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Notre secret

Chapitre 6

Éric

Inceste
Si vous avez envie de me décrire comme le méchant de l’histoire, ce descriptif me convient très bien. La plupart du temps, c’est bien ainsi que je me considère moi-même.Je m’appelle Éric, j’ai vingt ans, et je couche avec ma sœur. Ah, tout de suite, ça jette un froid, pas vrai ? Depuis que nous habitions dans le même appartement parisien avec ma jumelle Noëlla, nous avions découvert une très forte attraction sexuelle entre nous, nous étions tombés amoureux, et désormais nous vivions comme un parfait petit couple, entourés de millions de parisiens qui étaient loin de se douter que si nous avions le même nom de famille, c’est parce que nous faisions littéralement partie de la même famille. Ce volet-là de notre vie fonctionnait bien. Franchement, c’était le bonheur. Insensé, mais qu’est-ce qui ne l’est pas, dans l’existence humaine ?Ce qui était moins confortable, c’était notre manière de nous situer par rapport à ceux qui nous connaissaient avant. En particulier, vis-à-vis de nos parents et de notre sœur. Nous menions une double vie, hantée par des secrets honteux, et quelle que soit la manière dont on voulait bien la décrire, c’était une situation extrêmement inconfortable. De quelle manière agit-on dans ce genre de cas ? Eh bien on échafaude un plan.Le nôtre était très simple : attirer toute notre famille dans notre secret.C’était insensé, d’accord, disproportionné, à coup sûr, peut-être même un peu criminel, mais voilà, le désespoir engendre des idées folles. Celle-ci était aussi élémentaire que démentielle : si nous avions des relations sexuelles avec les autres membres de notre famille, ceux-ci seraient intégrés à notre secret et ils nous laisseraient nous aimer en paix. Si je baisais Maman, comment pourrait-elle me reprocher de faire l’amour à ma jumelle ?Et donc, le premier acte de cette conquête passait par notre petite sœur Lou.  En quelques mois, à l’approche de son dix-huitième anniversaire, Lou s’était métamorphosée. Elle était passée d’une jeune fille revêche et renfermée sur elle-même à une superbe jeune femme, dont le physique d’Aphrodite rendait fous tous les hommes, moi y compris. Le seul souci, c’était que la petite, maintenant majeure mais toujours vierge, vivait très mal ce don de la nature et l’attention qui l’accompagnait. Elle se camouflait du mieux qu’elle pouvait, mais sa beauté enivrante n’était pas facile à dissimuler. Le plan, c’était de la prendre dans nos filets, de la séduire et de la faire rentrer dans notre cercle incestueux. Au passage, il s’agissait de lui ouvrir les yeux sur son merveilleux potentiel érotique, qu’il aurait été dommage de gâcher, et sur les différentes manières qu’elle avait de connaître une vie sexuelle équilibrée et épanouie. On se disait qu’on faisait une bonne action... Nous avions mis à profit un séjour de quelques jours dans notre maison natale en Province pour enclencher les différentes phases de l’opération. J’avais ouvert les feux en me montrant très tactile avec Lou. Quelques smacks sur la bouche, quelques gestes appuyés : cela avait visiblement suffi pour installer le trouble chez ma petite sœur, qui rougissait dès que je m’approchais d’elle.Noëlla avait porté la deuxième estocade en la prenant à part pour plusieurs conversations entre sœurs consacrées au sexe. L’idée, c’était de la faire sortir de son cocon pour qu’elle réalise à quel point elle pouvait s’éclater si elle ouvrait un peu son esprit…Et puis le coup de grâce, la veille au soir, c’était une mise en scène où Noëlla et moi avions fait l’amour en prenant bien soin de garder la porte ouverte afin que Lou nous espionne. Elle avait tout regardé, du début à la fin, sans crier ni alerter les parents. Mieux : en assistant à nos ébats incestueux, elle s’était masturbée jusqu’à l’orgasme. Le fruit était mûr, plus qu’à le faire chuter de l’arbre… De manière surprenante, ce fut elle-même qui donna l’impulsion à l’acte suivant. La nuit était tombée, au lendemain de notre audacieuse exhibition. J’étais seul dans mon lit. Ou plutôt, j’étais seul dans le lit de ma chambre d’enfant, qui ne me donnait déjà plus l’impression d’être le mien. Je cherchais vaguement le sommeil dans les ténèbres, espérant malgré tout que Noëlla me rejoindrait pour un câlin.  C’est bien ce qui se produisit. Ou presque. Au milieu des ombres impénétrables, une silhouette féminine, à peine visible, se fraya un chemin dans la pièce à pas feutrés, avant de fermer la porte à clé. Elle grimpa dans mon lit, se fit une place sous les draps mais n’osa pas se coller à moi, se contentant de dire, d’une voix flûtée, brisée par le stress :— C’est moi, euh, mon cœur…  Je… c’est moi Noëlla… 
