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Ma nounou

Chapitre 1

Hétéro
Son auteur se reconnaitraJe me souviens de mon départ du village, j’avais 10 ans quand ma famille a déménagé. Je laissait des copains de classe primaire, surtout je laissais celle qui m’avait élevé, ma nounou Annie. C’était hélas il y a longtemps, puisque je ne suis pas loin de 40 ans. C’est un souvenir marquant. Presque tous les ans mes parent « m’expédiaient » chez ma nounou. Elle me comblait de petits cadeaux, de bonbons, de diverses choses que j’aimais. Est arrivé le temps de mes premières masturbations, précédées d’une émission nocturne, la première, en plus chez elle. Je me souviens encore du réveil en pleine nuit, la petite bite bandée qui giclait encore une dernière goutte, pendant que je finissais de déguster ma première jouissance. Je me suis vite rendormi. Le matin j’étais honteux de ce qui m’étais arrivé. Je me demandais ce que je devais dire ou taire. J’ai préféré ne rien dire, il me semblait honteux ce qui m’était arrivé. Annie en faisant mon lit a bien du s’apercevoir que j’avais déchargé dans les draps. Elle ne m’en a rien dit: elle a simplement changer les draps pour faire une lessive. Brave Annie. Je me souviens que je prenais l’habitude que je conserve encore de me branler. Pour ne pas laisser trop de traces, je jouissais maintenant dans un mouchoir, sauf si je prenais un bain, j’adore les bains ou je lavais mon corps en général et ma bite en particulier. J’étais presque entièrement dans l’eau chaude, ma main autour de ma petite bite, petite même bandée. Ma main faisait ce que font toutes les mains des garçons de mon âge. Evidemment je le faisais deux fois, une première fois d’urgence dès que je mettais un pied dans la baignoire. La suivante fois c’était avant de sortir: je préférais cette deuxième branlette qui durait longtemps. Je me régalais de jouir, et de voir mon sperme flotter sur l’eau.A chaque grande vacance, je revenais. Puis vint l’année de mes 16 ans passés. J’étais grand, j’avais du poils au pattes, je me sentais un homme. En plus elle avait pas loin de la cinquantaine. Pour moi c’était une très vieille dame. Comme souvent je me branlais dans ma chambre. Seul détail, j’avais oublié de fermer la porte. J’étais pratiquement nu, ma main pleine de ma queue. Je ne sais même pas si je fantasmais. Je sais que je sentais mon plaisir venir, j’arrêtais souvent pour ne pas jouir de suite. J’ai senti une main, celle d’Annie qui remplaçait la mienne. J’ouvris les yeux: elle regardait ma bite en souriant.— Laisse moi faire, tu jouiras bien mieux.— Et après?— Après je t’apprendrai ce que tu ne sais pas.Ce que je ne sais pas, à mon âge je savais comment étaient les hommes et les filles, je savais que ma bite devait aller dans un con. Je savais que ça faisait du bien.Elle m’a fait jouir mieux que moi. Pendant qu’elle partait finir son ménage je me rhabillais lentement. Je ne connaissais pas la suite, j’espérais qu’elle n’en parle pas à mes parents, qui sait. Au repas le soir, elle bavardait comme si de rien n’étais. Au moment du dessert elle s’est levée, a ouvert son peignoir, elle était nue dessous!!! Ma première femme nue, défraîchie sans doute, mais une vrai femme. Je voyais sa poitrine un peu tombante, son ventre et surtout sa chatte poilue. — Approche petit, viens toucher, viens caresser mon con.— Je n’oses pas.— Tu dirais ça à une fille qui se donne à toi? Non, alors, viens me caresser, sinon je ne te branles plus. Je bandais comme un taureau, je m’en souviens comme si c’était hier. J’avais mal à la bite, pourquoi il fallait que j’aille lui caresser la chatte? Elle pouvait bien me branler encore. J’étais obligé de faire ce qu’elle voulait. Debout près d’elle j’ai le regard fixé sur ce sexe de femme. Elle laisse tomber son peignoir, nue, maintenant elle m’entreprend. — Déshabille toi, toi aussi, n’ai pas honte, je t’ai vue petit nu je ne sais combien de fois et tout à l’heure je t’ai fait jouir, même que ton sperme est venu sur moi. Allez, presse toi. Elle me bouscule alors que je pensais que l’amour était plein de douceur. Elle prend ma main droite, la pose sur ses poils, la fait descendre vers son sexe humide. Elle prend deux doigts qu’elle pose sur un petit organe, son clitoris. — Caresse le, doucement, sans appuyer. Je sens qu’il grossit comme une petite bite. Plus