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Notre secret

Chapitre 13

Céline, Lou

Inceste
Céline Dire que j’étais pressée de voir ma fille Lou était encore loin de la réalité de mes sentiments. Mon mari Anton, qui restait, il faut le préciser, plus que jamais l’homme de ma vie, m’avait raconté comment, lors du trajet en voiture qui les menait tous deux vers la Maison de la plage où je me trouvais avec les jumeaux, il avait eu une relation sexuelle avec notre benjamine. Il l’avait troussée sur le capot de son véhicule. J’étais envieuse. Anton et moi étions tous les deux tombés amoureux de notre fille de dix-huit ans, sans avoir aucun projet de passer à l’acte. Mais les machinations en coulisses d’Éric et Noëlla avaient tout changé à la situation, et cet inceste qui nous paraissait odieux et intolérable auparavant était devenu une possibilité, et peut-être même un projet. L’idée qu’il ait ainsi pénétré notre môme bien-aîmée, en con et en cul, et à sa demande qui plus est, me remuait de toutes sortes de manières inattendues.  Dès qu’ils arrivèrent, je m’isolai avec Anton afin qu’il me raconte exactement ce qui s’était passé entre eux. Pendant ce temps, Lou renouait avec son frère et sa sœur du côté de la piscine. J’avais hâte de voir ma benjamine, et visiblement, elle aussi. Dès qu’elle eut terminé ce qu’elle avait à faire avec les jumeaux, elle enfila en vitesse une petite robe vichy rose et blanche, bien trop courte et généreusement décolletée, qui la rendait irrésistiblement émoustillante, et elle me rejoint dans une des chambres du premier étage, où je l’attendais avec une grande impatience. J’avais tellement envie d’elle que je faillis m’étrangler en interceptant le regard enjôleur qu’elle me jeta : ce n’était pas dans mon imagination, elle était là avec les mêmes idées en tête que moi…Sans attendre un mot de ma part, la très jeune déesse prit place sur mes genoux, ses mains en écharpe autour de mon cou. — Tu m’as manquée, Mommy…Sa voix était douce, juvénile, pleine d’une innocence feinte, qui la rendait incroyablement érotique. D’instinct, ma main se posa sur la peau douce et lisse du haut de sa cuisse. — J’ai besoin de tendresse, poursuivit-elle… Est-ce que tu veux bien me donner un peu de tendresse, Mommy ? Est-ce que ça te dérange si je t’embrasse sur la bouche ? Je ne sais pas si elle projetait d’en dire davantage, mais une chose est sûre : je ne lui en laissai pas l’occasion. Sa proposition, le ton sur lequel elle l’avait formulée, la manière dont elle soutenait mon regard avec une sorte d’audace canaille : tout se conjugua pour me pousser à la faire taire d’un baiser. Ce ne fut pas elle, mais moi qui embrassa, et je le fis avec un abattement et un empressement comme j’en avais rarement fait l’expérience. Je n’étais plus moi-même : seule comptait pour moi la bouche de ma fille, merveille des merveilles, pleine et pulpeuse, siège de tant de contradictions et de tentations. Je la saisis avec la mienne, sans y mettre de précautions, comme s’il était intolérable que la mère et son enfant demeurent plus longtemps encore sans partager un baiser gourmand. Ce n’était pas la première fois que j’embrassais une autre femme. Ce n’était même pas, à dire vrai, la première fois que j’embrassais l’une