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Nous deux, Mary et Pierre

Chapitre 9

Inceste
Chapitre 10 : week-end chez Valérie et Éric
Après notre week-end en compagnie de Valérie et Éric, notre vie de couple reprend ses droits, une grande complicité nous unit, la tendresse, la douceur et bien sûr le sexe à haute dose. Une envie charnelle nous pousse l’un vers l’autre.Mary et Valérie sont devenues de vraies amies, elle se voient souvent, une grande amitié lie les deux femmes, grâce pour beaucoup à leur situation sentimentale identique.Nous sommes fin septembre, le beau temps est toujours d’actualité.Un soir en rentrant du boulot, Mary resplendit dans son tailleur, perchée sur des escarpins noirs avec une hauteur de talons incroyable, lui galbant ses longues jambes à merveille. Un pur délice pour mes yeux.« Mon chéri, j’ai déjeuné avec Valérie, et nous sommes invités à passer le week-end chez eux, en plus ils ont une piscine. Valérie m’a précisé de ne pas oublier nos maillots de bains. »— « Génial, surtout que la dernière fois c’était bien chaud ! » - « Tu ne penses vraiment qu’au cul, tu n’es qu’un gros cochon ! » - « Ne me dis pas que tu n’y a pas pensé quand Valérie nous a invités !... »Avec une petit voix sensuelle, Mary me répond : « bien sûr que si ! Je recommencerais volontiers, c’était sympa, non ? » - « Oui ! Maman tu deviens une vraie dévergondée… ».On éclate de rire tous les deux, Mary vient se blottir contre moi, et me roule une pelle de feu.Elle me susurre à l’oreille : « on va prendre une douche, mon amour. » Je sais bien comme cela va finir. En lui mettant une petite claque sur le cul, je lui dis : « direction la salle de bain gente dame !... »Mais avant la douche, nous passons par notre chambre pour nous déshabiller. Maman marche devant moi en tortillant du cul, une vrai provocation, moi qui rêve de la baiser, quand elle est en tailleur. Je saisis l’occasion, je l’attrape par les hanches, me colle contre son cul, frotte ma queue bien bandée. « Oulalah, je constate que Monsieur a une grosse envie ! » Je pousse Maman sur le lit et me vautre sur elle, nous entamons un baiser diabolique. Ma main se faufile sous sa jupe, écarte son string, caresse sa minette qui est déjà bien humide. « Eh bien, je ne suis pas le seul à avoir une grosse envie ! » - « Viens en moi, mon cochon de fils!... » Je me relève pour enlever jean et boxer, Mary remonte sa jupe et écarte impudiquement son string. Je guide mon engin, et pénètre langoureusement la matrice dégoulinante, Mary pousse un « humm » de satisfaction. Je pénètre maman bien profond, lui arrachant des gémissements de bonheur. « Accélère maintenant, baise-moi bien profond !!... » La cadence du pilonnage augmente jusqu’ à atteindre une cadence infernale.« Oui continue, baise ta salope, fourre-moi la bien au fond ! »— « Tu as vraiment le feu au cul, tu vas prendre cher ma salope ! »A cette cadence, nous atteignons rapidement des sommets dans la jouissance, je me vide en hurlant mon plaisir, ainsi que Mary en me recevant.« Putain que c’est bon de se faire baiser en rentrant du boulot !... »— « Un vrai dérivatif, c’est le bonheur à l’état pur !... »— « Direction la douche, et tu restes sage. » - « Mais bien sûr mon amour… » Réponse faite avec une arrière-pensée. Ah, la douche, que de merveilleux moments pour nous deux…Le samedi arrive, nous préparons quelques affaires de rechange et surtout nos maillots de bain.Voici Mary vêtue d’une magnifique jupette plissée noire et blanche, un tee-shirt cintré, qui fait encore plus ressortir sa poitrine, un bandeau dans les cheveux, perchée sur des sandalettes à lanières. Un rouge à lèvres éclatant. Elle ressemble à une midinette des