Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 122 J'aime
  • 9 Commentaires

Notre secret

Chapitre 12

Éric, Anton, Noëlla

Inceste
Éric Rien qu’à voir la manière dont les petites fesses blanches de ma sœur se balançaient devant moi dans l’escalier, je devinais qu’elle était heureuse. Voilà ce qui se passe quand on est amoureux : on en vient à déchiffrer les langages du corps aussi sûrement que ceux des mots. Et il y avait cet après-midi là dans le rebond fessier de ma jumelle quelque chose d’allègre qui trahissait sa joie intérieure.  Nous nous trouvions dans la Maison de la plage, le lieu de vacances familiales qui avait bercé notre enfance et enchanté nos étés depuis à peu près toujours. C’était là, dans la piscine, que nous avions appris à nager, Noëlla, Lou et moi. C’était là que nous avions joué au ballon, mangé des glaces et fait des châteaux de sable. J’avais des souvenirs par milliers.Et désormais, c’était là aussi qu’était en train de se jouer le dernier acte de la métamorphose de notre famille, dont les liens d’amour et de solidarité s’étaient désormais irrémédiablement tissés de sexe.  En admirant le beau petit cul de ma sœur qui se baladait sous mes yeux, je me remémorai les événements de ces derniers mois…Tout avait commencé lorsque Noëlla et moi avions pris un appartement ensemble à Paris, pour nos études. J’étais à l’époque dans le déni au sujet des sentiments que je nourrissais à son égard, incapable de verbaliser que j’étais amoureux de ma jumelle et que je la désirais plus que tout. Tout bascula lorsqu’elle vint se réfugier dans mes draps et que dans la folie de ma passion, la croyant endormie je m’étais masturbé contre sa petite culotte. Ça aurait pu nous détruire, et finalement, c’est cet événement qui nous a apporté davantage de bonheur que nous ne le pensions possible. Quelques jours plus tard, nous avions fait l’amour pour la première fois et réalisé que nous étions amoureux. Dans notre cocon parisien, nous nous sentions libres de vivre ouvertement en tant que couple, et notre appartement était le lieu de nos étreintes incestueuses.  Mais derrière ce bonheur se cachait une souffrance : celle de ne pas pouvoir vivre ouvertement notre amour face à notre famille. Pour y remédier, ma sœur a mis sur pied un plan un peu délirant, qui consistait à initier nos proches aux joies de l’inceste, afin que ce secret partagé entre elle et moi devienne un secret de famille…Ça peut paraître excessif, mais une fois qu’on a éjaculé dans sa sœur, cela a tendance à repousser les frontières des tabous, je peux vous le garantir.Et ce fut un triomphe. Nous séduisîmes notre petite sœur Lou, lui révélant au passage les joies du sexe, tandis qu’elle entraîna Noëlla à découvrir le plaisir entre filles.  Et puis, ces dernières vingt-quatre heures, ma jumelle et moi, nous fîmes l’amour avec Maman, pendant Lou se faisait baiser par Papa. C’était fait : chacun avait cédé à ses penchants, nous nous étions découvert de merveilleux partenaires sexuels, aimants et sensuels. Il n’y a rien de plus doux et de plus fragile au monde que de pousser une sœur, une mère, à crier un plaisir qu’elle sait ne pas avoir le droit de ressentir. Rien de plus beau que de goûter, de pénétrer un corps qui nous dit « oui » alors que toute la société nous hurle « non ». Mais plus important encore que ces rapprochements charnels : je me sentais enfin libre de vivre ma relation avec l’amour de ma vie. Avec Noëlla, nous nous sentions désormais autorisés à rêver d’un mariage, quelle que soit la forme qu’il pouvait prendre, avec la bénédiction de nos parents.  