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Notre secret

Chapitre 9

Céline

Inceste
De l’embrasure de la fenêtre où j’étais alanguie, j’avais une vue imprenable sur presque toute la grande piscine de la Maison de la plage. Ses flots azur miroitaient au soleil de cette journée à la chaleur déjà écrasante alors que la matinée était à peine entamée. Le beau temps, ou le concert dépaysant des cigales, auraient dû me garantir une excellente humeur. Pourtant, c’était loin d’être le cas. J’étais mélancolique, comme on l’est lorsque l’on pressent que le monde dans lequel on vit ne va pas tarder à s’effondrer. Il y avait une crainte dans l’air, une pesanteur, plus étouffante encore que la canicule. Quelque chose d’irrespirable qui s’appelait le secret, et qui poussait au cœur de cette famille depuis des mois, à la manière d’un cancer dans un bouton de rose. J’avais la conviction que des vérités inconfortables étaient sur le point d’éclater et de bouleverser nos existences… Un plouf n’extirpa de ma rêverie maussade, celui d’un corps qui venait de plonger dans la piscine et d’en troubler l’apparente quiétude. C’était ma fille Noëlla qui piquait une tête matinale. Sans savoir que je l’observais, elle aligna les longueurs de brasse dans le bassin. Qu’elle était belle, mon aînée ! Je me surpris à admirer son corps blanc fendre l’azur chloré. Elle avait toujours eu les cheveux très noirs et la peau très blanche, comme une héroïne de conte de fée. Comme son père, également, dont elle avait obtenu une partie du sang slave. Sa silhouette gracile, sa taille fine, ses longues jambes et sa poitrine menue, bref, son physique de danseuse étoile, tout cela n’était rien qu’à elle. Elle avait toujours plu aux garçons. Je comprenais exactement ce qu’il ressentaient, impossible de ne pas s’apercevoir d’à quel point elle était désirable… Elle et son frère Éric, mes beaux jumeaux de vingt-et-un printemps, étaient arrivés la veille au soir à la maison de la plage, cette résidence dans le sud où nous avions l’habitude de passer nos étés en famille. Une tradition qui était en train de se compliquer : à présent, Éric et Noëlla vivaient ensemble dans leur appartement parisien, pour leurs études. Mon époux Anton et moi, nous n’avions plus que notre fille cadette, Lou, pour nous tenir compagnie. Et cette configuration, elle aussi, était en train de tourner au casse-tête. À la crise existentielle, même… Quoi qu’il en soit, notre benjamine et son père devaient nous rejoindre demain.  Je pensais à eux, tout en contemplant les gracieuses évolutions de Noëlla dans son tout petit bikini noir… lorsqu’un second bruit d’eau intervint. C’était son frère jumeau, Éric, qui venait de sauter dans l’eau pour la rejoindre. Son arrivée dans la piscine souleva une impressionnante quantité d’eau, qui s’éleva en gerbe et vint éclabousser Noëlla. Son corps musclé de handballeur troublait davantage les flots que celui de sa sœur. Réagissant à ce qui était de toute évidence une provocation, elle fit mine de se fâcher, puis, laissant éclater son si beau rire, elle se vengea en aspergeant Éric d’une vague engendrée de ses deux mains. La contre-attaque ne manqua pas, et en un instant les jumeaux se mirent à se chamailler dans l’eau comme deux gamins, morts de rire et témoignant de leur si belle complicité. Noëlla finit par l’emporter. Elle sema une telle pagaille qu’elle força Éric à capituler. Lorsque ce fut fait, elle nagea dans sa direction, toujours hilare, entoura ses bras en écharpe autour de son cou, se colla tout contre lui, et se mit à l’embrasser, longuement et amoureusement.  Ce fut un tel choc que je manquai défaillir. Je quittai l’embrasure de la fenêtre, en partie en raison de l’émotion, en partie pour éviter qu’on me voie, mais aussi parce qu’au fond de moi, j’espérais peut-être un peu qu’en y regardant de plus près, ma première impression eut été fausse. Ce ne fut pas le cas. Lorsque je ne remis à guetter en direction de la piscine, les jumeaux étaient toujours en train de s’embrasser, et il était évident qu’il n’y avait absolument rien de fraternel dans ce baiser : ils se prenaient la bouche, se donnaient la langue, comme jamais une sœur et un frère n’étaient censés le faire.  