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Notre première expérience échangiste

Chapitre 1

Orgie / Partouze
NOTRE PREMIERE EXPERIENCE ECHANGISTE
Tout a commencé par une boutade lors d’un repas organisé par l’association dont nous faisons partie. Nous sommes une cinquantaine et la salle du restaurant a été privatisée. Le dessert vient d’être servi, les esprits s’échauffent et quelqu’un hurle à l’autre bout de la table.
— Il est échangiste et cherche des partenaires ! Qui est échangiste ?
Ma femme se lève.
— Moi !
Je ne sais pas ce qu’il lui a pris. Françoise a certainement un peu trop forcé sur la boisson, c’est ce qui doit expliquer sa réaction. Tout le monde rigole puis le brouhaha reprend autour de conversations diverses. A la fin du repas, tout le monde se dit au revoir et nous sortons du restaurant. Un couple nous aborde. Ce ne sont pas des amis proches mais on les connait. Ils s’appellent Paul et Laurence et possèdent une grande surface de meuble dans une zone commerciale.
— On organise un diner samedi prochain, venez tous les deux.
Paul s’adresse à Françoise. Elle ne sait pas quoi lui répondre et se tourne vers moi. Comme elle, je suis pris de cours, n’ayant aucune excuse sous la main.
— Vingt heures, ça vous va ?— Merci.— N’oubliez pas de mettre des sous-vêtements coquins !
Enchaine Laurence. Elle laisse un silence de quelques secondes puis elle reprend.
-Non, je rigole !
Nous repartons chez nous. Françoise est dubitative.

— Tu crois que c’est une soirée échangiste ?— Non quand même pas !
Arrive le samedi en question. Françoise a acheté pour la circonstance des dessous sexy en se disant on ne sait jamais. Nous sommes le deuxième couple à arriver. Nos hôtes nous présentent à Stéphane et Virginie que l’on connait un peu. Lui est chirurgien-dentiste et Virginie gère la bibliothèque municipale où j’emprunte régulièrement des livres. Native de Madagascar, elle a la peau foncée. On discute debout en attendant un dernier couple.
— Ils ne savent pas être à l’heure !
Dit la maitresse de maison un peu agacée. Mais elle a parlé un peu trop vite. Edouard et Martine font leur apparition dans le hall d’entrée. La maison est une vieille bâtisse composée de grandes pièces. Les derniers arrivés travaillent dans la finance. Je ne les avais jamais vu auparavant et je n’ai pas très bien compris leur métier. Tout le monde est là, quatre couples. On s’installe dans le salon où sont disposés des amuses gueules et des coupes de champagne. Deux immenses canapés se font face complétés par de gros fauteuils de chaque côté et une table basse au milieu. Françoise est entre Paul et moi sur un des canapé. Elle me murmure.
— Tu vois, on s’est fait des idées !— Tu aurais bien aimé hein coquine.
Je sens un air de déception dans sa voix. Quelques coupes de champagne plus tard, Laurence nous propose de passer à l’étape suivante.
— J’ai mis un portant avec des cintres dans le coin de la pièce pour que vous puissiez déposer vos habits.
Nos hôtes ainsi que les autres invités commence à retirer leurs vêtements. On se regarde Françoise et moi ne sachant quoi faire. La maîtresse de maison s’adresse à ma femme.
— C’est une habitude qu’on a prise entre nous. On mange non pas léger mais en tenue légère.— Arrête de te moquer !
Lui dit son mari. Il est en caleçon, chaussettes et maillot de corps.
— Faites comme vous voulez, si vous n’avez pas envie de vous déshabiller, vous ne le faites pas.
Françoise est en tailleur pantalon bleu marine. Elle retire sa veste et déboutonne son chemisier. Il est à rayure bleu ciel et blanc. Au fur et à mesure qu’elle égrène les boutons, elle découvre sa poitrine galbée dans une guêpière de satin blanc. Les convives sont tous déjà en tenue légère et font un cercle autour d’elle. Laurence s’approche de Françoise.
— Je vais t’aider.