Toutefois, la boucle n’était pas encore tout à fait bouclée, puisque tous les membres de la famille n’avaient pas encore partagé un moment coquin. Mon petit doigt me disait que ça n’allait pas tarder, cela dit...En gravissant l’escalier, nous pûmes constater que Maman était dans la chambre de Lou. La benjamine de la famille était assise sur ses genoux, le visage extrêmement proche du sien, tout juste vêtue d’une toute petite robe vichy rose, visiblement en pleine tentative de séduction :— J’ai besoin de tendresse… Est-ce que tu veux bien me donner un peu de tendresse, Mommy ? Est-ce que ça te dérange si je t’embrasse sur la bouche ?Non, ça n’avait pas l’air du tout de déranger Maman, que je vis glisser sa langue entre les lèvres de la seule de ses enfants avec laquelle elle n’avait pas encore fait l’amour.  Là, nous les laissâmes à leur étreinte, parce que nos pas nous emmenaient dans la chambre des parents, où j’avais suggéré à Noëlla de retrouver Papa pour s’offrir à lui. C’était la dernière paire inédite, le dernier accouplement familial à découvrir, si l’on exceptait Papa et moi, mais pour ça, je crois qu’il n’était pas prêt. Ma sœur, elle, l’était, et ce fut allègrement que sa silhouette gracile fit son apparition dans la chambre parentale. Notre père venait de prendre une douche. Il était assis sur son grand lit, en peignoir. Il nous vit débarquer, visiblement charmé par la nudité de sa fille, mais moins surpris que je ne l’aurais imaginé. Il s’attendait à sa venue, et visiblement, la manière dont cela se déroule ne le déconcerta pas. Il transpirait la confiance en lui, et ses yeux trahissaient un appétit féroce pour la chair de sa fille aînée. 
 Aucun mot ne fut nécessaire. Noëlla déshabilla notre père, et sa main vient trouver et empoigner l’érection paternelle ainsi dévoilée. Sans attendre, Papa agrippa le visage de ma sœur entre ses deux mains fermes, et lui imposa un baiser dur et conquérant, sa langue venant pénétrer avec force des lèvres offertes, désireuses d’en percer à jour le secret... AntonPour la seconde fois de la journée, j’embrasse une de mes filles. Je sais, oui, c’est mal. Mon aînée, Noëlla, vient de débarquer dans la chambre parentale de notre Maison de la plage. Accompagnée de son frère-amant, qui joue les voyeurs. Elle est nue. Avec comme un pétillement de garce dans l’œil. Ses intentions sont très claires. D’autant que la première chose qu’elle a faite en entrant, c’est me débarrasser de mon peignoir et prendre ma queue en main. Qu’est-ce que vous auriez fait à ma place ? Peut-être auriez-vous été plus sage que moi. En ce qui me concerne, je prends la bouche de cette fille qui s’offre à moi. Un baiser pas gentil. Un poil brutal. Comme si ce n’était pas mon enfant. Sauf que le fait qu’elle le soit rend la situation encore plus excitante, je dois avouer. Après avoir pris possession de sa petite gueule, je la repousse. Toujours brusquement. J’attrape son visage. Et je lui dis en la regardant dans le fond des yeux :— À genoux. Suce-moi. Oh, pas la peine de se scandaliser. Ce que je fais, nous le voulons tous les deux. Chacun de notre côté, nous avons fait beaucoup de chemin pour en arriver là. Moi, il y a quelques mois, je suis tombé amoureux de ma fille cadette Lou. Un drame. Il était exclu que je lui en parle ou que j’agisse en quelques manières pour modifier notre relation. J’ai appris ensuite que mon épouse Céline nourrissait également des sentiments amoureux pour la petite. Ça en est resté là jusqu’à ce que Lou développe, à la surprise générale, une sexualité extrêmement intense. La blanche colombe était devenue une petite salope. Et ça a culminé ce matin, au volant, quand ma fille m’a fait un immense numéro de rentre-dedans. C’est moi l’adulte, j’aurais dû lui résister. OK. Mais j’ai craqué. À sa demande, je l’ai prise sur le capot de ma voiture et j’ai éjaculé dans son anus. Forcément, ça change la vie. Surtout qu’en parallèle, j’ai appris que nos jumeaux, Noëlla et Éric, étaient en couple depuis des mois. Ils avaient tous les deux couché avec leur petite sœur et avec leur mère.  