De leurs corps à moitié immergés dans l’eau chlorée, je pouvais voir qu’il n’y avait aucune distance entre eux, leurs peaux mouillées étaient serrées l’une contre l’autre. Sous la surface, je devinais que Noëlla avait une cuisse levée et qu’Éric empoignait ses fesses presque complètement dénudées, afin sans aucun doute de renforcer le contact entre leurs intimités. Je m’étais déjà retrouvée dans une telle configuration, même si ce n’était pas avec un membre de ma famille, et une chose me paraissait très claire : quelque part entre eux, se trouvait sans doute une érection, séparée d’une vulve entrouverte par deux couches de tissu de maillots de bain. Elle faisait bander son frère ; il faisait mouiller sa sœur. Il n’y avait là, sous mes yeux, ni doutes, ni tâtonnements, rien que de l’amour et du désir. En clair : ce n’était pas à un premier baiser que j’assistais, il ne s’agissait ni d’un jeu, ni d’une expérience, mais bien l’expression de l’affection et de l’attirance sexuelle d’un garçon et d’une fille qui devaient coucher ensemble depuis un bout de temps. La réalité, terrible, était indéniable : mes enfants formaient un couple incestueux. Éric faisait crier Noëlla.  Sans se trouver dans cette situation, difficile de s’en figurer l’horreur, la consternation et surtout la culpabilité. Forcément, je m’adressais des milliers de reproches : j’avais été une mauvaise mère, comment , sinon, s’expliquer que mes enfants soient allés chercher à domicile un amour qui aurait au contraire dû les pousser à s’ouvrir à l’extérieur ?Oui, c’était abject, intolérable et l’émotion que je ressentis en étant témoin de la scène était vive et sincère, mais étais-je surprise ? En vérité, pas vraiment. 
Une mère sent ce genre de chose. Qu’elle soit ou non capable de se l’avouer est une question très différente. Mais je l’avais deviné, d’une certaine manière en tout cas, qu’il se tramait quelque chose de peu orthodoxe entre mes enfants, qu’ils étaient devenus bien trop proches. Les sourires entendus, les mains jointes, les petits bisous volés, les attouchements sous la table, quand ils croyaient que personne ne pouvait les surprendre… S’ils n’avaient pas été frère et sœur, il aurait été simple de déduire qu’ils entretenaient une relation. Mais quand on est parent, en général, on préfère éviter de penser que le vagin de notre fille se fait régulièrement pénétrer par le pénis de notre fils. J’avais besoin de battre en retraite, de m’éloigner, et vite, de cette étreinte qui devenait à chaque instant plus ouvertement sexuelle. Je n’avais aucune envie de voir ces amants, mes enfants, pousser encore plus loin leurs appétits charnels… J’avais la nausée, des hauts-le-cœur, je ne pouvais pas en supporter davantage. J’avais besoin d’être ailleurs, d’échapper à cette réalité, de me laver la tête de cette ignominie. Tremblante, perdue, comme en errance, je trouvai refuge dans la salle de bain. Me débarrassant vite fait de ma robe d’été, j’avais l’intention de me réfugier sous la douche, espérant peut-être que le faisceau d’eau chaude nettoierait ma mémoire et mes péchés de leurs impuretés. En réalité, il n’y avait pas que du dégoût en moi, pas uniquement de la honte. Ce que j’avais fui en m’éloignant de la fenêtre était bien plus épouvantable : voir mon fils et ma fille s’embrasser langoureusement m’avait excité. Énormément. Si je tremblais, c’était aussi parce que j’étais transportée par une émotion érotique insensée et interdite. J’avais eu envie de hurler, mais j’avais aussi eu envie de les rejoindre… En retirant la dentelle de ma petite culotte, je la trouvai trempée d’une liqueur coupable qui ne laissait aucun doute sur ce qui se passait en moi.  