Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 154 J'aime
  • 6 Commentaires

Notre notaire confisque ma petite culotte

Chapitre 9

Mon dimanche en famille.

SM / Fétichisme
L’église catholique romaine du Sacré-Cœur est située à quelques centaines de mètres de la piscine de Montchoisi tout près de l’étude notariale.Ce dimanche contrairement à mon habitude, je me lève assez tôt, ce qui surprend mes parents qui habituellement doivent s’y reprendre à plusieurs fois pour me tirer du lit. Chose encore plus étonnante, je suis la première prête à partir. La messe commence tous les dimanches à 10h30 et pas question d’arriver après le début de l’office.
Pour l’occasion, j’ai mis ma robe cerise blanche. Une robe rockabilly blanche avec motif cerises et ceinture rouge, qui fait à la fois pin-up tout en restant très sage. Et pour les dessous, ma culotte blanc cerise assortie à la robe. Une petite culotte à la fois romantique et rétro. Pour le reste, je suis les instructions, bas noirs et mini-porte-jarretelles.
Ma mère s’étonne de ma tenue, mais sans plus, d’après elle, la robe blanche fait très estivale alors que les collants noirs ont un look hivernal. Si maman savait que je porte des bas avec un porte-jarretelles et qu’en plus j’ai un gode dans le cul !
Comme tous les dimanches matin, la route est libre et nous sommes dans les premiers arrivés à l’église. Julien nous rejoint peu de temps après. Fidèle à son habitude, Maître Duriez arrive à son tour quelques minutes après nous.
L’église est petite, des rangées de six sièges de chaque côté de l’allée. Elle se remplit progressivement et j’ai même la surprise de constater la présence de M. Edmond le gérant du club Hyppique. Il vient s’installer dans la rangée voisine, juste derrière moi. Ainsi, dans cette église, ils sont déjà maintenant deux hommes à m’avoir vue nue à faire la salope rien qu’avec des bas et un porte-jarretelles. Et en plus ils ont vidéos et photos de moi. Je sens mon visage s’empourprer, je suis morte de honte.
Dès le départ, vu les directives que j’avais reçues, j’avais compris que quelque chose se tramait et devait se produire pendant notre sortie familiale du dimanche. Un truc bien vicieux se préparait maintenant dans l’église même. Deux vieux cochons allaient prendre le contrôle de mon cul pendant l’office et en présence de mes parents et de mon fiancé.
J’étais certaine que chacun d’eux avait une télécommande dans la poche et allait profiter et s’amuser de moi. En même je réalisais tout à coup que cet avilissement m’excitait. En effet, des fourmillements caractéristiques se manifestaient dans mon bas-ventre.
Le fait d’accepter, de me soumettre, de ne pas envisager d’autres alternatives que de subir et d’obéir à ces hommes mettait bien en évidence un côté de ma personnalité dont j’ignorais jusqu’à présent l’existence.
Mais rien ne se passait. Force m’est de constater que mon vibrateur lapin toujours bien en place ne se réveille pas. Pour l’instant du moins. Je viens juste d’entonner un premier chant d’entrée "Bénissez le Seigneur" lorsque je sens les premières vibrations dans mon anus.
Je vocalise de plus belle. Mon tourmenteur est un véritable expert, il suit le rythme, plus haut, plus fort, il accompagne mon chant, me pilote par le derrière et tout ça remonte jusque dans mes cordes vocales. C’est délicieux. Puis vient "Jubilez, chantez, familiers du Seigneur". Encore un chant rythmé qui me permet d’exprimer au su et au vu de tous le plaisir qui m’envahit. J’entonne ce deuxième cantique avec encore plus d’entrain. Les vibrations dans mon cul sont encore plus intenses. J’ai l’impression qu’un deuxième homme présent dans l’assistance a pris à son tour le contrôle de mon derrière et qu’ils sont deux à profiter de moi. Je me doute bien de l’identité des deux cochons en action.
