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Nous deux et un autre dans les bois

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
De retour de vacances. Nous ramenons notre voiture de location, la nôtre ayant des problèmes de turbo. Tout en chemin, c’est Josette, ma petite femme qui conduit. Nous parlons... de cul, comme souvent en voiture. Je sais que cela l’excite. Si elle ne conduisait pas, elle aurait déjà ouvert et baissé son pantalon sur ses cuisses. Elle adore montrer ses cuisses et sa petite culotte aux routiers que nous dépassons. Il lui est même arrivé de tout enlever pour mieux les régaler. Malgré les coups de klaxon, les appels de phare des chauffeurs mis en rut par ma douce, nous n’avons jamais osé nous arrêter sur un parking, pour passer à l’acte avec eux. Généralement, cela se termine par une baise conjugale, dans un petit chemin à l’abri des suiveurs et des regards.
Cet été pendant nos vacances, ça a été chaud entre nous, deux baises en moyenne par jour. Elle était insatiable ma chérie, sans doute l’approche de la cinquantaine. Pendant ces deux semaines, nous avons baisé dans tous les lieux possibles. Surtout sur la plage, une petite plage discrète où elle était excitée de faire l’amour au risque d’être vue. Plusieurs fois lors de nos ébats, dans la folie des sens exaspérés par l’envie de sexe, elle me réclamait qu’un autre vienne et la prenne avec moi. Cela m’a donné une idée. Une idée qui va se concrétiser dans quelques minutes dans la forêt que nous allons traverser.

J’y ai donné rendez-vous à un homme, que j’ai précédemment sélectionné sur un site de rencontres. J’ai parlé avec lui de nos envies sexuelles et il est OK pour s’occuper de ma chérie devant moi et même avec moi. Il m’a confié qu’il est Bi et ne déteste pas jouer avec un garçon, ces jeux pouvant aller jusqu’à la sodomie si le partenaire le veut bien. Je lui ai avoué que moi, cela me tentait parfois, mais que je n’avais pas été plus loin que des masturbations mutuelles entre jeunes garçons quand j’étais au pensionnat.
Jo demande ce que je fais avec mon téléphone, je trouve une excuse bidon ! Nous prenons la voiture de belle-maman au passage pour nous rendre dans une location de voitures pendant que la nôtre se répare.
Nous filons donc chez le loueur. Madame fait la paperasse nécessaire pendant que je patiente à l’extérieur, j’approfondis avec l’homme le scénario que je prépare à ma douce sans qu’elle ne se doute de rien. J’espère juste qu’elle sera d’accord pour faire des galipettes sur le chemin du retour. Le lieu de rencontre est prévu dans une petite forêt à la sortie de la ville.
Voilà Josette, elle a les clés de notre voiture. Belle-maman viendra plus tard chez le loueur récupérer la sienne !!
Nous sortons de la ville, des bouchons aussi et attaquons les routes plus désertes, c’est là que la forêt approchant..... il faut que je provoque l’occasion: Je chauffe un peu ma chérie avec nos fantasmes de cul sur la route. Je la sens réceptive, elle a compris que j’avais envie de la baiser dans la nature comme souvent en voyage.
— Chérie, j’ai envie, ça te dirait que l’on s’arrête quelque part dans la forêt pour le faire ?
J’ai peur de sa réponse et si elle disait non. Mes doigts se crispent, ma gorge se noue et la réponse que j’attendais. Il y avait peu de chance qu’elle refuse, elle a toujours envie de le faire:
— Oui si tu veux mon cochon chéri, moi aussi j’ai envie que tu me baises, mais où, cette forêt cela me semble bien, il doit y avoir des petits coins discrets pour biner ta petite femme ??
Je propose à Jo de s’arrêter sur le prochain parking avec une allée forestière. Je m’empresse de prendre mon téléphone pour prévenir mon invité!
— Que fais-tu sur ton téléphone ??— Rien, je regarde l’endroit sûr où l’on peut s’arrêter !!

Toute à sa conduite, elle me laisse à mon téléphone. Je donne donc l’endroit exact que j’ai repéré, ainsi que la couleur et la marque de la voiture pour qu’il la retrouve, et lui dis de nous laisser le temps de nous enfoncer un peu dans la forêt ! Il me répond qu’il aura un peu de retard et qu’il a 30 minutes de route. Juste le temps de chauffer ma chérie.Nous, nous sommes arrivés, le petit parking vu sur la carte est là avec son allée qui s’enfonce sous les sombres frondaisons !Nous scrutons l’endroit, il nous semble désert. Enlacés, nous entrons dans le bois pour trouver l’endroit propice à nos ébats champêtres. Tout en marchant, je caresse amoureusement le cul de ma petite femme, elle adore cela.Quelques centaines de mètres plus tard, une petite clairière nous ouvre ses bras, d’où on aperçoit le parking et notre voiture, l’endroit parfait pour que notre ami nous rejoigne. Cela inquiète un peu ma prude chérie.