Bref. Voilà ce que nous sommes désormais. Une famille unie par les liens d’un amour sincère. Mais aussi par l’inceste. Dans ces circonstances, bas les masques. Inutile de se cacher. Plus de retenue. Pour autant que tout le monde soit partant, j’ai envie de réaliser mes envies, en ignorant les tabous. Et mon envie du moment, c’est de défoncer la petite Noëlla. Son corps fin. Ses petits seins. Son beau cul rond. Sa mine de top model slave. Oui, je peux l’admettre, désormais, qu’elle me fait bander. Je peux même lui dire. Je peux même la toucher, comme un père et une fille ne devraient, paraît-il, jamais le faire.  Et pourtant. Comme je viens de lui en donner l’ordre, sans formuler la moindre objection, Noëlla s’agenouille à mes pieds. Curieusement, je réalise que je suis fier d’elle. Sans perdre une seconde, elle prend mon sexe dur en main et lèche longuement mon gland d’une langue curieuse et gourmande. — C’est ça que tu voulais, Papa ? demande-t-elle. — Silence. — Oui Papa.  Je parais dur avec elle, mais ça ne tombe pas de nulle part. Lou a toujours été la petite dernière, la chouchou de la famille, la mienne en particulier, et c’est cette posture qu’elle a naturellement adoptée, de manière caricaturale, quand elle m’a séduite ce matin. Avec Noëlla, c’est différent. Entre elle et moi, il y a toujours eu beaucoup d’amour, mais également beaucoup de frictions. Elle a passé son adolescence à me défier, à tester les limites. Je crois qu’on se ressemble trop. Alors au moment d’ajouter l’élément sexe à nos relations père-fille, cette tension subsiste, mais c’est moi qui passe à l’agression et c’est elle qui encaisse. Et c’est exactement ce que nous cherchons tous les deux.  Alors ma grande fille adulte, plus docile que je ne l’ai jamais vue, met mon gland en bouche. Elle le suçote en produisant un petit « mmmhh » mignon. C’est chaud. Elle enchaîne en me malaxant tendrement les bourses. J’ai les poils de la nuque qui se hérissent. En général, les pères n’ont aucune envie d’apprendre que leur fille est une bonne suceuse, mais là on a clairement affaire à une exception… Éric nous mate en se masturbant avec de la lotion. Lui aussi a l’air d’apprécier le spectacle. Nous partageons un regard complice. Noëlla accélère le mouvement. Ça devient plus rapide. Plus intense. Elle me pompe le dard. Sa bouche devient pour moi un orifice à baiser. En arrière. En avant. Avec le plaisir qui grimpe, grimpe, grimpe. Ça sent la femme d’expérience.  Un instant, je suis tenté de me laisser aller, de tout lâcher, et de jouir dans sa gorge. C’est tellement bon. Mais ça serait nous priver tous les deux de ce qui va suivre. On peut encore beaucoup s’amuser. — Attends, lui dis-je. Arrête. Obéissante, elle fait ce que j’ordonne et recrache mon membre maculé de salive et de rouge à lèvres. J’empoigne ma bite et je lui administre une petite gifle sur la joue, qui laisse une trace rose. Avant qu’elle puisse rassembler ses esprits, je la jette sur le lit et je me rue sur elle. Mon corps nu enlace celui de ma fille. Je lui impose ma bouche. Je sais qu’elle est demandeuse. Nos langues s’enlacent. Nos salives se mélangent. Elle lâche un gémissement bref. Mes mains courent sur sa peau. Enlacent sa taille fine. Saisissent ses seins effrontés. Vont attraper son cul.Sa chair est plus ferme que celle de sa sœur. Comme celle d’un chat. Elle est plus expérimentée que Lou, ça se sent. On roule sur le matelas. Père et fille. Amants. Ma queue dressée frotte contre son ventre. Les gestes sont hachés. Il y a de la frénésie. De la honte aussi. Je sais que toucher ce corps m’est interdit. Mais je m’en sens le droit, et le dégoût et le désir se mêlent pour former un cocktail incandescent. — À quatre pattes. Je vais te baiser. — Oui Papa.  