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Notre histoire

Chapitre 1

Inceste
NOTRE HISTOIRE
Chapitre 1

Comme tous les soirs, j’allume mon ordinateur pour me brancher aussitôt sur mon site de prédilection : le forum "x story". Pas vraiment de nouveautés, aujourd’hui, dans la catégorie mère, aussi je clique sur plusieurs histoires anciennes que je connais presque par cœur, à force de les lire, mais qui me plaisent toujours autant.
Un coude légèrement appuyé sur mon épaule droite, maman regarde l’écran, en même temps que moi, un petit sourire jouant sur ses lèvres bien dessinées. Son visage fin, au nez droit, aux pommettes hautes, au front lisse, exempt de toute ride, encadré de cheveux bruns qu’elle a récemment fait couper et coiffer en mèches savamment désordonnées, la fait paraître beaucoup plus jeune que les quarante ans qu’elle vient tout juste de fêter.
Elle a revêtu, pour la nuit, une classique chemise de nuit de coton d’un blanc immaculé, qui s’arrête un peu au dessus de ses genoux parfaits et qui flotte librement autour de son corps. Le tissu dessine, légèrement, sa poitrine petite, mais pleine, ses hanches tout juste un peu larges et son ventre bombé, qui porte notre enfant depuis six mois et qui, de temps à autre, frôle doucement mon bras. Arrivée en même temps que moi au bout d’une histoire particulièrement excitante, elle a un petit frisson, me caresse doucement la joue de sa fine main et me déclare dans une phrase ponctuée d’un rire clair :
« C’est pas mal, mais tu devrais leur raconter notre histoire… ! »
Surpris, je me tourne vers elle :
« Quoi…, tu voudrais vraiment que…, pour nous deux… ? »
Elle m’embrasse sur le front en me caressant les cheveux. J’entoure sa taille de mon bras, pressant doucement son ventre rond et chaud contre moi.
« Et pourquoi pas ? Ce que nous avons vécu, ce que nous vivons est tellement…, fort... !.. Je suis sûre que ça intéresserait tous ceux qui sont inscrits sur ce forum, mon petit chéri ! »
Elle frôle doucement ma bouche de la sienne et le bout de sa langue vient, comme elle a pris l’habitude de le faire, toucher rapidement mes dents, entre mes lèvres entrouvertes.
« En attendant, je vais me coucher, ne veille pas trop tard, tu as des cours à neuf heures, demain ! »

Puis, elle s’échappe, légère, se dirigeant sur ses pieds nus et fins vers la porte de notre chambre.En soupirant, j’éteins l’ordinateur : la dernière phrase de maman m’a rappelé qu’il me reste la conclusion d’une dissertation à écrire. J’y consacre la demi-heure qui suit, mais sans vraiment m’y attacher. J’ai l’esprit distrait par la demande de ma mère : serait-il possible qu’elle souhaite vraiment que j’écrive notre histoire afin de la donner à lire librement alors que nous avons si bien gardé notre secret jusqu’à présent ?
J’éteins les lumières, trois pas me séparent de la chambre. Nous avons gardé mon petit appartement d’étudiant en changeant simplement mon lit d’une personne pour un de deux. Celui-ci, large et confortable, occupe presque la totalité de la minuscule chambre située directement sous le toit de l’immeuble. La pleine lune éclaire la petite pièce à travers la fenêtre de toit qu’aucun store ne vient occulter. La douce pénombre baigne la chambrette, dont le silence est à peine troublé par la respiration régulière de ma mère. S’est-elle endormie ? Vite, j’enlève mon tee-shirt et mon caleçon et, nu, je me glisse sous la couette. Tout de suite, je sens la chaleur du corps de maman dont je me rapproche, comme attiré par un aimant. Elle me tourne le dos, couchée sur le côté, en chien de fusil comme c’est son habitude. Je pose ma main sur son mollet, touche le velours de sa peau. Une hésitation dans sa respiration. Je souris. Bien-sûr, elle ne dort pas, elle m’attendait !
Je caresse chaque centimètre de sa peau, remonte vers les cuisses entrainant peu à peu la sage chemise de nuit que je retrousse au dessus des hanches. Les fesses sont là, rondes et fermes, s’offrant à mes deux mains qui les empaument, les séparent. Maman se pousse vers moi, mes doigts s’égarent, effleurent la rondelle secrète qui frémit, s’offrant à ma pénétration. Gémissement. Mes déjà mes mains repartent vers le trésor de son ventre plein. J’ai passé un bras sous sa taille, je l’entoure, mes mains posées sur elle.
« Tu sens, il bouge… ! »
Je m’efforce de percevoir ces signes de vie sans vraiment y parvenir. Alors, pour lui faire plaisir, je murmure « oui » à son oreille. Contre son derrière, je bande comme un fou. Elle écarte un peu sa cuisse, la soulève. Ma main droite rampe vers son sexe dont j’écarte doucement les pétales de mes doigts, débusquant dans sa cachette le clitoris érigé et sensible.
« Viens, prends-moi ! » Gémit-elle.
Je place ma hampe tendue à l’entrée de sa fente et je m’enfonce lentement.
