Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 48 J'aime
  • 5 Commentaires

Nous deux, Mary et Pierre

Chapitre 10

Inceste
Chapitre 11 : Naissance d’un couple
De retour à la maison après notre week-end chaud bouillant chez Valérie et Éric, nous nous retrouvons sur le canapé, nous sommes complément lessivés par nos ébats. L’un contre l’autre, dans un silence de cathédrale, nous profitons de ce moment de tendresse. Rompant le silence :
— Vous avez pris une bonne décision avec Valérie, c’était croustillant ces petites sauteries, mais avant que ça ne dérape, il vaut mieux arrêter. — Je suis entièrement d’accord avec toi mon amour, maintenant il n’y aura plus que nous deux
Nous allons vivre comme un vrai couple, en restant discrets dans notre ville, nous ferons quelques écarts, au risque d’être vus par des personnes de notre connaissance.L’attirance que nous avons l’un pour l’autre est dure à contrôler en public. Nous partirons souvent en week-end loin de la maison, et là, aucune retenue, nous promenant main dans la main, nous embrassant sans nous cacher, et même nous faisant passer pour mari et femme pour nos réservations dans différents hôtels.Ma chambre d’adolescent et devenue notre nid douillet, redécorée à nos goûts. Notre vie de couple ne souffre d’aucune ombre, une entente complice la caractérise. Bien sûr nous faisons l’amour très souvent, toutes les pièces de la maison connaîtront nos ébats, parfois hard, mais surtout très tendres, la tendresse étant le ciment de notre couple.Les fêtes de fin d’année approchent, nous sommes dans les préparatifs, nous resterons pour Noël tous les deux, et rien n’est encore décidé pour le réveillon du nouvel an.Mary a pris un congé le 24 décembre pour s’affairer en cuisine, afin de nous concocter de bons petits plats. Quant à moi je bosse jusqu’à midi.
Rentré à la maison, maman prépare le repas, vêtue du vieux jean qui moule à la perfection son joli popotin. Rien qu’à cette vue, la bête se réveille dans mon boxer, je me colle langoureusement contre ma chérie, et la couvre de baisers dans le cou.
— Tu es bien en forme, c’est très tentant tout cela, mais réservons-nous pour ce soir !
Tout cela dit d’une voix sensuelle, et avec des mains baladeuses à l’endroit de ma bosse. Nous prenons notre repas face à face tout en se dévorant des yeux, et échangeant des mots d’amour.La table est dressée avec grâce pour notre repas de Noël en amoureux. Après une douche prise en commun, lavage mutuel agrémenté de baisers, nous allons nous préparer. Pour moi un pantalon noir et une chemise blanche. Mary, a encore fait chauffer la CB avec l’achat du tailleur vert bouteille, jupe droite au-dessus du genou, veste fermée par deux boutons, lui faisant un magnifique décolleté, et parée de l’ensemble vert émeraude acheté au début de notre relation, les jambes gainées de bas vert auto fixant. Et enfin, elle se perche sur des escarpins avec des talons interminables. Une vraie bombe ma Mary, et ce soir elle a laissé ses cheveux libres.Nous dégustons notre repas, concocté avec amour par Mary. Nous nous dévorons des yeux, notre festin est agrémenté d’un grand cru de Bourgogne, nos doigts s’entrelacent, comme deux jeunes amoureux, je me lève pour déposer un langoureux baiser sur les lèvres de maman.Nous patientons jusqu’ à minuit pour ouvrir nos cadeaux en dégustant un merveilleux champagne, Mary blottie dans mes bras. La cheminée crépite, les flammes forment des ombres chinoises dans le salon.Nous nous câlinons, en nous faisant beaucoup de bisous.
— Pierre, comment vois-tu notre avenir ? — Notre avenir mon amour, c’est toi et moi !
— En es-tu vraiment sûr ? — Oh que oui ma chérie ! Même si notre couple est atypique, je ne conçois pas la vie sans toi, je t’aime Mary ! — Tu me combles de bonheur avec cette réponse, moi aussi j’ai besoin de toi pour vivre, je t’aime Pierre !
