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Notre 5ème anniversaire de mariage

Chapitre 1

Hétéro
C’est mon mari qui écrit!
Pour notre 5ème anniversaire de mariage, nous avons prévu de sortir dîner puis de finir la soirée en boite de nuit. Cela ne nous arrive pas souvent d’aller danser, mais ça fait du bien parfois.Nous nous préparons à sortir, ma belle finit de se maquiller et moi en se temps là je m’assure que rien ne manquera à Lamys qui passera la nuit chez mes parents.En revenant du domicile de mes parents je te retrouve dans le salon entrain de préparer ton sac à main.— Whaouuuu…. Vous sortez madame ? T’ai-je demandé.Et pour cause, je ne rappel pas t’avoir vu ainsi habillé, ou très rarement.Tu porte une min – jupe blanche et une chemise rouge bordeaux et chaussures à talon rouge.Tu as laissé les deux derniers boutons de ta chemise ouverte, de façon que lorsque tu te penches on arrive à voir tes seins. Et ce soir la tu ne porte pas de soutif ! Je t’en fais la remarque de suite :— Pas de soutien gorge ??........ Heu........ Lamys est bien chez mes parents, elle a tout ce qu’elle veut, on peut sortir tranquille !Tout en continuant de ranger ton sac à main, tu ne me réponds pas. Tu ne relève même pas les yeux dans ma direction. Pour finir tu te mets du parfum et en te retournant vers moi tu me dis :— Ca y est ! Je suis prête pour notre soirée ! On y va ???— Tu es splendide ma chérie !Tu passe devant moi et ton parfum attire mon nez. Tu sens si bon !!Je ferme rapidement la porte de la maison et je me précipite pour t’ouvrir la porte de la voiture :— Si ma reine veut bien prendre place dans ma petite et minable voiture ???— Merci beau prince ! Que tu réponds.En t’asseyant ta jupe, se relève à mi-cuisse et moi je ne perds pas une image du spectacle que tu m’offre, volontairement ou pas.En route, je mets ma main droite sur ta cuisse que je caresse avec douceur tout en remontant vers ton nid d’amour. Tu me bloque ma main en disant :— Arrête sinon on risque de pas arriver au resto !— A vos ordre ma reine !Arrivés au restaurant, je te demande d’attendre que je t’ouvre la porte. J’ai bien fais car je me retrouve à la première place pour admirer tes jambes, presque nues, à ta descente de voiture. C’est encore plus beau que quand t’es nu…… Je veux dire quand t’es nue, tu es très belle aussi, mais savoir qu’on a le droit de ne voir qu’une partie de ce corps de rêve, ne serait-ce que quelques centimètres, alors là on est au comble de notre excitation !Et encore heureux que j’étais là pour cacher ce plaisir des yeux. Au fond je suis égoïste ! C’est à moi et rien qu’à moi.Je te prends par la main et nous pénétrons dans le restaurant. Nous suivons le maître d’hôtel qui nous dirige vers la table que nous avons réservé.A notre passage, tous les hommes se retournent pour admirer cette déesse qui passe, j’en vois même certains qui esquissent un geste de leurs lèvres comme s’ils allaient siffler. Je suis fière d’être cette personne qui marche à tes cotés, cette personne que tu aimes.