« Comme tu es grand, comme tu rentres loin ! » S’extasie-t-elle.
Elle serre les parois de son vagin autour de mon sexe. C’est mouillé et chaud, je suis bien, je n’ai pas envie de bouger, je m’endormirais bien comme cela. C’est maman qui me rappelle à l’ordre en poussant ses fesses vers moi, m’enfonçant un peu plus encore en elle. Je commence à aller et venir, mes mains toujours posées sur son ventre bombé. Elle m’accompagne en gémissant, elle mouille de plus en plus, j’ai l’impression de baratter un pot de crème parfumée, ce parfum de l’amour qui monte de nos sexes imbriqués. La houle de mes reins s’accélère sous les encouragements de ma mère :
« Oui, Maxime, ouiiiii…. ! C’est bon ce que tu me fais… ! Ouiiii… ! Tu le fais bien petit chéri... ! »
Son derrière s’est cambré, elle a replié un peu plus ses jambes, je la tiens fermement aux hanches et je la pistonne, maintenant, sans retenue, mon bas-ventre claquant contre ses fesses. Puis je la sens se tendre, se serrer, son derrière danse la sarabande contre mon ventre et, soudain, elle rue en criant :
« Ouiii petit chéri, ouiiiiii…, je jouiiiiisss…, oh..., c’est bon... ! »
Han ! Je me plante en elle, profondément et je décharge en gémissant mon trop plein d’amour.Puis, c’est le silence. Nos respirations se calment peu à peu. Mon chibre rétrécit et sort lentement de sa vulve chaude. Je reste collé à maman, nos sexes baignant encore dans nos jus mêlés. Je l’entoure à nouveau de mes bras, nos mains enlacées posées sur son ventre. Je l’entends murmurer dans un demi-sommeil :
« Dis, tu la leur raconteras, notre histoire, hein, petit chéri… ? »
J’ai le temps de répondre « oui » dans un souffle, avant de sombrer dans le sommeil.
Une agréable et curieuse sensation me réveille ; un soleil de mai, généreux bien que matinal, éclaire la petite chambre. Je cligne des yeux vers mon réveil : 7 heures 30. Je tourne la tête : maman est assise près de moi sur le bord du lit. Elle est nue, à part une de ses culottes de grossesse qu’elle apprécie pour leur commodité et qui me paraissent, à la fois, fort peu érotiques et tellement touchantes ! Elle me sourit tendrement. Elle tient dans sa main droite une grande tasse de thé fumante. Sans me quitter des yeux, elle prend une gorgée, le petit doigt levé, comme toute bonne bourgeoise qui se respecte – ce qu’elle est restée finalement. Elle pose sa tasse sur la table fe chevet et, la bouche close, elle se penche sur moi. Elle tient ma verge dressée, pose ses lèvres sur le sommet du gland et, peu à peu, absorbe ma virilité. C’était donc cela ! L’effet est extraordinaire : mon sexe durci s’enfonce dans une cavité chaude, liquide et accueillante. Le thé suinte sur le coté des lèvres de maman et vient baigner mes couilles. Un frisson d’aise me parcourt tout entier. Je me tends un peu plus encore. Ma mère recommence l’opération trois ou quatre fois avec le même résultat. La tasse est presque vide ; la bouche de maman va et vient maintenant sur mon sexe, le prenant tout entier, puis le relâchant. Sa langue le parcourt de la racine au gland, léchant avec gourmandise. Je gémis :
« Oui, oui, maman, c’est bon, continue, n’arrête pas, s’il te plaît, je vais… ! »
Je n’ai pas le temps de finir ma phrase : une dernière fois, ma mère enfonce mon chibre tout au fond de sa gorge ; mes poils touchent presque ses lèvres ; ses seins gonflés de femme enceinte s’écrasent sur mes jambes qui se crispent. Elle saisit doucement mes testicules et les fait rouler dans sa main, alors que je jouis, jaillissant en quatre ou cinq jets au fond de sa gorge. Elle ne me quitte pas tout de suite, attendant que je m’apaise. Puis, elle se relève, essuie, délicatement, de son index, une goutte de sperme au coin de ses lèvres, lèche son doigt avec gourmandise, comme une petite chatte. Elle me regarde de ses beaux yeux verts, éclate de rire :
« Hein, petit chéri, tu ne t’attendais pas à une pareille fête à ton réveil ?– Merci maman, c’était merveilleux… ! »
Tout alangui, je me laisserais bien aller à un petit somme. C’est compter sans ma mère qui veille comme un dragon sur mes études.
« Vite, il est presque huit heures, il faut se doucher ! »
Elle se lève, se débarrasse de sa culotte, me prend par la main et m’entraine vers la minuscule salle de bain.Nous avons l’habitude de prendre tous les matins notre douche ensemble. La cabine n’est pas grande, aussi nous sommes serrés l’un contre l’autre, surtout avec son ventre. Le jet d’abord froid, puis tiède me fait crier.
