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Notre premier week-end

Chapitre 1

Hétéro
Notre premier week-end
Son avion est un peu en retard. C’est le dernier de la journée, ça arrive souvent. Sur les petites lignes européennes, il faut prendre le premier vol de la journée pour être à l’heure... En supposant qu’il n’y ait pas de problème technique. Je prends mon mal en patience.
Eve et moi nous sommes rencontrés en ligne, vers le milieu des années 90. Pour les jeunes, Internet à l’époque était très différent d’Internet aujourd’hui. Pas de téléphones connectés, peu de contenu, pas de messages directs. J’avais à l’époque ce qui est devenu plusieurs années plus tard le concept de blog. Eve m’avait contacté parce qu’elle le lisait et on s’est tout de suite bien entendu.
Avec le temps, nos conversations se sont orientées vers les préférences sexuelles. Elle a découvert qu’elle aimait être contrôlée, et j’ai découvert que j’aimais la contrôler. Pendant un temps, on a discuté dans des conversations torrides de ce qu’on aimerait faire.
Et puis un jour, elle m’a annoncé qu’elle avait réservé des billets pour venir me voir un week-end parce qu’elle n’en pouvait plus. Je lui avais donc donné des instructions : pendant la semaine avant sa visite, pas de masturbation, pas de sexe. Je voulais qu’elle arrive, désespérée de se faire prendre.
Finalement, un groupe de gens arrive de la zone des arrivées internationales. Je ne la vois pas. Puis un autre. Toujours pas d’Eve. Puis, finalement, le la vois dans le troisième groupe. Elle est grande (plus d’1m80 avec ses talons), fine, cheveux courts, et elle porte une robe beige très courte et moulante qu’elle appelle “en portefeuille”. Je dois dire qu’à sa vue, mon pantalon a rétréci.
On se fait la bise. C’est un peu étrange de la voir là. Puis je la guide jusqu’à ma voiture pour aller chez moi. On parle de tout et de rien. Je dois me concentrer sur la route, elle est un peu compliquée avec beaucoup de changements et je ne la fais pas souvent. On arrive enfin dans ma rue et je me gare à une centaine de mètres de ma porte.
Alors qu’on marque dans la rue, elle me dit :
— Tu avais dit que tu vérifierais que j’ai pas de culotte quand j’arrive et tu l’as pas fait.
Ah oui, effectivement. Elle avait l’ordre de ne pas porter de sous-vêtements pendant le trajet. Je sais que ça l’excite terriblement. La première fois où je l’avais fait aller travailler sans culotte, elle avait dû se changer tellement elle mouillait. Mais avec le trajet et avec elle là, près de moi, ça m’est sorti de la tête.
Je passe la main sous sa robe tout de suite, et mon majeur trouve sa fente. Elle est trempée. Elle me regarde, surprise.
— Dans la rue ? T’es fou ?— J’avais oublié, il a bien fallu que je vérifie si ma salope était obéissante.
La gêne disparaît de son visage et un grand sourire le remplace. Elle était très obéissante.
En arrivant chez moi, je mets sa valise dans la chambre, je fais la visite de mon petit appartement, et on revient dans le salon. Après quelques échanges, elle s’approche de moi et on s’embrasse. Ses lèvres et sa langue chaude sont tellement excitantes. Elle est un peu plus grande que moi, mais ça ne me dérange pas du tout. Au contraire, je trouve ça sexy.
Après quelques instants d’embrassade, elle s’éloigne et me dit :
— Bon, je suis là pour quelque chose, assez de perte de temps.
Elle me pousse vers le canapé sur lequel je m’assois. Elle se met à genoux entre mes jambes et défait mon jean qu’elle tire vers mes chevilles. Pour ne pas perdre de temps, elle tire mon boxer en même temps. Elle a un grand sourire sur les lèvres. Je la laisse faire, et ma queue a compris ce qu’il se passait. Elle est bien raide et prête à rencontrer ces belles lèvres humides.
Elle s’approche, prend ma queue dans sa main, puis approche sa bouche. Je sens sa respiration chaude de plus en plus près. Elle me regarde droit dans les yeux. Elle sait l’effet qu’elle me fait et elle veut en profiter. Puis elle embrasse mon gland. Je n’en peux plus, je veux qu’elle me suce. Mais je la laisse faire.
Sa langue sort entre ses lèvres, et lèche mon gland. Puis toute ma queue de haut en bas. C’est un supplice, mais c’est tellement excitant de la regarder. Ma queue n’est pas spécialement grande, je pense, sans pouvoir comparer, mais elle a l’air énorme entre ses doigts fins.