Le chemisier enlevé, Laurence baisse la fermeture éclair sur le côté du pantalon permettant à Françoise de le retirer. Elle est en culotte de satin de la même couleur que la guêpière. Ses jambes sont gainées de bas translucide blancs. Un silence s’est fait dans la pièce. Ma femme tourne sur elle-même, contente de l’effet produit. Je vais à côté d’elle, je suis en shorty noir et tee-shirt noir. Paul nous complimente.
— Vous êtes magnifiques tous les deux ! Maintenant passons à table.
Laurence nous place. Un homme, une femme en alternance. Je suis entre Virginie et Martine. Entre une petite femme ronde à la peau pain d’épice et une grande blonde charpentée. La première a de la lingerie de dentelle rouge, tanga et soutien-gorge renforcé et l’autre porte un soutien-gorge balconnet fantaisie avec une culotte taille basse assortie. En face de nous, c’est le contraire. Françoise est placée entre Edouard et Stéphane. Nos hôtes sont en bout de table. Les trois hommes sont comme moi en shorty, uni rouge avec le maillot assorti pour Edouard, et fantaisie pour Stéphane et Paul avec un maillot de corps de coton blanc. La maîtresse de maison a le corps gainé dans un body noir en dentelle. Il lui rentre dans le sillon de ses fesses. Elle est vraiment bandante.
Françoise et moi, nous sommes les petits nouveaux et les plus jeunes avec une dizaine d’années de moins que les autres couples. Nous nous rendons vite compte que nous sommes l’objet de toutes les convoitises. Le repas rapidement expédié, nous retournons au salon. Le feu de cheminée crépite et propulse une chaleur intenable. Les couples se reforment. Je retrouve Françoise à mes côtés. Nous devons nous serrer car Paul et Laurence viennent de prendre place sur notre canapé. Sur le canapé d’en face, il y a les deux autres couples. Chacun enlace, embrasse, caresse son conjoint. Certains le font de façon plus démonstratives. C’est le cas de Stéphane et Virginie dont les seins sont sortis de leur bonnet. Ils ressemblent à de grosses mamelles avec de larges aréoles noires. Tout a commencé à déraper quand Edouard s’est mis à caresser les seins de Virginie. Elle se laisse faire. Stéphane ne dit rien et au contraire l’embrasse dans le cou. Virginie se tourne un peu plus vers Edouard et glisse sa main dans son shorty. C’est le jeu des chaises musicales. Martine rejoint Stéphane et s’agenouille devant lui. En face, on observe la scène et on se doute de ce qu’elle va lui faire. Laurence trépigne.
— Allez, action, réaction !
Dit-elle à son mari. Elle se lève et à son tour s’agenouille devant son mari. Ils s’embrassent, Paul descend les bretelles du body de dentelle noire libérant sa poitrine. Laurence a de petits seins. Il les empaume et pince les tétons. Elle gémit de plaisir puis plante son regard dans celui de Françoise.
— Alors, qu’est-ce que vous attendez ?
Nous sommes pris en flagrant délit de masturbation. Françoise a sa main dans son entre-jambe et se caresse discrètement et je fais la même chose. Cela semble plus facile pour nous de jouer les voyeurs plutôt que d’être acteurs. Bien sûr, nous avons déjà regardé des films porno montrant des couples échangistes. Mais là, en vrai, ce n’est pas du tout pareil. Il y a la chaleur dégagée par les corps, les odeurs de sexe, les bruits de frottement des corps entre eux. Je suis tétanisé. Françoise vexée par Laurence veut aller au-delà de ses limites et relève le défi. Elle met sa main dans mon shorty et saisit ma bite tendue à souhait. Elle la sort et la branle avant de se pencher pour la sucer.
— Ah enfin !
S’exclame Laurence. Elle se lève à nouveau et revient en déposant sur la table basse divers objets : lubrifiant, préservatifs, gode ceinture et sex-toys de différentes taille.
— Je rappelle, s’il en est besoin, que toute pénétration oblige le partenaire à mettre un préservatif.
