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Notre notaire confisque ma petite culotte

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Je m’appelle Camille, vous en apprendrez certainement un peu plus sur moi au fil des pages. Pour l’instant, sachez néanmoins que je suis au moment des faits tout à fait majeure au sens français et suisse du terme, et ceci, malgré le fait que j’adopte assez souvent une « tenue d’écolière ».
Ce matin-là, je devais me rendre à Neuchâtel pour déposer un nouveau dossier d’inscription. Il y avait également une audition de prévue pour l’après-midi. Mon père n’avait pas pu se libérer pour m’accompagner et il avait demandé à un vieil ami ex-associé de mon grand-père de nous conduire. Je dis bien « nous », car ma sœur Julie était également du voyage et cela me rassurait un peu, car je n’aimais pas trop la façon qu’avait ce monsieur de me reluquer. Notaire à Lausanne, j’ignore comment il en était venu à se proposer pour me conduire à l’HEC depuis Lavigny où nous habitions.
Sur la route, comme j’avais demandé que l’on s’arrête pour faire pipi, Maître Berney était venu me regarder et me caresser alors que j’étais accroupie. Nous avions raté l’aire de repos de Bavois près du Coudray et il avait dû sortir de l’autoroute pour que je puisse me soulager sur le bas côté derrière une palissade en bois.
Il faisait très chaud ce matin-là. Dans la voiture, j’avais enlevé ma veste d’écolière puis largement ouvert mon chemisier blanc déjà bien décolleté en en nouant haut les pans sous ma poitrine.Ce n’était pas une situation désagréable, mais elle me rendait néanmoins un peu honteuse, et c’est peut-être dès ce moment-là que j’appris à me sortir de l’embarras en plongeant le visage vers l’entrejambe et en prenant la queue dans ma bouche.Il attendit que je la lui sorte entièrement avant de me demander d’enlever complètement ma culotte. Je dus me relever légèrement pour m’exécuter puis ne sachant trop que faire, je la lui tendis. Il l’empocha immédiatement en me demandant autoritairement de reprendre ma position accroupie, jambes écartées, la jupe toujours enroulée autour de la taille.
Ensuite, il sortit son mobile et commença à me prendre en photo, sans se soucier le moins du monde de mes protestations. Réalisant la situation, j’avais peur que Julie descende de voiture et nous rejoigne. Je n’avais plus du tout envie, mais en suivant ses instructions, j’arrivai à lâcher deux trois jets pour le satisfaire. Il avait complètement sorti sa queue et ses grosses couilles aussi. Je n’avais aucune expérience, mais comparé à ce que j’avais pu sentir en tripotant deux ou trois fois, Julien, mon petit copain, au travers de son pantalon, le tout me paraissait énorme. Il était de nouveau tout près de moi, sans réfléchir, je tirai la langue et lui donnai un petit coup de lèche sur son gland tout congestionné.
Il y eut quelques instants de flottement pendant lesquels je n’arrivai pas à dissimuler mon trouble en découvrant que ce vieux cochon l’avait clairement trois ou quatre fois plus grosse que Julien. Je pensais qu’il allait prendre l’avantage et me soumettre. J’ai honte de le dire, mais je n’attendais que ça et je me sentis toute humide lorsqu’il me demanda d’ouvrir la bouche. Sans plus attendre, il me l’enfonça d’un coup jusqu’au fond de la gorge. J’étais affolée, j’étouffais et n’arrivais même pas à respirer par le nez.
J’attrapai ses couilles à deux mains et je les tirais brutalement vers le bas puis vers l’arrière en les serrant fortement. Je le sentis se raidir et se retirer entièrement de ma bouche me permettant de reprendre mon souffle. Je ne le lâchai pour autant, je tenais l’ami de mon père par la peau des couilles, bien serrée entre mes pouces et index.
Il se pencha légèrement en avant et dans le même temps je lui enfilai mon index bien profond dans le derrière. Je le sentis se raidir, mais il se laissa faire. J’entrouvris légèrement les lèvres pour sortir ma langue. Je m’apprêtai à lui lécher les couilles lorsqu’il me renfila sa queue dans la bouche en me traitant de petite pute et de salope.
Cela eut pour effet de m’exciter un peu plus. Je me mis à le pomper frénétiquement tout en lui enfonçant bien profond la peau de ses couilles dans le trou de son cul. Et, tout en faisant ça, je levai les yeux vers lui et lui jetai mon regard le plus innocent possible.