Puis vient le temps du recueillement et de la communion. Je ne sais trop que faire. J’ai conscience de mon état de péché et de ma dépravation. Je suis une vilaine sodomite et mon état de pécheresse devrait m’interdire la communion.
Mais que faire ? Que vont penser mes parents et amis si je reste sur mon siège ? Non, je ne peux pas faire autrement, le chant de communion se termine au moment même où je quitte mon siège, le deuxième moteur active le vibrateur lapin. Quelle sensation ! En rejoignant les fidèles dans la longue file d’attente pour recevoir la communion, j’ai du mal à retenir un petit cri.

Une seule personne s’est levée après moi et je reconnais M. Edmond. Je me retourne rapidement, il me sourit, il ne fait rien pour me dissimuler sa petite télécommande, ses doigts s’agitent et je ressens comme une décharge au niveau de mon clitoris. Il se rapproche encore de moi, pratiquement à me toucher. Je sens son souffle dans mon cou. Les vibrations sont de plus en plus intenses, je dois serrer mes jambes, mon clito est déjà trop excité, il me fait presque mal, à peine si j’entends l’homme derrière moi qui s’est encore rapproché. Je sens mon ventre se contracter. Mon cerveau se coupe du reste du monde.
Les oreilles du lapin sont terriblement efficaces. Je me sens partir, la file avance, M. Edmond me serre toujours de près, il me murmure à l’oreille des "Petite salope, tu aimes ça, hein, que je te fasse jouir ? Hein, avoue..."
Je réponds par des hochements de tête et des "Huumm."
— Tu me fais bander, je vais faire de toi ma chienne, d’ici ce soir tu vas me lécher le cul...
Toutes ces obscénités ont pour effet d’accroître encore mon excitation. C’est mon tour, je m’agenouille et après avoir dit un "Amen", j’entrouvre délicatement les lèvres et avance un peu la langue. J’éprouve un fabuleux orgasme, je suis en pleine extase en recevant le Saint Sacrement.
Les vibrations se sont arrêtées, la tête baissée en signe de recueillement, je regagne ma place en murmurant ma petite prière d’après la communion, puis tous les fidèles se mettent debout. Le prêtre implore les fruits du mystère célébré. Pour achever la prière du peuple de Dieu et conclure tout le rite de communion.
Nous recevons la bénédiction du prêtre. Je me signe et entonne le chant final avant de me lever et de sortir en compagnie de mes parents.Fidèles à nos habitudes, nous restons un bon moment devant le parvis à discuter avec les autres fidèles. Le prêtre nous rejoint. Il a de toute évidence remarqué mon étrange comportement pendant l’office. Il me salue non sans me faire remarquer qu’il ne m’a pas vue dernièrement à confesse. Je lui souris en bredouillant un "tres prochainement mon père" pour toute réponse.
Le restaurant est tout proche. À quelques minutes à pied. M. Edmond nous accompagne. Il discute avec mon père, je suis morte de honte. J’espère qu’il ne sera pas invité à notre table. Peine perdue, après avoir pris l’apéritif ensemble sur la terrasse, ma mère l’invite à nous rejoindre pour le déjeuner. Il décline l’invitation prétextant qu’il doit rejoindre des parents qui fêtent un anniversaire.
En fait de parents il s’attable sur une table voisine en compagnie de deux garçons d’écurie que je reconnais pour les avoir rencontrés à plusieurs reprises au club hippique. Leur table est située dans une pièce attenante et je suis la seule à les voir. Ils me font un petit signe lorsque leur patron les rejoint. Je les ignore. Il y a là Damien, grossier, répugnant, son physique disgracieux se combine à son caractère autoritaire et libidineux. Je l’ai toujours détesté. Chaque fois que j’avais affaire à lui au centre équestre, je surprenais des regards pervers sur ma poitrine et mes fesses accompagnés de remarques déplacées. Le deuxième homme, Hervé, lui aussi palefrenier, est le plus âgé des trois, je n’ai eu que rarement affaire à lui. Très pieux, du moins en apparence, nous le voyons tous les dimanches à la messe, il fait même un peu de bénévolat pour la paroisse.