À nouveau, elle fait ce que je lui dis. Elle prend position sur les draps, son petit corps blanc installé sur ses genoux et ses coudes. Ses jeunes fesses sont tendues vers moi. Tentantes. Parfaites. Ça y est. Je m’apprête à prendre ma fille. Je parie que vous aimeriez être à ma place. Mais c’est moi qui ait cette chance. Avant de passer aux choses sérieuses, cela dit, je revendique à nouveau ma domination sur elle. Une petite claque du plat de la main sur sa fesse droite. Ça fait du bruit en tout cas. — Aïe ! dit-elle avant de me sourire. Ses yeux, plissés, sont braqués sur ma queue qui s’approche peu à peu de sa chatte. Sa bouche est entrouverte. Son sexe est moite et gonflé. Elle me veut autant que je la veux. Il me vient en tête beaucoup d’images de notre vie de famille. Des souvenirs d’autrefois, d’une existence où nous gardions encore nos distances.  Je ne prolonge pas l’attente plus longtemps. Son frère l’a baisée, sa sœur l’a baisée, sa mère l’a baisée, à présent, c’est mon tour de me la taper. Je cale mon gland violet contre l’entrée de sa chatte perlée de mouille, et brutalement, je la pénètre. Merveilleux inceste. Une poussée emmène mon membre tout au fond de sa vulve juvénile et étroite. Elle m’accueille en elle par un cri rauque. Tournée vers moi, elle me présente un visage rendu incrédule par le ravissement de cette première invasion. — Baise-moi Papa… Oh j’adore te sentir en moi… Fais ce que tu veux… Seconde fessée, histoire de lancer les hostilités. Noëlla pousse un jappement de douleur. J’en profite pour me déchaîner. Aucune envie de faire grimper la pression. D’y aller doucement. Je la baise, ma salope de fille. Je la défonce. Je la déglingue. Dans ma tête, une seule certitude : que cette chatte est à moi et que ma petite va hurler sous les assauts de son papa. C’est ce qu’elle fait sans tarder. Chaque coup de reins produit un claquement de la chair contre la chair, suivi par un gémissement perçant. C’est comme une mécanique. Une machine à sexe. Tout son corps est transporté. Elle se donne toute entière. Et ses cris en sont le témoin. Ils résonnent dans toute la maison, faisant écho à d’autres éclats de voix féminins qui proviennent de l’étage inférieur. Moi aussi je m’en mêle. Je me mets à gronder, à rugir chaque fois que ma bite se fraye un chemin dans son petit vagin si délicieux. Ces murs sont les témoins privilégiés de nos péchés.  C’est extraordinaire ce qu’on fait. Beaucoup me jugeraient parce que je baise mes filles, mais combien feraient exactement la même chose que moi s’ils étaient dans ma situation ? Combien auraient le courage de s’avouer que, devenues adultes, leurs gamines les font bander ?Le moment est intense. Viscéral. Il n’y a plus rien de civilisé dans cette chambre. Rien que des instincts. Noëlla et moi. Moi dans Noëlla. Le papa dans sa fille. Des coups de queue d’une brutalité peu commune. Je la bousille en y mettant toute ma force. Comme s’il fallait solder des années d’agressivité larvée et d’envies passées sous silence. J’ai tellement de plaisir à bourriner sa petite chatte. Pas étonnant que son frère jumeau ait craqué pour elle…— Oh Papa… Oui… oui… oui… J’ai l’impression qu’elle se désintègre à mon contact. Il se passe quelque chose, là. Sous mes paumes, sa croupe se met à s’agiter. Elle tremble. Se cabre.  Noëlla jouit. J’ai mené ma fille aînée à l’orgasme. Elle continue à se contorsionner pendant plusieurs minutes. Je comprends que je dois la laisser tranquille, à se focaliser sur son plaisir. Ses hoquets, ses cris, ses grognements, mais aussi ses paupières froissées et ses sourcils abaissés sont les témoins de l’exquis tourment qui l’agite.  J’aurais pu jouir mais je ne veux pas que ça se termine. Et ça ne se termine pas. Noëlla, souple comme une liane, se désengage de ma queue qui la pénètre. Elle m’embrasse avec toute sa sensualité de femme de vingt ans et toute la sincérité d’une fille pour son père :— Merci Papa. C’est génial de faire ça avec  toi. Là, elle est immédiatement à la manœuvre. Elle guide nos corps dans une nouvelle configuration. Désormais, passé ces instants de folie, c’est elle qui reprend le contrôle.  