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Notre premier week-end

Chapitre 4

Hétéro
Notre premier week-end (IV)

Samedi matin a bien commencé avec Eve, me réveillant en pleine nuit avec sa bouche autour de ma queue (voir chapitres précédents). Mais samedi matin étant pour le repos, on commence doucement avec un petit-déjeuner avec croissants et café.
Eve, comme moi, est fatiguée et pleine de courbatures. Mine de rien, baiser autant est dur pour le corps. Et surtout pour sa chatte qui doit commencer à être sérieusement maltraitée.
— Comment va ta chatte ?— Elle est un peu douloureuse, mais heureuse. Donne-lui un peu de temps pour se remettre et elle en redemandera encore.
OK, ma queue a reçu le message, et bien qu’elle soit aussi un peu douloureuse, elle est prête à repartir. Mais reposons-nous un peu pour l’instant.
On passe la matinée à discuter de tout et de rien, histoire de reprendre un peu notre souffle. On regarde un peu la télé aussi, on aime plusieurs séries en commun.
Après le déjeuner, j’emmène Eve faire un peu de tourisme : on va visiter le centre historique de ma ville. C’est une vieille ville européenne, avec beaucoup de monuments et d’une architecture listée par l’UNESCO.
Avant de partir, elle s’habille pendant que je range tout. Elle sort de la chambre avec une petite jupe noire plissée qui lui arrive à peine aux cuisses. Elle couvre juste ses fesses. Pourvu qu’il n’y ait pas de vent, sinon on se fera arrêter. Elle a aussi une petite veste légère. C’est le mois de juillet, après tout, il ne va pas faire très froid.
On se met en route et on prend le bus pour monter en ville. Ma ville est pleine de collines et a même un volcan (éteint). Je la vois faire attention à sa jupe et la maintenir avec ses mains pour qu’elle ne remonte pas trop.
Elle se penche vers moi :
— J’ai pas de culotte sous ma jupe. J’ai pensé que tu aimerais.— Ah oui, j’aime. C’est très excitant de se savoir dans la rue la chatte à l’air.— Pour moi aussi, je suis déjà mouillée.