il grossit plus Annie gémit. Arrive un moment ou elle me demande d’appuyer un peu plus: dans les secondes qui suivent je la sens se crisper:— Salaud, tu m’a fait jouir. Suce moi maintenant.Elle colle ma figure sur son con, je sens des odeurs inconnues, excitantes. Je retrouve l’engin que je lèche: son goût m’excite encore plus que cette odeur de femelle. Elle est appuyée sur la table, les jambes écartées, ma bouche posée sur elle. Ma langue lui fait du bien. Je suis tellement excité que je commence à me branler, tant pis pour elle, elle l’aura cherché. Pas question que je jouisse seul. Elle a un orgasme plus fort que tout à l’heure. Cette fois elle s’assied sur une chaise, me fait appuyer sur la table. Je la regarde avec curiosité quand elle me prend dans sa bouche. Le premier contact de sa langue sur ma queue, l’entrée dans sa bouche ouverte. Les va et vient: elle a pris ma bite jusqu’au bout, je sens ses lèvres contre mon pubis. Ses joues sont pleines de ma queue. Je suis écroulé de plaisir. Il me semble trembler: quelle jouissance, quel orgasme inconnu. Je ne me doutais pas qu’une simple femme donne tant de plaisir. Elle accompagne sa fellation d’autre caresses sur les couilles, un doigt visite mon cul pour s’y loger un instant: elle me fait jouir. C’est bon avec son doigt dans le cul. Je ne pensais jamais jouir ainsi. — Maintenant tu vas te coucher, nous recommencerons demain ou alors cette nuit, si j’ai envie de jouir.— Maintenant je ne peux pas: je débande.— Tu l’aura voulu.Elle m’embrasse sur la bouche, sa langue vient contre la mienne. Nu comme je suis, je commence à bander un peu. — Attends, allons dans la chambre, je vais te montrer des détails que tu ne connais pas.C’est vrai je ne connais pas ce qu’elle se fait: couchée les jambes bien ouvertes à ma vue, je vois toute sa féminité de son cul à son clitoris. Elle passe une main rapidement comme pour chercher quelque chose. Elle arrête vite sur son clitoris. Avec deux doigts elle caresse ce bouton. Elle soupire jusqu’à crier en jouissant. Elle n’arrête pas ainsi, elle se met un engin dans le con. C’est un godemichet qui ressemble à ma bite, elle le rentre directement dans le puit. Elle le fait aller et venir. Elle demande ma bouche pour l’embrasser. A mon tour d’entrer ma langue. Je vois du coin de l’œil sa main guidant l’engin. Elle le sort. Je pense qu’elle a fini, pas du tout, elle le rentre dans son cul. Elle s’encule seule, avec moi à ses coté. Ma bite a vite repris son aspect civilisé: elle bande.Annie la voit, elle arrête sa sodomie pour me demander de la baiser. Je suis d’une maladresse extrême. Elle fini par prendre la queue dans sa main. Elle pose la bite sur son vagin, appuie juste un peu. Je me sens aspiré par son ventre. Qu’elle impression de bonheur, de jouissance, de plaisir. Elle commence la danse de l’amour: elle me fait glisser en elle. Ma bite vit dans un paradis, humide et chaud. Je m’y sens bien à l’aise et pourtant je la sens autour de moi, entièrement, c’est moi le prisonnier. Mais que c’est bon. Hélas tout a une fin: je jouis comme jamais. Je sens mes spasmes accompagnés des siens. J’ai joui, elle a joui. Elle me veux encore: elle me suce une autre fois, me demande de la sucer aussi. Nous sommes en 69. Le premier, pas le seul de ma vie. Elle lèche tout le sperme que j’ai autour de ma pine. Elle arrive surtout à me faire bander à nouveau, à mon âge c’est parait-il normal.— Viens me la mettre au cul.— Maintenant?— Oui, j’en ai besoin, tu vois j’aime tout, surtout dans le cul, souviens-t-en pour les autres filles, elle refusent souvent et quand elle y goûtent elles adorent.Elle se tourne, écarte les fesses: je vise le trou noir que je vois. Ma bite est assez dure. J’entre en elle assez facilement. Elle aussi se donne du plaisir avec le gode. Je le sens à coté de ma bite. Je sens surtout ses jouissances et la mienne en dernier: j’ai du vider mes couilles. Hélas, tout a une fin: je dois rentrer chez moi. La veille nous avons fait l’amour plusieurs fois, elle est même venue sur moi pour se la mettre au cul. Ce matin, avant de partir, nous ne pouvions baiser, alors elle m’a sucé une dernière fois. La prochaine est dans un an. Qu’elle leçon de choses elle m’a donné. Depuis je ne l’ai jamais oubliée, surtout pendant mes masturbations.
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