Il fallait sans doute s’attendre à cette réaction de ma part. En effet, comment ne pas s’imaginer que le poison de l’inceste, c’est moi-même qui l’avait inoculé à cette famille ? Parce que même si je n’avais jamais rien fait, si je ne m’étais pas rendue coupable du moindre fait répréhensible, le fond de mon cœur était, depuis des mois, pollué de sentiments monstrueux. Dans la cabine de douche, je tentai de disparaître sous le jet d’eau brûlante qui enveloppa mon corps tout entier. C’était insuffisant pour chasser les idées sombres de mon esprit, hélas. Il m’est difficile de coucher ces mots sur le papier, mais je ne peux pas nier la vérité : j’étais tombée amoureuse de ma fille Lou.Ces choses-là, ça ne se décide pas. Tout simplement, Lou, ma benjamine de dix-huit ans, était la plus lumineuse des créatures de la planète à mes yeux, et au fil des derniers mois j’avais réalisé que mes sentiments, ceux d’une mère pour sa fille, avaient évolués, pour devenir ceux d’une femme, dingue d’une autre femme. Lou, je l’aimais toute entière. J’aimais son esprit, sa personnalité, j’aimais son âme et j’adorais le corps somptueux qu’elle ne parvenait pas à cacher. C’était tragique : si la vie avait été faite autrement, j’aurais tout fait pour vivre avec ma fille une relation amoureuse.  Naturellement, il n’en était pas question, et je laissai ces envies, ces besoins, enfermés en moi jusqu’à ce qu’ils croupissent et me rendent folle. J’étais très malheureuse. Ça aurait pu me tuer. Avant que ça soit le cas, j’avouai tout à mon époux Anton. Nous avions toujours été sincères l’un pour l’autre, et notre mariage ne nous avait jamais interdit de réaliser nos désirs à l’extérieur de notre couple. Je préférais risquer de le perdre que de m’étioler dans le silence. À mon immense surprise, il me confia qu’il était lui aussi tombé amoureux de Lou. Cela ne résolvait rien du tout, mais nos aveux nous rendirent moins seuls. Il n’était toujours pas question de toucher à notre fille, mais rien ne nous interdisait d’utiliser nos fantasmes pour épicer notre vie sexuelle. Et puis dès que Lou finit par accepter d’assumer son physique, je m’intronisai relookeuse en chef et je lui constituai la garderobe la plus sexy que je pus imaginer. Impossible de me retenir… Soudain, dans mon dos, j’entendis qu’on ouvrait la porte transparente de la cabine de douche. Avant que je puisse me retourner, je sentis le long de mon dos le contact moelleux d’une éponge douce, bientôt accompagné de la voix de Noëlla :— Ça va bien, Maman ?Elle se mit à passer tendrement la masse chaude et mouillée tout au long de mon dos, de mes omoplates jusqu’à la naissance de mes fesses. Cela faisait un bien fou, et me fit prendre conscience d’à quel point j’étais tendue.Je  jetai un regard furtif en direction de ma fille. Elle était nue… J’ignorais à quoi d’autre je m’attendais, dans la mesure où elle partageait désormais la cabine de douche avec moi, mais dans les circonstances, je jugeai sa nudité troublante…— Qu’est-ce que tu fais, ma chérie ?— Je m’occupe de toi, Maman. Laisse-moi faire, je sais que tu ne vis pas une journée facile… J’ignorais, ou je choisis d’ignorer, pourquoi elle disait ça, et je décidai de la laisser m’assister dans mes ablutions. C’était tellement agréable… Je pouvais sentir mes muscles se détendre, et ma conscience bascula dans une griserie cotonneuse…Noëlla en profita pour modifier, presque imperceptiblement, la nature de ses gestes, qui quittèrent le domaine de l’hygiène pure pour se faire progressivement plus caressants. L’éponge se risqua sur mes flancs, sur mes jambes, sur mes fesses, alors que la seconde main de ma fille se promenait sur ma peau mouillée, qui se couvrit de chair de poule à son contact. — Tu as dû être bouleversée de me voir embrasser Éric, me dit-elle. L’aplomb de son aveu me fit l’effet d’une gifle. Désemparée , je me raidis, et voulus me retourner pour interrompre les intentions dont elle me régalait, mais elle anticipa ma réaction et intensifia son contact. Elle vint coller son ventre et ses seins contre mon dos nu, déposa un alignement de baisers tendres sur l’arête de mon cou, et vint frotter un de mes tétons avec son