de mes filles. Mais il y avait dans ce moment quelque chose d’unique : la marque de l’infini désir lesbien et du sentiment profond et passionnel que je nourrissais pour Lou.Nous restâmes longtemps ainsi, elle postée sur mes genoux, bouches soudées, à nous dire à grands coups de langues mélangées ce que nous étions encore trop timorées pour s’avouer avec des mots : une mère et sa fille, amoureuses, tout simplement, l’une de l’autre. Et au nom de quoi quelque chose d’aussi beau ne devrait pas exister ? — Je suis à toi, Mommy… Tu peux faire de moi ce que tu veux…N’écoutant que mes instincts, je la basculai sur le lit, ne cessant de l’embrasser et de l’étreindre, son corps tendre dans mes bras n’opposant aucune résistance à mes gestes d’affection. Quelle joie s’enlacer ainsi ma fille, pas par simple affection maternelle, mais en prélude à un moment coquin. D’ailleurs la belle ne se montra pas farouche, se prêtant sans rechigner à tout ce que je souhaitais lui faire subir, immobile et entièrement soumise à ma fantaisie. Lou était ma poupée personnelle, et j’avais tant d’idées de jeux en tête que c’était à peine si je savais par où commencer...Me servant uniquement de ma longue langue, je parcourus d’abord le pavillon de son oreille, avant d’en explorer le creux et d’en mordiller le lobe. Je vins ensuite lécher l’arête de son cou jusqu’à son épaule, suscitant au passage un hérissement ému de son épiderme. Ce fut alors à nouveau le tour de nos bouches. Ma langue vint s’enrouler autour de celle de ma fille, s’y lover avec appétit, sans même que nos lèvres ne s’effleurent, bâtissant entre nos gueules avides un pont de chair et de luxure où s’échangeaient nos souffles et nos salives.  Pendant ce temps, mes mains avides n’étaient pas restées inactives. L’une d’entre elles avait trouvé refuge, comme si c’était la chose la plus naturelle au monde, sur la poitrine de ma benjamine, soupesant et saisissant d’abord un de ses gros seins ronds à travers l’étoffe de sa robe, le caressant patiemment, lui arrachant une succession de soupirs alanguis, avant de libérer un téton qui surgit, dur et dressé d’excitation, appâté par la tendresse de mes gestes. L’autre main, encore plus audacieuse, s’était aventurée entre les cuisses de Lou, à la recherche d’une petite culotte… qu’elle ne trouva pas. La jeune dévergondée ne portait rien du tout sous les volets aériens de vichy rose, et lorsque j’entrepris de remonter en direction de son centre, je n’y découvris nulle barrière, mais simplement une chatte glabre, exquisement lisse, copieusement inondée de fluides qui témoignaient d’une excitation extrême. Mon petit cœur aimait être au lit avec sa Maman… J’étais, à dire vrai, très honteuse de pétrir ainsi la chair interdite de ma fille. Le sang me montait aux joues alors que je sentais au creux de mon cœur la morsure de la culpabilité. J’en étais pleinement consciente, que ce que j’avais choisi de faire, ou ce que j’avais autorisé la fièvre à me faire faire, était un péché face aux lois des humains et du ciel. Mais en léchant ses beaux seins si généreux, je réalisai que j’étais impuissante à réfréner mes ardeurs, et sentir à quel point Lou était demandeuse de mes caresses me laissait sans défense face à mes envies dévorantes d’inceste. 