Plongée dans mes réflexions, je me fais brusquement rappeler à l’ordre. Je n’ai même pas encore regardé le menu. Je scanne le QR code et choisis rapidement. Un MMS vient d’arriver de la part de M. Hildbrand. Il a mon numéro de téléphone, je me souviens que mon portable avait été utilisé lors de la « conversation » vidéo lors de mon dernier passage chez notre notaire. Du reste, une photo souvenir de ce dernier passage est jointe. Je ferme aussitôt l’écran. Sur le cliché on peut me voir en train de me faire sodomiser à quatre pattes avec une grosse queue dans la bouche.
Il y a un bref commentaire : « Ma belle Camille, je te tiens. Tu vas nous faire la pute pendant le repas... j’ai vendu ton cul à mes garçons d’écurie ». Le message suivant arrive au moment précis où l’on nous sert les entrées : « Tu termines ton plat et Franck va venir te chercher, lui aussi a vendu ton beau petit cul à ses cuisiniers histoire d’amortir le prix de ta séance de l’autre jour chez nos amis notaires. Tu te souviens : Camille B. se fait dilater ? Et bien maintenant, on va être six à utiliser tes fesses. Il va falloir faire vite !”.
Je suis abasourdie par tant d’obscénité, comment pourrais-je quitter la table si longtemps.M. Affolteur, le patron du restaurant s’approche, il tient dans sa main la télécommande et sans la moindre gêne l’actionne sous le nez de mon père qui bien-sûr ne se doute de rien et encore moins qu’il est en train de prendre le contrôle du cul de sa fille aînée. Mon ressenti est immédiat et encore plus intense que dans l’église. Je me mords les lèvres pour ne pas me mettre à gémir. En même temps, je pense qu’ils vont être six à me prendre alors que ma famille et mon fiancé seront attablés. Un instant, je pense que je vais être dépucelée et qu’ils seront deux ou trois à me prendre en même temps.
En attendant le plat principal, le restaurateur propose à mon père de me faire visiter les cuisines. Le dimanche précédent, prise par une audition, je n’avais pu participer à cette visite où toute la famille, ma jeune sœur comprise, avait pu apprécier la qualité et la modernité des installations.
Arrivée dans les cuisines, je suis aussitôt entourée et serrée de près. Ils sont huit hommes en tout à essayer de me palper sous toutes les coutures. En plus des garçons d’écurie et des deux cuisiniers, je constate également la présence de deux jeunes marmitons. M. Affolteur patron du restaurant et chef cuisinier prend la parole.
— Je vous présente Camille, jeune étudiante stagiaire et violoniste virtuose. Camille est venue nous tenir compagnie quelques instants.— Allez, Camille enlève ta robe.
Je ne peux rien faire d’autre que de m’exécuter. Les hommes font cercle autour de moi ? Les deux marmitons écarquillent les yeux en voyant que je porte des bas et un porte-jarretelles. Ils n’ont visiblement jamais vu une femme dans cette tenue. Ma culotte cerise quant à elle est unanimement appréciée. M. Affolteur me demande de me déculotter et de lui donner ma culotte. En un clin d’œil, je suis maintenant nue, debout dans cette cuisine n’ayant plus sur moi que mes bas, mon porte-jarretelles et mes escarpins. Je ne porte pas de soutien-gorge sous ma robe cerise à fines bretelles.
Damien, le garçon d’écurie s’est approché. Je frémis à l’idée que ce porc qui aime tant me mater va poser ses grosses mains sur moi et peut-être pire.Les deux cuisiniers se collent dans mon dos, s’emparent de mes nichons et se mettent à les pétrir comme une bonne pâte. Plus bas des mains écartent mes fesses, retirent mon godemiché rabbit et des doigts viennent me caresser l’anus. C’est Damien qui est venu s’occuper de mon cul. Consentante, j’écarte les cuisses et me penche en avant, maintenant mes fesses largement ouvertes, je sens les doigts taquiner ma corolle anale la caresser, pour l’ouvrir et la graisser avec la crème blanche qui suinte de ma chatte. Un doigt s’est infiltré facilement dans mon trou en tournant et massant les muqueuses de mon conduit anal, puis une deuxième...