éponge. Désarmée, je ne pus que pousser un soupir d’approbation et la laisser faire…— Je sais que tu nous a vus. Je sais que ça t’a plu…J’avais envie de nier, haut et fort, de m’insurger contre l’accusation proférée à mon encontre, mais qu’aurais-je pu objecter ? Elle avait raison : j’avais été excitée de voir mes enfants s’embrasser, et je l’étais encore davantage d’être caressée comme ma fille était en train de le faire. Je restai muette. Comme si elle avait compris ce qui se tramait en moi, Noëlla colla complètement son corps délicieux contre le mien, toujours dans mon dos, et elle empoigna mes seins de derrière, un dans chaque main, les pointes roulant entre ses doigts. Elle suça mon cou avant de mordiller le lobe de mon oreille. — Tu es une femme très séduisante, Maman… J’ai envie de toi… Ça te dit qu’on fasse l’amour ? J’aurais dû dire non, je le sais. N’importe qui dans ma situation se serait mis à pousser des cris, à refuser catégoriquement, et à tenter de ramener un brin de raison au sein de cette famille de détraqués. Mais je n’y pouvais rien : des mois à désirer Lou, sans pouvoir imaginer concrétiser cette envie, additionnés de la confirmation que je venais d’avoir au sujet de la relation qui s’était tissée entre Éric et Noëlla, sans négliger que cette dernière était actuellement en train de me faire subir toutes sortes de merveilleux attouchements et que j’avais toujours eu un faible pour les jeunes et jolies femmes…  Bref, je craquai. Je craquai complètement, furieusement.Je me retournai brusquement et j’embrassai ma fille sur la bouche, avec une fougue et une impétuosité qui me remua de l’intérieur, comme si je m’étais muée en une femme complètement différente. C’était ce que je voulais, c’était ce qu’elle voulait.  Avec sauvagerie , au milieu de la cabine de douche envahie d’eau et de vapeur, je happai ses lèvres avec les miennes, les dévorai avec audace, les emprisonnai avant de les délivrer, pendant que nos langues se livraient à un jeu de séduction humide et vorace. — Maman… Tu avais très envie de tout ça, on dirait, me dit-elle… Avec ces mots, elle reprit le dessus sur moi. Mon assaut buccal n’avait fait que me conférer l’illusion que c’était moi qui contrôlais la situation. En réalité, Noëlla pouvait faire ce qu’elle voulait de moi et elle se chargea de me le faire comprendre, sans équivoque. Arborant un sourire de louve, elle baisa le creux de mon cou, en suça la peau, la mordit, m’amenant au carrefour de la douleur et de l’érotisme.  Ce n’était que la première salve. Elle me poussa contre la paroi de faïence, avec autant de rudesse que d’empressement, ce qui me fit lâcher un cri de surprise. Là elle mena l’offensive sur deux fronts : sa main, un peu autoritaire mais pas sans douceur, se plaqua sur un de mes seins, qui était très demandeur ; surtout, elle enfonça soudainement deux doigts dans mon sexe, sans aucun préavis. À ce stade-là, j’étais réduite à l’état de poupée implorante, agitée de tremblements et la voix cassée explosant en plaintes rauques. Les phalanges de ma fille étaient plantées dans mon vagin, où elles trouvèrent du reste un environnement accueillant, chaud et mouillé d’une envie qui me submergeait. Le plaisir fut immédiat, aussi vif qu’obscène et je me liquéfiai face à cette invasion, consciente à chaque instant que c’était la chair de ma chair qui me procurait tant de plaisir… Elle vint coller ses lèvres tout près de mon oreille, sa voix comme une caresse :— Tu aimes ça, l’inceste, Maman ?— Oui…Ma réponse avait été livrée davantage sous la forme d’un cri que sous celle d’un mot, tempéré et civilisé. Pas étonnant : il n’y avait absolument rien de convenable dans notre étreinte, rien d’acceptable dans cette douche coquine entre une maman et sa fille aînée. D’ailleurs, comme s’il fallait que cela soit parfaitement clair, Noëlla me manipula afin que je me retourne contre le mur, fesses dans sa direction, et que je lui offre à nouveau mon sexe. Docile, j’obéis à son injonction.  