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To be or not toubib

Chapitre 1

Voyeur / Exhibition
Je vis avec Marie depuis 34 ans maintenant. Cette jolie petite poupée un peu poupée chinoise, je l’ai convaincue, à nos débuts, petit à petit, de se risquer au libertinage avec moi. Elle y prenait un plaisir évident, mais son éducation stricte et très religieuse la faisait culpabiliser. Après une bonne dizaine d’années d’expérience plus ou moins poussées, j’ai baissé les bras et abandonné l’espoir de la contempler, prenant du plaisir dans les bras d’autres mâles.
Cette histoire est un pur fantasme, cependant issu d’une petite anecdote : J’avais, du temps où ma chérie était encore coquine, trouvé dans une revue d’annonces de rencontres (S... g pour ne pas la nommer) un médecin, proposant ses services à des couples, pour s’occuper d’ausculter madame en présence du mari...
Marie, qui commençait déjà à freiner des deux pieds, quand je lui proposais une sortie coquine, a refusé, prétextant redouter un manque d’hygiène de la part de cet homme qu’elle ne connaissait pas. Cependant, de ce contact épistolaire (puisque nous avons échangé quelques courriers pour nous mettre d’accord sur les choses réalisables dans son cabinet) cependant donc, j’en ai conservé un fantasme qui m’émeut encore aujourd’hui...

Aujourd’hui, nous avons rendez-vous avec le gynécologue retraité, que j’ai déniché sur une annonce, et qui, fortuitement, se trouve avoir conservé son ancien cabinet, tout équipé, pour y recevoir des femmes ou des couples, en recherche d’aventures coquines... Il se trouve à une petite heure de chez nous, c’est parfait pour limiter les risques de tomber sur une personne connue. Nous sommes convenus qu’il nous reçoive normalement, c’est-à-dire comme des patients normaux, sachant tout de même qu’il pourra déraper progressivement sur des pratiques sexuelles sur ma femme, puisque je la lui amène finalement dans ce seul but !
Pour l’occasion, j’ai demandé à Marie de s’habiller sexy et je lui ai préparé un soutien-gorge pigeonnant, laissant apparaître ses pointes bien érigées, rendues très sensibles par le frottement de ses vêtements, ainsi que d’un string fendu autorisant l’accès à sa petite chatte à tout moment (j’aime la savoir disponible) le tout sous une petite robe d’été noire. Il m’a fallu faire preuve de beaucoup de persuasion pour lui faire accepter de porter une telle tenue pour aller consulter, mais j’avais fini par la convaincre en lui disant que c’était un vieux médecin et qu’il ne connaissait certainement pas ce genre de tenue, que ça l’amuserait de découvrir ça. Elle me connaît bien et sait que je ne rate pas une occasion de la présenter comme une proie potentielle à des hommes, mais là, elle se dit qu’il s’agissait de quelqu’un qui la regarderait certainement avec un professionnalisme qui me laisserait sur ma faim...
Ça y est, nous sommes arrivés. Il nous fait entrer dans son cabinet, nous demande de nous asseoir en face de son bureau où il commence à ouvrir un dossier à notre nom puis demande à Marie le motif de sa visite. Un peu timidement, elle lui explique qu’il lui arrive d’avoir des douleurs lors de la pénétration, dues à son utérus qui s’est rétroversé à la suite d’un accouchement très rapide. Très professionnel, le médecin commence à lui poser quelques questions d’ordre un peu intime, du genre :
— Est-ce que vous pensez que votre mari à un sexe trop grand pour vous ?
A quoi elle répond en rougissant quand même un peu :
— Non, je ne pense pas, car en général, j’aime bien justement sentir son sexe entrer profondément, j’en retire davantage de plaisir, contrairement aux idées répandues qui voudraient que la taille du pénis n’ait pas d’importance.— Vous avez parfaitement raison, il n’y a pas de règle absolue, et si certaines femmes sont tout à fait satisfaites avec un pénis de taille modérée, pour d’autres, elles ont besoin de se sentir complètement remplies pour avoir du plaisir, ce qui semble être votre cas... Ne vous en faites pas, une simple manipulation de votre utérus devrait être suffisante pour le remettre en place, il pourra cependant se révéler nécessaire de renouveler cette manipulation s’il a toutefois tendance, ce qui arrive parfois, à se remettre en mauvaise position... Ne vous inquiétez pas, j’ai l’habitude et ce n’est absolument pas douloureux, au contraire... Je vais donc vous demander maintenant de vous déshabiller et de vous installer sur la table d’examen pour que je me rende compte de l’état des choses.
