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Notre nouveau voisin… et sa copine

Chapitre 3

Orgie / Partouze
Un peu plus tard, je me retourne sur le dos et entreprends de me tartiner le devant. Je constate que les sexes des deux hommes pointent maintenant un peu plus sagement vers le bas. Mais ils ne tardent pas à se réveiller quand je me malaxe les seins un peu plus suggestivement que nécessaire, taquinant les bouts, puis que je descends ostensiblement me caresser l’entrejambe. Après quelques caresses légères, je me branle ouvertement le clito avec deux doigts. Evidemment, Laurent ne résiste pas longtemps et sa bite se tend à nouveau vers le soleil. Je le lui fais remarquer :
— Décidément, j’ai vraiment l’air de te faire de l’effet ! Merci, c’est flatteur...
Ber me suit dans cette voie et se caresse les couilles en s’adressant à Carine :
— C’est vrai qu’elle est bandante, ma femme, non ?— Euh... oui, mais de là à le faire devant nous... et surtout devant ta fille...— Oh, Lola elle a l’habitude de me voir en forme, pas vrai Lola ?— Ah oui, Carine, si tu savais le nombre de fois où j’ai vu son bâton tout raide !— Et ça ne te dérange pas ?— Ben non, c’est la nature, il faut la laisser s’exprimer...
Et toujours sans se gêner, Ber décalotte son gland et entreprend un petit mouvement qui n’est pas encore une vraie branlette. Carine est hypnotisée par cette scène sous son nez, et Laurent a l’air tout ébahi de voir qu’elle prend ça aussi bien.
Je me lève et m’approche de lui :
— Dis donc, si tu n’oses pas t’occuper de ton état, comme c’est un peu de ma faute, je vais le faire moi. Carine, tu permets ?
Et sous les yeux de cette dernière, juste en face de lui en position surplombante, je commence à caresser légèrement ses couilles avant de remonter vers sa bite qui pointe vers le ciel. Comme il n’y a pas de réactions hostiles de la part d’aucun des deux, je tire sur le prépuce, décalottant le gland, puis j’entoure mes doigts sur la hampe et commence à monter et descendre. Je le branle maintenant ouvertement devant sa copine, et toujours pas de réactions. Donc je me mets à genoux et mets de petits coups de langue sur le gland avant de le gober.
Carine est tirée de ce spectacle par Ber qui vient de lui prendre la main et de la poser sur sa queue :
— Tiens, pendant que ma femme s’occupe de lui, si tu t’occupais un peu de moi ?— Euh, là tu m’en demandes un peu trop...
— Trop rien du tout ! Regarde comme il a l’air d’aimer la pipe de ma femme. Elle fait ça très bien, j’en ai l’habitude. Et toi, me dis pas que tu ne suces jamais ton homme...— Si, ça m’arrive, mais...— Eh bien, allez, montre-nous ! Pas de raison qu’il n’y ait qu’eux à s’envoyer en l’air !
Et Carine finit par le prendre pleinement en main et le branle, d’abord timidement, puis de plus en plus franchement. Ber lui demande alors :
— Allez, maintenant fais comme Anna !— Euh, mais elle est trop grosse !— Mais non, tu vas voir, tu vas y arriver et ça va te plaire...— Mais... on peut pas faire ça devant ta fille...— Mais oui, elle sait ce que c’est, la preuve !
En effet, entre temps la langue et la main de Lola sont venues rejoindre les miennes sur la bite de Laurent, que nous partageons équitablement.
En voyant ça, Carine ne résiste plus et embouche ce membre bien plus imposant que celui de son mec. Quand elle commence à se lâcher sur sa fellation, elle ne se défend plus du tout quand Ber la fait mettre à quatre pattes sur un matelas et la prend en levrette, tournée vers le spectacle de son mec qui se fait manger la queue par nous deux. Ses seins pendent lourdement et s’agitent en cadence.
Histoire de leur dévoiler un peu plus la liberté de nos relations familiales, je laisse Lola s’occuper seule de Laurent et vais me mettre derrière elle. J’écarte bien ses fesses et entreprends de lui manger les deux trous équitablement, m’aidant aussi de mes doigts qui s’enfoncent alternativement dans chacun d’eux. Je pense que nos invités n’en perdent pas une miette, ce qui est le but recherché.
Comme Carine commence à exprimer sa montée en puissance, je propose d’aller continuer à l’intérieur pour ne pas rameuter tout le voisinage.