Sous ses instructions, je me retrouve couché sur le dos, la bite en l’air. Elle ne tarde pas à m’enjamber et à s’empaler sur mon membre. À nouveau, je prend avec joie l’accueillant vagin de ma fille. Sauf que désormais, c’est elle qui fait tout le boulot. Elle rebondit sur moi, coulissant le long de mon érection, deux de ses doigts pinçant un de ses tétons durs comme des noyaux de cerise. Sur sa face, un rictus de démone. Elle continue pendant un moment, puis se penche en avant, sa poitrine collée contre la mienne. Même si la pénétration est moins facile sous cet angle, elle continue malgré tout ses allées et venues. Là, elle se tourne en direction de son frère, qui n’a pas arrêté de se branler depuis tout à l’heure. Elle arrête tout, lui sourit tendrement, et lui dit, avec le plus grand naturel, quelque chose qui n’a plus rien de secret au sein de cette famille :— Tu viens derrière, mon amour ? Noëlla Certaines prises de conscience sont contre-intuitives. Tenez, moi par exemple, je venais de réaliser que le fait de coucher avec tous les membres de la famille m’avait rendue plus épanouie. Je sais, d’habitude, c’est complètement l’inverse. Ne croyez pas que je recommande l’inceste en règle générale. Ou peut-être que si, je m’en fiche, qu’est-ce que j’en sais, en-dehors de mon cas personnel, hein ?En tout cas ce jour-là, dans la grande chambre à coucher de la maison de vacances familiale, alors que j’étais étendue sur le corps nu de mon père, son érection fermement plantée dans ma chatte, je réalisai que de partager des moments coquins avec mes frères et sœur et mes parents avait fait de moi une femme plus équilibrée.  Je sais que ça paraît un peu dingue, mais moi, c’était la folie qui me rendait saine d’esprit.  En faisant l’amour avec mon frère jumeau, j’avais trouvé l’homme de ma vie ; en couchant avec ma petite sœur, j’avais découvert des pans de ma sexualité que je ne soupçonnais pas ; en prenant une douche avec ma mère, j’avais eu l’impression d’être enfin reconnue par elle comme une femme adulte à part entière ; et à l’instant, en me faisant défoncer par mon père, j’avais résolu en quelques instants des années de tension avec lui.  Et là, j’étais partante pour de nouvelles découvertes. Papa était en moi, il m’avait déjà fait jouir. Troisième orgasme de la journée. Oui, je tenais un décompte. À présent, j’en voulais plus. Appelez-moi l’insatiable. Je venais de me pencher en avant pour qu’Éric nous rejoigne et vienne me faire ma fête par derrière. Pour le dire autrement, et surtout pour me permettre de pleinement saisir mon audace : pendant que Papa me baisait, j’avais envie que mon frère m’encule. Wow. Eh oui, je sais.La sodomie, entre Éric et moi, ça n’était pas une nouveauté. On avait déjà pas mal pratiqué, et après des débuts laborieux, j’avais fini par adorer ça. Il y avait quelque chose, dans le fait d’offrir mon cul à mon jumeau, qui me donnait l’impression de lui appartenir encore plus. D’être sa chose. Sa chienne.  Là, le moment était venu de doubler la mise. Vite. Quand Éric m’avait dit qu’il rêvait de me voir prise par Papa, je lui avais répondu que j’aimerais qu’il se joigne à la fête. Être pénétrée par deux mecs en même temps, une grande première dans ma vie de femme, avec deux mâles de ma famille en plus, me faire sodomiser en présence de mon père, tout cela s’additionnait pour former une grosse boule d’émotion en moi. Donc mon frère était averti de mon projet. Et il était préparé. Pendant que je me faisais baiser, il s’astiquait consciencieusement le manche avec de la lotion afin d’être prêt pour moi. Une fille apprécie ce genre d’attention. C’est encore mieux qu’un bouquet de fleurs. En tout cas, en ce qui me concerne. L’opération était délicate et chacun en était bien conscient. Papa resta immobile, la queue bien calée dans mon vagin, se contentant de