— On est un peu près de la route quand même, les gens peuvent nous voir !
À ce que je répondis :
— Mais non t’inquiète ma chérie ! A la vitesse où ils passent, ça ne risque rien !!!
Je m’approche de Josette et la prends dans mes bras, je l’embrasse tendrement. Mes mains la caressent partout : ses seins, ses cuisses, ses fesses, son tendre visage. Ma douce s’échauffe, je bande et elle est excitée, car sous son slip, je lui caresse la chatte, elle mouille ? Je lui demande à ce moment-là :
— On se déshabille, on le fait tout nu, à poil pour baiser ?— Tu crois et si on vient, on va nous voir ?— On sera mieux, y a personne et on s’en fout, personne ne nous connaît ici, on ne sera pas les premiers à être surpris à poil en pleine baise !!— T’as raison après tout, personne ne nous connaît par ici, nus on sera mieux et c’est plus excitant !
Elle enlève ses vêtements que nous posons près de nous sur une souche !
Nous sommes nus, moi à demi assis sur une vieille souche, Jo face à moi entre mes jambes. Nous nous embrassons, nos corps nus s’enlacent, ses fesses sont douces, nous sommes bien. Faut dire qu’il fait 28•C !
— Suce-moi !
Ma Jo s’accroupit et me saisit la bite qui est déjà bien dressée et la gobe dans sa bouche. Humm j’adore, elle sait y faire avec sa langue ma coquine...
Elle me lèche les couilles, me fait une gorge profonde, je lime entre ses lèvres, quand soudain le bruit d’une voiture qui ralentit nous parvient !!!Josette stoppe net sa démonstration de fellation en pleine nature, se relève un peu effrayée et dit :
— Merde une voiture, elle s’arrête là, on va nous voir !— Non, c’est rien, un chercheur de champignon, continue ma puce, suce-moi bien !
Et là, j’aperçois mon visiteur qui descend de sa voiture garée près de la nôtre, il commence à venir dans le bois. Nous le voyons, mais pas lui ! Il a pris la mauvaise direction et se dirige dans la pleine forêt, Jo est soulagée.Je lui dis :
— Allez il s’est éloigné ! J’ai trop envie de toi ma cochonne, tu m’as tellement excité avec ta bouche !!— Et s’il vient, c’est fou ce qu’on fait ! S’il revient, il va tout voir, je suis nue. Il va voir ma petite chatte, mes seins !— Tourne-toi que je te prenne par derrière en levrette ! J’ai trop envie !— Cochon, ça t’excite de savoir qu’il peut me voir toute nue, qu’il voit mes seins, mes cuisses, ma chatte et qu’il nous voit baiser ?— Oui, et toi aussi ma cochonne chérie, je sais que tu aimerais qu’il vienne.— On est fous, c’est cochon ce qu’on fait.— Tourne-toi, je vais te prendre en levrette ! Et s’il revient, tant pis, on l’invitera à baiser avec nous, il te mettra sa grosse queue bien au fond et jutera dans toi devant moi !— T’es fou, tu ferais ça... me laisser le faire avec un autre, qu’il me baise ?— Oui, pourquoi pas, c’est top excitant d’y penser, viens, donne-moi ta petite chatte et s’il vient, je le laisse te monter !— Cochon, les hommes, vous êtes tous des cochons. S’il vient, tu l’auras voulu, s’il me veut, il me baise, j’ai trop envie !— Tends ton cul que je t’enfile avant qu’il revienne et me fasse cocu !
Elle s’exécute et se tient à demi penchée à la souche de l’arbre. Je prends mon pénis en main et l’introduis dans ce sexe tout chaud et si humide ! Je constate que ce que nous venons de dire l’a excitée au plus haut point, car elle mouille abondamment ma chérie ! Un cri s’échappe de sa gorge quand je l’embroche à fond, mes couilles venant frapper ses fesses tendues :
— Humm... salaud, je la sens, elle est bien raide, tant pis si on est vus, c’est trop bon de faire ça dans ce bois ! S’il vient et me veut... tant pis, tu vas être cocu, j’ai envie d’une autre bite avec la tienne ! J’ai envie de sa bite !