Mon anus est ouvert et bien lubrifié par le gode que j’ai porté depuis mon réveil ce matin. Ces doigts d’homme qui me fouillent en profondeur, élargissant mon œillet, me donnent des frissons un peu partout. Mes sphincters se contractent de plaisirs nouveaux puis se relâchent. Mon anneau est maintenant bien ouvert, se faisant accueillant. J’agite mon cul en signe de plaisir, réclamant plus... Les deux cuisiniers me tètent goulûment les seins. Des ondes de plaisir me traversent. Damien a retiré ses doigts, aussitôt je sens son gland s’ajuster à mon anus bien ouvert. Il pousse brusquement, étirant délicieusement ma corolle qui a livré le passage. Le gland s’engouffre, et une partie de la hampe se loge dans mon cul presque jusqu’au fond.
Après une brève crispation un peu douloureuse de mon conduit anal, je me détends, je sens le plaisir venir. Il commence à faire coulisser sa queue dans mes muqueuses anales. Il va vite, se retirant presque entièrement et s’enfonçant aussitôt pour bien profiter du plaisir que lui donne mon fourreau culier qui se resserre sur sa longue tige que je sens très dure. Il me tient fermement par les hanches pour mieux s’enfoncer dans mes entrailles, il force, je sens que toute sa queue n’est pas encore rentrée. Je passe ma main derrière mes fesses pour tâter sa bite, il reste au moins dix centimètres. Je crois qu’il l’a encore plus grosse que Maître Duriez. Il veut la loger entièrement dans mes fesses, mais quelque chose semble bloquer sa progression.
Il continue à aller venir plus vite et soudain comme si une porte s’ouvrait au fond de mon anus, il s’enfiche en moi complètement jusqu’aux couilles, son pubis poilu vient se coller à mes fesses blanches, il ressort, son gros gland touille mon ampoule rectale. Puis il pousse à nouveau, je le sens très loin dans mon ventre. Et, j’aime ça. Ce sale type qui me répugne tant et que je déteste m’encule maintenant à fond. Je ressens quelque chose de nouveau en moi, une grande chaleur envahit mon cul et mes entrailles. Je n’arrive pas à me retenir. Ils sont tous en train de filmer et de prendre des photos.
— Ah oui, oui, c’est bon, encore, encore, continue !
Damien m’encule en force, mon cul pompe la longue tige qui le laboure avec des bruits mouillés, gras, obscènes. À peine si j’ai remarqué M. Hildbrand penché devant moi. Son pantalon aux chevilles il me demande de lui lécher le cul.Je commence à perdre haleine, pourtant la jouissance monte du fond de mes entrailles, éperdue de plaisir j’écarte ses fesses et lui glisse ma langue. La bite dans mon cul accélère et devient encore plus dure. M. Affolter, le restaurateur s’est installé et me présente à son tour son derrière. Ma langue frétille d’un trou de cul à un autre. Damien pousse un cri en jouissant, je sens son jus gicler dans mon anus qui se contracte, sporadiquement, comblé. Un plaisir monstrueux monte en moi, mais déjà un des cuisiniers noirs a pris sa place et me tenant par les hanches, il s’enfonce d’un seul coup. Je sens ses couilles s’écraser contre mes fesses blanches, mes fesses qu’il se met à claquer violemment. Je gémis, j’adore.
— Ha la salope, on va tous se l’enculer cette chienne.
De me faire fesser et insulter en public par ce Noir qui est en train de m’enculer déclenche en moi un orgasme ravageur. Tout en me pistonnant, il continue de me donner la fessée et je me mets à baver et à couiner comme une truie.