Je ne pouvais rien contre le bâton de chair qui m’étouffait, m’étranglait et me donnait même une furieuse envie de vomir chaque fois qu’il heurtait le fond de ma gorge ; à chaque coup de reins de plus en plus violent, je sentais les couilles du vieux tambouriner sur mon menton et mon nez s’écraser sur son pubis avec tous ses poils qui me rentraient dans les narines, cependant qu’un filet de salive me dégoulinait dans le cou. Dans un râle épouvantable, il se rendit enfin et je ne pus m’empêcher de hoqueter lorsque le sperme gicla au fond de mon gosier, j’avalai de travers et il me sembla que les couilles de monsieur Vincent n’en finissaient plus de se vider.
Il se retira enfin, m’ordonnant aussitôt de tout avaler en me traitant une fois de plus de petite salope.Je déglutis plusieurs fois sans le quitter des yeux, puis comme il me le demandait, j’ouvris grand la bouche pour lui montrer que j’avais tout bien ingurgité et sans que je ne puisse rien faire, dans le même temps, je ressentis une douce chaleur m’envahir.

Cette vague avait commencé par envahir l’ensemble de mon ventre puis elle m’avait inondée pour ensuite me transpercer en se ramassant pour se concentrer à nouveau dans mon ventre puis dans la poitrine. Une vague de frisson parcourut mon corps des pieds à la tête, je me relâchai et d’un coup, sans que je puisse le prévoir, je me remis à pisser à gros jets éclaboussant les belles chaussures vernies de Maître Berney.
Il ne restait plus que quelques minutes de trajet. Je m’étais de nouveau installée à l’arrière à côté de ma sœur, le siège passager restant vide. Sophie, toujours concentrée sur sa tablette, semblait ne s’être rendu compte de rien.
Le paysage défilait rapidement sur l’A1 entre Vosges et Alpes. Je ne pouvais m’empêcher de revenir en boucle sur ce qui venait de se passer. J’étais assise à côté de ma chère sœur dans cette voiture conduite par un homme de l’âge de mon grand-père et qui venait tout juste de m’injecter une pleine cuillère à soupe de son sperme épais et gluant au fond de la gorge.
Je réalisais aussi que je n’avais plus ma petite culotte et que j’allais devoir passer toute la journée cul nul sous ma jupe ultra-courte. Ce vieux cochon, après m’avoir permis de m’essuyer le visage avec, l’avait remis dans sa poche et maintenant, si les choses tournaient mal, je ne voyais pas trop comment expliquer que c’était notre notaire de famille qui avait confisqué ma culotte.
Alors que nous regagnions nos sièges, il m’avait dit qu’il m’avait trouvée bonne. Il n’y avait pas de lien de subordination entre nous deux, de ce fait je devais me considérer comme majeure sexuellement et il comptait bien en profiter pour faire de moi sa petite pute.
— Vois-tu, ma petite Camille, j’ai fait le pari avec trois de mes amis que d’ici la fin du mois j’aurais une vidéo de toi en train de jouer, l’Été et l’Hiver des Quatre Saisons, complètement nue.
Que pouvais-je répondre à cela ? Je baissai la tête, il continua à parler : il déclara qu’il avait bien vu que j’avais apprécié sa grosse queue, qu’il allait m’avoir enfin, me la mettre de partout et j’en redemanderai.Mais que m’était-il arrivé ? Lorsqu’il s’était baissé par-dessus moi pour me peloter les fesses, j’avais vu de près l’énorme bosse qui déformait son pantalon. Je ne sais toujours pas ce qui m’avait pris de la lui toucher, elle était devenue encore plus grosse puis je l’avais débraguetté... Elle était douce, longue et très épaisse. Il m’avait dit que depuis mes quinze ans, je lui mettais une gaule pas possible à chaque fois qu’il me voyait.Moi, cela m’avait vraiment fait un choc de découvrir que ce petit homme replet en avait une grosse comme mon avant-bras. À l’évidence je n’avais pas réussi à lui cacher que cela m’excitait et cette révélation me remplissait de honte. Comment expliquer que je me sois mise aussitôt à sucer ce vieux pervers qui avait l’âge de mon grand-père ?