Elle prend ma main droite et l’amène à sa chatte. Je mets ma main dessus, et je passe mon majeur dans sa fente. Effectivement, elle était déjà bien trempée. Je savais qu’elle trouvait ça excitant, elle me l’avait déjà dit quand je lui avais ordonné d’aller travailler sans culotte il y a quelques semaines. Elle mouillait tellement qu’elle avait été obligée d’aller se changer chez elle au déjeuner pour ne pas se promener avec une tache sur les fesses.
Je la sens se battre entre plusieurs sentiments : la gêne de se savoir sans culotte dans la rue, l’excitation de ne pas avoir de culotte, et l’agonie d’avoir ma main sur sa chatte dans le bus. Elle veut bien faire et me montrer qu’elle est ma salope.
On descend du bus et on suit une des rues commerçantes principales. Il y a beaucoup de monde, juillet est une période populaire pour le tourisme dans ma ville. Il fait aussi assez chaud.
On entre dans un des magasins de la rue, et on regarde les étalages.
— Pfff ! Fait chaud. Je vais enlever ma veste.
Elle défait la fermeture de sa veste et expose un haut super moulant noir presque transparent. On voit clairement la forme de ses seins, et on devine les aréoles et ses tétons. Ses seins ne sont pas énormes, un peu petits pour mon goût, j’ai un goût pour les gros, mais ils sont de taille moyenne. Ils se tiennent remarquablement bien, je ne vois pas pourquoi elle devrait porter un soutien-gorge. Ils sont surtout très fermes et bien ronds. Les tétons pointent un peu, on le voit bien de côté. Elle m’observe avec un sourire malin, et je ne peux pas cacher ma surprise.
— J’ai pensé que t’aimerais. Je veux qu’on se promène dans la rue et que tous les mecs me regardent et qu’ils soient tous jaloux de toi parce que c’est toi qui sautes cette salope en chaleur au haut transparent.
Elle se surpasse ! Je vois ses seins sauter à chacun de ses pas. Quand on ressort dans la rue, je vois effectivement tous les regards des mecs qui se portent sur sa poitrine. Je vois aussi leurs copines froncer les sourcils de désapprobation après une première réaction de surprise. Pour être sûre que tout le monde sache qu’elle est à moi, elle prend ma main gauche et la met sur ses fesses. Si on était chez moi, je lui sauterais dessus tout de suite. Je serre sa fesse de temps en temps pour qu’elle sache que je suis là et que j’approuve. Je ne doute pas qu’en faisant ça, j’expose le bas de ses fesses à ceux qui nous suivent. Je me demande s’ils voient qu’elle ne porte pas de culotte.
On visite quelques monuments, mais je dois dire que le cœur n’y est pas. Je pense constamment à ses seins qui tremblent quand Eve marche et à cette petite chatte mouillée qui n’attend qu’un peu d’attention. Le pire dans l’histoire, c’est que ce n’est pas moi qui profite du spectacle le plus : c’est les gens qu’on croise dans la rue !
Pour faire une pause, on s’installe sur un banc dans un des parcs publics et on regarde les gens. Eve s’assoit tout près de moi, prend ma main gauche entre les siennes, et les pose sur le haut de ses cuisses. Elle se blottit contre moi en faisant semblant d’avoir froid. Je sais qu’elle le fait pour qu’un de ses seins soit contre mon bras. Je la sens se frotter discrètement contre moi et je sens un point dur : je me rends compte que son téton pointe à travers son haut moulant. Elle veut que je sache qu’elle est excitée et fière d’elle-même.
— Regarde la fille en haut blanc sur le banc à gauche. Elle a des seins super gros. Ça te fait pas envie ?— Bien sûr que si, ils ont l’air très appétissants. Je suis sûr que les tétons sont énormes et qu’ils adorent qu’on les morde.— Ouais, mais est-ce qu’elle aime sucer autant que moi ?— Je sais pas. On lui demande ?
Eve est surprise et je vois un peu de peur sur son visage. Elle essaie d’être une bonne salope et elle aime montrer son corps, surtout quand c’est pour m’exciter, mais elle est un peu timide.
— Je rigole, c’est un coup à se faire arrêter. Mais j’aimerais beaucoup voir ma queue disparaître entre ses seins, je dois dire.— C’est vrai, j’aimerais aussi voir ça. Et puis je pourrais donner des petits coups de langue à ton gland quand il apparaît. Je pourrais aussi lui lécher les tétons quand je vois plus ta queue.— Et tu crois que je pourrais faire ça longtemps sans enfoncer ma queue dans une chatte ?— Tant que c’est la mienne, ça me va.— Ah oui, mais là j’aurais 2 chattes. Il faudrait choisir. J’aimerais bien vous mettre en 69 pour pouvoir prendre ta chatte et lui mettre ma queue dans la bouche de temps en temps. Tu crois qu’elle serait d’accord ?— Elle devrait. Sinon elle y perd.
Mon pantalon est devenu très serré. On a l’habitude de s’émoustiller comme ça avec des rêves.
Alors qu’on discute, la brume de mer arrive. Ça arrive assez souvent l’été: une brume arrive de la mer et fait chuter la température de 10-15 degrés instantanément. Ajouté à ça l’humidité d’un brouillard, et il ne fait pas bon rester dehors. Eve frémit, et on décide de prendre le chemin de mon appartement.
En prenant notre chemin, on passe devant la fille aux gros seins qui discute toujours avec sa copine, et je vois qu’ils pointent. Même à travers son soutien-gorge. Ses tétons doivent être énormes et tellement durs. Mmm...
Le trajet du retour se fait assez rapidement puisqu’on ne marche pas. On saute dans le premier bus jusqu’à ma rue. J’en profite quand même pour voir que les seins d’Eve pointent bien à cause du froid. Elle a oublié qu’elle avait une veste.
