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Notre notaire confisque ma petite culotte

Chapitre 5

Contrat de stage

SM / Fétichisme
Je m’appelle Camille, je viens tout juste de réussir mon examen de maturité (Baccalauréat) session d’hiver avec une mention très bien et une moyenne générale de 5.6. J’espère maintenant être définitivement retenue pour un stage d’été dans un important office notarial de Lausanne. Pour cela, il me faut encore réussir un dernier entretien avec Maître Duriez, le dernier et le plus âgé des trois associés de l’office. J’ai bon espoir. Sans le connaître personnellement, je sais que Maître Duriez a longtemps travaillé avec mon grand-père, mais avant tout, je crois que mes deux précédents entretiens avec ses collaborateurs ont été assez concluants (voir épisodes précédents). J’espère sincèrement avoir fait tout le nécessaire pour que ces messieurs prennent conscience de mon potentiel et de tout le bénéfice qu’ils peuvent tirer d’une jeune étudiante consciencieuse et très perfectionniste.
Une fois de plus, mon rendez-vous, prévu initialement pour le surlendemain, est annulé au dernier moment et mon entrevue avec Maître Duriez reportée d’une semaine. Cette fois-ci, je reçois l’information non pas par SMS, mais par mail avec accusé de lecture. Après tout, ils sont notaires, alors, pas de quoi s’étonner et la prochaine fois qu’ils auront besoin de mon cul, je pourrai aussi bien m’attendre à recevoir des directives par lettre recommandée avec A. R.

Le courriel précise que je dois impérativement me présenter à Maître Duriez en jupe courte, escarpins et bas maintenus par des jarretelles, pas de collants ni de bas autofixant. Je suis également informée, qu’au cours de cette visite, il me faudra, afin de tester mon sens pratique, me débrouiller pour mesurer le sexe en érection de Maître Duriez, prendre des photos témoins de preuve sur mon mobile et enregistrer les dimensions. Je dois également prévoir, si ce n’est déjà fait, de faire la même chose avec mon petit ami Julien. Ces gros cochons souhaitent que j’aie connaissance des différences de proportion de chacun au moment des pénétrations à venir.
Je cite :
— Camille, à chaque fois que tu prendras une nouvelle bitte dans le cul, il sera essentiel que tu puisses la situer en volume, proportions ou pourcentage par rapport à l’ensemble de tes autres partenaires. Tu devras pouvoir, sur simple demande et publiquement, fournir ces informations au moment de chaque prise. En particulier, tu devras systématiquement informer chacun de tes nouveaux partenaires de ses proportions par rapport à celles de ton fiancé et lui communiquer ton ressenti par rapport à cette comparaison. Il te faudra, en outre, pour chaque rapport, en consigner tous les paramètres par écrit, en regard des caractéristiques de chacun de tes partenaires. Taille du sexe, orifice utilisé, durée de l’acte, éjaculation, intensité de la jouissance, rougeurs, fessées, présence de cris, de couinements, paroles grossières échangées, photos éventuelles... Cette présentation devra obligatoirement figurer dans ton journal annexé à ton compte rendu de stage et comptera dans ta note finale.
Pour cela, ils me conseillent de réfléchir sans plus tarder à la méthode. Un tableau Excel approprié serait le mieux. Un tableau qui pourrait servir de base à une étude statistique remplie de graphiques, camemberts et autres courbes, tout cela pour mettre en évidence les différentes possibilités d’exploitation de mon cul de jeune pucelle. J’avoue que le sens de la démarche m’échappe un peu. Je vois seulement qu’il est, d’ores et déjà prévu qu’une grande quantité d’hommes vont m’avoir et cela m’excite.
Il est vrai que, sur le moment, je n’avais pas la moindre idée de l’ampleur des écarts que j’allais être amenée à constater chez mes futurs partenaires, tant au niveau des exigences sexuelles que des performances. Comment imaginer à 18 ans autant de perversions et de manières différentes d’utiliser un cul de femme ? Non, je ne m’attendais pas à un tel sujet pour un rapport de stage.
