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Notre anniversaire

Chapitre 1

Hétéro
Comme chaque année, à notre anniversaire de rencontre, j’emmène ma femme au restaurant. Pour vous la présenter, ma femme, 41 ans, mesure un mètre soixante pour cinquante-deux kilos, des fesses pas trop dessinées, mais d’une douceur qui donne envie de les caresser en permanence. Elle arbore un magnifique 95E aux aréoles larges et sombres et aux tétons proéminents. Elle n’est pas naturellement coquine, mais lorsque je la chauffe un peu via des sextos ou des photos, elle y répond favorablement.
Pour ma part, je mesure un mètre quatre-vingt pour quatre-vingt-cinq kilos. J’accuse un léger embonpoint, mais je reste malgré tout sportif. Il le faut sinon j’aurais de sévères problèmes de dos. Côté taille, à la dernière mesure, dix-sept de long pour six d’épaisseur.
Nous aimons tous les deux nous retrouver imberbes au niveau de nos intimités respectives. Comme elle me l’a expliqué à plusieurs reprises, cela aidait à bien ressentir les choses lors de nos caresses ou de nos rapports.
Voici pour les présentations.
Comme je disais, chaque année nous allions au restaurant pour notre anniversaire. Pour l’occasion, nous faisions un effort dans notre tenue de tous les jours. Pour elle, une robe ou une jupe crayon avec un chemisier et pour moi, en costume. J’adorais la voir habiller ainsi. Elle était tellement sexy et désirable, que je la prendrais bien aussitôt.
Sur ce jour-là, elle avait opté pour une robe noire près du corps, mettant en valeur ses atouts. Impossible de vous dire à ce moment-là ce qu’elle portait en dessous. Elle s’était bien gardée de me le montrer. Pour ma part, costume noir avec chemise blanche, rasé de frais en haut comme en bas.J’avais réservé dans un restaurant proche de chez nous à l’ambiance intimiste où toutes les tables étaient isolées de celles des voisins. Ainsi nous pouvions discuter de tout et de rien sans que des oreilles indiscrètes nous espionnent.
Le repas commença par un apéro des plus classiques. Whisky sec pour moi, vin blanc pour elle avec des amuse-bouches. Une entrée, un plat de résistance et arriva le moment du dessert. Elle me dit de choisir pour elle, car je connaissais ses goûts. Pendant ce temps, elle partit aux toilettes. Je sortis mon téléphone pour voir les photos qu’elle m’avait envoyées plus tôt ce jour. J’avais eu le droit à un gros plan sur ses seins ou sur sa chatte, puis une photo en pied me montrant tous ses charmes en une seule fois. Je ne fis pas attention à l’arrivée de la serveuse. Celle-ci me surprit en pleine séance de matage. Elle me sourit tout en rougissant et prit la commande, non sans regarder mon entrejambe qui avait gonflé. Ma femme revint quelques secondes plus tard. Elle se pencha vers moi, me donnant un baiser et une vue sur son décolleté, puis déposa dans ma main un morceau de tissu. Je le dépliais sous la table, caché des regards indiscrets.
Il s’agissait de son shorty en dentelle, de couleur noire. Le tissu à l’entrejambe était légèrement humide. Je le rangeais très rapidement dans une de mes poches et la regardais, mi-amusé, mi-choqué. Elle me sourit d’un air entendu puis sortit son téléphone. Elle composa un message que je reçus presque aussitôt.
— Cela te plaît ?
Je lui répondis d’un hochement de tête.
— Tu sens l’humidité sur le tissu ?
Nouveau hochement de tête.
— Je mouille à en tremper mon shorty, depuis tout à l’heure.
J’avalai difficilement. Elle avait réussi à me troubler.
Le dessert arriva. Je le dévorai littéralement, trop pressé de la suite qui nous attendait. Je refusai le café et demandai l’addition. Elle partit m’attendre dans la voiture, pendant que je payai. Une file d’attente se pressait au comptoir pour payer. Je reçus un message que je m’empressais d’ouvrir. Je vis que mon téléphone téléchargeait une photo. Ce que je reçus faillit me faire quitter le resto sans payer. Elle avait pris une photo de sa chatte grande ouverte où je pouvais voir le jus de son désir perlé. Je payai et fébrile, je retournai à la voiture. Elle m’attendait, sagement assise. Quiconque l’aurait croisée, n’aurait pu penser qu’elle pouvait être aussi lubrique. En entrant dans l’habitacle, je l’embrassai avec passion, passant une main sous sa robe pour tenter de la caresser. Elle resserra aussitôt les cuisses, me faisant comprendre que je devais attendre.