Ma chérie est excitée, à point pour ce que j’ai envie qu’elle fasse. Je m’agrippe à ses hanches et attaque de longs et lents va-et-vient suivis de rapides, je m’enfonce bien à fond et tape très vite ses fesses avec mes hanches en ne sortant qu’un tout petit peu ma bite de son con. Je sais qu’elle raffole de cette position.
— Salope, t’aimes ça hein ! T’aimes te faire enfiler !
Elle gémit, se retient de crier, de hurler son plaisir. Elle râle cependant de bonheur et cela s’entend. La coquine le ferait-elle exprès pour guider vers nous l’inconnu ?C’est trop bon et si l’autre est là pas loin, il doit l’entendre et revenir vers nous pour prendre part à la fête... Soudain, je perçois un bruit de feuilles mortes foulées pas loin de nous ! Mon invité nous a trouvés même surpris en pleine baise ! Dans nos ébats, nous n’avons rien entendu ! Il reste un moment à demi caché dans un fourré par très loin. Je le vois et lui me voit. Il masse nerveusement sa bite par-dessus son pantalon, il se régale du spectacle de ma chérie, qui, les fesses tendues, subit mon assaut fougueux. Il voit ma bite qui la pistonne, son cul, sa chatte, ses nichons. Mon cul aussi, ça aussi cela m’excite, je sais, car il me l’a dit, il est bisexuel.
Josette n’a pas encore décelé la présence de l’intrus. Mon cœur bat fort, très fort, mon fantasme va se réaliser, pourvu que ma chérie veuille bien baiser avec lui, elle est si excitée que j’espère qu’elle va aussi en avoir envie, qu’elle ne va pas se défiler, fuir son fantasme. Une autre bite est là bien raide pour elle, comme elle me le demandait en vacances lors de nos baises torrides sur la petite plage.
— Cochonne. T’aimerais que l’homme de tout à l’heure te voie, qu’il vienne te baiser ? Je l’excite tout en la pistonnant de plus en plus fort. Ma Josette remue son petit cul, s’empale sur ma bite qui lui ramone le vagin.— Oui ! Oui ! s’il vient, il va me voir, il va me voir toute nue. Il va être excité, il va bander pour moi. Il va vouloir me baiser, me mettre sa grosse queue dans la chatte... oui !!!, oui j’ai envieeee, qu’un autre entre avec toi dans moi, deux queues pour moi !!!!!!!— Tu veux qu’il vienne et te baise ?— Oui ! Oui ! Appelle mon chéri, appelle-le qu’il vienne me le faire, qu’il me baise devant toi !— Ma puce je crois qu’il t’a entendue gémir de plaisir, je crois qu’il arrive.— Fais-lui signe, j’ai top envie d’une autre bite.
D’un mouvement de la tête, j’ai invité l’homme à s’approcher, ma Josette est à point, elle a envie d’une autre queue. L’homme, habillé comme un chercheur de champignons, s’approche de nous.Josette l’entend arriver, elle est cependant gênée malgré son excitation, moi aussi d’ailleurs, un peu inquiet de la suite. On y est, il est là pour la baiser avec mon accord.Il se tient à deux mètres de nous et regarde avec désir le petit corps potelé de ma femme. Josette malgré son excitation tente de lui masquer sa nudité, essaie de se rhabiller le plus vite possible... Moi, je ne sais plus quoi dire, je reste nu, la queue encore à demi-tendue enduite de la mouille de ma chérie. Lui la cinquantaine bien passée, un peu rond, mais bel homme, bien propre !
— On dirait que j’ ai fait une belle trouvaille, dit-il en se rapprochant un peu plus de nous, certain de mon accord.
Il n’est qu’à un mètre de ma petite chérie, qui n’en mène pas large. Elle a réussi à remettre à demi son jeans, mais pas son haut ni son soutien-gorge. Elle est à demi nue devant l’homme qui la détaille avec envie ! Il bande, une bosse éloquente déforme l’avant de son pantalon !Il s’adresse directement à Jo.
— Que faites-vous ici ma jolie, une petite baise ? Je crois que j’ai de la chance aujourd’hui ! J’ai pas l’habitude de voir ça quand je promène dans les bois ! Madame est superbe, un cul de reine et une magnifique poitrine aussi !!!!