Arrivé à table, je t’aide à t’installer tout en voyant que personne n’a raté notre entrée, et que tous, aussi bien les femmes, étaient charmés par ta classe et cette sensualité que tu dégageais.Le repas c’est agréablement déroulé, même que le serveur louchait un peu sur ton décolleté, et j’en souriais. J’aime voir le désir dans les yeux des autres mecs, tout en sachant qu’ils n’arriveront à rien.En regardant nos montre à la fin de notre dîner, on estimé qu’il été encore trop tôt pour aller danser.A proximité du restaurant se trouve un salon de thé, vers le quel nous nous dirigeons.Nous marchons bras dessus, bras dessous, tout en riant des blagues que nous nous faisons.En prenons place dans ce café, tu n’échappe pas aux regards des jeunes dragueurs qui y sont attablés.Une fois nos consommations finîtes, nous retournons à la voiture pour enfin prendre la direction tant attendu de la boîte de nuit.Il y a du monde, mais nous réussissons à trouver une table pour se poser.Après quelques minutes nous nous décidions à rejoindre la piste de danse pour faire parti de ces gens qui se trémoussent au rythme de la musique endiablé qui résonne. Tout en dansant, je te suit du regard, non pas par jalousie, mais car à chaque mouvement que tu fais, tes seins libres de tout obstacle, balancent librement dans ta chemise. Quel spectacle!En me regardant droit dans les yeux et tout en dansant tu dégrafe encore un bouton de ta chemise.Heureusement que l’obscurité du lieu masque au regard des personnes présentes, pas tous, le mouvement d’un sein qui veut s’échapper de ce tissu qui le couvre. Mais tout discrètement tu le rattrapes avant qu’il puisse fuguer.Par moment tu t’approche de moi, me tourne au tour, frotte tes fesses sur mon bas ventre tout en me lançant des regards qui ont dit long sur ton état, sur ton excitation.Tu t’accroche à mon cou et tu balance des hanches à droite et à gauche comme si nous dansons un slow alors qu’en réalité la musique est tout autre, 10 fois plus rapide. Tu me regarde dans les yeux, m’attire vers toi pour que nos lèvres se soudent le temps d’un baiser furtif, que personne ne peut voir et ne peut ignorer. Tu aime jouer avec ces subtilités, des subtilités coquines que tu aimes créer.En revenant à notre place pour reprendre notre souffle, je remarque avec la lumière noir diffuse que l’on peut admirer les courbes de tes jambes et de tes fesses à travers le tissu mi - transparent de ta jupe. D’ailleurs une jupe que je ne connais pas, et je n’ai jamais fais attention de toute la soirée à quel point elle laisse deviner tes formes. Je comprends mieux tous ces regards qui se retournaient sur ton passage ! Tu as raison, tu es belle et tu le fait savoir, à moi et aux autres.Et je distingue avec ravissement que ma chère reine ne porte pas de slip. Cela me mets dans un état d’excitation incroyable. A peine assis, je te prends par la main et te demande de venir avec moi aux toilettes.En traversant la foule, je me doute bien que plusieurs mains se sont aventurer à effleurer tes fesses rebondis, mais tu continu à marcher comme si de rien n’été. Sans protester nullement, je crois même que cela t’a échauffé encore plus.Arrivé aux chiottes, je te tire dans la zone réservée aux hommes et m’engouffre dans la première cabine que je trouve ouverte.Dieu merci ce lieu été désert de toute âme. Une fois la porte refermée derrière toi, je vois ton regard surpris par cet acte. Moi sans mot dire, je referme la cuvette des toilettes, déboutonne mon pantalon, et te présente ma queue à demie bandée.Tu me souris, passe ta langue sur tes lèvres et tu te mets à m’astiquer la bite tout en me jetant de temps en temps des regards très coquins. Après quelques coups de langue admirablement dosés, je te relève et te retourne face à la porte. Te sachant sans obstacle je te fais assoir sur mon zob qui n’attend que la douceur de ton puit.— Vas-y...... Fais moi jouir! Je chuchote à l’oreille.A peine ai-je fini de dire ses mots que ton bassin commence à onduler sur ma bite.Puis tu commences à monter et à descendre sur cette bite logée au fond de toi. Tu te mords les lèvres pour ne pas crier ton plaisir, car nous entendant le bruit de va et vient dans les toilettes.Après un petit quart d’heure de se traitement, je sens que je vais jouir. Je m’agrippe à tes hanches et je déverse en toi toute ma semence.Tu retombes sur moi, je te donne alors quelques bises dans le cou en te chuchotant :— Bon anniversaire de mariage ma chérie ! Et merci pour ce cadeau que tu m’as offert !Puis nous ressortant des toilettes comme deux gamins qui s’échappent après avoir fait une grosse bêtise sans même faire attention aux gens qui nous entourent.
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