légers mouvements pour maintenir son érection en place. Moi, j’étais penchée en avant, avec mes doigts qui écartaient bien mes fesses pour ménager l’accès maximal à Éric. Je frémis de joie quand je sentis la langue fraîche de mon frère s’insinuer dans mon anus. C’était si délicieusement pervers. Il tourna, humecta l’orifice, s’enfonça un peu. — Oooh…— Comme je l’aime, ton petit cul, mon cœur… La préparation se poursuivit. Prélevant une grande quantité de lubrifiant, mon amant incestueux en garnit les marges et l’intérieur du petit trou fragile. Précautionneusement, il enfonça un doigt, l’amena au fond, remua. Tellement dingue. Dans ma tête, c’était l’alarme incendie. Le début de la grosse fièvre. Instant canicule. Lorsqu’il pensa que j’étais prête, il ajouta un doigt supplémentaire, puis, patiemment, un troisième. Hmmm. Il faisait ça bien. J’avais confiance. J’avais un petit peu peur mais j’étais excitée. Conquise. Docile. Ravie de le sentir me manipuler le trou du cul. Tellement heureuse de vivre cette première expérience de manière si harmonieuse...— Tu es presque prête, dit-il. Éric disposa index et majeur de chaque main à l’entrée de ma cavité anale et tira doucement de part et d’autre afin d’élargir l’entrée au maximum.  Sans en dire davantage, il vint placer son gland contre l’ouverture écartelée de mon ourlet le plus intime, d’abord tout en douceur, après quoi il se fraya un chemin d’une poussée afin de bien s’y caler, en vue de la préparation profonde qui s’annonçait. On y était presque. J’embrassai mon père pour me donner du courage, puis j’avalai ma salive avec difficulté. Je me retournai vers lui, en quête de quelque chose qui serait à même de me rassurer. Il me sourit et me fit un clin d’œil. Adorable. C’était le feu vert. Mon frère se mit à m’enculer. Enfin, je sentis son gland écarteler mon sphincter pour s’enfoncer d’un coup dans mon ventre. Je gémis de plaisir et de tendre douleur pendant qu’il cheminait lentement dans mes entrailles. Le lubrifiant et la préparation faisaient des miracles. — Mmmhhh…C’était le signal. Papa s’enfonça à nouveau, loin, loin au fond de mon vagin si sensible, me poussant vers le sexe d’Éric, qui fouilla mon anus de plus en plus profondément. C’était trop. C’était énorme. Au-delà du raisonnable. Je serrais les dents face à cette double intrusion. L’impression de commettre un truc vraiment pas bien…J’arrivais à peine à le réaliser. J’avais deux hommes en moi. Deux grosses queues qui me pénétraient. Inimaginable.  Il n’y avait plus aucune retenue. J’étais incapable de taire mon plaisir de toute manière. Même pas la peine d’essayer. Je gémis, je criai, je hurlai, de plus en plus fort alors que non frère progressait encore plus loin. Quand il s’installa complètement dans mon anus, je me retournai pour lui sourire. Je découvris son expression animale, tendue, pas civilisée. Tout ce que je voulais voir. Il était exclu de négliger mon père. Je l’embrassai comme une porn-star, de toute ma gueule avide. Sa langue d’homme mûr s’entortilla contre la mienne.  C’était le délire le plus complet. Mon jumeau entama de lents mouvements de va-et-vient dans mon cul tandis que mon père s’enfonçait en même temps dans ma chatte. Etre remplie ainsi par deux membres qui auraient dû m’être interdits, c’était sublime, c’était sale, c’était magnifique. Et tant pis pour la morale.