On le regarde sans rien dire, le pantalon de ma femme est ouvert sur sa petite culotte blanche. Nous ne faisons rien pour nous soustraire à ses regards lubriques. Josette, le moment de surprise passé, ne cherche plus à lui cacher sa nudité. Elle a les yeux fixés sur la bosse qui déforme le devant du pantalon de l’inconnu. Elle n’a plus peur, devine que nous avons affaire à un voyeur, un vicieux. L’excitation ne l’a pas quittée, elle a envie de baiser, de se faire baiser.
— Vous savez bien ce que nous faisons, on est mariés, on ne fait rien de mal. Et vous, vous nous avez regardés faire l’amour et cela vous a plu, cela se voit ?— Oui, j’ai bien aimé, vous êtes belle quand vous baisez. C’est excitant, je bande.— Ca vous a plu, ça vous plaît de nous voir à poil ?— Vous avez une belle chatte et un beau cul !— Cochon, je vous plais ?— Je peux toucher, participer avec vous, vous me faites trop bander, vous êtes belle, si excitants tous les deux ?
Josette hésite encore à sauter le pas. Je la devine excitée par la situation, troublée aussi. Il y a un instant en faisant l’amour avec moi, elle fantasmait sur cet homme, demandait qu’il vienne la prendre avec moi, et maintenant, il est là et la veut et lui demande la permission de la sauter. Elle est encore excitée, en a envie, un peu gênée cependant, Jo me demande du regard mon approbation.
— Chéri, tu veux bien... on peut, tu veux bien ?— C’est toi qui vois ma chérie, moi ça me va, c’est l’occasion, et tu en as envie comme moi depuis longtemps !— Viens, tu me plais, fais-moi aussi l’amour, baise-moi ! Dit ma Jo en tendant la main vers l’inconnu.
Sans dire un mot de plus, ma Jo se redresse alors et expose son opulente poitrine 95D à notre visiteur qui s’est encore approché d’elle à la toucher.
— Waouh ils sont beaux, bien lourds. Dit-il en caressant les seins de ma femme qui ferme les yeux de plaisir. Je regarde la scène sans en perdre une miette, je bande dure, la vision est superbe ! Ma femme se laisse caresser les seins devant moi.
On dirait qu’elle aime !! Elle ferme les yeux et se laisse peloter par notre nouvel ami. Après quelques minutes de caresses et de baisers sur ses seins, il la prend dans ses bras et l’embrasse goulûment !! Serrée contre lui, abandonnée, ma Jo répond à ce baiser, car je la vois l’embrasser comme elle le fait avec moi !
Notre invité caresse toujours les seins et le torse de ma douce, ses fesses en la plaquant bien contre lui pour lui faire sentir la raideur de sa queue. Puis d’un seul coup, je vois sa main droite descendre dans ce jeans dont les boutons n’ont pu être refermés par l’effet de surprise !
Josette ne dit rien, creuse son ventre pour lui faciliter le passage dans sa petite culotte et continue d’embrasser ce robin des bois ! Il descend le jeans et le slip sur les hanches de ma belle et fouille de ses doigts son intimité, elle a écarté ses cuisses et adore dirait-on ce qu’il lui fait, je l’entends gémit pousser de petits râles et son bassin qui bouge dans tous les sens. Il la doigte, la branle de salaud !!
Hummm j’adore, je suis excité comme jamais je ne l’ai été par ce qui se passe près de moi. C’est terrible de la voir avec un autre ! Je m’approche d’eux, la verge dressée. J’évite de me toucher sinon je vais jouir.Ma Jo n’en peut plus ! Le baiser terminé, elle se tourne vers moi, voit ma queue dressée, me fait signe d’approcher et penchée en avant, se tenant d’une main à la souche, elle s’empresse de la gober ! Humm c’est bon...L’homme debout contre sa hanche, caresse ses seins qui pendent vers ses feuilles mortes, il s’arrête et passe derrière contre son cul, descend le jeans et le string de Josette sur ses chevilles, s’agenouille et la fouille de sa langue entre ses fesses ! Je ne peux rien voir, mais j’aurais tant aimé!!Ça a l’air d’être bon, ma femme se cambre, son bassin remue dans tous les sens, je sens des cris sourds qui résonnent contre ma queue massée par sa langue ! Quelle vue, quel effet, quel bonheur !! Whaouuu je suis aux anges...
Notre ami se redresse et baisse son jean pour libérer l’engin... pas mal, me dis-je dans ma tête... Il en a une bien plus épaisse et plus longue que la mienne.Il demande à ma femme s’il peut la mettre dans sa chatte, la prendre pendant qu’elle me suce. Elle me demande du regard l’autorisation, oui... mais il faut qu’elle soit protégée d’un bout de plastique, dit-elle !