Pour conclure nos propos, nous nous embrassons en un baiser passionné, celui de deux amoureux qui scellent leur amour !...A cet instant précis de la soirée, ma moitié est loin de se douter de la surprise que je lui prépare !Nous ouvrons nos cadeaux, à genoux au pied du sapin. Mary m’a offert le dernier smartphone à la mode, et une chemise. Un de mes cadeaux est plus intime, une parure de sous-vêtements de couleur ivoire toute en dentelle, avec le porte-jarretelles et les bas assortis, complétée par une nuisette de la même couleur, transparente comme une aile de libellule, et très courte. Le dernier cadeau pour Mary, est une paire d’escarpins de même couleur que la parure.
— Oh mon chéri tu m’as gâtée ! — C’est normal de combler la femme que l’on aime !
Tous les deux à genoux, on va se remercier, en s’embrassant d’un baiser tendre et passionné.
— Reste là, je vais essayer la parure que tu m’as offerte — Fais vite mon amour ! — Ne sois pas si pressé, on a toute la nuit !...
Je profite de l’absence de Mary pour filer dans le bureau. Je récupère le cadeau-surprise que je compte lui offrir après son essayage. De retour au salon, je cache le cadeau sous un coussin, et attends sagement son retour. L’attente est brève, et là je vois arriver la « Mère Noël », pas du tout dans la parure que je viens de lui offrir, mais dans une tenue hyper sexy. Je suis scotché par la beauté de la femme qui est devant moi, je suis ébahi par le spectacle, aucun mot ne sort de ma bouche. Devant mon étonnement, Mary s’exclame :
— Surprise ! Je voulais fêter Noël à ma façon. — J’ai acheté spécialement cette tenue pour toi mon amour !
Et quelle parure, Mary vêtue d’une nuisette rouge, au ras du cul, de la fourrure blanche au niveau de seins, qui se dévoilent en dessous, un string minimaliste, un porte-jarretelles soutenant des bas rouges, et perchée sur des escarpins de même couleur, d’une hauteur irréelle. S’avançant vers moi, tout en se déhanchant, avec je suppose un cadeau pour moi, Mary vient s’asseoir à califourchon sur moi, je peux lire dans ses yeux tout l’amour qu’elle me porte.Sans dire un mot, prenant ma tête dans ses mains, ses lèvres se posent sur les miennes, et nous entamons un baiser fusionnel qui va durer une éternité. C’est Mary qui va rompre notre baiser, pour m’offrir son dernier cadeau, que je vais ouvrir, avec ma belle toujours sur les genoux. Une montre de grande marque, que je vais mettre de suite. J’embrasse encore une fois avec passion ma chérie pour la remercier. A mon tour, je vais lui offrir ma surprise.
— Mais quelle folie as-tu faite ? — Une petite babiole, tout simplement !
Mary ouvre le cadeau en enlevant le ruban et le papier, et, découvrant le contenu de la boîte, est stupéfaite. Les larmes lui montent aux yeux, mais ce sont des larmes de bonheur. Mary a compris la signification de mon cadeau. La boîte contient deux alliances !...
— Mais c’est de la folie mon amour ! — Je voulais tout simplement sceller notre amour !
Je prends une alliance, et la glisse sur l’annulaire de Mary et lui demande :
— Même si c’est virtuel, Mary veux-tu être ma femme ? — Oh que oui Pierre je veux être ta femme !
Mary va me faire également sa demande, en me passant l’alliance :
— Pierre veux-tu être mon mari ? — Oui Mary, je veux être ton mari !
Nous scellons notre union, même virtuelle, par un long baiser passionné, comme deux amoureux.Mary admire et joue avec son alliance, j’ai fait graver la date de notre première étreinte, pour symboliser la naissance de notre couple.
— Le magnifique cadeau que tu viens de me faire mérite une grosse récompense !
Mary se remet debout, ouvre mon pantalon pour sortir l’objet de ses plaisirs. Se tenant toujours debout et pliée en deux, elle commence a me branler. Bientôt sa main est remplacée par sa bouche, et elle entame une fellation dont elle seule a le secret. La réaction est immédiate. Une fois ma queue devenue toute dure, Mary va venir s’empaler, en écartant son string. Elle descend tout doucement en ondulant du bassin, une fois bien au fond de sa matrice, elle va me compresser la queue avec des contractions de son vagin. Avec un grand sourire, elle ajoute :
— Tu m’as fait le plus beau des cadeaux mon amour, maintenant profite de ta récompense !...