Nous reprenons presque dans la même configuration. D’un côté, Laurent allongé sur le canapé avec moi à cheval sur sa bouche pour me faire manger l’abricot pendant qu’il se fait sucer par Lola. De l’autre, Ber prenant en levrette Carine accoudée sur la table basse pour qu’elle puisse tout voir. Elle reprend vite des tours et atteint son premier orgasme, qu’elle annonce bruyamment. Heureusement, nous avons fermé les portes-fenêtres et les doubles vitrages sont efficaces...
Ber qui n’a pas éjaculé ni débandé laisse sa partenaire reprendre ses esprits. J’en profite pour laisser moi aussi Laurent à Lola. Je fais asseoir Carine dans le fauteuil en face. Elle est encore sonnée et ne résiste pas quand je commence à lui déguster l’entrecuisse en m’aidant de mes doigts. Carine réagit enfin et me dit :
— Tu sais, c’est la première fois que je fais ça avec une femme.— Et tu aimes, on dirait...— Oui, c’est bon ce que tu me fais.— Alors, laisse-moi faire pour le moment, profite...
Non seulement elle se laisse faire, mais elle me prend la tête pour bien la garder plaquée à son bouton en feu tout en poussant des gémissements de bon augure. Pendant ce temps, Lola fait asseoir Laurent et se met de dos sur lui, entamant une belle chevauchée. Du coup, Ber fait à nos partenaires une nouvelle surprise en présentant sa bite à notre fille qui l’engloutit sans hésitation. Ça se passe dans mon dos, mais j’en suis informée par Carine pour qui c’est un peu trop et qui se cabre et lance une phrase d’étonnement qu’elle laisse en suspens :
— Oh, mon Dieu, Anna : ta fille...
Je m’arrête dans la dégustation de son clitoris et jette un coup d’œil :
— Ben quoi, elle adore sucer des queues. Tu l’as déjà vue déjà pomper Laurent, non ?— Euh, oui... mais là c’est son père !— Oh, pour ça, ils s’entendent bien. Regarde comme elle y met du cœur !
Et la laissant à son hébétude, je redescends m’occuper de sa chatte qui refroidit. Elle reprend très vite un bon rythme de croisière et j’aventure mes doigts dans ses orifices pour la prendre en pince de crabe. Comme mon pouce est rentré sans forcer dans son anus, je le lui fais remarquer :
— Dis donc, tu as l’air d’aimer ça, un doigt au cul ?— Oh oui, j’adore, je suis très sensible de là, et d’ailleurs là tu vas me faire jouiiiiiiir !
Et effectivement, ce premier orgasme la fait trembler et bramer, un vrai ouragan. Je me faufile contre elle dans le fauteuil et la maintiens dans l’ambiance en lui caressant les seins tout en lui faisant admirer la scène qui se déroule devant nos yeux :
— Alors, comme ça tu aimes te faire prendre par derrière ?— Euh oui, au début c’était un peu douloureux, mais maintenant ça va.— Ça doit plaire à Laurent.— En fait, il ne me l’a jamais fait depuis un an qu’on est ensemble.— Ah bon ? Donc juste pénétration ?— Oui, et pas trop de variations de positions. Et il adore quand je le suce.— Donc, tu aimes bien la tournure que ça prend ici ?— Ah oui, ça va bien le décoincer, il est plutôt classique dans le sexe.— Je devine que tu as eu d’autres expériences avant, ça se voit.— Oui, et des torrides.— Des doubles pénétrations ?— Euh non, jamais puisque c’est la première fois que je fais ça à plusieurs.— Il faut que tu essaies, tu vas voir, c’est géant.
A ce moment, comme pour me donner raison, Ber fait cesser la pipe de Lola et la fait mettre sur Laurent dans l’autre sens, face-à-face. Comme ça, il peut se glisser derrière elle pour un sandwich. Sa bite entre sans effort dans le petit trou et il se met à la ramoner à grands coups de reins. On entend ses couilles claquer contre celles de Laurent entre les cuisses de notre fille qui ne cache pas sa satisfaction en le criant bien fort. Je le souligne pour Carine qui lorgne sur leur point de convergence :
— Tiens, regarde comme Lola aime ça !— Euh, oui. Mais ça me fait tout de même bizarre de la voir faire ça avec son père.— On est une famille très soudée. Et comme tu le vois, notre fille est déjà bien douée !
Pendant ce temps, je continue à la garder en condition en lui frictionnant un téton d’une main et un doigt sur son clito de l’autre.

A suivre...
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