Elle ne tarda pas à me prendre à nouveau. D’une main, elle saisit ma nuque pour me maintenir en place. Des doigts fins de l’autre, elle constitua un fuseau qu’elle introduisit en moi, jusqu’au poignet. C’était un choc. En moi, elle paraissait énorme, surdimensionnée, omniprésente. Tout ce qui restait de ma conscience se focalisa sur cette main qui se mit à me baiser comme une grosse bite. Ma conscience s’effilochait. Je n’étais plus rien d’autre que la sensation de mon con pénétré. Plus que l’extase, qui à chaque mouvement de poignet, progressait d’un cran et menaçait chaque fois davantage de me noyer… J’avais envie de la supplier d’arrêter de m’infliger ce plaisir si intense qu’il avoisinait la souffrance, mais j’en étais incapable. À la place, je criai, sans aucune retenue… Comme une salope. Comme sa salope… Noëlla me prit la bouche comme dans un porno. Elle intensifia encore sa baise. C’était fou. Je n’en pouvais plus. Je sentais la délivrance s’approcher. Je haletais. Je bavais. Je grognais. Je me donnais entièrement à mon amante. À ma fille. Alors, sans cesser ses va-et-vients, elle chuchota une nouvelle confession salace à mon oreille :— Je sais que tu aimerais que ça soit Lou qui soit sous la douche avec toi… J’ai vu comment tu la regardes…L’image de mon autre fille, ma bien-aimée benjamine, s’imposa alors à mon esprit. Un flash de son corps nu et mouillé, de son beau visage déformé par le plaisir. J’en rêvais. J’en fantasmais. C’était mon vœu le plus cher. C’est ça qui me fit basculer dans l’orgasme.Mon organisme fut frappé par un bonheur brut et charnel. C’était violent. Intense comme un tsunami. Une force qui me fit chanceler, défaillir, presque. Elle me remua de l’intérieur, me fit  craindre que je n’allais pas m’en relever. Surtout, c’était une extase divine. Un plaisir débordant, délirant, rendu plus remuant encore par les bribes de conscience qui, en moi, restaient vivaces, et qui refusaient de ne laisser oublier que c’était ma fille qui venait de me faire jouir.  Lorsque l’éclipse toucha à sa fin et que je me sentis capable d’ouvrir à nouveau les yeux, je réalisai que lors de mon pâmoison, je m’étais sans m’en rendre compte lentement laissée glisser au sol. Je me retrouvai donc accroupie sur le carrelage mouillé, face aux fines chevilles de Noëlla.Elle n’était pas seule. Nous ne l’étions plus. Éric nous avait rejointes, et je ne m’étais pas aperçue de sa venue en raison de l’intensité de mon orgasme. Mon fils se tenait aux côtés de sa sœur – son amante – et comme elle, il était nu sous l’eau de la douche. L’expression sur son visage était indéchiffrable. Ce qui ne l’était pas, en revanche, c’était l’érection monumentale qu’il arborait avec fierté, son membre durci en main, pointé avec une certaine nonchalance dans ma direction, à la manière d’une invitation non-formulée mais pourtant très claire.  Que pouvais-je faire à part prendre cette queue en bouche ?Non, ce n’est pas tout à fait exact. Naturellement, j’aurais pu faire quantité de choses différentes dans cette situation, et à l’évidence, le bon sens, la prudence et la morale auraient dû se conjuguer pour me dissuader de tout rapprochement sensuel avec mon fils. Néanmoins, dans la présente situation, l’appel de mon corps était trop fort. J’avais fait l’amour avec ma fille aînée, je souhaitais à présent faire de même avec son jumeau, en espérant que tout cela finisse par déboucher sur l’amorce d’une relation amoureuse et sexuelle avec ma cadette.Il y avait bien, en moi, cette voix qui me hurlait de tout arrêter, qu’il fallait préserver un peu de décence dans cette famille, malgré tout ce qui s’était passé, que j’étais une mauvaise mère et que j’étais en train de faire du mal à mes enfants, sans compter que mon mari n’aurait probablement pas approuvé mes actes, malgré la grande liberté régnant au sein de notre couple. Mais cela ne pesait pas lourd, et ces tâtonnements de ma conscience se volatilisèrent à l’instant où ma langue se posa sur le gland rosé de mon fils.  — Ouais, bravo Maman ! Suce-le ! C’est magnifique ! m’encouragea Noëlla. Elle n’en aurait pas eu besoin. J’étais tellement gourmande de la queue de mon fils, qu’une fois prise ma décision, celle-ci occupa tout mon espace mental. J’en savourai le goût, en appréciai la texture lisse et ferme ainsi que sa chaleur contre mon palais. Éric était plus gros que la plupart de mes amants, presque trop pour pouvoir lui administrer une fellation avec l’aisance et le confort nécessaire, mais j’aurais menti si j’avais prétendu que je n’éprouvais pas la plus intense des satisfactions à me mettre ainsi au service de sa grosse queue. D’une certaine manière, j’avais l’impression que faire en sorte d’administrer à Éric la meilleure pipe possible, c’était une extension logique de ma tendresse maternelle à son égard. Mon garçon méritait le meilleur.  Et il n’était pas le seul. J’avais également envie de donner du plaisir à sa sœur, qui était debout juste à côté de moi, simple spectatrice des faveurs que je prodiguais à son amant incestueux. Elle aussi, comme son jumeau, devait avoir droit à une petite attention de la part de sa maman…Sans cesser de sucer Éric, je passai avec tendresse la main à l’extérieur de la chatte de Noëlla, pour lui signifier mon intention. Elle ne se déroba pas, se rapprocha, au contraire, aussi je considérai que je bénéficiais de son consentement et j’enfonçai deux doigts dans sa chatte, que je trouvai lustrée des flots huileux de ses envies… Je mis toute mon expertise de femme d’expérience à donner autant de plaisir que possible à mes enfants. La queue d’Éric, je la pompai avec science, faisant varier les rythmes et les pressions au sein de ma bouche pour une stimulation optimale. Afin de pousser les choses un cran plus loin, de ma main libre, j’accompagnais les mouvements de va-et-vient à la base de son pénis, sans oublier de lui caresser les couilles de temps en temps. Il ne dit toujours rien – sans doute était-il plus embarrassé par la situation que sa sœur – mais il commença à gémir. C’est tellement excitant, un homme qui s’autorise à faire du bruit pendant l’amour…Quant à Noëlla, je remontai la rivière de son sexe et je vins planter l’extrémité de mes doigts dans son vagin, juste sur son point G. C’était facile à trouver : je la connaissais comme si je l’avais faite, puisque, eh bien, je l’avais faite. Mon pouce vint se poser sur son clitoris et remua en cercles doux et obsédants. Elle coupa net sa respiration, exhala un râle, puis cria, d’une voix de suppliciée :— Maman… Oh… Oh… Maman !Je crois pouvoir affirmer que je n’avais jamais été aussi proche de mes jumeaux depuis que je les avais mis au monde. Que c’est merveilleux, de baiser ses enfants… Désormais presque entièrement débarrassée de tous mes cas de conscience, je m’offrais sans rougir à mes deux partenaires. C’était cependant un équilibre délicat à trouver : j’avais envie d’amener Noëlla jusqu’à la jouissance, mais sans en faire de même pour Éric, dont j’espérais bien qu’il me pénétrerait. Ce fut donc à regret que je recrachai la queue de mon fils avant qu’elle se vide de son foutre sur ma langue. Sans perdre de temps, je donnai ma bouche à la chatte de ma fille, d’où s’écoulait un onctueux ruisseau doux-amer, confluence de l’eau de la douche et des sécrétions de son sexe. Elle avait le goût de la mer, la Méditerranée quand on s’y baigne nue à la nuit tombée…Je ne perdis pas une seconde à harponner son clitoris d’une langue agressive, tout en enfonçant mes phalanges à l’intérieur d’elle. Elle laissa échapper un jappement en signe de surprise et d’abandon, vite suivi par une série de plaintes mignonnes et, progressivement, de plus en plus sonores.  