sixties.Direction chez Valérie et Éric, leur maison se situe à la sortie de la commune, et se trouve entourée de grands arbres. De ce fait ils ne risquent pas d’être dérangés par les voisins. Ils nous accueillent gaiement. Valérie est vraiment une très belle femme, elle ne fait pas son âge. Elle s’est vêtue d’un mini short en jean au ras du cul, un débardeur, sous lequel son opulente poitrine ne semble pas entravée par un soutien gorge… On se salue, les deux femmes se font la bise et se claquent un petit smack du bout des lèvres. De concert Éric et moi, nous nous exclamons : « dites donc les filles, cela devient une habitude vos smacks ! ». Les deux femmes rougissent comme des jouvencelles. Mary réplique : « c’est simplement de l’amitié entre nous deux. » Valérie s’empresse de confirmer ses dires.Nous visitons la maison et surtout le jardin, immense, avec une magnifique piscine en plein milieu, entourée d’une pelouse d’un vert anglais.« Et si nous faisons trempette les amis ? » - « Mary, tu viens, on va mettre nos maillots. » - « J’arrive Valérie ». Éric est moi passons au salon pour nous changer, et, vite revenus, nous attendons nos femmes, allongés sur des transats en sirotant un cocktail. Ces dames sont de retour. Nous n’en croyons pas nos yeux, devant le spectacle qui se présente devant nous : Mary et Valérie, vêtue chacune d’un minimaliste maillot de bain. Blanc pour Mary, rouge pour Valérie, de petits triangles ne cachant que très partiellement leurs anatomies. Arrivées en se déhanchant, style défilé de mode, elles tournent sur elles-mêmes, et nous constatons qu’elles ont les fesses à l’air, c’est tout juste si on distingue la ficelle du string !... L’émeute a déjà atteint mon bas ventre, je me sens à l’étroit dans mon maillot, je constate que l’état d’Éric est identique au mien. « Elles sont classes nos mamans dans leurs maillots, et même un peu salopes !!... » Je confirme ses propos, et nous nous claquons la main, comme deux vieux complices.Valérie se met à courir, comme une grande sportive qu’elle est, et plonge dans la piscine. Ni une ni deux Éric la rejoint, et tous deux commencent à batifoler dans l’eau.Mary avance d’une démarche langoureuse, et vient se placer à califourchon sur moi, prenant ma tête entre ses deux mains, elle me roule une pelle fougueuse, tout en frottant son popotin sur ma virilité bandée. Je sens ses tétons durs frotter contre ma poitrine, je constate que ma très chère mère est particulièrement excitée, rompant notre baiser. « Alors, je te plais avec ce maillot ? » - « C’est plutôt un timbre poste qu’un maillot, il ne couvre pas grand-chose !... » - « Avec Valérie on voulait émoustiller nos hommes, et je crois que l’on a réussi notre coup !... » - « Vous êtes deux belle salopes ! »Mary prend la poudre d’escampette. Elle file vers la piscine et y plonge, je la suis de prêt, et plonge derrière elle. En voulant m’agripper à ses hanches je ne fais qu’attraper son bas de maillot, qui me reste dans les mains, Mary continuant d’avancer sur son élan. En se retournant vers moi et prenant un air offusqué elle me lance : « tu n’as pas honte de me foutre à poil , et en plus en public ?! » Nous éclatons de rire. Mais pendant ce temps, il y en a deux qui ne rigolent plus. Valérie, assise sur la margelle, compas grand ouvert, se fait dévorer la minette par son fils. « Oh oui, bouffe-moi bien, tu sais que j’adore, ouiiiii Éric continue c’est trop bon !!... »Mary profite d’un moment d’inattention de ma part pour sortir de l’eau, et se met à courir le cul à l’air sur la pelouse. Je la rattrape en deux enjambées, la plaquant tel un rugbyman. Nous roulons dans l’herbe tendre, nous nous embrassons, comme deux amants en