Le rodéo infernal va se poursuivre. Tout en ondulant du cul, Mary monte et descend sur ma queue, la sensation de plaisir est divine. Fermant les yeux, je profite du moment, à l’aveugle je cherche les deux oranges de mon amour, les flatte, les malaxe à travers la nuisette, puis les fais sortir, pour venir gober les tétons qui pointent fièrement. Mary accélère la cadence, nos gémissements mutuels résonnent dans le salon, les mouvements de Mary sont maintenant saccadés, nos corps commencent à frémir de plaisir, et dans un dernier mouvement ample et puissant notre jouissance déferle, dans un cri rauque j’inonde Mary de ma crème d’amour. Emmanchée au maximum, Mary lache,
— Oh ouiiiii mon amour tu me fais jouiiiir !...
Toujours plantée sur moi, maman reprend son souffle, ses lèvres viennent chercher les miennes pour entamer un baiser tonitruant à perdre haleine, nos langues s’enroulent l’une sur l’autre.Je ressens tout l’amour qu’elle me porte par l’intensité et la fougue qu’elle met à m’embrasser. Ce baiser m’excite, je ne débande pas, toujours planté dans le ventre de mon amour, celle-ci me compresse la queue, avec des contractions de son vagin. Tout en m’embrassant, elle plonge son regard dans le mien pour voir ma réaction, je lui réponds par un mouvement de mon bassin qui lui fait lâcher mes lèvres, un grand hummm de satisfaction sort de sa bouche. Après cet intermède, nous allons nous calmer, il convient de ne pas abuser des bonnes choses...Mary va légèrement se relever, pour extraire l’intrus qui lui donne tant de plaisir. Et vient coller sa tête contre mon épaule, tout en admirant son alliance, elle me dit, d’une voie douce et posée :
— Mon homme est-il satisfait de sa récompense ? — Plus que satisfait mon amour, des récompenses pareilles, j’en redemande ! — Monsieur devient gourmand des bonnes choses ! — Non ma chérie, NOUS sommes gourmands des bonnes choses !... — Sur ces belles paroles, jeune homme, maintenant dodo, je suis lessivée.
Avant d’aller dormir une bonne douche s’impose, que nous prenons en commun, en nous lavant et nous séchant mutuellement.Nous nous couchons dans notre position favorite, et le sommeil nous gagne rapidement.Après une nuit réparatrice, nous nous réveillons tard dans cette matinée de Noël. Déposant de petits bisous dans le cou de ma Mary, celle-ci s’étend de tout son long, ce qui a pour effet de faire ressortir son imposante poitrine. Ma main va partir à la rencontre de cette magnifique poitrine, que je ne me lasse pas de caresser.
— Mon mari est bien en forme ce matin, mais qu’est-ce que je raconte !... Mais oui je peux dire mon mari, tu m’as fait le plus beau cadeau hier soir en m’épousant, même si cela est virtuel. Je t’aime Pierre ! — Oui Mary, maintenant tu es ma femme, même si ce n’est que pour nous deux, les autres on s’en fout, moi aussi je t’aime Mary. — Et confidence pour confidence, j’ai un petit truc à te demander, un petit fantasme que je veux réaliser seulement avec toi.
Oulalah, je m’attends à tout avec Mary, qu’est-ce qu’elle me prépare encore.
— Je suis tout ouïe mon amour, si je peux réaliser ton fantasme se sera avec grand plaisir. — Voilà, j’aimerais que tu me fasses l’amour devant la cheminée allumée, sur une peau de bête ! — Mais bien sûr que je vais te faire réaliser ton fantasme, pour la peau de bête cela va être difficile, mais une couverture fera l’affaire !... — Encore une petite chose, je me mettrai en porte-jarretelles, j’adore que tu me prennes dans cette tenue ! — C’est très coquin ton fantasme, mais j’adore l’idée ! — Mais avant tout, va rallumer la cheminée, moi je prépare un petit plateau repas, et après je serai toute à toi mon amour.
Un petit smack et chacun part vaquer à sa tâche, Mary enfile un peignoir, restant nue en dessous, moi en survêtement, je pars chercher du bois au garage. Ma moitié, à la cuisine, prépare notre plateau-repas. Une fois la cheminée allumée, nous mangeons dans la cuisine, Mary assise sur mes genoux, mon amour de femme respire le bonheur, je crois que je ne l’ai jamais vue aussi resplendissante, même lors de vacances aux Antilles.Voilà notre plateau-repas terminé, et la cuisine rangée.
— Je vais me préparer, et toi confectionne notre petit nid douillet devant la cheminée.