Mais comment résister à ce corps parfait et à tout ce merveilleux trésor d’érotisme qu’il recelait ? Sous les assauts de mes mains, alors que je m’approchais tout près de cette invitation au péché qu’était son sexe nu, je l’entendis se pâmer avant de me susurrer :— Oui… c’est ça… viens à l’intérieur de moi, Mommy… Alors c’est ce que je fis. Je mourrais d’envie de l’investir, de la fouiller, de la pénétrer. Pas une seconde je n’hésitai à insérer en elle trois doigts d’un coup, en fuseau, qui glissèrent sans aucune difficulté à l’intérieur de son vagin onctueux. Elle lâcha un cri, semblable à une douleur mais pur comme le cristal. Je mis toute mon expertise de femme qui aime les femmes à lui donner autant de plaisir que possible, aussi vite que possible. J’enclenchai des coulissements dans son sexe qui passaient par tous les endroits sensibles, n’oubliaient aucune de ses terminaisons nerveuses. Il faisait chaud dans sa petite chatte serrée. On était bien. J’avais envie de la faire crier. Je voulais qu’elle me hurle qu’elle m’aimait, dans la sincérité du sommet du plaisir.  Nos vêtements retroussés, pêle-mêle, nos peaux collantes de sueur, nous nous serrâmes dans les bras, plus proches que jamais. Je serrai contre moi ce chef d’œuvre qu’était ce corps d’adolescente, mince, ample, parfait, pourvu d’une peau douce qui appelait irrésistiblement les caresses.Le regard de Lou était noir, ses pupilles fendues par les sursauts d’un grand bonheur. Je me trouvai incapable de résister à l’embrasser à nouveau, profondément, tandis que je la branlais. Au milieu de copieux halètements qui résonnaient comme autant de remerciements, ma fille me rendit mes attentions et décida de me pénétrer à son tour. Sa main fine joua les intruses entre mes cuisses avant d’entrer dans mon brasier.  Nous étions parvenues à nos fins. J’étais en elle et elle était en moi, les phalanges enfoncées là où elles n’avaient pas le droit de l’être, mais où elles étaient tellement les bienvenues. Symétrie de l’amour, nous ne formions plus qu’une, dans ce genre d’addition charnelle qui n’existe qu’entre deux femmes, unies par nos mains, nos sexes, nos bouches avides et nos seins qui glissaient les uns contre les autres, à la faveur d’une sueur complice. Il était évident que nous nous trouvions plus soudées que nous ne l’avions jamais été depuis que je l’avais mise au monde. La joie en nous grimpa de manière vertigineuse. J’avais chaud, j’avais froid, ma peau émotive était trempée, je tremblais comme une feuille au vent, tout mon organisme était secoué d’impulsions euphoriques. Pour Lou, la situation prit plus rapidement encore un tour jubilatoire. Sous mes mains et mes lèvres, je perçus que le corps de ma fille s’agitait de soubresauts de plus en plus vigoureux, témoignages incontrôlables d’un état de nerfs qu’elle ne parvenait plus à maîtriser, ou à peine. Elle ahanait de plus en plus fort, jusqu’à ce qu’un cri perçant soit le témoignage triomphal de sa jouissance. — Maman ! Ce fut bientôt mon tour. Les attouchements prodigués par ma fille m’envoyèrent sans tarder au sommet du mont Plaisir. Puis ce fut elle à nouveau, quelques instants plus tard, et moi encore, avec des sensations encore exacerbées. C’est ainsi que se poursuivit notre baise : ma fille et moi nous donnant une série de mini-orgasmes en chapelet, apparemment sans fin, comme seules deux femmes qui font l’amour ensemble peuvent en faire l’expérience.  