En ouvrant ce mail sur mon ordinateur portable, dans ma chambre, je commence immédiatement à mouiller. J’écarte les cuisses pour me toucher, sans me soucier de ma sœur qui vient d’arriver et me parle depuis le couloir. Je m’imagine déjà, à poil à faire la salope et à tortiller du cul dans les couloirs de l’étude, simplement vêtue de mes bas et d’un porte-jarretelles. Dans ma vision, je n’ai aucune difficulté à faire bander mes petits vieux comme des ânes. Lequel d’entre eux allait-il être le premier à m’enfoncer sa grosse bite dans le cul ? Cela me titille vraiment. Depuis le début, je sais que je vais y passer et que ces gros cochons vont tous m’enculer. Après tout ce qui m’est déjà arrivé à l’étude, je suis bien certaine que ces vieux dégueulasses se sont mis d’accord pour se servir et jouir de mon petit derrière en premier. Ils vont commencer par me dépuceler du cul. Je vais devenir une petite enculée. Leur petite enculée de stagiaire.
J’enfonce deux doigts dans ma chatte et demande à ma sœur de me laisser tranquille. Je continue ma lecture.
Le courriel précise également qu’un modèle de contrat de stage est joint en pièce attachée pour signature. Il m’en faut approuver toutes les clauses en paraphant toutes les pages avec mention lue et approuvée manuscrite et date et signature en dernière page. Je me prépare à l’enregistrer dans Mes Documents, quand, dans ma hâte, je lance l’édition par erreur. Je me précipite dans la chambre de ma sœur où est installée l’imprimante partagée. Par chance, elle s’est contentée de lire la page de garde : Contrat de Stage Camille ... étudiante ... du 16 mai au 15 novembre... Mes explications lui donnent satisfaction et elle ne cherche pas à en savoir davantage, je récupère les feuillets et retourne dans ma chambre.
Il s’agit d’un document d’une bonne vingtaine de pages. Je me contenterais d’en reprendre quelques passages. Des clauses particulièrement vicieuses et perverses sont dissimulées au milieu d’un texte tout ce qu’il y a de plus standard.
Ainsi, le préambule décrit classiquement le lieu de travail, mes horaires, ma fonction, la durée du stage, puis d’un coup, une petite phrase inattendue mentionnée comme clause principale dite d’exclusivité spécifique précise que je dois m’engager à être leur pute et à satisfaire tous leurs besoins pendant toute la durée de ma formation. Je dois également accepter la publication de photos et vidéos sur internet. Cette première clause précise, en outre, qu’il me faudra tenir un journal détaillé sur lequel tout devra être consigné. Je comprends alors l’intérêt du fichier Excel mentionné plus haut. Plus précisément, ce journal, annexé à mon rapport de stage servira de base à une publication privée sur internet, publication agrémentée de photos et de vidéos pour lesquelles je dois donner mon accord par avance. Il servira de référence pour justifier de ma note de stage finale qui dépendra également de la manière dont mes mentors apprécieront mon évolution et mes progrès.
En tout début de contrat est également précisée ma tenue vestimentaire pendant la durée du stage. Je dois m’engager à me présenter sur mon lieu de travail en jupe ou robe courte chaussée obligatoirement d’escarpins à talons hauts (surtout pas de baskets). Mes sous-vêtements sont également imposés. Pendant toute la durée du stage : uniquement des bas avec porte-jarretelles ou guêpière et une petite culotte blanche taille haute en coton. La culotte sera portée au-dessus du porte-jarretelles pour commodité d’accès.Je trouve tout cela parfaitement ridicule et hors propos, même si, depuis le début je pense que cela m’excitera de me plier aux fantasmes de ces vieux pervers. En résumé, ils me veulent habillée en pute avec une culotte de petite fille ou plutôt grande fille à fleurs ou en coton rose à trouver chez Petit Bateau ou Vert Baudet.

Pour terminer, il est précisé que je devrai toujours avoir au moins une petite culotte en réserve dans mon sac. La robe ou la jupe pouvant être plissée et ample ou très ajustée avec dans ce cas une fermeture éclair sur toute la longueur, mais, toujours courte, juste à la limite des bas, de manière à ce que je sois en permanence obligée de me tortiller et de tirer dessus pour éviter que l’on puisse voir mes jarretelles et la limite des bas. Je pourrais également, à l’occasion, porter une petite jupette écossaise d’écolière à condition d’enfiler des chaussettes blanches par-dessus mes bas.