« Ça réveille... ! Vite le savon ! »
Maman arrête la douche. Elle a acheté un savon très doux et parfumé à l’amande, qui mousse beaucoup. Nous nous enduisons les mains et nous nous savonnons mutuellement : les épaules, ses seins que je malaxe avec précaution tandis qu’elle caresse doucement mes pectoraux :
« Comme tu es fort ! Les séances de musculation commencent à donner de bons résultats ! »
C’est une de ses dernières lubies : m’inscrire à un club de sport, parce qu’elle trouve que j’ai tendance à prendre un peu de poids et que mes muscles ne sont pas assez développés !
« Crois-tu que ton enfant veut d’un intellectuel obèse comme père ? »
Je trouve qu’elle exagère un peu, mais je ne la contrarie jamais. Va pour les séances de muscu !C’est maintenant nos sexes qui sont l’objet de tous nos soins. Je lave consciencieusement le sien, dedans, dehors. La mousse recouvre sa toison coupée courte en un triangle parfait. Elle a pris ma tige dans sa main droite enduite de savon, elle la branle doucement : mon dieu, voilà que je bande à nouveau !
« Décidément, tu es insatiable ! Ah, jeunesse... ! »
Elle rit, insiste un peu plus, promène mon gland sur son ventre tendu, quelques va-et-vient, encore et je ne peux résister : je me vide à nouveau, moins abondamment toutefois, sur son merveilleux ventre.Pas de temps à perdre cette fois : elle me rince, m’envoie m’habiller tandis qu’elle me prépare un café bien fort. Merveilleuse maman : elle m’a donné deux fois du plaisir ce matin, sans rien demander pour elle-même ! Je mesure à quel point elle m’aime et combien il me faut l’aimer en retour.J’avale mon café et deux toasts qu’elle m’a beurrés. Elle a préparé mes chaussures, me tend ma serviette de cuir, celle qu’elle m’a offerte pour mon entrée en fac :
« Dépêche-toi, si tu te presses un peu, tu ne seras pas en retard. Rentre vite ce soir, n’oublie pas que tu dois commencer à écrire notre histoire… ! »
Elle a revêtu un peignoir de soie qui caresse sa peau comme j’aimerais le faire toute la journée. J’ai la main sur la poignée, mais je ne peux m’empêcher de l’embrasser avant de partir. Je la presse contre la porte, nos lèvres se cherchent, se trouvent, se caressent s’ouvrent pour laisser passer nos langues qui s’emmêlent.Elle a les yeux fermés. Je passe ma main sous le peignoir, caresse sa toison. Délicatement j’enfonce deux doigts dans sa vulve humide, les laisse un moment, puis les retire doucement.Je porte mes doigts à mes narines, respirant doucement son odeur secrète :
« Pour me souvenir de toi, tout à l’heure, en cours, je sentirai mes doigts ! » Lui dis-je, tout bas à l’oreille.
Elle me fait les gros yeux, me donne une tape sur la tête :
« Oui, eh bien tâche au moins d’être attentif ! À ce soir... ! »
Elle me pousse dehors, referme la porte et je m’en vais, emportant son odeur avec moi.

Lorsque je rentre le soir, je suis sur les genoux. Ceux qui pensent qu’être étudiant, c’est comme dans les films et les séries américaines, se trompent lourdement. Pas de conversations interminables dans les bars, pas de fêtes tous les soirs, pas de bals de fin d’année pour fêter un diplôme qu’on n’a eu aucun mal à obtenir ! Rien de tout cela pour moi : aujourd’hui, quatre heures de cours, suivies, après un sandwich avalé sur le pouce, par quatre heures de recherches à la bibliothèque universitaire, pour finir par deux heures de travaux pratiques. Et maman qui n’est pas là ! Moi qui comptais sur elle pour me relaxer : le repos du guerrier en quelque sorte ! Un mot placé sur la table basse m’annonce qu’elle est allée voir Isabelle, son amie d’enfance, qui est devenue aussi son avocate. Elles ne se cachent rien ces deux là ! J’imagine sans peine leurs conversations…
< Je reviens vers 20 heures. En m’attendant, tu n’as qu’à te mettre à la rédaction de notre histoire ! >
Aïe, j’avais presque oublié. En soupirant, j’allume l’ordinateur : une promesse est une promesse, surtout faite sur l’oreiller, surtout à une mère qu’on adore.
Revenons un an en arrière et d’abord plantons le décor et présentons les personnages. J’habite dans une belle villa d’un quartier résidentiel d’une grande ville du sud-ouest. Rien ne manque à notre confort et mes parents n’ont pas regardé à la dépense : pièces vastes et spacieuses, meubles en provenance des plus grandes boutiques de designers, tableaux modernes de peintres connus aux murs, piscine, etc.
Je dispose d’une grande chambre à l’étage avec tout ce que je peux désirer et même une salle de bain personnelle. J’ai fêté mes dix-huit ans, il y a un mois et je prépare, d’arrache-pied, le bac. J’ai toujours été un excellent élève et je vise surtout une mention. Je suis assez grand : un mètre quatre-vingts, des cheveux blonds et longs, très mince, un visage un peu féminin. Mes amis et mes condisciples pensent que je suis fragile, mais le jogging et le tennis me permettent d’entretenir une forme que je préfère cacher. Et puis, la fréquentation de films pornographiques m’a appris que j’étais doté un sexe d’une longueur et d’une épaisseur non négligeables. Il est, pour l’instant, sous-employé, car je suis d’une grande timidité et je n’ai encore jamais eu de petite amie. Puceau donc, bien que m’adonnant souvent à la masturbation devant les films mentionnés plus haut ou au gré de rêveries plus ou moins avouables.