Marie se lève donc de son siège et, sans se retourner, commence un effeuillage en règle devant nous, tout en déposant ses habits sur la chaise qu’elle vient de quitter. Aussitôt son chemisier ôté, le gynéco la regarde, mi-étonné, mi-souriant du plaisir de la voir aussi sexy. Il me regarde d’un air entendu, mais ne fait aucun commentaire et reste très professionnel vis-à-vis de Marie. Quand il la découvre en string, après qu’elle ait fait tomber sa petite jupe, il se ravise et lui dit :
— Merci, ça ira comme ça, nous verrons après pour ce qui est de votre culotte.
Elle se dirige vers la table et il l’aide à monter en la prenant sous ses aisselles, ses mains posées de part et d’autre de ses seins. Ses doigts ne peuvent s’empêcher de glisser subrepticement sur les pointes qui durcissent instantanément sous l’attouchement. Elle s’allonge sur le dos et il commence ses palpations par les seins. Tout en gardant une attitude très professionnelle, ses gestes deviennent un peu plus équivoques. Non content de palper le dessous des seins pour détecter une éventuelle petite grosseur, il manipule les tétines qui se sont bien allongées. Les aréoles sont granuleuses, signe d’une excitation évidente...

Il reste de marbre, semblant ne pas se rendre compte de son état. Mais je sais bien, aux clins d’œil qu’il m’envoie, qu’il en a pleinement conscience et en tire grande satisfaction. Moi aussi d’ailleurs ! Puis, laissant là, il lui dit que de ce côté-là il n’y a aucun problème et que tout fonctionne à merveille ! Il prend lui-même les pieds de ma femme et les pose dans les étriers qu’il règle bien écartés. Elle rougit quand même un peu de se trouver dans cette situation devant ce médecin un peu particulier et dont elle sent bien qu’il apprécie sa plastique plus qu’il ne le devrait normalement... Ça y est, elle est enfin dans la position qui m’excite tant dans mes fantasmes, exposée écartelée devant le médecin qui s’installe entre ses cuisses et juste devant sa belle petite chatte qui s’ouvre de façon si impudique à son regard qui commence à devenir un peu moins professionnel. Son string fendu s’est ouvert et sa belle fente est bien visible.
Je sens ma queue devenir douloureuse à force de bander dans mon pantalon trop étroit pour lui permettre de se développer pleinement. Oui, j’adore voir ma petite femme ainsi exposée devant ce vieux pervers qui d’ailleurs, lui aussi semble avoir une gaule bien raide sous sa blouse blanche ! La chatte de Marie semble couler les grandes eaux, d’après ce que je peux voir ! Lui regarde ce spectacle hautement érotique avec satisfaction et lui dit avec un petit sourire équivoque :
— Vous avez bien fait de choisir ce type de sous-vêtement, ma chère, c’est très pratique pour accéder à votre sexe, et d’un très bel effet. Nous allons essayer de vous le conserver si cela doit ménager votre pudeur.
Je ne sais pas si cela ménage sa pudeur ou si, au contraire, ça la met encore plus mal à l’aise de se sentir exposée dans une tenue aussi peu conventionnelle et si "sexuelle". De plus, elle se rend bien compte qu’il commence à la regarder différemment... Par contre, moi, ça me met dans tous mes états de la voir exhibée dans cette tenue si peu conventionnelle pour une visite médicale.
— Est-ce bien vrai, ou est-ce moi qui m’excite toute seule et qui fantasme sur cet homme qui me tient à sa merci ? se demande-t-elle. En plus, mon mari, avec toutes les histoires cochonnes qu’il me raconte, finit par me donner envie de choses bizarres... Et je me doute bien qu’en ce moment, ce cochon pense à tout ce qu’il voudrait voir ce vieux médecin me faire... Oh mon Dieu, il faut que je pense à autre chose ! Ma chatte coule comme une fontaine... Qu’est-ce qu’il va penser ? Que je suis une salope ! En plus, devant mon mari, il ne va pas comprendre !!!
Le médecin pose ses doigts sur le sexe trempé de Marie, il se saisit de ses nymphes et les étire pour ouvrir la chatte gluante de Marie. Impossible maintenant d’ignorer l’état d’excitation dans lequel elle se trouve. Un petit filet de mouille transparent s’écoule doucement de son sexe en feu en direction du carrelage. Son clitoris pointe hors de sa gaine comme pour dire "je veux qu’on s’occupe aussi de moi ! ". Son index, comme attiré par cet impertinent, ne résiste pas à l’appel et pendant que le pouce et le majeur continuent d’étirer les petites lèvres, il se pose dessus, provoquant un sursaut de la belle qui se cambre sous l’attouchement, décollant ses fesses de la table et se tendant au-devant du doigt inquisiteur.