Par ailleurs, le document insiste à de nombreuses reprises sur la conduite et l’attitude que je devrai adopter. Docilité totale sera de mise. Je m’engage à être leur chienne obéissante prête à passer sous leur bureau à la moindre sollicitation. Il me faudra également, sur simple demande, me mettre à disposition des meilleurs clients de l’office et ne pas hésiter à leur montrer mes mamelles ou leur laisser visiter mon cul tout à leur convenance.
En lisant ces lignes, je tente d’estimer le nombre de clients de ce gros cabinet et je ne peux m’empêcher de me demander combien ils seront à avoir la pleine jouissance de mon cul pendant les six mois de stage. Cela me fait tout chaud dans le bas du ventre et je délaisse un instant mon clitoris, que je n’ai pas arrêté de titiller depuis le début de ma lecture, pour essayer de m’enfoncer ma main tout entière dans la chatte.
Je me concentre ensuite assez longuement sur un paragraphe intitulé « clause de productivité » ou clause d’engagement de production de lait par la stagiaire, le relisant plusieurs fois.Entre temps, je m’informe sur un site wikihow en tapant simplement « comment sécréter du lait » sur un moteur de recherche. Je constate alors qu’il est effectivement possible que les femmes qui ne sont pas ou n’ont pas été enceintes produisent du lait maternel.
Ce paragraphe traite, en détail, la manière dont ma lactation provoquée sera censée se dérouler, pour aboutir au bout de quelques semaines seulement à une production de lait quotidienne supérieure à un litre. La méthode choisie est la plus simple, pas de tire-lait, pas d’hormones, le résultat sera simplement obtenu en me triturant et en me pompant les mamelles toutes les 2-3 heures pendant 15 à 20 minutes.
Il est bien précisé qu’il existe plusieurs méthodes et que produire du lait maternel de cette façon prend plus de temps et nécessite de plus gros efforts. Je retiens que pour atteindre cet objectif, il me faudra être à disposition et prête à me laisser sucer les mamelons et caresser les seins par de parfaits inconnus. Et ceci tous les jours, jusqu’à ma montée de lait.
Utiliser la méthode de succion pour provoquer la lactation demande des partenaires qui sachent bien téter et ceci, selon un emploi du temps très strict. Ils pourront également s’y mettre à plusieurs et me masser aussi les seins tout entiers en utilisant chacun leurs deux mains. Il est écrit que cette autre méthode consiste à stimuler mes mamelons et mes aréoles en utilisant les doigts et les pouces, en les massant et en les faisant rouler entre les doigts. C’est bien cette technique qu’il me faudra également appliquer moi-même pour au moins une séance de nuit. En lisant ce dernier passage, je réalise alors qu’insensiblement et sans m’en rendre compte j’ai déjà pris une certaine avance en commençant au fil de ma lecture, à me toucher et à presser mes aréoles tout en tirant sur mes mamelons.
J’arrête et essaye de me concentrer. Je reprends ma lecture en relisant ce dernier passage qui se termine ainsi :
— La clause "Lactation de Camille" est une composante obligatoire de cette prestation de stage. Elle sera sanctionnée par une note calculée à partir d’un barème basé sur sa production de lait. (Un bonus étant prévu pour une production supérieure à 1300 ml), mais également sur sa capacité de stockage. À savoir : une majoration de 10% sera attribuée pour une Camille arrivant le matin à l’étude avec des seins bien gonflés, à savoir, avec une rétention de 500 ml par nichon pouvant lui permettre de donner immédiatement le sein ou de les faire gicler à la demande.
Le dernier point précise encore que je suis dans l’interdiction de me faire prescrire la pilule et, dans le cas où je la prendrais déjà, je dois m’engager à l’arrêter dès le début de mon stage. Les pilules contraceptives contiennent de l’œstrogène, un inhibiteur de lactation. Il est précisé que cette absence de contraception ne me donnera, en aucun cas, le droit de me soustraire à des rapports potentiellement fécondants même en pleine période d’ovulation.
Quelle salope je fais, je réalise que je suis en train de mouiller ma culotte à la seule pensée d’être engrossée par l’un de ces cochons ou un vieux client inconnu. En même temps, je m’interroge sur le fait qu’il puisse y avoir autant de messieurs que ça pour se porter candidat à me téter quotidiennement. Quelle naïve, j’étais bien loin du compte !