Comme vous l’avez sans doute deviné, je suis fils unique, mes parents – enfin, surtout mon père, je crois – n’ayant pas souhaité renouveler l’expérience, après ma venue au monde. Mon père, Jérôme, a quarante-cinq ans, c’est le fils d’un médecin de province. Plus intéressé par les filles et la fête que par ses études, il a manqué deux fois le concours d’entrée en médecine. Ne sachant plus quoi en faire, son père l’a fait entrer comme commercial dans un laboratoire pharmaceutique.
C’est là qu’il a fait la connaissance de ma mère, la fille de son patron. De six ans plus jeune que lui, Nicole est une vraie jeune fille. À peine sortie de l’internat catholique de luxe où elle avait fait tout son secondaire, elle commençait des études littéraires. Mon père l’a séduite avec son bagou, son aisance, son expérience. Elle en tombe follement amoureuse. Jérôme aussi, sans doute, bien que, dans son cas, je le soupçonne aussi d’avoir flairé la bonne affaire !
Mon grand-père s’aperçoit de la chose un peu tard : je suis déjà en route ! Pour éviter le scandale (une fille-mère, pensez-donc !) et parce que c’est un homme pragmatique, il propose à la fois à mon père, ravi, la main de sa fille et un poste important dans sa société. Par la suite, Jérôme qui, il faut reconnaître a le sens des affaires, deviendra associé avec un salaire plus que confortable grâce auquel il peut faire bénéficier sa famille de tout le luxe dont j’ai parlé plus haut.
Je n’aime pas mon père, je ne le déteste pas non plus. J’éprouve pour lui une sorte d’indifférence, mêlée de mépris à cause de ses costumes, de sa voix trop forte et de la façon dont il traite maman. Il me le rend bien d’ailleurs : je n’ai pas sa facilité d’élocution, et, depuis qu’il sait que je ne suivrai pas ses glorieuses traces en choisissant une grande école de commerce, il me bat froid !
Et puis il y a maman ! Pas plus de un mètre soixante, une poitrine moyenne, haute et ferme, une taille très fine qui fait ressortir par contraste des hanches un peu larges, comme je l’ai déjà dit – mais c’est loin d’être un défaut pour moi – des jambes superbes. Elle est toujours habillée à la dernière mode et supporte facilement des tenues habituellement portées par des femmes plus jeunes. Il n’y a aucune vulgarité chez elle. Malgré son origine grande bourgeoise, il n’y a pas d’arrogance dans sa façon de s’adresser à celles que son père et le mien appellent, avec dédain, "les classes inférieures". Elle fait partout preuve de naturel, de retenue et de douceur. Bref, c’est un ange ! Il n’y a qu’une seule chose que je n’apprécie pas chez elle : après dix-huit ans de mariage, elle est toujours amoureuse de mon père !
Pourtant, Dieu sait qu’il a changé depuis sa folle jeunesse : physiquement, sans doute, mais surtout moralement, du moins en apparence. En épousant la fille d’une famille bourgeoise catholique traditionnelle, il a aussi épousé la religion, la morale et, bien-sûr, ce qui va avec : l’hypocrisie ! Et maman ne se rend compte de rien, au contraire, elle lui en est reconnaissante car elle croit à sa sincérité et elle pense que c’est son amour pour elle qui l’a transformé ! Quel aveuglement !
Comme vous l’avez deviné, je suis amoureux de ma mère et jaloux de mon père ! Du plus loin que je me souvienne, j’ai toujours adoré être dans les jupes de maman…, métaphoriquement, comme physiquement. Lorsque j’ai eu quatorze ans, mon père a bien essayé de m’entrainer vers des occupations plus viriles, mais comme je n’étais pas très enthousiaste, c’est le moins qu’on puisse dire, il a vite laissé tomber. D’autant plus que je suis sûr que maman aime bien m’avoir auprès d’elle et s’amuse de mon rôle de chevalier servant. À propos de virilité, les pauvres, s’ils savaient ! Car c’est avec maman, en la regardant, en la frôlant et en la sentant que j’ai connu mes premières érections !
Je me souviens parfaitement de ma première émotion érotique dont est, évidemment, responsable ma mère ou, plus exactement, ma mère et son amie Isabelle. J’ai dix ans, c’est un mercredi après-midi et elles m’ont entrainé dans un de leurs shoppings, une occasion de dépenser beaucoup d’argent et d’augmenter des garde-robes déjà conséquentes ! Dès notre retour, tous trois chargés de paquets – même moi je porte fièrement ce qu’on a bien voulu me confier – nous nous précipitons vers la grande chambre de mes parents où les deux amies, excitées comme des adolescentes, commencent à déballer leurs emplettes. J’ai alors assisté à ma première séance d’essayage : maman, la brune et Isabelle la blonde – un peu trop grande et mince à mon goût – rivalisent de séduction dans leurs nouvelles toilettes.
