Très bien je m’en vais, tes parents sauront tout dès leur retour. Alyssa fila discrètement de ma chambre et retourna en bas dans le salon, me laissant pantois. Le doute envahit mon esprit pendant plusieurs secondes. Et si elle racontait tout aux parents ? Si elle osait ? J’allais être fiché de gros pervers dans toute la famille pour le restant de ma vie, voire dans tout le quartier au minimum. Prenant tout le courage que j’avais à deux mains, je descendis dans le salon et trouva Alyssa allongée dans le canapé, en train de textoter sur son smartphone.Elle ne daigna même pas lever la tête alors que j’étais clairement dans son champ de vision. Alyssa ... hum ... si tu racontes tout, je suis foutu. Je jouais cartes sur table, j’étais nul pour négocier et encore moins pour avoir une quelconque position de force. Je t’ai demandé quelque chose, tu ne veux pas obéir, tant pis pour toi. Elle continuait sur son téléphone tout en me répondant, très calmement. J’ai 21 ans, je ne vais pas obéir à une nounou, la dernière lubie de mes parents pour me faire chier ! Elle leva les yeux cette fois-ci, autant surprise que moi du ton que je venais d’employer. Désolé je ... je ne voulais pas manquer de respect à ton métier ...
C’est dommage pour toi, c’est exactement ce que tu viens de faire. Tu viens de gagner un ticket direct pour une belle confession avec tes parents. Ne me fais pas ça, s’il te plaît ! Dégage maintenant. Les sourcils froncés, son autorité me sauta au visage et je déguerpis très rapidement dans ma chambre. Dix minutes passèrent, j’étais tiraillé sur ce que je devais faire, mais je savais au fond de moi que je n’avais pas vraiment le choix. C’est résigné que j’attrapai ma tablette et redescendis dans le salon une nouvelle fois. Regardez qui voilà. Je pris place dans le fauteuil face au canapé, mais surtout, face à l’escalier qui descendait, je gardais en tête qu’il y avait du monde en haut qui était censé dormir, mais qui pouvait tout de même descendre. Baisse ton pantalon. Je fis descendre mon pantalon au niveau des chevilles sans vraiment dire un mot. Tu te moques de moi ? Le caleçon aussi ! En haussant la voix, elle se rendit compte que je m’exécutais plus vite. Elle se leva et vint se placer à côté de moi, pendant que mon caleçon rejoignait le pantalon plus bas. Je ne faisais pas le malin, et ma bite non plus, recroquevillée sur elle-même. Vas-y, montre-moi ce que tu comptais regarder ce soir. J’ouvris la tablette et retomba directement sur le dossier de Déborah.Alyssa prit la main et sélectionna le dossier « Lingerie » en commençant à faire défiler les premières photos. Déborah posait de manière un peu timide dans un soutien-gorge en dentelle blanc et culotte assortie. Elle était très sexy comme dans mes souvenirs, ce qui me valait un début de demi-molle. C’est rapide, le petit oiseau est en train de sortir ! Alyssa s’amusait, avec un grand sourire, à décrire mon pénis semi-dur.
Mon esprit s’était arrêté sur le mot « petit », cela avait toujours été un peu complexant dans ma vie intime : la taille de ma bite.En érection, j’atteignais 11 ou 12 centimètres, ce qui reste raisonnable, mais tout de même, en dessous de la moyenne française, et ça, c’était difficile à encaisser pour mon ego. J’avais trop divagué que ma bite était redevenue toute molle, impossible de repartir. « Qu’est-ce qu’il se passe ? Tu as honte ? Pourtant, la nounou, c’est typiquement un scénario de film porno, tu devrais te mettre dans l’ambiance »Je m’efforçais de me toucher, mais rien n’y faisait, je restais lamentablement tout mou. C’est à ce moment-là qu’Alyssa y mit du sien en m’agrippant la queue. Fais un effort, je m’ennuie.
Sa main était chaude, accueillante et surtout changeait de la mienne depuis 6 mois.Mon « petit oiseau » reprenait son envol et atteignait sa taille adulte assez rapidement tandis que je regardais l’écran de ma tablette et donc mon ex en sous-vêtement. Elle était pas mal ta meuf, une belle poitrine. Les seins de Debo’, je m’en souviendrais comme si c’était hier. Doux, moelleux, lourds, un bonnet E que j’adorais manger. Ils étaient tombants, pas très esthétiques, mais qu’est-ce que j’en avais à faire, c’était les miens pendant 2 ans. Il ne m’en fallut pas plus pour qu’un dernier va-et-vient me finisse. Oh putainnn. Un long filet de sperme gicla sur mon t-shirt et Alyssa continuait à traire ma bite jusqu’à la dernière goutte. C’était bon ... C’était surtout rapide, tu l’avais pas fait depuis combien de temps ? Je fis semblant de ne pas écouter, répondre « 2 jours » n’aurait pas été convaincant du coup. Je me relevai ainsi que mon pantalon pour retourner au lit quand Alyssa m’attrapa par le bras. Tu comptes aller où là ? La salle de bain, mon t-shirt est dégueulasse. Je répondais en chuchotant pour lui faire comprendre qu’il était tard et qu’on pouvait nous entendre. Tu ne bouges pas d’ici le temps que tu ne m’as pas rendu un orgasme aussi. Mais ... la situation dérapait complètement.
Sachant qu’elle allait repartir dans son chantage avec mes parents, je restais dans le salon, face à elle, en attendant la suite. Elle se leva, arriva à ma hauteur et déboutonna son jean pour le faire descendre jusqu’à mi-cuisse.Elle dévoilait un tanga en coton, rouge, qu’elle poussa un peu plus bas également. Je comptais en profiter pour bien la mater, jusqu’à ce que je me rende compte ... qu’elle avait une queue ! Suce-moi.