Ce n’était pas la voix de Noëlla. Ce n’était pas non plus son corps que je serrai contre moi : ma jumelle avait la chair ferme et bien dessinée ; une taille si menue qu’on pouvait presque en faire le tour à deux mains ; une cambrure profonde où j’aimais poser mes paumes et les laisser errer vers les deux pommes de ses fesses ; deux seins comme des triangles, qui disparaissent presque lorsqu’elle se couchait sur le dos. La fille qui était dans mon lit n’était pas comme ça du tout. Sa poitrine était massive, deux globes parfaits, qu’on n’aurait pas confondus avec ceux d’une autre femme ; sa peau était douce et crémeuse comme celle d’un angelot ; ses hanches arrondies dessinaient un schéma incomparable de sablier qui appelait les caresses…C’était Lou. Impossible de s’y tromper. Dans un acte d’une audace sidérante, elle avait choisi de me rejoindre dans ma chambre et de se faire passer pour sa sœur… C’était clair et net, et l’énorme érection qui accompagna cette prise de conscience me le confirmait : j’allais jouer le jeu, faire mine de ne pas la reconnaître et en deux mots, agir comme si je croyais à sa supercherie… Ça ne voulait pas dire que je n’allais pas m’amuser un peu au passage…— Attends mon amour, j’allume, j’ai envie de te voir…J’eus du mal à me retenir de rire face à la confusion paniquée qui s’empara d’elle. Je la laissai bredouiller un moment, avant de la rassurer :— Tu préfères rester dans le noir ? Comme tu veux mon petit cœur. Elle se détendit, et j’en profitai pour la serrer fort contre moi, afin de partir à la découverte de son corps et de lui faire sentir à travers mon caleçon à quel point elle me faisait bander. Je devinais le mélange d’effroi et de désir qui devait s’emparer d’elle...Moi non plus je n’étais pas complètement tranquille. Ce qui s’était produit entre Noëlla et moi était une anomalie. Il était clair que notre attirance avait des racines profondes et anciennes, qui avaient fini par engendrer entre nous une affinité amoureuse et sexuelle, au-delà des limites considérées comme acceptables. Rien de tel avec Lou. C’était ma petite sœur, mon petit têtard, et malgré mon passif en matière d’inceste, la toucher ne paraissait pas entièrement naturel. Malgré tout, le gourdin dressé dans mon caleçon m’indiquait que mon corps avait décidé de prendre de l’avance sur mes scrupules… Il faut dire qu’elle était devenue tellement irrésistible…Lou portait une nuisette de satin qu’elle avait dû chiper à Noëlla, dans l’espoir peut-être de donner le change. Petite inconsciente... Sur elle, en raison de ses mensurations, le vêtement infime collait à sa peau et emprisonnait ses formes dans un film soyeux qui donnait envie d’y faire glisser ses mains. Je ne me fis pas prier de le faire. Avec une ardeur contenue, pour ne pas la brusquer, je caressai ses courbes alléchantes à travers sa lingerie : ses hanches pleines, sa taille étroite, ses seins splendides. — Oh putain… murmura ma petite sœur entre ses dents, pensant sans doute que je ne pouvais pas l’entendre.  Ça m’a ému, je ne sais pas pourquoi. Avant même que j’aie réalisé ce que je faisais, je cherchai dans la nuit son visage invisible, posai ma bouche sur la sienne, pour un vrai baiser d’amants, son tout premier. Ses lèvres furent d’abord effarouchées comme un passereau au contact des miennes. Je lui laissai le temps de les apprivoiser et elle finit par se tranquilliser et par accepter ce qui lui arrivait. Par l’apprécier, même, à en juger par ses appels de bouche affamés, à la recherche de la mienne, afin de s’y enchâsser, toujours plus profondément. Elle y trouva ma langue, et, d’abord, elle ne sut pas trop quoi en faire. Mais même avec sa gaucherie de débutante, elle finit par trouver un moyen de s’y lover confortablement. Je compris qu’elle passait un bon moment lorsqu’elle se mit à gémir dans ma gorge.  