— Détendez-vous, cela va bien se passer, je vais faire en sorte que ça ne soit pas trop désagréable...
Il pose sa main gauche sur le mont de Vénus de ma femme, le pouce négligemment positionné sur son clitoris...Je suis dans un état d’excitation extrême, mon sexe me fait mal tant il est tendu et comprimé dans mon pantalon ! J’en ai tellement rêvé ! Maintenant ça y est, je vois ma femme complètement offerte à ce vieux pervers qui va, je l’espère, pouvoir profiter de ses charmes avec ma complicité ! Je vais enfin voir ma petite femme adorée se faire palper, tripoter, fouiller sous un prétexte médical et certainement finir par se faire baiser par lui. Ça me met dans un état d’excitation indescriptible. Je me retiens difficilement de sortir ma bite pour me branler, je constate quand même que la bosse sous la blouse blanche a encore bien grossi et que l’homme doit posséder un bien bel outil dont j’espère qu’il va pouvoir user abondamment.
Ma petite salope va bien se régaler quand elle va la sentir se glisser entre ses cuisses... je languis de la voir se faire défoncer par cette grosse queue que je ne peux encore que deviner et que je languis de voir prendre possession de ma chérie, pour lui donner tout le plaisir que j’espère lui voir prendre !!!
— Je vous explique comment cela va se passer... Je vais devoir faire entrer mes doigts assez profondément en vous pour pouvoir manipuler aisément votre col de l’utérus et le remettre en place. Ne vous inquiétez pas, je vais faire ça de façon progressive pour que cela ne vous soit pas désagréable. Il convient que je vous prépare afin que votre vulve s’assouplisse et laisse passer ma main sans désagrément ni douleur...
Je m’approche de ma femme pour voir comment elle semble accueillir ces informations tout de même un peu étranges dans leur formulation... son regard s’est un peu troublé, signe de son excitation, qui s’ajoute à l’écoulement de cyprine de son sexe en feu ! Elle est bien consentante ! Mais ses yeux semblent me demander pardon de ce qu’elle ressent, des envies qui la dévorent sous les attouchements du praticien. Je m’approche encore, dépose un tendre baiser sur ses lèvres et lui murmure :
— Laisse-toi aller, laisse-le faire, je suis sûr que tu vas aimer... Je vois bien que tu en as envie !
Et le toubib d’ajouter :
— Je ne pense pas qu’il soit nécessaire de vous appliquer de lubrifiant, vous semblez lubrifier naturellement bien assez pour que je puisse m’en passer !
Cette petite phrase d’apparence anodine provoque un trouble immédiat dans l’esprit de Marie. Elle comprend bien qu’il parle de sa chatte qui coule d’excitation et qu’il lui dit, à demi-mot, qu’il n’est pas dupe et qu’il voit bien qu’elle est une belle salope, excitée comme une chienne de se faire tripoter et écarteler comme ça par un homme qui pourrait être son père et en plus, devant son mari complaisant. Le salaud sait bien s’y prendre, petit à petit, il prend le contrôle de son esprit. Je m’approche alors pour voir de plus près les doigts de l’homme écarter les lèvres intimes de ma femme, les voir entrer les uns après les autres au plus profond de son corps langoureusement offert à tous ses attouchements. Il procède de façon très douce et progressive pour lui laisser le temps de se détendre complètement afin que ses chairs se distendent et lui permettent de la pénétrer entièrement. Son doigt sur le clitoris, semble appuyer sur sa petite perle et glisser imperceptiblement dessus.
Un petit gémissement de plaisir s’échappe malgré elle de sa bouche entrouverte. Sa respiration se fait haletante, elle, rouge de confusion et d’émotions contenues, les yeux fermés, concentrée sur ce qu’elle ressent pour en retirer tout le plaisir possible. Des pensées lubriques l’assaillent et l’emportent sur le raisonnable habituel :
— Au diable ce qu’il va penser ! Ce cochon me fait un bien fou avec ses doigts... Putain... j’aime comme il me dilate... Je ne sais pas combien il m’en a mis, mais j’espère qu’il va rentrer toute sa main... Je veux la sentir dans mon ventre... Oh ouiiiii c’est trop bon de se sentir remplie comme ça !!!
Je vois bien qu’elle est en train de se lâcher complètement entre ses mains habiles. J’ai maintenant envie de l’entendre avouer son plaisir :
— Ça va mon amour ? Tu n’as pas mal au moins ? — Ça va, non il ne me fait pas mal. — Et ce n’est pas trop désagréable ? — Nooooooon !!!!!!