Je démarrai la voiture pour reprendre le chemin de la maison, tout en pestant intérieurement de la circulation devenue dense entre-temps. Elle passa tout le trajet sagement assise, n’engageant rien. Dans ma tête se bousculaient les images de son shorty humide et de ses photos coquines. Tout cela avait pour conséquence de me rendre étroit dans mon pantalon. Je surpris à plusieurs reprises son regard posé sur mon intimité. Le temps de la route, je ne débandais pas.
Arrivé chez nous, j’eus bien du mal à rester stoïque et de ne pas me jeter sur elle. Elle ouvrit la porte d’entrée et je refermai derrière elle. Elle rangea ses chaussures comme si de rien n’était, soufflant le chaud et le froid. Personnellement, je ne tenais plus. Attendait-elle que j’agisse ?
Je me déchaussai à mon tour et la rejoignis dans la cuisine. Elle se trouvait face à l’évier, dos à moi. Je m’approchais d’elle à pas de loup et posais mes mains sur ses hanches. Je me penchai vers son cou où je déposai des baisers doucement. Elle posa ses mains sur ma tête, puis tourna son visage pour me donner sa bouche. Je rapprochai mon bassin de ses fesses afin de lui faire sentir mon désir. Je relevai doucement sa robe au-dessus de sa taille et passai mes mains sur le devant de son corps. Une de mes mains se dirigea vers sa fourche pendant que l’autre se portait sur ses seins. La douceur de sa vulve fraîchement rasée du matin m’excita d’autant plus. Je me mis à caresser doucement ses lèvres totalement humides, puis les écartai doucement pour accéder à son clitoris gonflé. Elle passa une de ses mains dans son dos pour attraper ma queue gonflée qu’elle pressa à de multiples reprises avant d’ouvrir mon pantalon et de la sortir de sa cage de tissu.
Elle me branlait pendant que je la doigtais. Je voulus descendre pour lui prodiguer un cunnilingus, mais elle m’arrêta.
— Allons dans la chambre, me dit-elle.
L’ascension à l’étage dura une éternité. Tantôt nous nous embrassions avec fougue, tantôt nos mains exploraient le corps de l’autre. Arrivés sur le palier, ce fut sa main emprisonnant ma queue et l’un de mes doigts dans sa chatte que nous nous dirigeâmes dans la chambre. Elle se mit à quatre pattes sur le lit, son cul me faisant face. Je pris cela pour un appel et mis mon visage entre ses deux globes. Je lui écartai les jambes pour venir lécher son abricot trempé de jus. Son nectar était toujours aussi enivrant, quinze ans après notre première fois. Je pris soin de lécher chaque recoin de ce sexe, tout en le doigtant. J’entendais à ses soupirs et ses gémissements retenus tout le plaisir qu’elle prenait.
Au bout de quelques minutes, elle m’emprisonna la tête entre ses cuisses, lâchant des « ah » et des « oh », preuves de l’orgasme qu’elle venait d’avoir. Je finis de la déshabiller pour l’avoir nue sous mes yeux. Que cette femme était belle. Belle dans sa jouissance et dans sa nudité.
Elle m’allongea sur le lit et termina de m’effeuiller. Elle me donna un baiser plein de désirs, tout en me masturbant avec douceur. Sa bouche quitta la mienne, puis descendit dans mon cou. Sa langue suivit un chemin depuis la base de mon cou, jusqu’à mes tétons, puis mon ventre et enfin rejoignit sa main toujours en action. Elle me lécha le sexe sur toute sa longueur puis le gland qu’elle prit en bouche, pour une divine fellation dont elle connaissait le secret. Parfois elle pressait ma queue pour en extraire du sperme et le dégustait avec avidité. Elle aimait particulièrement m’amener au bord de la jouissance, s’arrêter puis recommencer de plus belle. N’y tenant plus, je la fis remonter vers moi pour l’embrasser et présenter mon sexe à l’entrée du sien. Elle descendit d’abord doucement pour sentir son sexe s’ouvrir au mien, puis remonta tout aussi doucement. Elle répéta l’opération à plusieurs reprises, accélérant de plus en plus.
Je voyais son visage se crisper parfois, preuve du plaisir qu’elle prenait. Je ne me privais pas de la caresser, de faire rouler ses tétons entre mes doigts et parfois à sa demande de les mordiller.
Très vite, je pris les choses en main et la fis basculer sur le dos. J’entrepris de finir notre rapport dans cette position, accélérant pour faire monter notre jouissance jusqu’à son paroxysme. Nous jouîmes ensemble, bouche contre bouche. Je me vidais de plusieurs traits en elle, comme nous le faisions tout le temps.
Ce fut un excellent anniversaire.
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