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Notre secret

Chapitre 8

Lou

Inceste
J’ai un secret, et je suis sûre que peu de filles peuvent en dire autant. Vous savez quoi ? Je vous laisse juger.Je m’appelle Lou, j’ai tout juste dix-huit ans, et je connais le goût de mon frère et de ma sœur. Au cours des deux jours les plus mouvementés de ma vie, j’ai bu le sperme du premier et dégusté la chatte de la seconde. Je sais. Incroyable.J’y repense alors qu’on est le lendemain et que je me trouve dans la grande salle de bain d’une chambre d’hôtel en compagnie de ma grande sœur Noëlla.— Avec un beau visage comme le tien, pas la peine d’en faire trop, dit-elle.Aux petits soins pour moi, elle est en train de s’occuper de mon make up. Elle dépose sur mes lèvres une touche de gloss qui les fait briller. En me regardant dans le miroir, mes yeux semblent plus profonds, ma peau débarrassée de toutes ses petites imperfections. Pour moi qui ne me maquille jamais, ça ressemble à de la magie. Elle a l’air d’être fière de moi.Si la transformation reste malgré tout assez light au niveau du visage, tout le reste, c’est une autre affaire.Pour la première fois de ma vie, je suis en lingerie de pétasse. Ouais. Je porte un corset brodé de dentelles blanches qui pousse mes seins vers le haut et les fait ressembler à deux beaux œufs dans leur coquetier. Il y a des tas de détails girly, comme ce gros nœud de satin sous mes boobs, les porte-jarretelles qui maintiennent mes bas en place, et cette ridicule petite culotte qui montre l’entier de mon cul.  Si vous m’aviez posé la question la semaine dernière, je vous aurais dit, avec un poil d’hypocrisie peut-être, mais je vous aurais dit quand même, que le sexe, ça n’était pas pour moi. Que tout ce cirque m’agaçait. Et que la dernière chose dont j’avais envie, c’était de subir le même genre de makeover sexy auquel la plupart des filles de mon âge se plient pour plaire aux mecs.Pourtant, à présent que je vois l’image que me renvoie le miroir, cette poupée trop hot dont je n’arrive qu’à moitié à croire que c’est moi, mes scrupules sont vite oubliés, alors que je met mon combat contre le patriarcat entre parenthèses. La partie trop raisonnable de mon cerveau juge cette tenue juste indécente, sexiste, ridicule. Mais au fond de moi-même je ne trouve divine, érotique, indestructible. Comme si je pouvais obtenir tout ce que je veux. Noëlla avait raison : la beauté féminine est un super-pouvoir. Je n’ai plus l’intention de m’en priver désormais… Il faut dire qu’il s’est passé deux-trois trucs ces derniers jours qui m’ont pas mal chamboulé ma life. Des exemples ? Après une fête d’anniversaire où mes parents m’ont exhibée comme une poupée de collection, mes frères et sœurs, les jumeaux qui habitent ensemble à Paris, ont décidé de passer quelques jours dans la maison familiale. C’est là que tout est parti en cacahouète. Le lendemain, j’ai surpris Éric dans la chambre de Noëlla. Ils s’embrassaient et se disaient des mots cochons. J’aurais pu hurler ou tourner les talons, mais à la place je les ai regardés faire l’amour. Ce soir-là, j’ai appris deux choses : ces deux-là avaient une relation amoureuse et sexuelle incestueuse, et plutôt que me scandaliser, ça m’excitait grave. Mieux : cette soirée à elle seule a été responsable de l’éclosion de ma sexualité et de tout ce qui a suivi. Morceaux choisis : je me suis introduite de nuit dans le lit de mon frère pour le sucer, et le lendemain après-midi, j’ai fait l’amour avec ma sœur. Ouais, apparemment, je suis un petit peu gouine sur les bords. Et elle aussi. Marrant, la vie.  