Toutes à leurs essayages, elles en ont oublié ma présence et je me régale, en secret et en silence. C’est le comble quand elles décident de passer à leurs maillots de bain. Elles sont bientôt toutes deux en sous-vêtements : il faut essayer par-dessus, bien-sûr, pour se laisser la possibilité d’échanger – elles connaissent bien les vendeuses qui sont très compréhensives. Je regarde de tous mes yeux : les soutiens-gorge et les slips blancs, garnis de dentelles ressortent bien sur leurs peaux bronzées ! Et tout à coup, je deviens très rouge : mon zizi est devenu tout dur dans mon pantalon et il me fait même un peu mal !
Honteux et inquiet, je me précipite vers la porte, à la grande surprise des deux jeunes femmes et je file vers ma chambre où je m’enferme. J’enlève mon pantalon et mon slip, en effet, mon sexe est dur et tendu, au bout, un morceau de chair rond tente de sortir de la peau ; je touche, j’insiste et, presque aussitôt, je suis pris d’un grand frisson, tandis que sort un liquide blanchâtre, légèrement translucide. Et voilà, ma mère est à l’origine de ma première éjaculation – je ne lui ai pas encore raconté, elle va l’apprendre en même temps que vous !
Mon inquiétude, devant ce phénomène, disparaitra vite après quelques conversations avec des camarades plus âgés qui me dévoileront, avec délectation, les secrets de la masturbation dont, comme vous le devinez, j’ai usé et abusé par la suite.
Mais revenons au début de notre histoire. Comme je vous l’ai raconté, je suis amoureux fou de ma mère et désespéré, car je sais que mon amour est impossible, sans espoir. Pire, je ne dois pas le laisser voir, de peur que l’on me prenne pour un détraqué et que, peut-être, mon père se débarrasse de moi en m’envoyant faire mes études à l’étranger. Or, je ne supporterai pas d’être séparé de ma mère. En attendant, je dois bûcher mon bac. Cette après-midi, mon meilleur ami, Hervé, le fils d’Isabelle, est venu réviser avec moi. Nous avons le même âge, la même taille, mais il est beaucoup plus sportif que moi. En tout cas, je crois que, lui aussi, a un sérieux penchant pour ma mère : il n’y a qu’à le voir la regarder avec des yeux de merlan frit ! Nous bossons sérieusement pendant quatre heures avant de faire un petit break en allant surfer sur quelques sites pornos de notre connaissance.
« Ça va les jeunes, ça se prépare ? »
Nous sursautons en chœur : maman vient de passer la tête à la porte. Juste le temps d’appuyer sur un bouton pour faire disparaître de l’écran un couple en pleine action ! Heureusement, le son n’était pas mis.
« Max, je vais prendre une douche, tu veux bien surveiller le téléphone s’il te plait ?.. Hervé, tu embrasseras ta mère pour moi ! »
Elle referme la porte et file vers la salle de bain, un peu plus loin dans le couloir. Hervé, un peu refroidi, ne tarde pas à partir. Seul dans ma chambre, je tends l’oreille : il me semble percevoir le bruit de la douche. Je me glisse dans le couloir, pieds nus. Six mètres plus loin, c’est la grande salle de bain de mes parents. La porte est restée entrouverte, je la pousse doucement : la chaleur moite me saute au visage. Là-bas, derrière le verre dépoli de la cabine de douce je vois les contours du corps nu de ma mère. Les bras levés, elle se lave les cheveux. C’est comme si, par osmose, je sentais les jets d’eau couler sur moi.
< Drinnngggg >
Merde, le téléphone ! Je me jette en arrière et je cours vers l’extrémité du couloir où je décroche le combiné, puis, après avoir écouté, je reviens parler à maman au travers de la porte.
« Maman, c’est Isabelle, elle veut te parler !– Dis-lui que je la rappelle tout de suite de ma chambre ! »
Je surveille les bruits derrière la porte de ma chambre : la douche s’arrête. Je devine ma mère qui revêt un peignoir, sort, se dirige rapidement vers sa chambre, tout au fond du couloir, la porte se referme. Comme d’habitude, elles en ont bien pour une heure.Trois minutes plus tard, j’entre dans la salle de bain, le cœur battant. On croirait que l’odeur de sa peau chaude n’a pas quitté la pièce. Je m’agenouille devant la corbeille à linge. Oui, elle est bien là, à portée de main, la petite culotte que maman a portée toute cette journée. Je la prends dans ma main : elle est de couleur crème, douce et soyeuse, garnie d’un mince liseré de dentelle.
Je la froisse un peu, la porte à mes narines : aussitôt, l’odeur enivrante de son intimité m’assaille. Je ferme les yeux et je m’imagine à genoux devant elle, le nez enfoui dans sa toison brune et odorante. Je me relève, baisse mon pantalon et mon slip sur mes chevilles. Dieu, comme je bande. Sur le bord du lavabo, ma mère a oublié sa crème pour la nuit : j’en mets une grosse noix – un scandale, vu le prix – dans ma main droite et j’empoigne mon membre. Continuant à respirer les fragrances de la petite culotte de maman, je me branle voluptueusement. Ma bite dure coulisse bien dans ma main refermée et le va-et-vient dans la crème produit un petit bruit excitant. En jetant un regard sur le côté, je me vois de profil dans la grande glace : petite culotte sous le nez, bouche ouverte, sexe tendu dans ma main qui bouge. Cette posture ridicule, au lieu de me faire débander, m’excite plus encore. J’accélère le mouvement de mon poignet : je sens mon sperme monter. Je retiens le râle qui me vient à la gorge et je recouvre mon gland de la petite culotte juste avant de jouir. Seigneur, comme je décharge !