J’avais envie de la faire jouir vite et très fort. Je donnai tout ce que j’avais, dévorai son petit monticule souple avec mes lèvres, ma langue, mes dents, dans une tempête de chair, de débauche et de cyprine ou ni elle, ni moi ne contrôlions plus nos émotions, nos gestes et nos réactions. Histoire de s’ancrer dans le réel, jempoignai ses fesses et elle serra ses doigts dans mes cheveux mouillés. Noëlla criait, désormais, en cadence, des sons issus du fond de sa gorge qui résonnaient contre les parois de la douche et s’approchaient peu à peu du volume de hurlements. — Maman… Encore un petit peu… encore… Oh… encore un tout petit peu…Elle se trémoussait sur place. Son corps était brûlant. Elle n’était qu’à quelques brefs coups de langue de la petite mort. Je léchai, léchai encore le sexe délicat et délectable qui m’était si tendrement offert, en vives et courtes touches de la pointe sur son bouton érigé à travers lequel je sentais son cœur battre. Juste un contact encore… et encore un…On y était. D’un geste ferme, Noëlla éloigna mon visage de sa chatte et serra les jambes – en réalité, elle raidit chacun des muscles de ses cuisses et de son ventre, tout en éclatant d’un cri silencieux, les traits du visage vitrifiés par le plaisir faramineux qui s’emparait d’elle. Elle se recroquevilla comme une orchidée sous la pluie, et se laissa glisser le long de la paroi mouillée, absorbée par les répliques de la secousse initiale. Quel spectacle magnifique de voir ma fille jouir, qu’elle était belle quand elle s’abandonnait au plaisir, et comme j’étais fière d’en être la cause… N’importe quelle maman aurait été émerveillée d’assister à ça.  Mais je ne pus pas l’admirer très longtemps. Vite, je sentis les mains rugueuses d’Éric se poser sur moi. Il me hissa afin que je me lève, me poussa contre le mur, et manipula mes hanches afin que je lui présente mes fesses, comme je l’avais fait pour sa sœur tout à l’heure. Oh mon Dieu… J’avais tellement envie de lui que j’en devenais folle. — Je vais te défoncer, Maman, dit-il. Ça me coupa le souffle. Après tout ce que nous venions de traverser, cela n’aurait pas dû me bouleverser à ce point, mais pourtant c’était le cas. Il fallait qu’il vienne à l’intérieur de moi, même si je devais y perdre mon âme. Ce n’était pas une envie, c’était un besoin. — Oui mon chéri… prends-moi…— Un peu plus fort, je n’ai pas bien entendu…— Baise-moi. Je veux que tu me baise. Je veux que mon fils me baise, d’accord ?— OK.  Sans brutalité, mais sans y mettre de manières non plus, Éric écarta mes fesses et mes cuisses afin d’obtenir un accès direct à ma chatte. J’en écartai les bordures afin de l’aider à se frayer un chemin à l’intérieur de moi. Il se servit de son gland pour me donner quelques petites claques sur l’entrée de mon con, ce qui engendra chez moi moins de douleur que d’effervescence érotique. J’avais tellement envie de lui, tellement hâte d’être prise, que je ne parvenais plus à penser de manière cohérente. Je n’étais plus qu’un appétit. Une traînée. Il plaça son bout contre mon trou, attendit un instant, y inséra l’extrémité, patienta encore, puis il rentra l’entièreté de son pénis à l’intérieur de mon vagin. Voilà. C’était fait. Mon fils venait de me pénétrer. C’était inouï, impensable et rien ne pouvait m’y préparer. C’était aussi un moment déterminant de mon existence, celui où tout vestige de morale se trouva abandonné pour l’échanger contre un plaisir incomparable.Éric agrippa mes hanches et s’en servit comme point d’appui, afin de pouvoir me prendre aussi profondément et aussi rapidement que possible. C’était effarant, sa manière de me démonter. Il me baisait comme une machine, implacablement, sans fin, avec une puissance érotique, une énergie de mâle qui me fit perdre la tête. En quelques secondes, j’en fus réduite à produire une série de gémissements sexy, au rythme où mon fils me pilonnait la chatte. Avec tout ce qui avait précédé, il était clair que s’il poursuivait la baise sur le même tempo, il n’allait pas tarder à me faire grimper tout en haut de l’échelle du plaisir…  Surgie de nulle part – ou plus vraisemblablement du sol de la cabine, où je l’avais laissée savourer son émoi – Noëlla saisit mon visage entre ses mains et me prit la bouche avec passion. La langue serpenta entre mes dents et s’enroula contre la mienne, fraîche comme du menthol. Un peu de douceur au milieu d’un moment très brutal. Ma fille m’embrassait pendant que mon