Cela dura longtemps, très longtemps, non pas que je le déplore… J’en vins à me perdre dans l’intensité de l’instant, à égarer toute notion du temps. Cela aurait d’ailleurs pu se prolonger davantage encore si nous n’avions pas été interrompues par une arrivée inopinée. Noëlla se tenait là, dans l’embrasure de la porte, son corps nu si trempé de transpiration qu’il aurait tout aussi bien pu sortir de la douche, avec sur le visage une expression mi-amusée, mi-fière :— Alors, c’est ici qu’on s’amuse, les filles ? J’ai une proposition pour vous… Avec Lou, nous profitâmes de cette interruption pour nous déshabiller complètement, nous jugeant soudain bien trop vêtues. Séduites par les perspectives qui venaient d’être esquissées, nous écoutâmes ce que la nouvelle-venue avait à nous dire :— Les garçons viennent de me faire la fête, là-haut… Papa m’a baisée pendant qu’Éric m’a enculée… Je suis toute remplie de sperme, du coup. Ça vous dit un petit nettoyage ?Je me mis à rire, réalisant que je venais d’entendre la phrase la plus perverse qui était jamais parvenue jusqu’à mes oreilles. Prise au dépourvu, à m’imaginer la double pénétration incestueuse à laquelle venait de se prêter ma fille, je ne fus pas assez rapide pour réagir lorsque Noëlla sauta sur le matelas et se mit dans la position du poirier, en équilibre sur ses épaules, le bassin en l’air, afin de nous donner le meilleur accès possible à ses orifices souillés. Lou ne tarda pas à la rejoindre, et elle se mit sans tarder au travail, optant de s’affairer côté chatte, dans laquelle je vis disparaître sa langue rose clair. Quel choc, quel émerveillement aussi, de la voir laper le foutre corsé de son père, à même la fente poisseuse et scintillante de sa grande sœur ! Il n’existait rien dans ce tableau qui ne représente pas un outrage aux bonnes mœurs, et j’avoue que je n’avais jamais été aussi excitée de ma vie…Quoi qu’il en soit, peu de choses auraient pu me motiver davantage à me joindre à la fête… La tête toute proche de celle de Lou, je me consacrai donc au trou qui restait. L’anus de Noëlla était froncé et attendrissant. Sa teinte rosâtre foncé témoignait du fait qu’il avait été tout récemment rudoyé lorsque sa propriétaire s’était laissée sodomiser par la grosse queue de son frère. En guise d’amuse-bouche, je léchai les quelques perles de sperme qui entouraient la rondelle, avalant avec délice la semence onctueuse de mon fils. Mais j’en voulais davantage. Étirant de mes doigts la chair tendre de ses fesses, je parvins à lui ouvrir le trou du cul pour me permettre d’accéder à son trésor le mieux gardé. Noëlla tressaillît en raison de cette attention, et laissa échapper un miaulement ravi.Je fichai la pointe de ma langue à l’intérieur de l’anus offert, en parcourut les marges sensibles et vint cueillir le foutre épais qui garnissait les profondeurs du si intime goulet rectal. Puis je recommençai, encore et encore.  J’échangeai un regard complice avec Lou. Nous étions bien décidées à faire jouir Noëlla en la léchant de concert, elle dans son con, moi dans son cul. Nos coups de langue devinrent plus fermes, déterminés à susciter le plus de plaisir possible. Son rythme se calqua sur le mien, moi sur le sien, jusqu’à ce que nos caresses soient parfaitement synchrones. Tout ça provoqua une déferlante de cris de ravissements de la part de Noëlla, tour à tour rauques ou aigus, eux aussi simultanés avec le traitement qu’elle était en train de recevoir…Il suffisait d’être témoin de l’agitation qui s’emparait de son corps tout entier pour flairer que l’acmé de son plaisir n’était pas loin. — Oh mon dieu… Oh mon dieu…Nous, sa maman et sa petite sœur, avons dès lors intensifié encore nos attentions salaces, accueillies par de beaux hurlements, jusqu’à ce que Noëlla se dissolve devant nous et finisse par se rouler en boule sur des draps trempés, immobile mais tremblante, conquise, trempée, vaincue par cet excès de faveurs sexuelles. Nous lui laissâmes le temps de récupérer. Lorsqu’elle émergea, ce fut avec large sourire satisfait :— Ah, quel bonheur de faire partie d’une famille de salopes !Comment aurions-nous pu réagir autrement qu’en