— À toi de voir chérie, moi je suis OK, mais c’est toi qui commandes, tu le sais !
Elle est OK.
— Oui j’ai envie de baiser avec toi mon chéri, mais pas sans capote par contre !— J’ai ce qu’il faut ! dit-il.
Et ma femme :
— Ben dis, tu vas souvent aux champignons avec des capotes toi, gros coquin chéri ?— Des fois oui, on ne sait jamais ce qui on va tomber (rires).
Il sort de sa poche le bout de plastique, déchire l’emballage et le glisse sur sa bite déjà bien tendue. Pendant ce temps-là, ma douce chérie, les yeux rivés sur la queue de notre nouvel ami, s’est débarrassée de son pantalon et de son slip qui lui entravaient les chevilles. Elle est complément nue, offerte, prête à accueillir dans sa grotte d’amour son premier amant. Sa chatte qui depuis près de 25 ans n’a connu que moi. C’est trop fort comme sensation, je suis jaloux, mais content si excité, je vais exploser tellement, j’ai rêvé fantasmé de ce moment-là...
Je vois ma femme, ma douce se pencher en avant en se tenant à la souche comme avec moi peu avant. Elle tend ses fesses vers l’homme qui va l’enfiler en levrette, la chevaucher, la saillir devant moi. Notre inconnu du jour s’approche d’elle, et de sa main, guide son sexe entre les fesses fermes de ma chérie. Je devine le gland épais qui écarte ses lèvres intimes et s’appuie sur l’entrée de sa petite chatte. Je vois ses yeux s’agrandir d’étonnement quand d’un coup de reins brusque et impatient, son amant s’est introduit et enfoncé en elle, la prise à fond devant moi, son ventre écrase les fesses de ma chérie...
— Trop bon, t’es si serrée ma chérie, si étroite, t’es bonne !
Ce fut terrible pour moi, j’entends encore son râle de plaisir, un râle rauque, profond de femme comblée, jouisseuse, heureuse du moment vécu. Elle me demande de m’approcher, ce que je fais immédiatement, puis elle gobe ma bite énormément dure à cet instant. Lui allait et venait en elle avec de grands coups de reins que je les ressentais quand elle me suçait. Il caressait ses seins en même temps, pinçait ses tétons tout durs, il devait prendre son pied, le veinard.
Au bout de 10 minutes, ma femme de baise intense, après un mouvement incontrôlé de notre ami qui l’a fait complètement sortir de son puits d’amour, Josette se redressa d’un coup sec et dit :
— Non, pas par là mon chéri, pas dans mon petit cul !— Excuse-moi, elle a glissé !! dit-il.
Je comprends, devine que sa queue a flirté avec l’anus de ma chérie. Hummm j’aurais tant aimé qu’il la sodomise devant moi, qu’il l’encule profond ma cochonne !! Ho ouii.Puis il recommence à la limer un moment. Il est endurant le bougre. Moi depuis longtemps je me suis retiré de la bouche de ma douce et les regarde baiser. Je ne veux pas jouir, pas laisser retomber l’excitation qui m’habite.
— Viens me sucer ma belle ! Tu veux bien ??
Elle se retourne et obéit à son amant. Elle le suce pendant 5 bonnes minutes et c’est enfin à mon tour de la prendre !! Je lui enfonce ma queue, sa chatte est ouverte, béante. Je lui assène de grands coups comme jamais je n’ai fait, puis il la relève, m’écarte et la reprend par derrière. Mes amis, je n’en reviens pas, il est vigoureux le cochon. Quel pied, quel bonheur, je suis aux anges de voir ce spectacle ! Ma chérie geint, pousse des petits cris ! Elle a joui plusieurs fois déjà et lui la pistonne toujours.
— Tiens, tiens, prends petite pute, prends !
D’un coup, je l’entends enfin gémir plus fort, il accélère ses poussées, crie, je sens qu’il va jouir dans ma femme ! Les mains crispées dans la chair des hanches de ma Josette, il s’immobilise enfin. Son pieu est enfoncé à fond dans le vagin de ma douce. Il pousse des cris rauques, donne des coups de reins violents et il expulse son sperme, ensemence ma douce. C’est fait, il a déchargé, jouit dans le conin de ma chérie !! Il se retire, sa queue est encore à demi raide, toute luisante de la mouille de ma chérie mêlée à son sperme. Ma femme enfin se redresse le visage défait, fatigué de l’assaut vigoureux qu’elle vient de subir et lui dit, parlant de moi :
— Tu m’as bien baisée mon chéri et devant lui. Depuis le temps qu’il en rêvait de me voir baisée par un autre ce gros cochon !!