Je sais que ce n’est pas comme ça qu’on les imagine en général, mais ces quelques jours ont constitué une expérience initiatique en ce qui me concerne. Tout a changé. Mind blown.  Du jour au lendemain, j’ai cessé d’être cette adolescente un peu paumée qui ne pensait qu’à se balader dans la nature et à porter des vêtements super amples. Oh, j’aime toujours la nature. Mais à présent je n’ai plus honte de mon corps, plus peur de mes tentations… Et il y a des tas de trucs que j’ai envie d’essayer. Dès que mon frère m’aura debarrassé de mon embarrassante virginité. Tout ce que je tenais pour vrai est remis en cause. Avant je voulais me cacher, à présent j’avais envie de me montrer. Je réalise que ces filles de ma classe qui m’agacent tellement à s’afficher dans leurs tenues de pouf ont peut-être compris deux ou trois trucs qui m’ont échappé jusqu’ici.  Du coup, ce matin, Noëlla et Maman m’ont emmené faire les boutiques. Elles ont pris acte de la fin de ma résistance dans ce domaine pour m’offrir un relooking total. Un relooking slutty, pour le dire carrément. Elles ont sélectionné pour moi une cargaison de robes d’été, petites robes noires, minijupes, mini shorts, maillots de bain et compagnie. Rien que des trucs courts, collants, transparents, ajourés. Le plan, c’était de montrer un maximum mon décolleté (généreux) et mes jambes (longues), en gros, tout ce que j’avais toujours cherché à cacher. Et puis il y avait les dessous, minimalistes et tous très cute. Premier string, premiers bas, premier push-up. Heureusement que la famille avait de la maille, parce qu’on a fait chauffer la carte de crédit… Avec Noëlla on en a profité pour trouver la moindre occasion pour dénicher des coins discrets et se rouler des pelles – parce qu’on avait capté qu’on se kiffait et qu’on n’arrivait pas trop à se rassasier l’une de l’autre. Mais ce qui m’a surtout étonné, c’est que celle des deux qui poussait pour me faire adopter les tenues les plus sexy, ce n’était pas ma sœur, c’était ma mère. Si elle n’avait pas été là, mon recalibrage en bombe ne serait jamais allé aussi loin. C’était comme si elle jouait à la Barbie - et je ne m’en plaignais pas. 
Au passage, quand même, j’ai remarqué qu’elle en profitait pas mal pour me mater en douce dans la cabine d’essayage. Peut-être que je me fais des films, mais il y a des moments où son regard sur mon corps ne ressemblait pas à celui qu’on attend d’une mère sur sa fille. Et puis ses gestes aussi étaient ambigus : elle saisissait la moindre occasion pour me frôler, me peloter. Ses mains avaient une fâcheuse tendance à s’attarder sur ma poitrine, ces cuisses, mes fesses et, franchement, partout ailleurs. Au final, j’ai bien dû constater que mon corps accueillait favorablement ces attouchements, comme mes tétons dressés pouvaient en témoigner. Est-ce que ça veut dire que, en théorie, je serais partante pour qu’il se passe un truc avec Maman ? Pour le dire clairement, si elle avait envie de moi, est-ce que je l’accueillerais dans mes draps pour qu’on se fasse un petit plan coquin toutes les deux ? La réponse est clairement oui. Ma mère est une déesse et après ces derniers jours, il est exclu de poser des limites étriquées au choix de mes partenaires sexuels.  