, Elsa, qui habite à un bon millier de kilomètres de là où nous vivions.
D’une certaine manière, j’étais content d’aller la voir. Elsa était une très bonne amie à moi. Nous étions également très proches à une époque. Et nous avons d’ailleurs eu ensemble, un soir de nos 17 ans, notre première fois. Mais cela resta une histoire, sans lendemain.
Après 12 heures de route nous arrivons enfin chez Elsa. Les retrouvailles furent émouvantes. Cela faisait bien des années qu’elles ne s’étaient plus vues. Moi aussi d’ailleurs, je fus étonné comme Elsa avait changé. Elle était devenu une jolie femme : ses longs cheveux blonds et lisses descendait presque jusqu’à ses fesses, de beaux yeux marrons, un large sourire et de longues jambes qui feraient craqués n’importe quel garçon normalement constitué. Elle était ce jour-là habillée d’un débardeur rose qui laissait apparaître la courbe de ses seins et d’un petit short en jeans très court qui moulait ses petites fesses bien rebondies. Elle portait peu, voir pas de maquillage du tout… Elle était naturelle, une femme comme je les aime.
Le soir, après nous être installés dans nos chambres respectives, ma sœur et Elsa s’installèrent à table pour raconter tout ce qu’il s’était passé depuis toutes ces années pendant que moi je poursuivais la lecture d’un livre. Après avoir partagé 12 heures de routes avec ma sœur, j’étais bien heureux de pouvoir me retrouver seul « dans ma bulle » car en effet j’ai un caractère très solitaire.
Il devait être près de minuit quand ma sœur monta dans sa chambre. Elsa qui n’était pas fatiguée redescendit et me proposa un verre de Whisky. A l’époque où elle et ma sœur se voyaient souvent, c’était notre petit rituel. En cachette de nos parents, nous nous servions deux grands verres de ce délicieux alcool et les vidions à notre aise tout en nous confiant l’un à l’autre.
Ce soir-là, nous avons parlé du « père » de son enfant qui l’avait lâchement abandonnée… A cause de l’alcool, elle s’engagea un peu plus loin dans la conversation en avouant qu’une présence masculine lui manquait ainsi qu’à son enfant encore en bas âge.« D’ailleurs… Où est-il le petit loup ? Je ne l’ai pas vu, lui dis-je.-Il est chez ma mère, lâcha-t-elle. J’avais besoin de me reposer cette semaine… J’ai du mal en ce moment. »Je fis la grimace, Elsa est atteinte depuis toute petite d’une maladie assez grave et qui l’éprouve un peu plus chaque jour. Avec un enfant à charge en plus, elle avait vraiment du mal à s’en sortir.Et puis en rigolant elle lâcha : « Et sa fait longtemps qu’aucun mec n’est venu partager mon lit… ».Je la regardai ne sachant quoi faire. Elle termina alors son verre d’une traite et essaya de se lever. Je me levai alors à mon tour pour la rattraper au cas où elle tomberait. Elsa a toujours eu du mal avec l’alcool, même si elle n’a jamais osé me l’avouer.Je la pris dans mes bras et posa un baiser sur son front pour tenter de la rassurer.
Nous restâmes comme cela un long moment… Des larmes coulaient sur ses joues.Quand elle fut calmée, nous rejoignîmes le fauteuil. Elle resta dans mes bras, je séchai ses larmes et puis me mis à la chatouiller pour détendre l’atmosphère. Elle rit, jusqu’à ce que ma main droite frôla ses seins… N’ayant plus eu de relation depuis quelques mois, je réagis immédiatement à ce contact et une bosse se forme dans mon jeans. Nous nous regardâmes les yeux dans les yeux un instant en souriant, puis elle tendit son cou et posa un baiser sur mes lèvres. Elle attendit ma réaction… Je l’embrassai à mon tour.Toujours assis dans le fauteuil, elle vint s’asseoir sur mes genoux et m’embrassa passionnément. Mes mains d’abord sur sa taille, elles prirent très rapidement des directions opposées. L’une glissa sur ses hanches pour atterrir un peu plus bas sur ses fesses. L’autre monta calmement pour finalement attraper, par-dessus le débardeur, son sein que je commençai à pétrir avec amour.
Alors que nos langues se mélangèrent, ses mains à elle avaient relevé mon T-shirt et se baladèrent sur mon torse. Mes lèvres descendirent dans son cou que j’embrassai tendrement, tandis que ma main gauche était passée sous sa culotte déjà trempée par ses fluides. Je la caressai vigoureusement pour la faire bouillonner de plaisir. Elle jeta sa tête en arrière, les yeux fermés, la bouche grande ouverte lorsque j’accélérai le mouvement tout en plongeant mon nez entre ses deux nichons pour les lécher avec passion.
Après un instant, elle me signe d’arrêter et elle m’entraîna vers sa chambre qui était située à l’étage. Là, elle m’installa sur le lit et commença à me déshabiller. Mon sexe déjà raide, elle le prit en main et me masturba violemment… Je poussai des espèces de grognements graves tellement elle faisait ça bien. Je pris peur que ma sœur nous entende. Ce fut encore pire quand Elsa prit ma queue en bouche tout en faisant tourner sa langue autour. L’espace d’un instant, je cru que j’allais jouir dans sa bouche. Mais je fis de mon mieux pour me retenir, j’y parvins.
Lorsqu’elle arrêta, je lui soulevai son débardeur, elle dégrafa son soutien-gorge et m’offrit son opulente poitrine dont les tétons pointaient droit vers moi. Totalement nue, à califourchon sur moi, cette belle déesse avec qui j’avais perdu ma virginité 3 ans au part avant se pencha en avant m’offrant ses deux seins. Pendant ce temps-là, elle se déhanchait de telle façon que mon sexe caressa le sien ce qui fut très jouissif.
Nous ne nous disions rien… Nous nous comprenions à travers nos regards. Et je vis au sien qu’elle en voulait plus. Alors, délicatement je la retournai sur le dos et la pénétra avec tendresse et amour. Nous n’étions pas de simple partenaires sexuels, nous étions vraiment amoureux l’un dans l’autre sans jamais l’avoir exprimé. Mes mouvements de vas-et-viens étaient d’abord lents, puis j’allai de plus en plus loin jusqu’à rentrer mon sexe entièrement en elle. Enfin, j’accélérai, la faisant hurler de plaisir. Cette fois-ci cela ne faisait aucun doute ma sœur était réveillée. Ses cris me poussaient à accélérer encore plus le rythme lorsque nous jouissions quasi simultanément.
Après nous être regardé un long moment, les yeux dans les yeux, tête contre tête, nous avons poursuivi notre discussion. Nous nous remémorâmes notre première fois et elle m’apprit que son premier fils qui avait un peu plus de deux ans n’était autre que le fruit de notre premier amour et de 9 mois d’attente.
Je lui demandai d’abord une demi-douzaine de fois si elle en était sûre, puis je pleurai de joie dans ses bras… Et après m’être calmé, je lui proposai de rester auprès d’elle et de notre garçon pour que plus jamais ils ne se sentent seuls.
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