Quand on arrive chez moi, on entre vite et on passe au salon.
— A genoux salope et suce.
Eve s’exécute sans discuter. Elle n’attendait que ça. Elle ouvre mon pantalon et sort ma queue toute dure et prête.
— J’adore voir ta queue bien dure pour moi. Je suis fière de te faire cet effet.— Suce.
Elle approche mon gland de ses lèvres, et souffle dessus. L’air chaud de sa bouche est agréable. Mais je veux plus. Et tout de suite. Je mets la main derrière sa tête, et je l’enfonce sur ma queue. Je la sens pénétrer jusque dans sa gorge. Après quelques secondes, j’attrape ses cheveux et je l’éloigne de ma queue. Je vois Eve remplir ses poumons d’air, elle sait ce qui vient, et je la repousse sur ma queue pour l’enfoncer jusqu’à la garde. Je sens sa gorge étroite sur mon gland. Je ne sais pas comment elle arrive à contrôler son réflexe nauséeux.
Je continue à essentiellement baiser sa bouche, mais j’ai de moins en moins besoin de la contrôler. Eve a compris et me suce maintenant bien à fond d’elle-même.
Je la laisse faire un temps. Je sais qu’elle aimerait toujours me faire jouir comme ça, mais ça n’arrivera pas. Je reprends ses cheveux dans ma main, et je retire ma queue de sa bouche. Tout en tenant ses cheveux, je la retourne, et je la mets à quatre pattes. Je passe derrière elle et j’appuie sur son dos entre les omoplates pour qu’elle mette son visage au sol. Je veux voir sa chatte et son cul bien offerts.
Même sans la toucher, je vois que la chatte d’Eve est luisante de mouille et déjà bien écartée. Son petit trou est béant et n’attend que moi. Elle est prête. Je prends ma queue dans la main et je l’enfonce entièrement d’un coup, comme j’avais fait avec sa bouche.
Sa chatte est tellement chaude et mouillée, ça glisse tout seul. En un seul coup de reins, je me retrouve au fond de son vagin contre son col de l’utérus. Terminus. Je me retire, et j’enfonce ma queue de nouveau jusqu’au fond. Eve pousse des gémissements à chaque fois.
— Ta queue a grandi ? Elle tape au fond de ma chatte à chaque fois.— Ca t’embête ?— Non, j’ai juste été surprise. Je me relaxe et maintenant c’est bon. Continue à défoncer ta salope.
Il ne faut pas me le dire deux fois. Je me retire de nouveau pour m’enfoncer entièrement d’un coup. Eve continue à gémir doucement. Je prends un peu de vitesse, en faisant bien attention à toujours taper au fond de son vagin. Eve gémit de plus en plus fort, en rythme avec mes coups.
Je regarde sa chatte agripper ma queue à chaque fois que je me retire. On dirait qu’elle regrette que je sorte. Et puis dès que je vois mon gland apparaître sous la peau, je la reprends à fond.
Eve gémit de plus en plus fort. Tout à coup, je la sens trembler et je sens sa chatte se contracter à répétition autour de ma queue. Je fais des va-et-vient encore plus rapides et plus forts pendant son orgasme. Je veux la faire exploser de plaisir.
Elle tremble pendant une éternité, puis je la sens se relaxer. C’est alors que son petit trou du cul attire mon regard et semble m’appeler, comme l’avait fait sa chatte plus tôt. Je retire ma queue complètement de sa chatte, j’entends Eve inspirer fort de surprise, puis je positionne mon gland à l’entrée de son cul et je pousse.
Encore une fois, ça entre tout seul. Je pensais devoir forcer, mais Eve est tellement relaxée que je peux entrer comme si j’étais dans son vagin. C’est tellement excitant que j’ai du mal à ne pas jouir immédiatement. Son cul est brûlant. Je commence les va-et-vient doucement, et Eve reprend ses petits gémissements.
Elle aime clairement ça. Elle m’avait dit qu’elle n’avait jamais fait dans l’anal, mais qu’elle etait curieuse. Je suppose qu’elle n’a plus besoin d’être curieuse : elle est une bonne salope qui offre tous ses trous.
Après un nombre de coups dans son cul, je sens que ma queue est sèche. Je me retire, et je l’enfonce dans sa chatte. Elle est moins chaude que son cul, mais toujours aussi mouillée. Je donne quelques coups bien profonds, et je repasse à son cul, toujours ouvert, toujours accueillant. Je reproduis le cycle plusieurs fois.
Le changement de trou à répétition, le cul d’Eve étroit, l’interdit, je sens mon plaisir monter très vite. Je ne vais pas me battre, je veux jouir. J’ai trop envie de me vider en elle. Tout à coup, je sens ma queue spasmer, et mon sperme se répandre au fond de son cul. C’est une explosion énorme. Probablement la plus grande jouissance de ma vie.
Une fois les spasmes terminés, je sors ma queue de son cul, et je la replonge dans sa chatte et je la laisse là sans bouger. On y best bien. Je sens Eve contracter les parois de sa chatte pour masser ma queue. Elle me regarde avec un sourire.
— Bon, tu as perdu la virginité de ton cul. Et c’était un bon coup.— Merci de m’avoir enculée. Je n’attendais que ça depuis hier. Maintenant, je sens que je suis ta salope et que tu peux faire ce que tu veux de moi et de mes trous.— T’es une bonne salope, tu peux être fière.
Je me retire de sa chatte, ma queue commençant à perdre de sa raideur. Eve se retourne et lèche le bout de mon gland, comme une sucette. Je veux la reprendre, mais ça va devoir attendre un peu.
On passe le reste de l’après-midi en pyjama, à se détendre. Je ne peux pas arrêter de penser au cul d’Eve.

Le Maître d’Eve 2021
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