Lou me rendait fou. J’étais excité. Désormais, mes scrupules ne me retenaient plus : j’avais envie de ma petite sœur. Si je pouvais l’avoir, j’allais la prendre, pas de doute. Encore fallait-il jauger au préalable ce qu’elle était d’accord de faire…— Noëlla, lui dis-je dans l’oreille. J’ai envie de toi… J’ai envie de te baiser…Je la sentis se raidir dans mes bras. Ma proposition la terrifiait. Dans sa voix, j’entendis même un soupçon de sanglot, enfoui mais pas assez pour le faire disparaître :— Euh… mon cœur, je… Pas ce soir, d’accord ? Je ne suis pas pr… Je ne préfère pas, OK ?Comme pour faire passer la pilule de ce refus, elle posa sa main à plat sur la latte dure qui tendait mon caleçon. Il était exclu qu’elle se force :— Ne t’en fais pas, ma puce. Ne fais rien que tu n’as pas envie de faire, d’accord ?Elle poussa un soupir soulagé et se détendit un peu… mais ne retira pas ses doigts de ma bosse, qu’elle se mit même à caresser tendrement, avec un frémissement dans le poignet. — Ça, j’en ai très envie, dit-elle en m’embrassant à nouveau.  C’était noté : les filles de la famille ne couchaient pas le premier soir. Mais on pouvait quand même se divertir…— Retire mon caleçon, lui dis-je. Elle obéit sans discuter, trouvant dans l’obscurité le chemin de mon sous-vêtement. Elle m’en débarrassa. J’étais nu contre elle, mais comme elle ne voyait rien, elle ne paraissait pas trop intimidée. — Branle-moi la queue. C’était volontaire de ma part d’adopter un ton un brin autoritaire. Délibéré également d’adopter un vocabulaire un peu cru. J’avais envie qu’elle comprenne que je la traitais comme une partenaire sexuelle, pas comme une virginale jouvencelle. J’espérais qu’ainsi, elle se libèrerait de ses appréhensions. Cela ne se fit pas attendre. Elle entoura prudemment mon érection de ses doigts froids, s’y installa, intimidée, puis la prit en main pour de vrai. — Vas-y, tu peux me masturber.  Elle s’y mit, un peu, comme si ma bite était bourrée de nitroglycérine et qu’on risquait de la faire exploser au cas où elle l’agiterait trop fort. C’était mignon, quelque part, mais je trouvais impératif de briser sa timidité, de la faire sortir de sa coquille. Je guidai sa main avec la mienne, je la mis en position où il fallait, je lui imprimai exactement le tempo qui me plaîsaitÇa commenceait à faire beaucoup de bien…— Bonne petite…Je l’entendis sourire. Oui, ça se peut. Elle devait être fière. Elle pouvait l’être. Moi j’avais envie de l’envahir, de l’investir, de saturer ses sens, de lui faire quitter la surface de la planète, de la faire grimper au plafond jusqu’à ce qu’elle se dise que, quand même, le sexe, c’est génial, et qu’elle ne puisse plus s’en passer.  L’assaut était lancé. Je multipliai les petits bisous dans le creux de son cou. Ça rendait Noëlla complètement folle, ça eut encore plus d’effet sur Lou. Pour la première fois, elle poussa un petit cri de gorge, complètement désinhibé. Mes mains se plaquèrent sur ses fesses, allèrent chercher ses tétons fermes à travers le satin. Elle gémit encore. Ça m’encourageait. Je vint chercher l’ourlet de sa nuisette et je le tirai vers le haut, jusqu’à la débarrasser de ce truc. Elle était déshabillée contre moi, en-dehors d’une petite culotte qui ne résista pas très longtemps à mes manipulations. Elle me laissa le champ libre pour la priver de son ultime sous-vêtement.  C’était un des moments que j’attendais avec impatience. Le frère, la sœur, nus ensemble au pieu. Rien que des possibilités. Surtout que Lou avait toujours ma bite en main. Bon, elle avait arrêté de me branler depuis mon raid vestimentaire, ça pouvait se comprendre. Je lui imprimai le rythme à nouveau, qu’elle suivit avec obéissance, puis j’avalai goulûment la pointe durcie d’un de ses seins parfaits. Quel festin ! Je léchai le téton dressé, dessus, tout autour ; je couvris tout le globe charnu de baisers humides ; je pris le sein en bouche pour le sucer avec avidité. Cette dernière partie arracha chez Lou une série de sons que je n’avais pas entendus auparavant. Des sortes de miaulements graves, issus des profondeurs de ses poumons. Sa main, sur mon pénis, se serrait. Son souffle était court. Les muscles de son ventre se contractaient. La voix de plus en plus défaite, elle chuchotait, en boucle :— Putain… putain… Éric… putain… Pas besoin d’être devin pour comprendre que la petite demoiselle allait bientôt avoir un orgasme. Pas question de rester étranger à la fête…Sans quitter son sein, ni cesser de le suçoter, je tâtonnai jusqu’à trouver l’intérieur de ses cuisses. Je le découvris ruisselant d’une quantité impressionnante de suc tiède, signe d’une excitation phénoménale. Ma petite sœur, que j’avais l’impression d’avoir à peine touchée, passait un très bon moment…Il fut élémentaire de localiser son clitoris. Il m’attendait, au milieu de l’océan de mouille, dressé comme une figure de proue. Je vins y poser le gras de mon pouce, délicatement, sans mouvement intempestif, me contentant d’y imprimer une oscillation paisible.  