— Allez, ma chérie, dis-nous que tu aimes.— Oui, oui... grouic, grouic... j’aime, grouic...— Arrête de grouiner et dis-nous ce que tu aimes. Tu l’aimes dans le cul ? — Euh, oui, j’aime l’avoir dans le cul.
Excité par ma soumission, le Noir se met à décharger, il se raidit, ses reins font quelques saccades alors que son pénis est au fond de moi et dans un râle, il éjacule, plusieurs fois, remplissant les fesses en tapissant mes intestins de son sperme épais.Tout explose dans mon corps et dans ma tête. Je ne sais plus où j’en suis.
— Je suis une enculée, j’aime me faire enculer, enculez-moi tous.
Et, en moins d’une demi-heure, ils me font le cul tous les six. J’ai du foutre plein les fesses, c’est tout comme si l’on m’avait administrée un bon lavement. Ma petite culotte cerise a du mal à essuyer tout le sperme qui suinte. Les deux marmitons n’en ont pas perdu une miette. Ils ont sorti leur queue et bandent comme des ânes. Le chef cuisinier qui, du reste, m’en a mis une sacrée dose m’explique que je dois maintenant les aider à préparer leur sauce blanche. La première pour les endives au jambon de ma sœur et la deuxième pour les lasagnes de mon fiancé. J’attrape leur queue et commence à les branler doucement au-dessus de leurs bols respectifs. Tout en masturbant les deux jeunes hommes, je m’inquiète de la durée de mon absence. Heureusement, après tout ce qui vient de se passer leur excitation est déjà à son comble et dès que je commence à leur presser les couilles, ils se mettent avec un parfait ensemble à éjaculer abondamment dans leurs bols respectifs. Cet ingrédient va mettre la touche finale à la préparation.
Le patron du restaurant rappelle ses employés à l’ordre leur intimant de se remettre immédiatement en cuisine. La gaudriole est finie, les clients attendent leur commande. Pendant ce temps, M. Hildbrand houspille ses palefreniers qui veulent me pisser dessus. Le cuisinier noir qui s’est remis au travail agite quelques casseroles puis revenant vers moi, il me fait pencher de manière à ce que je lui présente mon trou du cul encore bien ouvert. Tout naturellement, il commence à m’enfiler un paquet de pruneaux dans le derrière et déclare :
— J’adore farcir la volaille et en particulier la volaille blanche.
Ceci fait, le chef cuisinier me presse le ventre pendant que le cuisinier noir, une assiette dans chaque main, me demande de fléchir, d’écarter les jambes, de pousser et de chier des pruneaux dans ses assiettes fumantes.
Aussitôt dit, aussitôt fait et ces assiettes sont prêtes à partir en salle à destination de papa et de maman qui ont commandé des tajines de poulet aux pruneaux. En me rhabillant, je me demande comment mes parents vont réagir à ma si longue absence. M. Afolter me raccompagne, il y a de la musique, un orchestre s’est installé dans la grande salle. Il y a même une chanteuse assez connue. Je comprends la raison pour laquelle cette interruption de service, la moitié du personnel masculin étant occupé à m’enculer, est passée inaperçue.
Pendant que je regagne mon siège sous l’œil indifférent de mes parents, le patron du restaurant explique à mon père que cette visite a été très constructive. Les cuisiniers ont apprécié la pertinence de mes questions et j’ai même participé à l’élaboration des plats qui viennent de nous être servis. Mon fiancé me sourit, ma mère approuve. Si maman savait que six hommes viennent d’enculer sa fille et que son cher restaurateur et ami en fait partie. De mon côté, très pragmatique, je ne peux m’empêcher de penser qu’en plus de la note plutôt salée des repas qu’il ne manquera pas de nous présenter, ce vieux porc vient déjà de se faire au moins mille francs suisses avec mon beau petit cul.
Diffuse en direct !
Regarder son live