Je lui murmure, mais juste assez fort pour qu’il puisse entendre :« Dis-moi, on dirait bien que tu aimes ça au contraire ! Il te fait tant de bien que ça que tu ne puisses pas dissimuler ton plaisir ? Qu’est-ce qu’il va penser de toi ? »
— « Je n’y peux rien ! Il me fait du biiiieeeen ! »
Le docteur prend la parole pour la rassurer :
— Ne vous inquiétez pas madame, je fais en sorte de vous donner du plaisir pour qu’il prenne le pas sur le désagrément que ces manipulations pourraient vous procurer si elles étaient purement professionnelles... J’espère que vous ne m’en voulez pas ? — Oh non, docteur, vous avez raison... Continuez comme ça, c’est si booooooooooonnnnnnnn !!!
Je n’en reviens pas de voir ma femme si prude d’habitude, se laisser aller à prendre ainsi du plaisir sur cette table d’examen et sous les attouchements de plus en plus pervers de ce praticien peu conventionnel. Son bassin se tend à la rencontre de la main qui la fouille. Il place son pouce dans le creux de ses doigts disposés en coquille et pousse en tournant légèrement son poignet.
C’est complètement surréaliste. Je vois les grosses lèvres se repousser pour laisser passer l’intrus, ses nymphes sont, elles, repoussées à l’intérieur du con élargi de ma chérie qui gémit doucement sous l’effort, mais sans s’y soustraire, au contraire, elle s’ouvre encore plus pour l’accueillir en elle ! Elle écarte ses belles cuisses pour s’offrir mieux à l’homme qui la fouille. Soudain, ça y est ! Le poignet est comme aspiré par la chatte de Marie et la main se trouve prisonnière du ventre gourmand de ma femme adorée !!!!!!!!!! Je suis dans un état d’excitation indescriptible. Ma queue est tendue dans mon pantalon, à m’en faire mal ! Qu’elle est belle ainsi offerte au plaisir. Ses beaux yeux s’ouvrent enfin et son regard se perd dans le mien. Je peux y lire tout l’amour du monde, de la reconnaissance aussi, de lui permettre de vivre un tel moment de bonheur. Son bassin se soulève pour l’attirer encore plus profondément en elle.
Elle n’est plus qu’un trou qu’elle veut qu’on remplisse. Elle gémit de plus en plus librement de plaisir, accepte de n’être plus qu’une salope qui veut se faire défoncer par cet homme qui le fait si bien. Elle le regarde bien dans les yeux pendant qu’il officie avec elle, son regard est plein de gratitude pour tout le plaisir qu’il lui donne et en même temps, semble lui dire de lui en donner encore et encore.
— Ça va Madame, je ne vous ai pas trop fait souffrir ? — Non, pas du tout, c’était très bien, au contraire... que du plaisir ! avoue-t-elle en le regardant bien en face, assumant maintenant le plaisir qu’elle a pris avec la complicité de cet homme qu’elle ne connaissait pas une demi-heure auparavant !— Maintenant, il ne faut pas laisser votre excitation retomber, au risque de voir des sensations désagréables et douloureuses apparaître... Vous sentez ma main dans votre ventre ! Je vais la faire bouger et tourner pour manipuler votre col, vous allez voir ça devrait même être très agréable... Je vais faire en sorte que ça le soit !
Je regarde le ventre de ma femme et je vois la main du toubib le déformer, une « bosse » se déplace à l’intérieur, comme si un alien avait pris possession de son sexe et se mouvait en elle, lui procurant des plaisirs insoupçonnés.
— Ooooooh ouiiiiiiiiiiiiiiii je la seeeeeennnnnnns c’est booooooooooonnnnnnnn !!!!! Ooooooooooohhhhh docteur j’aime çaaaaaaaaa n’arrêtez pas je veux jouiiiiiiiiiirrrrrr !!!
« Patientez, je vous ferai jouir, mais je dois avant remettre votre col en place, je crois que ça ne vous posera aucun problème si je fais durer encore un peu ?
Je me trompe ? »
— Ooooohh nooooooon docteur... Prenez votre temps... C’est tellement booooooooooonnnnn ! J’aime comme vous me fouillez !!!!!!!
Je ne peux plus me retenir, j’ai trop envie de me branler en regardant cette salope se faire démonter devant moi par son cochon de toubib. Je fais tomber mon pantalon et mon boxer et je me mets à branler ma queue douloureuse et hypertrophiée en regardant ma petite chienne prendre son plaisir avec ce vieux pervers qui profite bien d’elle.