Je reste prostré quelques minutes, reprenant doucement ma respiration. Puis je sursaute, maman peut entrer d’un instant à l’autre. Vite, je me reculotte, lave mes mains, rebouche le tube de crème et jette la culotte humide dans la corbeille : la femme de ménage la lavera demain, avec le reste. Vaguement honteux, je regagne ma chambre en silence, songeant à ma semence abandonnée dans la lingerie fine de maman.……………………………………………
« Je m’en suis aperçue ! »
Je sursaute : tout à mes souvenirs, je n’ai pas entendu maman rentrer. Comme à son habitude, elle lit par-dessus mon épaule !
« Hein, quoi, tu avais vu que j’avais…, dans ta culotte…, mais comment... ? »– Eh bien, la femme de ménage m’avait demandé un jour de congé pour le lendemain, alors, pour ne pas laisser le linge sale s’accumuler, je suis revenue dans la salle de bain pour faire une lessive !.. En prenant ma culotte, j’ai senti quelque chose d’un peu visqueux et je me suis bien vite rendue compte de quoi il s’agissait... !– Et…, et tu n’as rien dit ?– Allons Max, tu sais bien qu’on ne parle pas de ces choses-là ! Et puis, tu penses bien que pas une minute à l’époque, je n’ai cru que c’était toi ! Répondit-elle, en riant.– Mais alors, qui ?– J’ai tout de suite pensé à Hervé ! Voilà longtemps que j’avais remarqué les œillades énamourées qu’il me lançait, je ne savais pas qu’il était parti, alors j’ai cru qu’il s’était glissé dans la salle de bain après t’avoir quitté et qu’il s’était soulagé dans ma culotte !.. J’avoue que, loin d’en être scandalisée, j’en ai été plutôt flattée…, et même un peu troublée : imaginer ce grand gaillard se masturbant dans ma petite culotte… !– Ohhh ! Maman... ! »
Je dois avoir l’air du plus haut comique, car elle éclate de rire :
« Ça te va bien de jouer au père la pudeur, petit pervers ! »
Elle fait tourner ma chaise de bureau, debout devant moi, elle retrousse sa robe, passe ses pouces sous l’élastique de sa culotte de grossesse, la descend lentement, lève un pied, puis l’autre et elle me la tend. Ce n’est pas la minuscule chose d’il y a un an : celle-ci est de coton noir, elle a du mal à tenir dans ma main fermée ; je la porte à mes narines, je la hume. La même odeur me transporte. Maman s’est agenouillée entre mes genoux écartés, elle a ouvert ma braguette, elle tient ma hampe droite, promène sa langue humide sur l’extrémité du gland, sur le frein, lèche comme une petite fille le ferait d’une glace, tandis que je sniffe sa culotte comme un drogué.
Elle me pompe maintenant, régulièrement, profondément. Sa main gauche a entouré mes boules, la droite est allée rejoindre son clitoris entre ses cuisses : son ventre proéminent m’empêche de voir la caresse. Je ne tiendrai pas longtemps : ça y est, je me vide en gémissant dans sa bouche. Elle me reçoit les yeux fermés, n’avale pas. Une minute après, ses lèvres quittent ma bite ramollie, elle me fixe de ses beaux yeux verts, ouvre la bouche : je vois mon sperme sur sa langue, les filaments attachés au palais. Puis elle referme la bouche et avale tout à petites gorgées. Un instant plus tard, elle est debout, mutine et rieuse, elle me tire par le bras :
« Allez, allez, viens manger, tu l’as bien mérité, moi, j’ai déjà eu mon dessert ! »
……………………………..