Mais là, tout de suite, ce n’est pas ça qui est au programme. Oui, le flashback est terminé. On est de retour dans la salle de bain de la chambre d’hôtel qu’on a réservé pour l’après-midi afin de fêter la fin officielle de mon statut de petite vierge. Je dois avouer que j’ai pas mal le trac…— Ne te tracasse quand même pas trop pour cette histoire de virginité, me dit Noëlla. On a baisé ensemble, tu as baisé avec Éric, même s’il ne t’a pas pénétrée. Là, il faut juste voir ça comme un truc en plus. C’est bien ma sœur : toujours à anticiper mes angoisses, toujours à se préoccuper de ce que je ressens. Elle se comportait comme ça avec moi depuis que j’étais toute petite. C’était elle qui me mettait un sparadrap et ne faisait un câlin quand je me faisais une écorchure au genou. — Merci Noëlla, je crois que j’avais besoin d’entendre un truc comme ça…Pour la remercier, je lui roule une pelle profonde et passionnée. Sa langue au goût de menthe s’entortille autour de la mienne. J’adore. Elle m’attire contre elle en poussant sa main fermement contre mes fesses, et nos corps en dentelles s’enlacent.  Elle et moi, en fin de matinée, on était retournés dans la boutique de lingerie sans Maman, histoire de trouver des tenues à porter pour cet après-midi. Des trucs un petit peu cochons. Elle avait choisi pour moi le corset blanc et tout le reste, qui donnait l’impression que je m’apprêtais à me marier dans un bordel. Et moi, j’avais sélectionné pour elle un ensemble noir avec tout plein de lanières et de dentelles transparentes, genre Princesse Gothique. Elle s’était maquillée en conséquence, avec un rouge à lèvres très sombre et des yeux charbonneux. J’ai tellement envie d’elle que, si je ne savais pas qu’Éric nous attend dans la chambre juste à côté, je pourrais la ken ici et maintenant… On ressemble à deux poupées Bratz, elle et moi. Ou deux tchoins. Ou alors à un ange et un démon dans un porno à gros budget. Bref, on est deux bombes qui ne demandent qu’à exploser. Et on s’en balek si ce qu’on s’apprête à faire scandaliserait la Terre entière. — J’ai hâte de voir Éric te prendre, me susurre ma sœur au moment d’ouvrir la porte. C’est le moment. J’ai la boule au ventre mais ses mots me donnent du courage. Et ma tenue de teupu m’aide à rester dans le personnage : la meuf trop bonne qui s’apprête à s’envoyer en l’air avec ses frère et sœur.  Comme prévu, Éric nous attend sur le lit. Il n’est vêtu que d’un caleçon, ce qui me permet d’admirer son torse sculpté par des années de pratique du handball. C’est un très beau mec, mon frère, en fait. Moi aussi j’ai hâte. Hâte de le sentir en moi. Hâte qu’il me fasse crier. Hâte de marquer la fin de ma période grise et le début de ma période rose…Son expression est incroyable quand il nous voit débouler. C’est comme s’il était le mec le plus chanceux de tous les temps. Il faut dire que, ouais, quand tu es le frère de deux canons qui se mettent en bombes pour s’éclater au pieu avec toi, il y a pire. La bosse qui se met à déformer son sous-vêtement constitue une première récompense. Ça me plaît de le faire bander. — Vous êtes magnifiques, les filles. Vous êtes géniales. J’ai les meilleures sœurs du monde.  And so it begins. Il y a un truc qui gratte au fond de mon bide, et ça me pousse à lui sauter dessus. Peut-être son sourire. Peut-être la manière dont il ne cache absolument pas son érection. Peut-être parce que notre sœur nous observe et que ça se voit tellement qu’ils sont amoureux, les jumeaux. — Avant qu’on commence, dit Noëlla, si douce et prévenante dans sa tenue de pute, c’est important de dire que tu n’es obligée à rien. S’il y a quelque chose que tu ne veux pas faire, ne le fais pas. Et s’il y a quelque chose que tu aimerais faire, il te suffit de…Je n’écoute pas vraiment la suite. Je comprends plus ou moins ce qu’elle essaye de dire, mais j’ai autre chose en tête. Rien de posé. Rien de cérébral. C’est assez confus, en fait. Ce qui est sûr, c’est que je me retrouve sur le