— Tu es une petite salope, grogna mon père. — Oui Papa. — Et tant mieux, que c’est une salope, dit Éric, ce qui nous fit tous marrer. Nous étions l’illustration du péché. Nos corps étaient en feu, nos peaux glissantes ruisselaient de sueur, mes cheveux étaient trempés. Leurs mains étaient absolument partout. Leurs bouches étaient folles. Leurs pénis me pénétraient, me transformaient, m’envahissaient, me bouleversaient. Rien de tel que la famille, décidément… Plus possible de parler. Je poussais presque malgré moi de petits halètements du fond de la gorge. Ils se changèrent en cris, auxquels répondirent des râles de plus en plus rauques de la part de mes deux amants. Suppliques. Juste un hurlement ininterrompu de plaisir qui résonnait dans toute la maison, comme la plainte de possédés.Au milieu de ces sensations inouïes, je m’égarai. Je ne savais plus où j’étais, qui j’étais, où se terminait mon corps et où commençait le leur. Rien au monde n’existait pour moi à part ces deux queues qui me pénétraient. Dures. Ardentes. Magiques. Elles faisaient de moi une femme différente. Sauvage. Débridée. Insatiable. Une femme épanouie. Sans limites.  On en avait tous conscience : ça n’allait plus durer très longtemps. Il montait en moi, de tout au fond, une sorte de plaisir logé au cœur du plaisir, comme une déflagration qui serait sur le point de tout emporter sur son passage. Ma peau s’électrisait. Mes poumons brûlaient. Oooh. Chaque sensation s’intensifiait, jusqu’à en devenir presque insupportable.Mes amants aussi étaient sur le point de succomber. Ce fut tout au fond de mon anus que s’amorça tout le reste. Une détonation de plaisir. Brutale. Vive. Instantanée. Mon corps se raidit. Ma respiration se bloqua. Voile noir. L’impression d’être en chute libre.Tout s’enchaîna. Une seconde explosion, comme une claque, se manifesta dans ma chatte. Puis une autre, puis encore une autre. Puis des dizaines d’autres. C’était trop, c’était beaucoup trop. J’étais l’orgasme. Toute entière. Je me mis à crier. Et à pleurer, je crois. Peut-être même à rire. Puis, comme un craquement, Éric poussa un rugissement. Je le sentis jouir et m’attirer contre lui pendant qu’il éjaculait profondément dans mon anus. Il grogna de plaisir. Mon frère pompait une quantité invraisemblable de sperme dans mon petit cul ravi. Je hoquetai, me cabrai, m’époumonnai. Incontrôlable. L’orgasme de mon frère entraîna celui de mon père. Il hurla mon prénom et ce fut à son tour de se libérer tout ce qu’il avait accumulé. Ses doigts se crispèrent, s’enfoncèrent dans mes épaules. Papa éjacula en moi, puissamment, jet après jet, alors qu’Éric n’avait même pas fini de décharger dans mon petit orifice.Ils se retirèrent de moi, d’un coup, comme on sort des dagues de leur fourreau. Leurs orgasmes n’étaient pas terminés. Un épais jet de foutre chaud comme l’amour vint s’étaler contre mon ventre. Un deuxième éclaboussa mes seins. Un dernier moucheta mon menton de perles de sperme.Ouais, là, je crois que je pouvais affirmer qu’il s’agissait du moment le plus démentiel de ma jeune vie sexuelle.  Vaincus, anéantis, nous nous disloquâmes.  Nous nous étalâmes sur les draps trempés de sueur. Généreusement garnis de foutre tiède, ma chatte et mon cul m’envoyèrent des souvenirs tendres et brûlants des délices dont ils venaient de faire l’expérience.Je laissai mes amant se reposer – ils l’avaient bien mérité. Moi, j’avais encore d’autres faims, d’autres envies à satisfaire. Du genre sapphique. Je descendis quatre à quatre les marches qui menaient à l’étage inférieur, où ma mère et ma sœur étaient en train de goûter à l’amour physique ensemble pour la première fois. J’avais hâte de les rejoindre. 
Je les retrouvai sur un grand lit, bouches soudées et membres emmêlés. De la chambre provenait le parfum inimitable de femmes qui viennent de faire l’amour. Enivrant. Lou et Maman avaient visiblement été tellement pressées de se jeter l’une sur l’autre qu’elles n’étaient pas complètement nues : leurs robes avaient été retroussées et froissées pour laisser l’accès à leurs seins et leurs sexes. Lorsqu’elles réalisèrent que j’étais dans la pièce, elles me regardèrent de leurs regards ivres de luxure, les joues rougies de honte et de bonheur. Ces deux-là, elles se kiffaient, et ça n’était plus un secret. — Alors, c’est ici qu’on s’amuse, les filles ? J’ai une proposition pour vous…
Diffuse en direct !
Regarder son live