Notre premier week-end (III) Je sens du mouvement dans le lit. Avec l’esprit embrumé, je remets ensemble les événements de la veille. L’arrivée d’Eve, la baise avec elle (voir chapitres précédents). C’est donc elle qui doit bouger dans le lit. Il ne fait pas vraiment noir dans la chambre, je n’ai pas de volets et les lampadaires de la rue donnent dans ma chambre, mais je suis toujours à moitié endormi et je n’ouvre pas les yeux, l’explication donnée par mon cerveau me satisfaisant. Je sens les draps bouger autour de moi, puis une main passer dans mon caleçon. Oh, OK ! Là, je me réveille un peu plus. La main attrape ma queue et la fait sortir. J’espère vraiment que c’est Eve qui s’est réveillée en ayant besoin d’attention. Ou alors j’ai un gros problème et une cambrioleuse n’a pas pu me résister. La main me branle très doucement, comme pour ne pas me réveiller. De haut en bas de ma queue qui est devenue instantanément dure. Je suis à moitié surpris, elle a beaucoup travaillé hier. Mais de toute évidence, elle a encore de l’énergie. Je sens tout à coup une bouche sur ma queue. Je sens d’abord la respiration chaude s’approcher très lentement, puis un bout de langue lécher mon gland comme une glace. Toujours très doucement, très lentement. Presque affectueusement. J’ai une décision à prendre : je fais semblant de ne pas m’être réveillé pour continuer à profiter de la situation paresseusement, ou je regarde ce qui se passe ? Comme c’est sûrement Eve (personne d’autre dans mon appartement a priori), elle ne va pas s’arrêter si je me réveille. Je soulève le drap juste au moment où ma queue disparaît dans sa bouche. C’est bon comme toujours. Sa bouche est chaude, mouillée, et sa langue experte. J’aimerais vivre dans cette bouche. Elle lève les yeux et essaie de me sourire tout en continuant à me sucer. — Hello. Ma queue sort de sa bouche, et elle me branle avec sa main droite. — T’as dit qu’un de tes fantasmes était de te réveiller avec une bouche autour de ta queue.— Ah oui, effectivement, c’est un de mes rêves.— Je suis désolée que tu te sois réveillé si vite. J’aurais voulu te sucer jusqu’à te faire jouir dans ton sommeil.— T’embête pas, me réveiller avec ma salope en train de me tailler une pipe, c’est déjà beau.
Elle me fait un grand sourire et recommence à pomper avec sa bouche, satisfaite d’avoir fait une bonne action. Elle suce de plus en plus vite. Elle est sûrement à moitié éveillée aussi, et elle veut du sperme tout de suite. Je suis content de le fournir, mais je ne conçois pas ne pas baiser sa chatte. Elle est trop bien et trop confortable pour me satisfaire de seulement sa bouche. — C’était super de me réveiller avec ta bouche autour de ma queue, t’as réalisé mon fantasme. Mais je veux ta petite chatte. Je la tire de sous les draps, et l’amène au-dessus de moi. Elle s’installe à califourchon sur moi, et se tortille le cul pour amener ma queue à l’entrée de sa chatte. Comme d’habitude, elle est très mouillée. Cette femme n’est-elle jamais pas excitée ? C’est à croire qu’elle ne pense qu’à baiser. La femme parfaite, en somme. Je prends son bassin entre les mains, et je lui fais faire des petits mouvements d’avant en arrière pour que ses lèvres passent le long de ma queue, de la base au gland. Elle est tellement glissante que je m’amuse à penser qu’elle risque de déraper et de tomber du lit si je la lâche. Après quelques mouvements, quand ma queue se trouve en face de son petit trou, je la pousse plus brusquement et ma queue la pénètre. Elle recule jusqu’à ce que je sois profondément en elle. Je tiens toujours ses hanches et je lui fais reprendre les mouvements d’avant en arrière. Avec ce mouvement, ma queue ne sort jamais vraiment d’elle, mais elle fait des mouvements circulaires au fond de son vagin. Elle a compris et continue à se dandiner sur moi. Elle met ses mains derrière sa tête, ce qui fait ressortir ses seins. Je ne sais pas si elle m’envoie un message, mais je m’empresse de les prendre dans mes mains. Ils sont juste de la bonne taille pour mes mains et bien fermes. Elle a réussi à me faire aimer les petits seins, c’est incroyable. Je les masse un peu, en les prenant à pleines mains, puis, avec mes index, je fais des petits cercles. Comme Eve ne bouge pas beaucoup puisqu’elle se limite à des mouvements du bassin, je n’ai pas besoin de les tenir pour faire ce que je veux. Je fais des spirales lentes de la base jusqu’à l’auréole. Je vois déjà ses tétons se dresser. Ils ne pointent pas souvent, mais quand ils le font ils sont adorables. Je fais des tours de l’auréole pour frustrer Eve. Je mets mes index dans sa bouche pour qu’elle les humidifie, et je reviens aux auréoles. Elle gémit et me regarde, très concentrée sur ce que je fais. Elle est fascinée par mes doigts. Quand ses tétons sont bien raides, je les tape très rapidement avec mes doigts. Eve sursaute puis pousse un râle. Je pense qu’elle aime. Je continue un peu, puis je prends les tétons entre mes pouces et index, et je les attire vers ma bouche. Elle se penche en avant, tout en continuant ses mouvements de bassin. Je lèche le téton droit, puis je le prends en bouche. Je le suce comme pour l’aspirer, puis je le mords. Eve gémit un peu plus fort. Elle commence à respirer rapidement. Son orgasme approche. Je fais de même au second. Je finis par le prendre entre mes dents et le lécher rapidement avec ma langue. Je sens que ses mouvements ralentissent. Je prends ses hanches dans mes mains, et je lui redonne du mouvement, en poussant un peu plus pour que ma queue atteigne son col de l’utérus. Je le sens au bout de mon gland et je le sens frotter contre ma queue. Eve gémit maintenant constamment et est à bout de souffle. Son orgasme la prend. Elle tremble et se tortille sur moi. Je sais quand pendant son orgasme elle va arrêter de bouger. Alors je prends ses hanches et je la force à continuer ses mouvements. Je lui fais faire des grands mouvements d’avant en arrière pour que ma queue sorte un peu de sa chatte, puis vienne taper au fond de son vagin. Eve n’est plus qu’un long râle de plaisir maintenant et ses yeux sont blancs. Pendant ce qui m’a semblé être plusieurs minutes, mais probablement pas, elle a des spasmes de plaisir, puis tombe épuisée sur moi, couverte de transpiration. Alors que son orgasme se termine, je sens le mien arriver. Je m’enfonce aussi loin que je peux et j’explose en elle. Je sens ma queue se contracter en elle et pomper mon sperme dans le fond de son vagin. Cette fois, c’est moi qui la retiens pour qu’elle ne bouge pas. Elle le sait et essaie de bouger pour se venger, mais je la tiens bien. Mon orgasme passe finalement. Après avoir vidé mes couilles en elle, je la laisse bouger de nouveau. Elle m’embrasse, puis se lève pour s’allonger à côté de moi. On est tous les deux essoufflés. On va vite se rendormir. C’était court, mais un bon interlude au milieu de la nuit.