Qu’on imagine bien ma situation à cette époque : dix huit ans dans quelques jours, encore puceau et amoureux transi d’une femme de vingt ans plus vieille que moi ! Qui plus est, cette femme est ma mère ! De quoi rendre cinglé le plus équilibré des garçons. Car, par ailleurs, je suis sportif, sérieux au lycée, je ne bois pas, ne me drogue pas, le fils idéal quoi.Comme tout bon intellectuel, je vais chercher dans la littérature classique (et même religieuse) ou les exemples d’inceste, consommé ou non, ne manquent pas. Mais ce n’est pas là où je trouverai la solution de mon problème : nulle part on ne donne la recette miracle pour convaincre une mère de coucher avec son fils ! Car, inutile de me voiler la face, c’est bien vers ce but que tend tout mon être. Rien que d’y penser, mon sexe durcit ; ah, pénétrer maman, sentir son corps se cabrer sous le mien…Mon père, cet hypocrite, possède tout un stock de romans pornographiques, que j’ai découvert depuis longtemps, dissimulé derrière le rayon des grands écrivains dans sa bibliothèque tape à l’œil. Deux ou trois ouvrages parlent du sujet qui m’intéresse, mais, là aussi, tout semble se passer normalement, si je puis dire : la mère, après un temps raisonnable et quelques manières finit par céder à son fils et le couple incestueux s’envoie en l’air sans se préoccuper de morale ou de qu’en dira-t-on. On voit bien que ces heureux jeunes gens n’ont pas à faire a une femme sérieuse, bonne catholique et, de plus, très amoureuse de son mari, malgré le peu de cas qu’il fait d’elle (mais qu’il sait bien dissimuler !)Qu’on me comprenne bien, je n’ai aucunes préoccupations morales ou religieuses, mais je sais la puissance des tabous, j’oserais même dire que, malgré ma jeunesse et mon inexpérience, la notion d’interdit ajout un piment supplémentaire à mon excitation perpétuelle : il ne s’agit pas de n’importe quelle belle femme à conquérir, il s’agit de ma mère, de celle qui m’a mise au monde et dans la matrice de laquelle j’imagine de jouir !Comme tout bon conquérant, j’établis un plan de bataille : il s’agit d’être là, toujours présent, toujours serviable ; de me rendre indispensable, ce qui ne sera pas trop difficile étant donné la quasi absence de mon père ! J’en profiterai au passage pour jouer les voyeurs, profitant de la moindre occasion pour me régaler de la moindre parcelle de cette douce chair que je convoite. J’avancerai mes pions peu à peu et puis je finirai par lancer l’assaut final et conquérir la place forte. Comme on le voit je ne doute de rien et je rêve déjà à ma victoire !Bien évidemment, tout cela est beaucoup plus facile à imaginer qu’à faire. Mon rôle de chevalier servant ne me pèse pas ; j’adore faire plaisir à ma mère et elle apprécie que je l’aide dans les tâches quotidiennes. Comme les épreuves du bac viennent de s’achever et que les soldes d’été battent leur plein, en attendant les résultats, je l’accompagne dans les magasins, porte ses emplettes ; j’ai même pu la surprendre une fois en petite tenue dans une cabine d’essayage. Sa vue, en soutien-gorge pigeonnant et en minuscule petite culotte m’a fait monter au ciel ! Bien sûr, elle ne s’est pas rendu compte que je la regardais.Plusieurs fois, je l’ai observé par la porte entrouverte de sa salle de bain ; confiante, elle ne ferme jamais au loquet, et puis, il n’y a personne d’autre que nous dans la maison. Mais la faiblesse de l’ouverture ne me permet pas de la voir en entier dans sa splendeur dénudée. Cependant, la vue d’une épaule parfaitement ronde, d’une jambe galbée, d’une cuisse pleine, et, dans le meilleur des cas d’une fesse ou d’un sein parfaits me transporte au nirvana.Un soir qu’elle téléphonait à Isabelle, ne faisant pas trop attention à sa tenue sur le canapé du salon, j’ai peu voir, au hasard de ses jambes croisées et décroisées, l’éclair blanc de son slip entre se cuisses un moment écartées ; J’ai aussitôt pensé à Sharon Stone dans la célèbre scène qui fit une grande partie de sa célébrité. Dans quel état aurai-je été si elle avait oublié de mettre une culotte !Dans deux jours, je fête mes dix-huit ans ; j’ai décidé que ce serait ce jour-là ou jamais. Maman est un peu triste depuis quelques jours car mon père est à l’un de ces congrès où il se rend de plus en plus souvent. Maman me demande ce que je veux faire pour fêter l’évènement : une sortie au restaurant, une fête avec mes copains (comme si j’en avais des dizaines !) Je décline toute ses suggestions : non, ce qui me ferai vraiment plaisir, c’est de passer la soirée avec elle, ici, tous les deux seuls à la maison, avec un petit diner en tête à tête
« Comme des amoureux » ai-je ajouté, la voix un peu tremblante. Elle a éclaté d’un rire frais
« Eh bien, tu n’es pas exigeant, petit chéri. Soit, je vais commander quelques douceurs à notre traiteur habituel ; et puis nous boirons quelques coupes de champagne pour l’occasion. »
Cet éclat de gaité passé, elle reprend son air un peu triste. Je sens qu’elle regrette la présence de son mari.Le grand soir est arrivé. La bonne a reçu l’autorisation de sortir jusqu’au lendemain. Le traiteur a livré le repas qui patient au réfrigérateur. Je mes suis habillé avec soin : chemise blanche au col ouvert, pantalon noir qui fait ressortir la sveltesse de ma taille. Sans me vanter, si j’étais une femme, je tomberai amoureux de moi ! Maman descend l’escalier : elle est superbe comme d’habitude : ses cheveux sont relevé en un savant chignon, elle porte une petite robe noire toute simple, qui s’arrête au dessus du genou, ras du cou par devant mais qui dévoile largement son dos. Avec une telle robe, impossible de porter un soutien gorge. J’en frémis !Je lui tend une coupe de champagne
« Quel dommage que ton père ne soit pas là pour cette occasion, dit-elle avec son petit air triste ».