Le courriel se termine en précisant la date et l’heure de mon rendez-vous. Je serai attendue pour venir faire la salope à partir de 17 heures.
Ce nouveau délai est suffisant pour commander des sous-vêtements sur Amazon. Cela m’évitera de me servir, une fois de plus, dans les tiroirs de ma mère qui va bien finir par s’apercevoir un jour de la disparition de ses sous-vêtements les plus affriolants. Je commande une guêpière courte satin et dentelle avec armature « modèle bleu et noir Beauty night », en promotion à 29,90 euros ainsi que trois paires de bas : une paire rose et deux noires. Le tout pour moins de 50 euros. Pour plus de discrétion et éviter les questions gênantes, j’opte pour un point relais à Divonne les Bains qui se trouve sur notre route pour Lausanne.
J’ai l’intention de demander à Julien de me conduire à ce rendez-vous en lui proposant, pour l’occasion, une virée à la patinoire-piscine de Montchoisi toute proche. Je suis certaine qu’il ne refusera pas cette occasion de me voir en maillot de bain. Tout est calculé : je retirerai mon colis en chemin, un soi-disant cadeau pour mon père et ensuite nous nous rendrons directement à la piscine. Après le bain, je n’aurai plus qu’à passer mes sous-vêtements de salope dans les vestiaires qui proposent des cabines individuelles. Il sera alors bien temps de prévenir Julien de mon intention de passer à l’étude pour régler quelques formalités relatives à mon stage.

Le mercredi, en sortant de notre séance de cinéma hebdomadaire, j’invite Julien chez moi. Je l’ai juste émoustillé ce qu’il faut. Il est très chaud pour ne pas dire fou de désir en arrivant dans ma chambre. J’ai préparé le terrain en lui posant plusieurs questions sur son sexe : est-il vrai que les garçons s’inquiètent autant de la taille de leur sexe ? Font-ils des comparaisons ? Etc. Finalement, il accepte de me le montrer, mais je ne vois pas vraiment comment faire pour qu’il se prête à une séance de prise de mesures.
Nous chahutons un peu sur mon lit, il est en confiance, mais comme à son habitude, il n’ose pas aller très loin. Je propose de jouer aux mots interdits, histoire de pimenter un peu les choses. Il perd régulièrement, mes gages sont anodins au début puis je me lance : il doit me laisser lui cracher dans la bouche ce qu’il accepte sans rechigner, le suivant est d’enlever son pantalon, puis de me lécher le bout des chaussures. Visiblement il prend plaisir à me laisser le dominer. Il aime que je l’humilie. Bien sûr, je m’en doutais, mais pas à ce point. Je comprends qu’il fait exprès de perdre. Je réalise que je vais pouvoir faire de lui absolument tout ce que je veux et cela va bien me simplifier la tâche. Depuis le début j’ai ma petite idée, en arrivant, j’ai pris la peine de glisser dans mon soutien-gorge le petit mètre en papier récupéré lors de mon dernier passage à l’Ikea d’Aubone.
Maintenant, à moi de jouer. J’ai un mal fou à le laisser gagner. Il me demande de lui montrer mes seins et bien sûr je refuse. En échange, je lui propose de lui montrer ma culotte. Julien est tout content, il n’en revient pas que je le laisse me caresser un peu les fesses, il est aux anges. Puis, nous nous embrassons et je le laisse me mettre la langue. Je la lui suçote.
L’instant d’après, j’enlève ma culotte et m’assois tout de go sur le visage de mon petit copain. Tout en défaisant sa braguette je lui donne mes instructions sur comment utiliser sa langue. Il bande très fort, je le traite de petit cochon en la lui sortant. Je n’ai aucune difficulté à le mesurer sans qu’il s’en aperçoit, occupé qu’il est, à se demander ce qu’il peut faire entre mes fesses. Je mémorise sa longueur : 11,5 centimètres et j’entaille le fragile ruban aux dimensions de sa circonférence. Son gland est tout petit. Je prends tout mon temps en comprenant qu’il ne cherchera pas à se dégager.