éclatant de rire ? Noëlla en profita pour se lever prestement. Juste avant de quitter la pièce, elle nous regarda avec tendresse et dit :— Une minute, c’est pas fini…Nous fûmes intriguées par cette promesse, et pressée d’en savoir davantage. Lorsqu’elle reparut devant nous, quelques minutes plus tard, ma mâchoire se décrocha sous l’effet de la surprise alors que son secret fut révélé : elle avait enfilé un gode-ceinture dont la fausse bite en plastique noir mat se dressait dans notre direction avec quelque chose qui ressemblait à de l’insolence :— Allez les filles, vous avez bien mérité une petite récompense… Laissez-moi vous baiser… Lou Ça va peut-être paraître un peu cringe comme aveu, mais je m’en fous : c’est le plus beau jour de ma vie, je crois. Ce matin, Papa m’a baisée et enculée sur le capot de sa voiture. En arrivant à la Maison de la plage, on s’est un peu amusées dans la piscine avec ma grande sœur Noëlla. Ensuite, je me suis glissée dans un grand lit avec Maman et on a fait l’amour. Ensuite, Noëlla nous a rejointes et elle nous a fait lécher ses trous remplis du sperme des mâles de la famille. Je veux dire, WTF. Ça aurait pu s’arrêter là, mais ma sœur est revenue avec un gros gode-ceinture, et la promesse de nous baiser. Yes. Sous ses instructions, je me suis couchée sur le lit, cuisses écartées pour que Maman puisse me lécher la chatte. Ce faisant, elle a levé les fesses, prête à se faire prendre par le strap-on de sa fille. Le bon délire, quoi. À partir de là, tout s’enchaîne naturellement. Enfin, si on juge que s’éclater au pieu entre filles de la même famille, c’est naturel. Il ne faut qu’un instant pour que Maman fonde sur mon entrecuisses, avec une mine de renarde qui se pourlèche les babines en fondant sur sa proie. What have I done to be so lucky?Mon cœur fait bang bang en la voyant approcher. Et pas seulement parce que j’ai hâte qu’elle s’occupe de moi. Entre nous, depuis que nous avons fait l’amour, les anciennes limites se gomment. Celles des corps, mais aussi celles des sentiments. La proximité m’a permis de réaliser certaines choses secrètes au sujet de moi-même et de mes émotions.Oh my god… Et si j’étais en train de tomber amoureuse, en fait ? De Maman, mais aussi de Papa ? C’est possible, ça ? J’ai le droit ? Est-ce un péché de souhaiter devenir la femme de ses parents ? Mes réflexions s’arrêtent là. Coupées net. Parce que ça y est, it’s licking time. La langue de ma mère se pose sur mon sexe. Elle le déguste comme une lollipop. Gourmande. Conquérante. Elle me fait tout de suite voir des étoiles. C’est magique, ce qui se passe. C’est trop magnifique. C’est pervers et c’est dingue et un petit peu sale, aussi. De quoi réécrire complètement les relations entre une mère et sa fille, en fait.C’est le cas à plus d’un titre, d’ailleurs. Parce que ça y est. Alors que Maman est entre mes cuisses, Noëlla introduit doucement son gode dans sa chatte, ce qui lui arrache un râle de contentement. Le spectacle est franchement démentiel : je suis en train de me faire lécher par ma mère, qui, de son côté, se fait baiser en levrette par le strap-on tout neuf de ma sœur. Si on m’avait décrit ce scénario quelques mois en arrière, j’aurais été très choquée. Aujourd’hui, je suis conquise. Comme quoi, il faut être ouverte à tout dans la vie. Ouais, dans tous les sens du terme. — Tu aimes ça, Maman ? Tu aimes comme je te baise ?C’est ce que demande Noëlla, le visage rougi d’excitation. Je la vois défoncer notre mère avec autant de fougue et de force qu’un mec. Elle s’agrippe à ses hanches, histoire de la lui mettre bien profond. Par moments, celle qui reçoit ce traitement est tellement secouée par le plaisir qu’elle arrête de me lécher et pousse des petits cris :— Oui… oui ma chérie… baise-moi…baise ta maman…Ça ne me dérange