— J’en étais sûr, j’ai tout de suite vu que votre sensualité était bridée, mais que vous aspiriez à la jouissance. Je n’ai fait que vous offrir l’occasion de vous libérer, de vous laisser aller... Maintenant, laissez-vous guider par votre plaisir et vos envies ......... ça y est, je viens de remettre les choses en place, vous pouvez vous laisser aller jusqu’à la jouissance... vous souhaitez que je continue avec ma main ? — Ooooohhh ooouuiiiiiii défoncez-moi biiiieeennnnn avec votre main, après, vous me baiserez... je veux que vous jouissiez vous aussi je veux que vous me remplissiez bien de votre semence, je veux être votre pute, devant mon mari que ça excite. Il en rêvait depuis longtemps... Avant, je ne voulais pas, mais maintenant, je vais me rattraper, la vie est trop courte, après tout !!!
Je n’en reviens pas de voir Marie s’offrir ainsi aux va-et-vient que le poing de cet homme lui prodigue. La voir s’agiter sous le coup d’une excitation grandissante. L’entendre crier son plaisir qui augmente et enfin la voir se tendre sous l’effet de la jouissance libératrice. Il ne la laisse pas refroidir et sort sa main de son tréfonds, lui arrachant un petit râle de regret de se sentir soudain aussi vide. Elle est détendue, rayonnante de plaisirs assouvis et regarde son bienfaiteur avec reconnaissance. Elle tend sa petite main vers l’endroit de sa blouse qui est outrageusement déformé par un sexe tendu à l’extrême.
— Venez docteur c’est votre tour, vous ne pouvez pas rester comme ça... Après tout le plaisir que vous m’avez donné ! En plus, j’ai bien envie de voir ce que vous cachez là-dessous...
En moins de deux, elle ouvre la blouse blanche et libère un membre très imposant et étonnamment raide pour un homme aussi âgé !
— Wouah ! Quel morceau ! Je le veux ! Vite, plantez-le-moi tout au fond !!! Venez me baiser docteur j’ai trop envie de vous... Putain qu’elle est belle cette queue, heureusement que vous m’avez bien dilaté la chatte !!!
Le type se positionne entre les cuisses ouvertes de sa patiente et l’enfile d’un trait ! « OOOOOOOHHHHHHHHHHHHHH puuuuuuuuuutaaaaaaiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiin ooooouuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiii je la sens biiiiiiiiieeeeeeeeeeennnnnnnnnn !!! .......... Elle est bonne !!! .......... J’aime cette queue !!! ....... Donne-moi ton foutre !!! Ensemence-moi ! ......... Je veux te sentir gicler tout au fond de mon ventre !!!
Regarde mon amour, toi qui rêvais de me voir baisée comme une chienne, tu as vu ce qu’il me met ? Ça m’excite que tu le voies me posséder comme ça ! Regarde cette queue qu’il a !!! Je la sens jusqu’au fond de mon ventre !!!! Ohhhhhhhhhhhh je le sens qui se vide dans moooooooiiiiiiiiii ooooooooohhhhhhhh c’est booooooooooonnnnnnn ! Qu’est-ce qu’il me met !!!»
Je vois en effet le bonhomme se tendre et, dans un grognement de bête féroce, lâcher toute la purée au fond du ventre de mon épouse. Un moment plus tard, sa grosse bite à demi molle, sort de ma petite femme adorée libérant un flot de sperme épais qui s’écoule de sa connasse bien gonflée. Je n’en peux plus, et me jette sur ma pute pour enfin, moi aussi, la saillir vivement. J’adore entrer en elle aussi facilement et la sentir aussi dilatée après les œuvres de mon complice le médecin. Je nage littéralement dans sa chatte bien ouverte par un autre et surtout la matrice pleine du jus de couilles de son baiseur. J’en retire un tel plaisir cérébral, ça m’excite tellement de la sentir si ouverte et remplie par un autre avant moi, que je ne peux pas retenir mon plaisir plus longtemps et je me déverse en elle, mélangeant mon sperme à celui de son amant !!!!!!!!!!!!!
Marie, complètement groggy, reste allongée sur la table d’examen, sur laquelle elle vient de se faire prendre d’une façon qu’elle n’aurait pas imaginée en venant voir ce praticien ! Après qu’elle se soit remise de ses exploits, je l’aide à se rhabiller et nous repartons nous reposer un peu chez nous, et reparler de tout ce que nous venons de vivre et de découvrir dans ce cabinet si particulier.— Je vous donne rendez-vous pour la semaine prochaine afin de vérifier que tout soit bien resté en place sinon, il sera nécessaire de faire une petite manipulation supplémentaire...
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