lit à retirer le caleçon d’Éric aussi vite que possible. Derrière moi, j’entends Noëlla se taper des barres de rire. — J’en connais une qui est pressée !Le pénis d’Éric jaillit du tissu comme un feu d’artifice. Il est plus gros que je croyais. Marrant, je l’ai eu en bouche dans l’obscurité, mais je ne l’avais encore jamais vu avant maintenant.J’ai toujours le trac de ouf, mais j’ai trop hâte pour réellement écouter la petite voix qui crie dans le fond de ma tête que je suis une détraquée et que je vais avoir des traumatismes psychologiques graves et détruire ma famille, et bla bla bla. Je m’en balek, en vrai. Je fonce vers cette queue dont j’ai tellement envie et je me mets à la sucer d’une bouche gourmande. Voilà. Tant pis pour ma santé psychique, on va dire. Noëlla me rejoint, toujours hilare, elle se penche sur son jumeau et lui lèche les couilles et le bas de la tige. On n’attend pas longtemps avant de se retrouver au milieu et à se happer les lèvres avec la queue entre nos deux bouches. À partir de là, c’est à moitié une double fellation, à moitié deux meufs qui s’embrassent.Si nos parents nous surprenaient, qu’est-ce qu’ils penseraient de nous ? Honnêtement, à ce stade, je ne sais plus trop. On est grave détraqués mais je crois qu’on est également très sexy tous les trois.  Quand je pense qu’il y a encore quelques semaines, Éric et Noëlla étaient juste mes frère et sœur, ceux qui m’aidaient à faire mes devoirs, qui me tiraient les nattes quand j’étais petite et contre qui j’ai livré des batailles de purée épiques. Est-il nécessaire de préciser que jamais je n’ai eu la moindre pensée sexuelle à leur sujet ? Et là, j’ai le gland de mon frère, chaud, énorme, dans ma bouche, et la langue de ma sœur s’enroule contre la mienne autour du membre en érection. En début de semaine, je n’aurais jamais anticipé que je vivrais un truc comme ça. Nos jeux d’autrefois ont cédé la place à d’autres jeux. Et ouais je sais que c’est mal, mais qu’est-ce que j’y peux, je trouve ça génial.  C’est Éric qui prend l’initiative de se dégager. Et je comprends pourquoi : même si j’adorerais qu’il m’asperge le visage de son sperme, ça serait un peu dommage que tout s’arrête avant que je perde ma virginité. — C’est pour toi qu’on est là, têtard, me dit-il. Il faut que tu sois au centre de l’attention. Joignant le geste à la parole, il presse ses lèvres contre les miennes et me donne un baiser dur, conquérant, avec une langue qui me fait l’effet d’une force d’invasion. Si j’étais debout, je chancèlerais. À la place, je m’appuie contre lui et je m’offre complètement à sa bouche, incapable de m’en rassasier. — Il embrasse bien, mon amoureux, hein ? dit Noëlla avec de la fierté dans la voix. Elle se love contre mon dos, et pendant que son jumeau m’embrasse, elle fait des merveilles avec ses mains. L’une d’elle me caresse le cul, l’autre va chercher un téton dans mon décolleté pour le pincer tendrement entre deux phalanges. C’est le délire. Quand Éric joint ses mains à la fête, j’ai l’impression d’avoir le tournis.  Et là, just like that, c’est la bascule. C’est le tour de la bouche de Noëlla de prendre la place de celle d’Éric. Soyeuse. Délicate. La langue créative. Goût de lipstick. Je fonds. Les caresses masculines prennent la place des caresses féminines. Et inversement. Et ça change à nouveau, ça change sans arrêt. Je m’y perds un peu, en fait. Deux corps aiment le mien. Quatre mains et deux bouches qui passent un temps infini à pétrir ma peau, à frôler, à humecter, à déranger, à s’insèrer, à faire du bien à des endroits dont je ne suspectais même pas qu’ils