Tout à coup, sa bouche est autour de mon gland puis il disparaît dans sa bouche. Sa bouche est brûlante et tellement mouillée. C’est la sensation que j’attends depuis longtemps. Après des mois à discuter comment elle voulait me sucer, elle est enfin là, entre mes jambes, ma queue dans la bouche. J’ai encore du mal à y croire.
Sa tête fait un mouvement de haut en bas. Je sens sa langue faire des cercles autour de ma tige. Souvent, elle sort ma queue de sa bouche complètement et la regarde avec le sourire.
— J’adore comment ton gland est violet foncé. Ma bouche lui fait de l’effet.
Ouais, un peu ! Je ne parle pas, je profite du spectacle et des sensations. Mon sourire lui répond suffisamment.
Elle reprend sa pipe. Elle a bien l’intention de me faire jouir avec sa bouche. Ce qu’elle ne sait pas, c’est qu’aucune fille n’a jamais réussi à me faire jouir avec une pipe. Elle peut donc y aller autant qu’elle veut.
Je me penche en avant et je fais glisser les bretelles de sa robe de ses épaules pour libérer ses seins. Elle ne porte pas de soutien-gorge, évidemment. Ses seins sont très fermes. Un peu petits à mon goût, seulement un 90B, je préfère les poitrines généreuses, mais ils sont tellement mignons. Et je sais ce qu’ils aiment. Je me penche un peu plus et j’en prends un dans la main. Il est chaud et tellement sexy. Son aréole est parfaitement proportionnée à la taille du sein. Elle va me faire aimer les petits seins. Je fais le tour de l’auréole plusieurs fois avec mon doigt pour faire pointer son téton. J’adore voir les seins pointer sous mes doigts.
Je la sens redoubler ses efforts sur ma queue à mesure que je m’intéresse à ses seins. Puis je prends le téton entre deux doigts, et je le pince. Légèrement d’abord, puis fort. Elle gémit. Elle adore avoir ses seins un peu maltraités. Je tire sur le téton tout en le pinçant très fort. Elle gémit plus fort. Dans un râle, elle s’exclame :
— Encore ! Encore !
Puis elle reprend son suçage de queue. Je ne demande qu’à plaire, donc je tire sur son téton encore une fois. Mais je ne veux pas que l’autre soit jaloux. Avec mon autre main, j’attrape l’autre téton et cette fois pas d’approche douce : je le prends entre deux doigts et je tire dessus en le pinçant. Elle gémit et je la vois se tortiller le cul. Je soupçonne qu’une chatte commence à être désespérée.
Je torture ses tétons encore quelques coups. Ils ne sont pas énormes, mais ils sont très beaux quand ils pointent.
Finalement, je prends un téton dans chaque main, je les pince, et je les tire vers le haut. Elle se lève tout en essayant de continuer à me sucer, mais finit par devoir arrêter parce qu’elle n’atteint plus ma queue.
— Je voulais que tu jouisses dans ma bouche. Tu sais que j’aime pas le sperme, mais je voulais le tien.— T’en fais pas, tu l’auras. Mais là maintenant, je veux défoncer ta petite chatte.
Elle ne se fait pas prier. Elle se met debout, et on change de place. Elle se met à genoux sur le canapé, son cul en l’air. Il est très beau. Très rond, sans un seul défaut. Eve a un corps de la mort. C’est à se demander comment elle ne passe pas ses journées à être défoncée par tous les gars qu’elle rencontre. Mais c’est moi qui ai cette chance.
Je remonte sa robe pour exposer son cul: son petit trou du cul est tout mignon, et sa chatte en forme de papillon très près de lui. Et elle est littéralement dégoulinante de mouille et entrouverte. Je ne peux pas résister plus longtemps à l’invitation. Je me mets debout derrière elle, je prends ma queue dans la main, et je la frotte contre sa chatte. Je pousse un peu pour qu’elle passe entre ses lèvres, puis je suis sa fente de haut en bas plusieurs fois. Très doucement. Sa fente est très douce et tellement glissante.
Je meurs d’envie de juste la défoncer sauvagement, mais je veux la frustrer un peu. Je sais que ça la rend folle et qu’elle doit me supplier de la prendre dans sa tête. Mais elle sait qu’elle est ma salope et qu’elle n’a pas à demander ce qu’elle veut. Donc elle attend, en gémissant de temps en temps quand ma queue touche son clitoris ou l’entrée de son vagin. Evidemment, ça me rend fou aussi.
Je place mon gland à l’entrée de son vagin, et je pousse un tout petit peu. Pas assez pour entrer, mais assez pour l’écarter un peu. Je sens que sa chatte ne va pas résister bien fort. Elle est prête à être envahie par ma queue.