fils me défonçait : toute honte bue, j’avais l’impression de me rapprocher un peu, en cet instant, d’une certaine idée du sublime. Mes sensations, les tremblements de mon cœur, de mon âme et de mon corps, formaient désormais une masse incontrôlable au milieu de moi, dont je savais qu’elle allait dans très peu de temps m’entraîner vers la pente raide d’une jouissance délirante…Je me sentis dès lors un peu abandonnée lorsqu’elle quitta mes lèvres pour rejoindre celles de son frère. Mais je n’aurais pas dû me montrer jalouse : ils étaient amants, après tout, et l’amour a toujours la priorité sur le reste. Comme pour encourager Éric, elle lui roula une pelle avec abattement, générosité et passion, après quoi elle lui fournit ses instructions pour ce qui allait suivre :— Regarde comme elle aime ça, mon amour… Baise-là encore plus fort… J’ai envie que tu éjacules dans Céline. C’était inattendu, mais le simple fait d’entendre ma fille m’appeler par mon prénom dans cette situation réveilla quelque chose de viscéral et de puissant au plus profond de mes entrailles. Oui, nous partagions une étreinte incestueuse, un acte qui piétinait l’un après l’autre tous les tabous d’une relation entre une mère et ses enfants, mais dans cet instant, si près de l’aboutissement de nos péchés, tout était remis à plat et seule comptait encore la hiérarchie horizontale des passions : je n’étais pour eux plus que Céline, une femme avec laquelle ils faisaient l’amour et à l’intérieur de laquelle le garçon s’apprêtait à jouir…Cette pensée éclot en moi comme une orchidée de luxure, déployant ses pétales à travers tout mon organisme et oblitérant au passage toute pensée consciente, alors qu’elle défrichait la voie vers un plaisir dont l’intensité s’annonçait ineffable. C’était enclenché, et désormais, plus rien ne pourrait m’empêcher de m’abandonner à l’extase.Éric obéit aux instructions de sa jumelle : il doubla d’intensité, disposant de ma chatte meurtrie avec rudesse et un déploiement de puissance qui ressemblait presque à de la méchanceté, comme si sa queue se muait en un instrument de punition. Mais c’était tout le contraire… Mon amant savait ce qu’il faisait… Chaque assaut me procurait une joie égale à l’énergie déployée… Je ne compris pas ce qui m’arriva ensuite…  À chaque va-et-vient, j’étais transportée un pas plus loin en direction du plaisir absolu, alors que je pensais avoir atteint le sommet depuis longtemps… Puis je contemplai le zénith.C’était trop, beaucoup trop. Je ne voyais plus rien, je n’entendais plus rien, je ne ressentais plus rien d’autre que cette poésie des sens, osée et très violente, qui s’était emparée de chaque organe, chaque cellule de mon corps et les faisait hurler indépendamment. Mes poumons étaient en feu… Mes muscles se contractaient… Ma bouche laissait échapper un gémissement dont je ne comprenais pas d’où il provenait… J’avais le vertige, sonnée, anéantie… Plus de point de repère… Il n’existait plus que l’orgasme, rendu mille fois plus majestueux par la magie de l’inceste, plus que lui, donc, et le pénis de mon fils qui pompait son sperme à l’intérieur de moi… Ce qui se passa après, ce qui survint dans les minutes qui suivirent, je n’en ai plus réellement de souvenir. Le pic de plaisir dura un temps infini et me laissa tourneboulée, éteinte, tant et si bien que j’ignore ce que j’ai fait pendant que mon corps était transporté par l’ivresse, comment j’ai réagi et de quelle manière j’ai exprimé mon émoi. Je ne sais pas non plus ce qu’ont fait mes enfants et de quelle manière les derniers instants de notre étreinte se sont déroulés. Aucun souvenir non plus des circonstances qui m’ont fait quitter la cabine de douche, qui m’a séchée et comment je me suis retrouvée sur mon lit, nue et exquisement alanguie.  Tout ce dont je me souviens, c’était que le sperme de mon grand fils s’écoulait lentement de ma chatte conquise, et que je nourrissais au fond de mon cœur des projets secrets au sujet de ma famille.
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