À Neuchâtel, il nous laissa Sophie et moi devant la gare tout près de l’Espace de l’Europe, lieu de mon rendez-vous.Nous devions nous retrouver pour le retour tout de suite après mon audition en fin d’après-midi.Tout se passa très bien et je réussis ma première prestation sans culotte.Le retour fut rapide, et cette fois-ci sans pause pipi. Maître Berney nous déposa devant chez nous sans sortir de la voiture. Julie avait déjà poussé le portail lorsqu’il me rappela.
Il avait eu une communication professionnelle avec son associé Maître Imbert. Après un rapide débriefing, ils avaient parlé de moi. Il apparaissait que la manière dont je l’avais provoqué était inadmissible. Ils étaient tombés d’accord sur le fait que j’étais une jeune fille très vilaine, une petite perverse qui méritait dans les plus brefs délais une bonne fessée. Les deux hommes m’attendaient donc en leur étude dès le lendemain matin pour me remettre dans le droit chemin. Il précisa encore que je devais impérativement venir avec mon violon.

J’avais passé une bonne partie de la nuit à ressasser. Devais-je me rendre ou pas à ce rendez-vous le lendemain ? Une part de moi était résolument contre : quel macho pour s’imaginer un instant que je pouvais avoir envie de le revoir après ce qu’il s’était passé entre nous ! Ce type n’était qu’un vieux pervers qui ne me méritait pas. Et pourtant je n’avais pu m’empêcher de repenser au plaisir qu’il m’avait donné et que j’avais ressenti bien malgré moi au moment où il m’avait rempli la bouche.
C’était moi la vicieuse et puis il y avait aussi toutes ces pensées qui m’avaient agitée une partie de la nuit. Ce soir-là, mon cinéma intérieur, les histoires que je me racontais parfois avant de m’endormir, tout en frictionnant l’une contre l’autre les lèvres de ma vulve, étaient revenues en force.
Des histoires que j’avais conçues d’une manière bien mystérieuse, bien longtemps avant d’avoir mon premier rapport sexuel. Pourquoi choisir précisément le scénario « Salle de Cinéma » pour m’exciter en repensant à mon notaire, je l’ignore.
Sans doute le fait que lors de notre dernière rencontre, Julien et moi avions envisagé d’aller voir un film pour notre prochaine sortie.Ce scénario était en fait plutôt banal. Dans un premier temps, je me retrouvais seule à monter les marches du Centre Courier. Beaucoup de monde faisait la queue. Tout à coup, quelqu’un commençait à me presser le derrière. Là encore, tous mes voisins dans la queue suivaient l’exemple, et, quand j’arrivais devant le guichet, la caissière voyait qu’on m’avait retroussé la jupe et je lui parlais pendant que quelqu’un se frottait sur mes fesses ; je n’avais pas de culotte. L’échauffement gagnait. Je me retrouvais à moitié dépoitraillée le temps de traverser le hall.
Pour la suite, j’avais imaginé plusieurs variantes. Dans l’une, une fois arrivée dans la salle, je retrouvais comme par hasard ( !!! ) Maître Berney accompagné de Maître Imbert que je ne connaissais pas encore. Dans l’autre, ma préférée, j’étais également accompagnée par mon fiancé qui ne s’était aperçu de rien pendant la queue. Une fois installés dans la salle, les deux notaires venaient nous rejoindre. Après les présentations, mon fiancé laissait la place à Maître Imbert qui voulait faire ma connaissance ; je me retrouvais ainsi encadrée par les deux notaires, mon fiancé relégué à l’écart préférant passer sur la rangée de devant. Et aussitôt les deux vieux cochons de passer les mains sous mes jupes et de m’enfoncer directement les doigts en s’apercevant que je n’avais pas de culotte. Ils me pelotaient ainsi pendant toute la première partie du film. Pendant que je m’affairais avec l’un, que nous nous embrassions goulûment, l’autre me caressait.
Puis j’opérais un demi-tour pour embrasser ce dernier, mais le premier ne lâchait pas son étreinte, et ainsi de suite, je basculais sans cesse de droite et de gauche. Ensuite je quittais mon siège, ma jupe toujours enroulée autour de ma taille et me déplaçais pour me mettre à gigoter, coincée contre l’un ou l’autre sur un même fauteuil. Mon fiancé ne semblait se rendre de compte de rien. Je m’imaginais qu’il n’osait rien dire ou que cela l’excitait de voir que je me laissais faire par ces deux gros vicieux. Finalement, m’ayant enfiévrée au maximum, j’allais aux toilettes et un va-et-vient s’installait entre celles-ci et la salle.
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