manque. Descendant lentement vers son fruit dégoulinant, je lui administre un petit cunni. Mary dégouline, son envie est forte, elle commence a couiner de plaisir. Maman se contorsionne pour pouvoir attraper ma queue au sommet de sa forme, et l’avaler goulûment. Elle me gratifie alors d’une une pipe dont elle a seule le secret. Notre couple d’amis n’est pas reste non plus, de retour sur leur transat, Valérie s’est allongée sur son homme en 69. Tous deux se donnent du plaisir, dans des gémissements de plus en plus accentués.Mary rompt nos léchouilles : « viens me bourrer la chatte, je veux ta grosse bite bien au fond !!... » Maman se place à quatre pattes, cuisses ouvertes, bien cambrée, je l’emmanche d’un trait, lui soutirant un gémissement de satisfaction. Notre petite affaire commence doucement par de profondes pénétrations. « Accélère, bourre bien la chatte de ta salope !... » - « Tu en veux ma belle, et bien tu vas en prendre plein la chatte !!... » Pendant que je besogne ma chère Maman, un « oh oui !! » très fort retentit dans le jardin. Piqué par la curiosité, on se retourne tous les deux, et là, quel spectacle, Valérie cuisses grandes ouvertes, assise de dos sur son fils, se fait enculer sauvagement. « Eclate-moi la rondelle mon chéri, fais-moi jouir du cul, comme la grosse salope que je suis !!... » Son homme, les mains sous ses fesses, rythme la cadence. Valérie hurle son plaisir, les gémissements d’Éric deviennent de plus en plus rauques. Mary en me regardant, le sourire au coin des lèvres, me susurre : « encule-moi, comme cette salope de Valérie ! » Toujours planté dans la matrice de Mary, je fais encore quelques aller et retours bien profonds, qui la font ahaner. Avant de lui perforer son joli petit cul, je lui prépare la rondelle avec moi doigt imprégné de son jus. Je lui enfonce l’index complètement dans son fondement, elle apprécie avec un long gémissement. « Maintenant déboîte-moi le fion, fais-moi jouir du cul ! » Après cette demande, j’encule d’un trait ma chère mère. Une pratique régulière de la sodomie facilite la pénétration, je reste toujours un instant sans bouger, pour lui permettre de s’habituer à ce corps étranger qui lui perfore son joli cul. « Mets la machine en marche, encule bien ta salope ! » - « Je vais t’exploser le fion ma salope !! » Et c’est parti pour une pilonnage puissant. Mary, la bouche grande ouverte, cherche son souffle, elle ahane tellement je lui ramone le fion. Pendant ce temps, il y en a deux qui approchent du nirvana, leurs cris ont augmenté d’intensité. Valérie hurle toute sa jouissance : « oh ouiiii je jouis, remplis-moi les boyaux de ton foutre ! » Éric se vide dans sa chère Valérie, en poussant un hurlement bestial. Valérie, secouée par les spasmes de la jouissance, s’effondre sur son fils. Nous ne sommes pas en reste, je continue mon pilonnage intensif. « Vas-y, défonce-moi les boyaux. Oh ouiiiii ça vient, je jouis du cul, quel pied !... » Je me vide en de longs jets puissants au fond du magnifique cul de Mary, qui est secouée par de longs tremblements de plaisir. Les jambes coupées par l’intensité de la jouissance, je m’avachis sur Maman.Les deux couples mettront un long moment pour redescendre de leur nuage charnel. Nous rejoignons nos amis, toujours blottis l’un contre l’autre sur le transat. Valérie avec un grand sourire nous dit : « j’ai subi un enculage de première, un vrai bonheur !!... ».Nullement en reste, Mary ajoute : « il m’a éclaté la rondelle comme un dieu !!... »— « Mes amis, si vous souhaitez prendre une douche, vous connaissez le chemin !... »Main dans la main , Mary et moi nous rendons à l’intérieur de la maison.La douche sera longue, toute en sensualité. De retour dans