Et là, le ciel me tomba sur la tête. J’avais commencé à caresser le sexe de ma petite sœur depuis quelques secondes lorsqu’elle referma ses cuisses sur ma main, violemment, alors que sa chatte était secouée de spasmes. Lou se cabra, se contorsionna, crispa ses muscles en tous sens, les poumons agités de halètements, son sexe crachant un flot supplémentaire de mouille. Elle était en train de jouir. Le premier orgasme de sa jeune vie ? En tout cas, le premier causé par les caresses d’un amant. Et puis avec ça, le premier baiser, les premiers attouchements, la première masturbation, le premier inceste. Ma sœur avait plongé la tête dans un oreiller afin d’étouffer ses cris de plaisir et d’éviter de réveiller toute la maison.  Je laissai le temps au tremblement de terre de se calmer. Il fallut faire preuve de patience, parce que Lou resta prostrée de longues minutes, à subir secousse après secousse et à gémir dans son traversin. Je n’avais pas anticipé la suite. Lorsque ma sœur émergea de sa délicieuse transe, ce fut brutalement. Elle se dressa, et après quelques tâtonnements, elle fondit directement en direction de ma queue, que rien n’avait fait débander depuis tout à l’heure. Sans prévenir, sans rien dire, elle engloutit mon membre et se mit à le déguster. Il faut croire que le pic de son plaisir avait dopé son audace. J’avais la quasi-certitude que Lou n’avait jamais de sa vie eu un pénis en bouche. Elle entama une fellation frénétique et approximative, mais elle faisait plus que compenser son manque d’expérience par son enthousiasme. Ma petite sœur était en train de découvrir qu’elle adorait sucer des queues, et c’était réjouissant d’être là pour vivre ce moment. Ce qui l’était encore plus, c’était que j’étais l’homme chanceux qui bénéficiait de cette faveur, et le plaisir en moi grimpait comme la pression dans une cocotte-minute.  En un concert de bruits de chair et de salive, elle multiplia les allers-retours le long de ma colonne, régulièrement interrompus par des suçotements avides de mon gland tuméfié. C’était chaud. C’était bon. Et surtout, le fait de savoir que c’était ma petite sœur qui me suçait, persuadée d’être parvenue à me faire croire qu’elle était mon autre sœur, décuplait mon plaisir. Ça devenait dingue… Je perdais le contrôle… Il était clair que je n’allais plus tenir bien longtemps… D’un instant à l’autre, les sensations allaient atteindre un seuil qui ne me permettrait plus de retenir l’inéluctable. Je la prévins :— Mon cœur, je vais jouir… C’était de la courtoisie, afin qu’elle ait le temps de sortir ma queue de sa bouche si elle le souhaitait. Mais Lou, qui, décidément, n’arrêtait pas de me surprendre, n’en tint pas compte. Plutôt que prendre ses distances, elle accéléra le rythme au contraire, et se mit à me sucer plus profondément encore qu’auparavant. J’espérais qu’elle avait bien compris la nature de mon avertissement, parce qu’il n’y avait rien, désormais, que je pouvais faire pour éviter de tout lâcher en elle… Un pic de plaisir naquit à la base de mon pénis et se propagea à tout mon être, comme une déferlante qui arracha chaque bribe de ma pensée consciente, nivelée par la jouissance. Je jouis. Une lampée après l’autre, j’éjaculai au fond de la gorge de ma petite sœur, jusqu’à la gaver de sperme. Elle ne flancha pas et avala tout ce que je lui offris - pourtant, j’étais un très généreux producteur de foutre.  Après mon ultime spasme, je me dégageai de la gorge de Lou en un bruit de tétée flasque. Elle donna encore un bisou sur l’extrémité de mon gland. Qu’est-ce qui se passait dans sa tête ? Était-elle bouleversée ? Comblée ? Confuse ? Fière d’elle ? Honteuse ? Un peu de tout ça ? Elle ne partagea pas son état d’âme, ce qui aurait conduit à trahir sa mascarade…Tendrement, je caressai ses cheveux dans le noir :— Tu es une bonne sœur, lui dis-je. De la bouche qui venait d’avaler mon sperme, elle me donna un baiser curieusement fraternel sur la joue. — Tout va bien ?Elle répondit par l’affirmative, dans un souffle, puis embrassa encore ma joue, et les phalanges de ma main. J’avais l’impression folle que je pouvais entendre les battements de son cœur d’oiseau se réverbérer dans la pièce. — Bonne nuit, dit-elle. Elle se dressa, et, avec précipitation, quitta la pièce sans s’attarder davantage, emportant dans l’intimité de sa chambre notre secret, son secret… J’avais hâte de tout raconter de cet interlude nocturne à Noëlla…
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