pas, en fait, de me retrouver dans le rôle de la spectatrice : c’est tellement excitant que je n’y perds pas au change…  And here we go…Toutes les trois, on adopte un rythme. Noëlla donne des coups de reins avec la régularité implacable d’une locomotive. Chacun d’eux est accompagné par deux gémissements : un gros, de plus en plus sonore, de la part de Mommy, qui suit une sorte de hoquet étouffé de Noëlla. Et puis, naturellement, en bout de chaîne, le cunni qui est en train de me rendre complètement dingue se cale sur le même tempo. Like clockwork. Et ça se poursuit comme ça pendant vachement longtemps. Combien de temps ? Franchement, aucune idée, parce que, assez vite, je perds complètement toute notion du réel et à peu près tout le contrôle que je peux avoir sur mon corps de fille, pour confier intégralement les commandes au plaisir. Moi non plus je ne cherche plus à modérer mes cris. Je gueule, j’en ai rien à foutre. Maman me fait cadeau d’un orgasme, puis d’un autre, puis d’un autre. Je crois qu’au milieu de tout ça, les sourcils froncés, la bouche ouverte, l’intérieur tout tourneboulé, je lui dis que je l’aime, et rien ne m’a jamais paru aussi vrai. Oh, à propos des orgasmes, à part ça, je vais vous confier un secret : si je n’aimais pas autant les zizis et les garçons en général, je crois que je me consacrerais à plein temps au sexe entre filles… Sérieux, ça ne s’arrête jamais… Au bout d’un moment, on se sépare quand même, comme trois briques Lego porno. Noëlla roule une pelle à Maman, puis à moi, et puis disons qu’à partir de là ça tourne un moment au festival de bouches. On se réassemble ensuite, dans une configuration différente, parce que quand même, c’est plus rigolo : à présent, c’est moi la brique du milieu, à quatre pattes, prête à me faire défoncer par ma grande sœur, tout en dégustant la chatte de ma darone…En vrai, j’ai un petit peu le stress parce que je n’ai encore jamais été prise par un gode-ceinture et j’ai peur que ce truc me fasse totalement perdre les pédales. J’ai beau être ouverte à tout, il me reste un paquet de premières fois et d’appréhensions, en vrai…Noëlla doit le sentir, parce que dès qu’elle m’a prise, avec quand même un minimum de gentillesse et de précaution, elle se lâche complètement et se met à me bourriner comme si j’étais sa bitch. Correction : je suis sa bitch. Et me faire perdre les pédales, c’est exactement son plan. Impitoyable, la meuf. J’aime.  Donc voilà. On résume. Ma grande sœur est en train de me baiser avec une fausse bite bien plus dure et plus durable que n’importe quel vrai membre que je me suis envoyé jusqu’ici. Dès le départ, c’est le coup de foudre pour ce truc et pour la manière dont il me remue de l’intérieur. Ça me fait assez vite perdre les pédales, en fait…— Oh putain… c’est… juste trop bon…Et puis pendant que je me fais sauter, je goûte à la chatte de Maman, je l’explore, je pars en quête de son clitoris, comme si c’était une chasse au trésor, et assez vite, je soutire des miaulements de plaisir à la femme qui m’a mise au monde. — Ma chérie… mon amour…Et puis les miaulements se changent en feulements, puis en cris, et on en arrive au moment où elle est agitée de tremblements et elle frappe le matelas et son visage est figé dans une expression permanente de "O" et là je réalise que ce n’était pas un petit orgasme. En vrai, je suis tellement fière.  Pendant qu’elle jouit, c’est moi que ça prend. D’un coup. Presque par surprise. Soudain, le niveau de plaisir grimpe tellement haut et tellement vite que je suis à bout de souffle, les muscles de mon visage crispés, ceux du corps tendus. Je suis juste en-dessous de l’overload. Je le sens, si elle ajoute quoi que ce soit, si enfonce encore son gode en moi, si elle bouge d’un millimètre, je vais complètement perdre les pédales. Je la supplie:— Attends attends attends…Elle comprend et se fige. Elle me laisse kiffer comme ça. Elle et moi immobiles. Alors que je suis secouée par un orgasme délirant, tellement intense qu’il n’est pas loin de me traumatiser.