Elle dégrafe les attaches de son body situées dans l’entrejambe et s’empale sur le pénis de son mari. Son corps monte et descend et ses petits seins dansent en cadence. Son souffle s’accélère à mesure que le rythme s’accroit. Paul la prend par les hanches et stoppe la chevauchée.
— Arrête, ça va trop vite.
Il souhaite se préserver car la soirée ne fait que commencer. Sa main avance vers Françoise et lui caresse le dos. Pendant qu’elle est en train de me tailler une pipe les doigts de Paul descendent jusqu’à sa culotte. Il en fait le tour par-dessus le tissu de satin blanc avant de se glisser à l’intérieur.
— Tu mouilles petite cochonne !
Elle ne répond pas et me suce avec encore plus de ferveur. Mais moi aussi j’ai besoin de prendre un peu de recul face aux événements. Je repousse sa tête et au lieu de se redresser, elle pivote afin que Paul ait un meilleur accès à son petit abricot. Je les regarde faire puis observe ce qui se passe dans l’autre canapé. Laurence les a rejoint. Ils sont tous à poil et j’ai du mal à reconnaitre chaque partie de leur corps tellement ils sont enchevêtrés les uns dans les autres. Virginie, ma voisine de table de tout à l’heure me fait signe de venir. Ce que je fais immédiatement.
— Voilà la jeunesse qui arrive !
A peine suis-je à portée de main qu’elle m’attire vers eux. Entretemps, j’ai enlevé mon shorty, ma queue est droite comme l’obélisque. Virginie me prend par les hanches et happe ma verge dans sa bouche grande ouverte. Je malaxe ses gros seins aux pointes érigées. Je suis à moitié debout, les genoux simplement appuyés sur le bord du canapé. Quelqu’un me caresse les fesses et me met son doigt dans le fion. Je tourne la tête et aperçois Laurence en train de me doigter l’anus avec du lubrifiant. Elle peut lire de la crainte dans mes yeux quand je vois qu’elle s’est harnachée d’un gode ceinture et tente de me rassurer.
— T’inquiète, je vais y aller tout doux !
Tout en disant ça, elle m’encule sans crier gare. Pas du tout habitué, ça me fait un mal de chien quand elle s’enfonce dans mon cul. Puis la douleur fait place au plaisir. D’autant qu’elle me pince les tétons à mesure qu’elle intensifie la sodomie. Virginie a cessé sa fellation et observe la scène en me caressant les couilles. Laurence se lasse vite.
— Allez, je te laisse.
Elle s’en va vers un autre partenaire ou une autre devrais je dire car sa prochaine proie est Martine. Grande, épaules larges et bassin évasé, elle se fait brouter le minou par Stéphane. Voyant Laurence arriver vers elle, elle présente son cul et soustrait un plug anal de son trou avant d’écarter les fesses. Laurence s’introduit d’une traite dans les profondeurs de ses boyaux. L’autre grogne à chaque poussée. Je suis toujours auprès de Virginie qui continue de m’astiquer la queue. M’inquiétant de la situation de ma femme, je tourne la tête vers son canapé. Elle est prise par Paul et Edouard. Complétement nue, elle chevauche Paul tandis qu’Edouard l’a prise par derrière. Je prends tellement de plaisir à la voir ainsi que je dégage les doigts de Virginie de ma verge, retire ma capote et j’éjacule un long jet de sperme sur son visage.
— C’est ça les petits jeunes, ils ne tiennent pas la distance !— Désolé.— Approche que je te la nettoie.
Elle me lèche et n’en perd pas une goutte. Elle sait y faire et il ne m’en faut pas beaucoup plus pour recommencer à bander. Je ne suis d’ailleurs pas le seul à jouir. Stéphane vient de gicler dans son préservatif. Il est tout de suite remplacé dans le cul de Françoise par Edouard. Paul toujours dessous ne se lasse pas de peloter les seins de ma femme.
— Prends moi !