Je me récrie, choquant s a coupe ; elle sourit
« Bon anniversaire petit chéri ! »
Nous parlons de choses et d’autres pendant quelques instants ; je veille à ce que sa coupe soit pleine, buvant assez peu moi-même. Il me semble que maman veut chasser ses idées noires en buvant un peu ; après trois coupes nous nous mettons à table dans le salon. J’ai mis une musique douce ; les mets sont raffinés. Nous continuons au champagne ; les yeux de ma mère brillent. Elle pouffe à quelques unes de mes plaisanteries, éclate de rire quand je décris les travers de plusieurs de mes profs.Le repas est achevé. Tout à mon entreprise de séduction, je serai bien en peine de dire ce que l’on a mangé ; maman dit
«Attends, je vais chercher du café. »
Elle se lève, chaloupe un peu sur ses hauts talons
« Ouh là, je crois que j’ai un peu trop bu ! Que vas-tu penser de ta mère »,
minaude-t-elle en mettant une main devant sa bouche. Elle revient avec le café, nous sert. La conversation s’alanguit ; j’en profite pour nous servir le reste de champagne. Elle rit
« Ce n’est vraiment pas raisonnable …. ».

Le moment est venu.
« Tu sais, maman, tu peux me faire un très beau cadeau ce soir. »
Elle est intriguée
« Lequel, petit chéri ».
« Eh bien, je voudrais que nous dansions ; cela fait longtemps que j’en ai envie. Je sais que tu es une très bonne danseuse : je t’ai vu à l’œuvre. »
Elle prend un air modeste, flattée cependant ;
« J’ai bien peur de n’être plus bonne à grand-chose ce soir ; tu m’as fait trop boire, vilain. Pas de valse, en tout cas, je tomberais ! Un slow, si tu veux, c’est tout ce que je me sens capable de danser » ;
Je cache ma joie ; bien sur ce la sert mes projets ; je vais pouvoir la serrer contre moi, tirer parti de cette intimité si particulière de la danse. Je mets un cd de slows, préparé de longue date, soigneusement choisi pour leur langueur. Maman se lève, vacille un peu, me tend les bras. Je l’attire contre moi. Ses seins se pressent sur ma poitrine, son bassin se colle au mien. Je pose une main sur son dos nu, les siennes viennent se nouer autour de mon cou. Il semble qu’elle veuille bien jouer le jeu ou bien est-elle trop pompette pour se rendre compte de l’indécence de notre tenue. Nous chaloupons sur place ; sa tête s’est posée contre mon épaule ; elle a fermé les yeux. Doucement, ma main caresse son dos nu. On entend nos respirations un peu oppressé : l’émotion ou l’alcool ? Ma main se fait plus insistante. Impossible qu’elle ne sente pas combien je bande tellement elle est serrée contre moi. Elle a soudain un petit sursaut : ma main s’est égarée en haut de ses fesses. Elle relève la tête, me regarde, surprise
« Maxime… »

Voila bien longtemps qu’elle ne m’a pas appelée par mon petit nom. Je me penche, dépose un baiser sur son oreille ; mes lèvres glissent sur sa joue, viennent se poser au coin de ses lèvres.
« Maxime, non, non… »
S’écrie-t-elle. Elle me repousse soudain avec force ; le charme est rompu.
« Mais qu’est-ce qui te prend ! Tu es fou ! »
Soudain dégrisée, elle me regarde avec surprise. N’y a-t-il pas de l’horreur un peu aussi : quoi, toi, mon fils chéri, tu as osé…Elle retire ses chaussures d’un air rageur, se précipite dans l’escalier, monte se réfugier dans sa chambre, loin de son fil indigne.
« On en reparlera… »
J’entends la porte de sa chambre claquer, sonnant le glas de mes espérances.
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Comme tous les soirs, maman a lu par-dessus mon épaule, son ventre pressé sur mon dos.
« Tu étais vraiment naïf à cette époque ! »
« Comment ça, naïf ? Tu m’avais planté là, tu étais partie en colère, que pouvais-je faire ? »
« Si tu avais eu un peu plus d’expérience, tu aurais vu que j’étais à deux doigts de succomber. Si tu avais insisté un peu, je serais tombée dans tes bras comme une pomme mure ! Qu’est-ce que tu croyais, que j’allais passer comme cela par-dessus des années de bienséance bourgeoise ? En fait, j’étais tellement excitée que dès la porte de ma chambre refermée, je me suis jetée sur mon lit, j’ai retroussé ma robe et passé ma main dans ma culotte. J’étais trempée ! Je me suis caressée comme une lycéenne et j’ai joui comme une malade. Ce qui a bien sur déclenché un gros sentiment de culpabilité !Décidément, les femmes et plus précisément les mères, sont des êtres difficilement compréhensibles ! »
Pendant qu’elle parle, se régalant de ma surprise, maman à passé une main dans mon pantalon de pyjama et caresse ma bite turgescente. Elle la prend à pleine main, la tire, me force à me lever, à la suivre vers la chambre.
« Viens, petit chéri ; tu vas pouvoir te venger sur la bête de ta vilaine maman ».
Ce que je me suis empressé de faire.
(A suivre si cela vous plait)
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