pouvaient réagir aussi vivement au contact d’un autre être humain. Peu à peu, c’est moi toute entière qui devient une zone érogène. J’entends mon souffle devenir lourd, rauque, à mesure que le plaisir monte. C’est tout ce que je voulais. Je suis dans un grand lit avec ma sœur et mon frère. On fait l’amour. Je n’arrive pas à imaginer trouver meilleurs partenaires. Est-ce que l’inceste peut être une orientation sexuelle ? Tout en m’enflammant les sens, mes deux amants, en gestes précis, me débarrassent de ma lingerie, jusqu’à ce que seuls mes bas blancs restent en place. J’essaye de faire subir le même sort à Noëlla, mais sa tenue est tellement compliquée que je m’y perds vite. Ça la fait rigoler, et elle m’aide à trouver la marche à suivre pour la déshabiller. Façon escape room. Je l’adore, cette complicité qui nous unit. Je ne me suis jamais sentie aussi proche d’elle. Ma sœur me prend la bouche passionnément et vient coller son corps nu contre le mien. Elle murmure à mon oreille :— Tu es trempée mon petit cœur… Tu as l’air très excitée. Est-ce que tu as envie qu’Éric vienne en toi ? Tu te sens prête ?OMG. Je déglutis difficilement. On y est, c’est l’heure de se jeter à l’eau. Je balise un peu, en fait. Pourtant, elle a raison, je ne peux pas être plus excitée, et j’ai très envie d’être prise. Je le sens en moi, cette sorte de faim, cette envie de bite qui est toute nouvelle pour moi mais qui est incontestable. Dans ces circonstances, il n’y a qu’une réponse possible :— Oui… Je suis prête. Éric, j’ai envie que tu me baise.  Il hoche la tête. Noëlla me guide pour me mettre dans la position la plus confortable pour cette première fois : sur le dos, les cuisses légèrement écartées afin d’offrir l’accès à ma petite chatte. Elle reste avec moi, serrée contre ma peau, à déposer des petits bisous coquins sous le lobe de mon oreille. Éric se met en position. Il s’approche de moi, un sourire affectueux sur le visage. Il est beau. Son sexe dressé est beau lui aussi. Luisant. Incroyablement réel. Et gros. Très gros. Je n’arrive pas à croire que dans un instant, il sera complètement à l’intérieur de moi. — Tout va bien, têtard ?C’est à mon tour de hocher la tête silencieusement. Mon ventre est tendu, à moitié par la frousse, à moitié par l’envie. Le moment fatidique se rapproche. — Prends-la en main… C’est toi qui me guide…Pas la peine de réfléchir. Je fais ce qu’il dit. J’attrape sa queue. Elle est si chaude dans ma paume. Je l’amène vers moi. J’hésite. Je tremble un peu, qu’est-ce qui m’arrive ? Allez. Je prends mon courage. J’amène son gland vers l’ouverture de ma chatte. Il presse contre les bordures de chair souples, s’installe. Il entre. Juste un peu. Puis s’arrête. Je retiens mon souffle. Lui aussi. Voilà. Il s’enfonce en moi. Extrêmement lentement. Avec une infinie précaution. Je suis tellement à l’affût de mes sensations que j’ai l’impression que ça dure des heures. Puis quelque chose se passe en moi. Comme un élastique qui claque. Ça ne fait pas vraiment mal. Il n’y a pas vraiment de sang. Je comprends que c’était ça. La fin de ma virginité. Wow.  On l’a fait. Plus possible de revenir en arrière. C’est irrémédiable. Mon grand frère est en train de me pénétrer. Sa grosse queue est enfoncée à l’intérieur de moi. Son corps nu sur le mien est lourd. On s’autorise tous les deux un grand bol d’air après le coup de stress qu’on vient de connaître. Ma sœur, pour me féliciter, me sourit et m’embrasse sur la bouche. J’ai besoin d’un instant pour faire l’inventaire de mes émotions. Il y a de la stupéfaction. De l’excitation. De la peur. Du désir. Un peu de honte.Il y a aussi une sensation complètement nouvelle, celle de cette barre de chair qui m’écartèle et qui s’est frayée un chemin dans mon corps. J’ai l’impression qu’elle est gigantesque. Comme si elle prenait toute la place. C’est très étrange. Mais je découvre que j’adore ça, être remplie, être prise, me laisser pénétrer. J’adore être une fille, en fait.  — Vas-y, dis-je à mon amant. Il comprend que c’est le signal. Que je suis prête. Que j’ai envie qu’il me baise. Alors il fait exactement ce que je lui demande. Il me baise. Ses reins se mettent en action. Il se met à s’enfoncer en moi par à-coups, lents, avec tendresse, pour ne pas me brusquer. Sa matraque de chair dure coulisse contre les parois mouillées de mon vagin – mon frère est dans mon vagin, je n’arrive pas encore à m’y faire – et à chaque passage elle conjure une effervescence qui se change vite en plaisir. C’est très différent de mes expériences précédentes. J’ai l’impression d’être une toute petite chose sous le poids d’Éric, sous ses muscles fermes. Je suis à sa merci. Chacun de ses coups de queue bouscule mon corps tout entier, m’écrase, fait grincer le sommier. J’adore. Que c’est bon d’être prise…Même si je sens qu’il se retient pour me ménager, la puissance qui se dégage de lui m’impressionne, me fait un peu peur, comme si elle nous renvoyait tous les deux à des rôles ancestraux de femme et d’homme qui n’existent plus qu’au pieu. Ce gros membre qui me pénètre me fait tellement de bien… Peu à peu mon esprit conscient se met  à quitter les rails…Watch me poser mes mains sur le cul de mon frère pour qu’il me prenne plus profondément. Watch me chercher la langue de ma sœur pour y goûter pendant que son jumeau/mec me baise. Hear me pousser des gémissements qui ne tardent pas à se changer en cris qui font trembler les murs. Je n’ai pas trop de retenue quand j’ai du plaisir, apparemment.  — Tu veux qu’il change de position ? Demande Noëlla. Je n’y avais pas pensé, mais à présent que l’offre est sur la table, ouais, ça me tente. J’ai même une idée claire sur la question. Je regarde Éric dans les yeux et je lui balance ça d’une voix faussement naïve pour le faire délirer :— Prends-moi à quatre pattes, s’il te plaît, grand frère…Je suis témoin d’une métamorphose. Quelque chose change en lui après ces mots. Son regard devient rude, presque mauvais, sans gentillesse. Il sort de moi et je me mets vite en position. Intimidée, je lui présente mes petites fesses.  Je n’ai même pas le temps de me demander si j’ai bien fait. Sans prononcer le moindre mot, il se met en place derrière moi, pose ses mains rêches sur mes hanches, et j’aperçois son dard un instant avant qu’il l’enfonce à nouveau en moi. Cette fois-ci, la pénétration n’a rien de douce. Il m’investit, prends possession de moi, sans se soucier de me bousculer. En un coup de reins il vient cogner tout au fond. Je ferme fort les yeux et je laisse échapper un cri. Il y voit un encouragement. Mon frère me donne une bonne claque sur la fesse pendant qu’il me besogne. C’est tellement génial. C’est irréel. C’est donc ça, le sexe ? C’est de ça que je ne voulais pas entendre parler ? Quel gâchis…J’aime tout ce qu’il me fait. J’aime la manière dont il me traite. J’aime ce que ça m’apprends sur moi. Surtout, j’aime le plaisir qui monte et qui me transforme en un tout autre genre de fille…— Baise-moi… Oui c’est ça, baise-moi, lui dis-je en me retournant dans sa direction. — Oh Lou… Tu es tellement bonne… Je vais te faire crier, petite chienne… Ses mots cochons me font perdre la tête. Le dirty talk, j’adore, apparemment. Et me faire traiter