Décidément j’ai la côte avec Virginie. Elle se met à quatre pattes sur l’épais tapis moelleux me présentant ses belles grosses fesses couleur pain d’épice. Pour moi c’est une première. Je n’ai jamais baisé avec une femme de couleur. J’écarte ses petites lèvres foncées et découvre l’entrée d’un vagin tout rose. Je lèche sa fente, du clitoris jusqu’à son petit trou, elle semble apprécier. Puis j’enfonce mes doigts au plus profond de sa grotte. Elle glousse de plaisir quand mes doigts s’enfoncent de plus ne plus loin et tournicotent dans sa caverne. Mon fisting se fait de plus en plus intense et agressif. Elle jouit d’un orgasme sonore en inondant le tapis d’une cascade de cyprine.
— Eh ben !
Interloquée de ce qu’elle vient de voir, Martine s’approche de moi et souhaite que je m’occupe aussi de son cas. Je jette un œil vers Françoise. Elle est allongée sur le canapé avec Laurence au-dessus en position 69. Paul est derrière le cul de sa femme et la sodomise.
Face à Martine, ma bite a repris sa forme olympique. Martine est une force de la nature et me dépasse d’une tête. Blonde avec des seins fermes en forme d’obus, elle écarte ses largement les jambes pour que je la bourrine un maximum. Elle pousse un petit cri quand je la pénètre à la hussarde. Je lui ramone le conduit autant que je peux tout en lui martyrisant les seins. Elle lève ses jambes jusqu’à mes épaules pour que je m’enfonce encore plus en elle. Je la maintiens par les pieds et la pistonne à fond. Au bout d’intenses va-et-vient, un geyser sort de sa chatte brulante. Je jouis une seconde fois.
Je pense que tout le monde a pris son pied. Les différents convives vont à tour de rôle dans la salle de bains avant de reprendre place dans le salon autour d’une coupe de champagne. Nous sommes rhabillés mais toujours en sous-vêtements. Je pense que la soirée est terminée mais nos hôtes ne semblent pas tout à fait de cet avis.
— Bon maintenant on va passer aux choses sérieuses, pile ou face ?— Nous on prend pile !
Paul lance une pièce de monnaie qui atterrit dans sa main.
— C’est face, les hommes ont gagné !
Le jeu consiste en ce que l’équipe gagnante choisit de bander les yeux des conjoints, en l’occurrence les femmes.
— On va dans la grande chambre du bas.
Nous suivons Laurence qui nous mène dans une belle chambre avec un immense lit. Les hommes bandent les yeux de leurs épouses et les dépouillent de leur lingerie. Puis ils se mettent à poil à leur tour.
— Les gars, pas un mot, il ne faut pas qu’elles nous reconnaissent !
Françoise est tout de suite prise d’assaut. Les trois mecs sont sur elle et tente de la prendre par tous les trous. Me voilà seul face à trois femmes que je dois essayer de satisfaire. Paul tend son bras et point son doigt vers une petite table sur laquelle il y a un tube de vaseline et différents godes. Je fais allonger sur le dos Laurence Virginie et Martine et place dans chacune de leur main un gode que je dirige vers leur vagin respectif. Je les active les uns après les autres. Elles prennent vite le relai. Je bande à les voir ainsi se masturber tantôt le clitoris tantôt rentrer l’engin dans leur gaine vaginale. Mes mains caressent leur poitrine passant d’un sein à l’autre. Leur corps se contorsionne au gré de leur masturbation. Il y en a une qui vire à l’écarlate tandis qu’une autre couine et la dernière pousse des soupirs. Je jouis une fois de plus. J’étale ma crème onctueuse sur leurs seins. Françoise se fait tringler par les trois compères qui se relayent et la prennent par tous les trous à tour de rôle. 
Cette fois tout le monde a pris son pied. Il est temps de rentrer. Nous prenons date pour une prochaine rencontre. Ce sera chez Stéphane et Virginie mais Edouard et Martine ne seront pas là. Paul a déjà trouvé un autre couple. Françoise et moi, on n’a pas encore donné notre réponse. Il faut qu’on fasse le point.
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