— Oh mon dieu… putain… Attends attends…Puis, peu à peu, je sens la jauge du bonheur redescendre à un niveau un peu moins ridicule. Noëlla est sur le point de se retirer, je le sens, mais j’ai l’impression que je peux encore encaisser un dernier one-shot :— Attends, c’est bon… Continue de me baiser… Continue de me baiser… juste encore un petit peu…C’est ce qu’elle fait, super doucement et vachement lentement. Parce que je suis tout près de quelque chose de final. Rien que ses mains sur mes hanches, ça me rend dingue… Il suffit de deux ou trois allers-retours pour que je m’effondre complètement, la fille terrassée par un plaisir en mode coup de maillet, qui se recroqueville sur les draps moites, les poumons vidés, la peau qui brûle, même plus capable d’articuler deux mots tellement le choc du plaisir m’a ruinée… En fait, on est tellement prises dans le truc que ça nous prend un temps fou de constater que nous avons des spectateurs. Papa et Éric sont là, dans la chambre avec nous, un sourire bienveillant sur le visage et la poigne sur leurs grosses queues dressées. — Vous êtes magnifiques, dit Papa. On aimerait bien se lancer dans une nouvelle mêlée, mais en vrai, nous sommes tous bien trop épuisés pour continuer à ken, en tout cas pour le moment. La journée a été plutôt intense… Tout ce qu’on peut s’offrir, c’est encore un petit peu de tendresse coquine, c’est tout.Éric le comprend bien. Il s’allonge derrière sa sœur-amante, se love contre elle, grande cuillère contre la petite cuillère, l’embrasse avec tendresse, puis la pénètre tranquillement, son pénis coulant en elle extrêmement lentement, fusionnant ces deux corps destinés à être ensemble. — Je t’aime Noëlla. — Je t’aime mon cœur… On y est arrivés, hein ?Leur rire témoigne de leur belle complicité. Ça peut être si beau, l’inceste… D’ailleurs Papa imite l’exemple de son fils. Il se couche contre moi, sur le côté, dans mon dos. Ça me fait tellement de bien de sentir sa chaleur. Et encore plus quand son gland se frotte contre mes fesses…Je saisis sa bite et je l’amène en moi, dans ma petite chatte toute sensible à force de se faire prendre. À son tour, il me baise tout doucement. — Oh Daddy…Maman s’allonge contre moi. Elle lèche délicatement mes tétons dressés, avant de me prendre la bouche. C’est un moment de pur bonheur. Je suis nue entre mes deux parents qui me font l’amour, et je ne voudrais être ailleurs pour rien au monde, en fait.  — Ma chérie, me dit-elle sur le ton de la confidence. Nous avons un aveu à te faire. Voilà… Ton père et moi, nous sommes tombés amoureux de toi. Tu es devenue une femme lumineuse, pleine de personnalité, sage et incroyablement séduisante… Tu seras toujours notre fille, mais nous aimerions que tu deviennes beaucoup plus : notre compagne, notre amante, notre femme. Bien sûr, tu conserverais ta liberté d’aller voir ailleurs… Est-ce que… tu veux bien réfléchir à cette proposition ?Je fus envahie d’une joie immense. C’était exactement ce que je voulais. Moi aussi, j’étais en train d’en prendre conscience, j’étais amoureuse d’eux, et l’idée de faire évoluer notre relation fille-parents pour y ajouter de la romance, de l’adoration et beaucoup, beaucoup de sexe me comblait de bonheur. Et les règles ? Je m’en fichais. Complètement.Conquise, j’embrassai sur la bouche ma mère, ma femme, puis mon père, mon mari :— Oh mes amours ! Bien sûr que j’ai envie d’être à vous pour toute la vie !Dans notre famille, on s’aime très très fort.  Et ça, ça n’est pas un secret…
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