En me penchant vers lui, je sens son souffle entre mes cuisses. Je baisse son pantalon et son slip et reprends une série de mesures plus précises cette fois. Tout juste 11 centimètres et ses couilles me paraissent minuscules. On dirait juste deux petites balles de ping-pong. Je n’en reviens pas, mais cela m’excite. Il me paraît vraiment tout petit comparé aux proportions de mes deux notaires. Comment de tels écarts sont-ils possibles ? Je n’aurais jamais pensé qu’il puisse exister de telles différences entre hommes.
Il faudra que je vérifie sur internet. Je parviens en me tortillant à saisir mon mobile posé sur la table de nuit et je prends une série de clichés en maintenant tout près le petit ruban de papier gradué le long de son sexe. Je frotte bien tout mon entrejambe contre son visage en me balançant d’avant en arrière. J’empoigne mes fesses à pleines mains et les écarte au maximum en lui intimant d’enfoncer sa langue dans mon trou du cul et aussitôt, je deviens très grossière.
— Ah oui vas-y, continue mon salaud, je la sens, comme ça, vas-y encore, fais-la bien frétiller, enfonce-la encore plus dans mon trou du cul. — Mmmhh, mmmhh.
Cette petite nature manque visiblement de souffle, je me soulève légèrement.
— Encore, plus fort. J’adore me faire enculer avec ta langue...
En même temps, je me doigte frénétiquement puis je me penche en avant. J’ai sa petite queue sous le nez, je laisse couler un long filet de salive, je me racle le fond de la gorge et crache à petits coups sur son mignon petit gland tout rose, puis, je me mets à lui souffler sur sa queue complètement détrempée. Aussitôt, il frémit, trésaille, un nouveau crachat, puis mon souffle. Le chaud et le froid font leur effet, beaucoup plus que ce que je n’aurais pu l’imaginer.
Encore quelques secondes et il éjacule en l’air, tout droit, sans que j’aie eu même besoin de le toucher. Je le sens suffoquer. Il a du mal à reprendre sa respiration entre mes fesses que je ne cesse d’agiter. Comme il fait mine de se dégager, je l’attrape par ses petites couilles pour le maintenir et je l’oblige à continuer à me lécher tout en l’insultant. Je vois bien qu’il aime ça. Malheureusement, je sens une envie pressante qui va m’obliger à couper court à cette séance. Je lui en parle et il accepte même l’idée de me nettoyer avec sa langue une fois que je serai allée aux cabinets.À mon retour, il est toujours allongé conformément à ma demande. Je commence à réaliser à quel point je le domine.
Ce pauvre Julien est totalement sous mon emprise. Je peux faire de lui tout ce que je veux. Je lui demande d’écarter les cuisses, je me penche et lui enfonce mon index dans le cul, puis je le touille sur son ventre ramassant au mieux les quelques gouttes de sperme qui commencent à sécher. Je lui demande de tirer sa langue puis de venir lécher mon doigt. Je recommence plusieurs fois l’opération avec tous mes autres doigts qu’il suce docilement avec application, puis j’enlève ma culotte toute trempée et je lui enfourne dans la bouche. Pendant que j’étais aux toilettes, je me suis reculottée exprès pour faire pipi dedans. J’ai pris beaucoup de plaisir à uriner longuement dans ma petite culotte en pensant à mon petit ami et maintenant le spectacle de mon urine lui dégoulinant sur le menton me fait monter la température. Cette chaleur qui commence à monter et à envahir le bas de mon ventre...
Je soulève ma jupette et la tenant relevée coincée entre mes dents je m’approche du lit, je fléchis, les cuisses écartées, au plus près de son visage qui dépasse du lit.
Je m’approche encore pour que ma chatte soit bien au niveau de ses yeux. J’écarte mes lèvres.
— Regarde bien Julien, je veux que tu saches quoi faire pour bien me téter le clitoris la prochaine fois. OK ?— Oui Camille...— C’est très facile, avec une main tu places un doigt de chaque côté du clito, par exemple l’index et l’annulaire, tu places le majeur juste au-dessus du clito, et tu fais coulisser tout en appuyant un peu, et là tu vois apparaître le clito. Plus tu tires fort avec tes doigts, et plus mon clito va se découvrir. Il ne te reste plus qu’à le caresser avec l’autre main ou avec le bout de ta langue. Voilà, je te montre. Je te conseille de bien humecter tes doigts de mouille ou de salive ou même de pipi.