la chambre pour nous rhabiller, nous percevons des bruits suspects. Mary et moi nous nous regardons en souriant, nous savons très bien de quoi il s’agit. Nous allons rejoindre nos amis pour les prévenir que la douche est libre. En arrivant au bout du couloir, un superbe spectacle s’offre à nos yeux. Dans la grande cuisine américaine, Valérie assise sur le plan de travail, les jambes sur les épaules de son fils, se fait défoncer sauvagement par son homme, cramponnée au rebord, la tête en arrière. Elle encaisse ce traitement avec délectation, rythmé par de longues plaintes de plaisir. Au passage, Éric lèche avec amour les jolis orteils de sa dulcinée.Nous restons en retrait dans le couloir, Mary collée contre moi. Le spectacle me met en émoi, ma virilité se réveille, je serre de plus en plus maman afin qu’elle sente mon envie.Planté derrière elle, je me frotte bien contre son cul, en lui malaxant ses deux grosses oranges. « Tu ne penses vraiment qu’à cela, mon gros cochon de fils ! » - « Ne me dis pas que le spectacle ne n’excite pas ? » - « Oh que si, je dégouline !, j’ai envie d’une petite visite ! »Je plaque Mary face au mur, lui écarte les jambes. J’ai le short sur les chevilles, la queue en main, Mary écarte la ficelle de son string, et je rentre d’un trait. « Tu es trempée, ma salope ! » - « Ne parle pas tant, baise-moi bien profond ! » Les mains plaquées au mur, Mary subit mes assauts avec plaisir, Ce ne sont qu’onomatopées sortant de sa bouche, ça glisse tout seul, Mary a ouvert les vannes, tellement son excitation est grande.Des hurlements retentissent de la cuisine, nos amis ont atteint le sommet de leur plaisir, avec une jouissance fort peu discrète.Je m’active au plus profond du ventre de maman, nos souffles sont courts, notre plaisir est intensif. je finis par me vider du peu de jus qui me reste, planté profondément, bien au chaud. Ma virilité inondée par le jus de ma très chère mère, nous sommes aussi peu discrets que nos amis, nos cris ont résonné bruyamment dans le couloir. Je demeure toujours bien au chaud, écrasant Mary contre le mur. Nous essayons de reprendre peu à peu nos esprits.Valérie et Éric passent derrière nous, pour aussi prendre une douche. Au passage, Éric me tape sur l’épaule et me lance, rigolard : « vous êtes bon pour y retourner ! »Après cet après-midi récréatif, nous allons déguster un succulent repas concocté par le cordon bleu qu’est Valérie. Nous discuterons à bâtons rompus, de divers sujets une bonne partie de la soirée.Après une nuit réparatrice blotti contre ma chérie, nous nous retrouvons pour le petit déjeuner, salutations mutuelles, nos deux femmes se feront encore leur petit bisou coquin sur le bout des lèvres.Toutes deux préparent le petit déjeuner, tout en se parlant à voie basse. Éric me dit : « je me demande ce qu’elles manigancent encore les deux là ! » - « On peut s’attendre à tout ! »Mary et Valérie nous servent le petit déjeuner. Je prends alors la parole : « vous complotez quoi toute les deux avec vos messes basses ? »C’est Valérie qui va répondre à mon questionnement. « Avec Mary on a pris une décision ! Nos sauteries c’est très bien, et même d’enfer, mais on doit arrêter avant d’aller trop loin et de le regretter pour toujours. » Éric et moi tombons d’accord avec le choix de nos femmes.Mary ajoutera : « rien n’empêche que l’on se voit en tant que bons amis, et… que nous échangions des confidences ! »Nous profiterons ainsi de tout l’après-midi pour bronzer, et de la piscine. L’ heure du départ arrive, nous remercions nos amis de ce bon week-end, nous nous saluons, nos femmes recommenceront leur rituel du smack !!... A suivre…
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