Ho oui, j’en rêvais et j’en rêve encore.
— Venez mes chéris, venez contre moi que je vous embrasse ? C’était trop bon avec vous deux, mes amours.
Elle m’embrasse, l’embrasse aussi à pleine bouche, on se serre, on se caresse tous les trois, on se prend la main comme pour se réconforter, se remercier mutuellement du plaisir reçu et donné! Puis je sens sa main, une main d’homme sur mes fesses puis ma queue, je ferme les yeux de plaisir, c’est trop fort:
— Tu n’as pas joui mon grand, tu veux bien que je te soulage, tu es tout raide ?
Je me suis déjà fait branler par un mec, là j’ai envie, mais ma femme est là. Que va-t-elle penser ?
— Je sais pas !
Ma femme m’encourage du regard. Nous sommes toujours enlacés tous les trois. Alors je me laisse faire, écarte un peu mon ventre et la main douce de notre ami s’active sur moi, fait comme un fourreau à ma bite entre nos corps serrés, je me lime dedans comme dans un vagin. C’est trop bon, nous bougeons tous les trois, nos corps se frottent. Nos mains libres caressent nos corps, nos fesses. Les siennes aussi sont fermes. C’est trop bon. Ils me baisent tous les deux et je ne tarde pas à gicler sur le ventre offert de ma douce, serrée contre nos corps de mâles. Sur le sien à lui aussi. Sur sa queue dressée également et serrée entre nos corps. Lui aussi a fini par jouir une seconde fois en se frottant sur nous deux. On a fini de faire l’amour à terre, couchés tous les trois dans l’herbe les membres mêlés. Pour jouir, il s’est frotté sur les fesses de ma chérie, sur les miennes aussi pendant que je caressais les siennes et celles de ma douce, je ne sais plus trop lesquelles.
Son sperme épais s’est mélangé aux traces du mien sur nos chairs enfiévrées.Je crois que nous avons adoré cet épisode chacun de notre côté ! Nous discutons un peu, puis nous rhabillons et nos chemins se séparent, là sur ce parking ! J’aimerais le revoir, recommencer avec lui, Josette aussi, mais il est marié et très occupé.
Nous remontons en voiture et finissons notre trajet du retour. Je conduis, car elle est épuisée ma chérie. Elle me regarde et dit :
— Whaouuu quel pied c’était terrible de baiser à trois, on l’a enfin fait et toi t’as aimé ça ?— Oh oui ma chérie oh que ouiii.— Cochon ! Cochon chéri, on a fini par le faire, tu es un démon mon amour. C’était divin l’autre dans moi et avec nous deux à la fin vos mains, vos bites à vous deux sur moi, sur vous aussi et vos spermes mélangés sur nos ventres, c’était trop bon de sentir vos deux queues sur moi.— Oui c’était bon de te voir avec lui, de voir sa bite entrer dans ta petite chatte.— Elle est grosse, plus que la tienne mon chéri. Et...— Et... ?— Bien plus longue. Il baise divinement bien et tient longtemps. J’ai joui plusieurs fois avec lui, c’est un sacré baiseur. Tu devrais essayer de baiser avec lui la prochaine fois. Tu as aimé qu’il te branle et te caresse partout, j’ai bien vu, il te pelotait le cul et tu le laissais faire. Il te plaît à toi aussi petit cochon chéri. J’aimerais bien vous voir le faire tous les deux. J’aimerais voir un homme te la mettre, te prendre ton petit cul pour te faire jouir aussi après m’avoir bien baisée devant toi.— On ne le reverra pas... et puis je l’ai jamais fait avec un homme, mon petit trou est vierge.— Qui sait si on le revoit, là mon chéri, tu y passes mon chéri, ton petit cul la sentira passer. Il a voulu me la mettre, mais elle était trop grosse, toi tu étais prêt à le laisser faire, je l’ai bien vu mon coquin. Tu étais bien excité de me voir sous lui et qu’il m’encule, t’allais prendre ton pied non salaud de le voir me soumettre avec sa queue dans mon cul ! — Oui, j’aurais bien aimé ma chérie. T’aimes ça avec moi dans ton petit trou du cul.— Cochon, tous les mêmes, vous aimez le cul. Lui je suis certaine qu’il aime aussi baiser les mecs.
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