Et, joignant le geste à la parole je récupère ma pisse qui goutte de son menton jusque dans son cou.
— Tu sais quoi, Julien ? Je vais faire de toi un petit lèche-cul. Tu vas devenir mon lèche-cul attitré. Tu devras répondre immédiatement à mes SMS et venir t’exécuter. Tu tiendras un journal détaillé de tes interventions. Lieu, heure durée, conditions tout devra être consigné et mis à disposition dans le Cloud.
Emportée par l’excitation, je ne réalise qu’après coup ce que je viens de dire. Je suis en train de mettre en pratique pour mon compte des pratiques vicieuses inspirées des cochonneries que j’ai pu lire sur mon contrat de stage. Contre toute attente, Julien reste sans réaction. Je lui demande d’approuver et de donner son accord.
— Oui Camille, je suis d’accord pour devenir ton petit lèche-cul. Je ferai tout ce que tu commanderas.
Sa servilité, sans trop m’étonner, me remplit d’aise. Je vais vraiment pouvoir faire de lui tout ce que je veux. Je lui demande de me laisser le filmer en train de déclarer qu’il est un petit cochon. Pendant qu’il s’exécute, des pensées folles me traversent l’esprit. Je vais lui faire passer mon collant rose et l’obliger à rentrer chez lui avec, ensuite je l’obligerai à le porter à chacune de nos rencontres.Ou mieux encore, je vais le photographier en train d’essayer les sous-vêtements de ma mère. Je suis sûre qu’il acceptera de se laisser féminiser et que ce petit vicieux va adorer renifler les petites culottes de maman.
Je me vois ensuite passer dans la cuisine pour lui faire récurer les plats que ma mère m’a demandé de nettoyer en partant au travail ce matin. Une fois tout bien nickel, je le sodomiserai avec tout ce que je pourrai sortir du grand bac à légumes du frigo. Une carotte, puis une grosse courgette pour commencer. Il se mettra à quatre pattes et se laissera faire. Est-ce que j’irais jusqu’à le photographier ainsi habillé en femme avec un gros poireau dans le cul ? Après ça, je pourrai en faire ma chose.
En attendant, je me contente de le regarder s’habiller. Toutefois, je ne peux m’empêcher de lui faire faire un petit test pour éprouver sa docilité. À ma demande il accepte d’enfiler de vieux collants roses un peu trop petits pour lui sans discuter. Je sais que mes parents ne vont pas tarder et il me semble que ma sœur est déjà arrivée. Il est temps qu’il parte. Je l’empêche de remettre son slip par-dessus mes collants transparents qui ne cachent pas sa toute petite bistouquette déjà toute raide. J’attends qu’il soit complètement habillé pour me remettre à l’astiquer.

Je l’accompagne dehors sans cesser de caresser sa queue au travers de son pantalon et là une fois dans la cage d’escalier je m’applique une fois de plus à passer et repasser mes mains sur son bas-ventre. Je réalise que je suis sortie simplement vêtue d’un débardeur blanc qui m’arrivait au ras des fesses et pas de culotte. Se balader ainsi dans les parties communes... Je suis vraiment devenue une petite putain exhibitionniste en l’espace de quelques semaines. Je remonte mon débardeur jusque sous la poitrine et le derrière complètement à l’air, je me colle de dos contre Julien. Je me penche légèrement en avant et frotte son bas-ventre en faisant tourner mon cul comme une roue.
Il y a du bruit dans la cage d’escalier, des gens parlent deux étages plus bas. Je le sens attraper les bords de mon débardeur. Je pense une seconde qu’il va me l’enlever et me foutre complètement à poil sur le palier ou bien me sortir les nichons. Je suis terriblement chaude. À cet instant précis, s’il le voulait, cet idiot pourrait me baiser et me dépuceler, mais il se contente de tirer mon débardeur vers le bas pour essayer de me couvrir au maximum. Moins de trente secondes et je le sens qu’il éjacule balançant tout son jus dans mes collants roses de petite fille. Je l’embrasse et le pousse dans l’ascenseur qui vient d’arriver. Mon Julien chéri va une fois de plus rentrer chez lui tout poisseux.
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