Je ressors doucement, et je fais un autre va-et-vient dans sa fente. Elle est déçue, je le sens dans ses mouvements. A la fois suivante où mon gland se trouve à l’entrée de sa chatte, je pousse un coup sec et je m’enfonce entièrement. Elle pousse un mélange de cris et de gémissement. Elle a été surprise, elle s’attendait à plus de torture. Mais là, vraiment, je n’en pouvais plus, il fallait que je sois à l’intérieur de sa chatte. Je ne suis qu’humain : j’ai une belle femme devant moi, le cul en l’air, qui me supplie du regard de la défoncer. Comment est-ce que je peux attendre plus longtemps ?
Sa chatte est tellement confortable et chaude. Je me retire doucement sans sortir complètement. Je ne peux plus imaginer ne pas être dans cette chatte. C’est comme si c’était l’endroit où j’étais supposé être toute ma vie. Je repousse doucement pour m’enfoncer de nouveau. J’ai du mal à penser à autre chose qu’à la chatte d’Eve.
Quand je me retire la fois suivante, je regarde vers sa chatte. Je la vois, étirée autour de ma queue. Je la vois agripper ma queue comme un gant. Quand mon gland arrive à l’entrée de son trou, je le vois à travers la peau. C’est tellement sexy, j’ai du mal à ne pas exploser immédiatement. Ma queue et la chatte d’Eve sont faites l’une pour l’autre.
Je reprends mes va-et-vient. De plus en plus vite. Je l’entends respirer de plus en plus vite. Elle aime être prise comme une chienne. Après tout, elle s’est désigné ma salope d’elle-même. Je veux la faire jouir et libérer cette semaine de chasteté d’un coup. Je veux qu’elle perde connaissance tellement le plaisir est intense.
Je me penche en avant, une main sur sa hanche, et j’attrape un téton de l’autre. Je le pince et le tire vers moi, et je la défonce aussi fort que possible. Elle gémit de plus en plus fort, puis je la sens se contracter autour de ma queue. J’adore la sensation. Je laisse son téton, et en tenant ses hanches, je continue à la défoncer. Je veux qu’elle ait orgasme sur orgasme. Continuer à prendre une chatte en plein orgasme est un de mes petits plaisirs.
Elle tremble de plus en plus. Elle en est presque à avoir des convulsions. J’aimerais continuer, mais je vais jouir si je ne ralentis pas. Et puis merde, je veux jouir aussi. Je continue à la prendre fort, et en quelques secondes, j’explose. Je sens mes couilles se vider en elle. Ma queue se contracte à répétition à mesure que j’envoie mon sperme profondément en elle. C’est une sacrée décharge qu’elle vient de prendre. Une semaine de sperme qui ne demandait qu’à sortir.
Je m’arrête parce que les sensations sont trop intenses. Je profite du moment et je reprends mon souffle. Etrangement, ma queue ne ramollit pas. Je tente de bouger un peu, et les sensations sont de retour au pré-orgasme. On dirait que ma queue n’a pas assez de cette belle petite chatte. Je reprends donc mes mouvements. Second round, on dirait.
Cette fois, je veux voir si je peux toucher le fond de son vagin. C’est un autre de mes petits plaisirs : toucher le col de l’utérus. Atteindre le fond d’un vagin comme ça me donne une sensation d’être arrivé où je dois être.
Je pousse fort et je tape mon bassin contre ses belles fesses. En quelques coups, je sens le fond. J’adore la sensation de pénétrer, pénétrer, puis atteindre le but. C’est parfait, je vais pouvoir la torturer avec ma queue. Mais pour l’instant, elle recommence à respirer rapidement et à gémir.
Elle tourne la tête pour me regarder avec un sourire entrecoupé de gémissements. Elle transpire à flots. Elle ferme les yeux et gémit plus fort. Elle est toujours discrète et ne crie pas, même en plein orgasme. Mais j’aime ses petits gémissements. Je sais qu’elle essaie de les retenir, mais qu’elle n’en peut plus.
J’accélère le rythme. Ce n’est plus le moment d’être subtil. Je veux qu’elle jouisse encore un peu, et je veux aussi jouir une seconde fois.
Très vite, je la sens trembler et se contracter autour de ma queue. Je redouble mes mouvements. Je vais aussi vite et aussi loin que possible. Puis je jouis à mon tour.
Après le plaisir, je suis crevé. Cette fois, ma queue se ramollit. C’est fini pour l’instant. Mais c’est seulement la fin d’après-midi du vendredi soir. Elle est chez moi jusqu’à lundi matin. J’aurai l’occasion d’explorer son corps encore.
En attendant, je me retire d’elle, et on s’avachit tous les deux sur le canapé qui est maintenant bien taché.
On a tous les deux un sourire sur les lèvres. Elle se penche vers moi, m’embrasse, et me dit :
— Merci mon Maître. Tu as fait honneur à ta petite chatte.
OK, je vais devoir la reprendre très bientôt.

Le Maître d’Eve 2021
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