de chienne aussi, il faut croire. J’ai le tournis. Il n’a pas besoin d’en faire beaucoup plus pour m’arracher des cris de plaisir. Ceux-ci sortent tout seuls, incontrôlables. À nos côtés, Noëlla s’est couchée et elle se masturbe ouvertement en matant nos ébats. Elle halète au même rythme que moi. Ses traits sont déformés par le bien-être et l’excitation. Les yeux noirs, elle nous encourage :— Vous êtes tellement beaux tous les deux. C’est génial, un frère qui baise sa petite sœur… Son regard sur moi me fait grimper d’un cran sur l’échelle du bonheur. Désormais, je perds pied. Je m’égare. Chaque pic de plaisir surpasse le précédent. Chacun surgit comme une surprise, me submerge. Ma bouche s’écarquille. Mes sourcils se froncent. Je gémis. Je me mords la lèvre. Je n’ai plus de contrôle sur rien. Éric a une main posée fermement sur ma hanche. L’autre me tire les cheveux en arrière. Sa grosse bite écarte mes chairs. J’ai chaud. J’ai froid. J’ai l’impression d’être une animale. Une traînée. C’est ainsi qu’il me traite. Aucune objection à émettre. Il doit le comprendre, que je suis à deux doigts de l’orgasme. La baise gagne en intensité. Le step up est immense. Il me la met bien profond. Bien dur. Il me bourrine. Il me déglingue. Du coin de l’œil, j’aperçois Noëlla qui se contorsionne, en proie à un orgasme émouvant. Elle pousse des petits cris, se tord, pose sa main sur mon sein. La voir jouir est comme un détonateur.  Je me sens partir. Omg omg omg omgSoudainement c’est comme si on faisait entrer la jouissance dans mon corps et qu’elle me transperçait jusqu’au fond des entrailles. Ce n’est plus simplement cette queue qui me baise, mais bien plus, une expérience divine, au-delà de la chair. Une sensation si puissante, si prodigieuse qu’elle me fait gémir comme une possédée. La douleur de cette douceur excessive est telle qu’il m’est impossible d’y échapper, comme si elle enveloppait tout mon être. Une si sublime caresse d’amour qu’elle me transporte en me transformant de l’intérieur. Et puis, alors que je m’effondre comme un fruit mûr sur les draps mouillés de nos sueurs, l’incandescence reflue et laisse chaque partie de mon corps attendrie et émerveillée. Attendrie par mon orgasme, ma douce sœur, tout sourire, vient me donner sa bouche. Pas loin d’être anéanties, on se donne encore de la tendresse avec nos langues et nos mains, on rigole, on roucoule.  Notre frère a terminé seul ce que nous avions entamé ensemble. Il tient sa queue bandée en main, avec sur le visage une expression presque douloureuse. Sans se consulter, Noëlla et moi, on dresse la tête et on se met à disposition de ce qui est sur le point de se produire. Nos lèvres continuent à s’épouser, sous le gland rose foncé, agité de pulsations. Éric pousse un râle. Il lâche tout. Sa queue crache son sperme chaud sur nos consentants visages de filles. Une giclée épaisse après l’autre, le foutre nous asperge et coule sur notre peau douce. Noëlla lèche ma face maculée de semence et je lèche la sienne. C’est génial. On est bien. C’est un moment porno, parfait.  Après de longs câlins entre frère et sœurs, on finit par prendre une douche ensemble – avec caresses et bisous, naturellement. C’est fait. Mission accomplished. Ma virginité appartient au passé, et curieusement, je me sens un peu différente. Plus consciente de qui je suis, plus sûre de ce que je veux. Après cette après-midi enchantée, j’ai envie de rattraper le temps perdu. Je veux baiser et me faire baiser. Je veux coucher avec la Terre entière. Et ça, ça n’est pas un secret…
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