Faute de peau de bête, la couette de la chambre d’amis fera l’affaire, que je dispose devant la cheminée, avec deux oreillers. Toujours en survêtement, je m’allonge pour attendre ma dulcinée. Il fait déjà chaud, les flammes dansent dans la cheminée, je décide de me mettre à l’aise, j’attends madame allongé, et complètement nu.Mary arrive, perchée sur des escarpins blancs, elle a tressé sa queue de cheval, un léger maquillage fait ressortir son regard de biche, un rouge à lèvres pare sa bouche. Je distingue des bas blancs, le reste est caché par un très court peignoir en satin blanc. Avec lenteur, telle une stripteaseuse, elle dénoue la ceinture de son peignoir, ouvre les pans tout en délicatesse, laissant apparaître son corps complètement nu, seulement paré d’un porte-jarretelles et de bas. D’un mouvement d’épaule, le peignoir glisse derrière elle. De la voir comme cela, ma virilité va réagir au quart de tour, ma queue se retrouve droite comme un « i ». Adoptant une position suggestive, les mains sur les hanches, un immense sourire illuminant son visage, elle avance vers moi, en se passant la langue sur les lèvres !
— Très intéressante cette érection mon chéri, à nous deux mon amour ! — Je suis tout à toi ma chère femme, viens te régaler !
Mary, s’accroupit devant moi, et va me prodiguer une fellation gourmande. Après avoir bien léché le gland, elle va l’avaler entièrement, en gorge profonde. Elle vient de me gratifier pour la première fois de cet exercice, ses joues se creusent tellement elle aspire, ralentissant la cadence quand elle sent la pression monter. Après de longues minutes de ce traitement, Mary interrompt sa petite gâterie et vient s’allonger à côté de moi.
— A toi maintenant de t’occuper de moi !
Un ordre pareil doit être exécuté sans aucune retenue. Mary se tient cuisses grandes ouvertes, ma langue va alors s’activer sur et dans sa minette, ses gémissements se font entendre, je me délecte de toute cette cyprine qui coule.Mary va interrompre mon léchage en me repoussant avec ses mains.
— Viens au chaud, je veux te sentir dans mon ventre !
Me positionnant sur ma chérie les cuisses très ouvertes, ma queue va trouver le chemin du plaisir sans aucune difficulté, je plonge au plus profond de sa matrice d’un trait, lui arrachant un hummm de plaisir. Je suis en train de réaliser le fantasme de ma moitié, la prendre devant la cheminée, la chaleur des flammes me caressant le dos. J’accélère ma cadence de pilonnage en plongeant au plus profond de Mary. Mais avec cette intensité, je sens la pression monter, je ralentis et reste planté au fond, pour faire baisser mon excitation. Profitant de ce moment d’accalmie, je me penche sur ma belle pour l’embrasser langoureusement. Je veux conclure le fantasme de Mary en apothéose. Je me retire, la fais mettre à quatre pattes pour la pénétrer en levrette. La belle va creuser ses reins, ce qui lui va lui faire remonter son adorable petit cul. D’un trait je l’embroche puissamment.Je vais commencer mon pistonnage en douceur par de profonds mouvements, en accélérant progressivement, Mary commence à haleter bruyamment, la tête enfouie dans l’oreiller. Elle savoure avec délectation le traitement que je lui fais subir.
— Putain comme tu es gros, ouiiiii, je te sens bien au fond, continue je vais jouiiiir !...
Je m’active de plus en plus vite, agrippé aux hanches de ma femme, je sens le plaisir arriver, celui de Mary est aussi intense que le mien. De sa bouche sortent des onomatopées. Tout mon corps s’électrise sous l’intensité du plaisir qui monte. Dans un dernier mouvement, la jouissance me frappe au plexus, me coupant le souffle. Dans un cri de libération, je lâche toute ma semence en de longs jets au fond la chatte en feu de Mary !Simultanément le corps entier de madame est secoué dans tous les sens, sa jouissance est aussi fulgurante que la mienne, Mary la libère par des hurlements aigus !Nous sommes allés très loin et très haut dans le plaisir, celui qui unit une femme et un homme qui s’aiment.Nous mettrons de longues minutes pour redescende de notre nirvana ! Mary vient poser sa tête sur mon torse, et joue avec son alliance, mes mains dans ses cheveux, je la caresse amoureusement.
— Pierre, tu as réalisé mon fantasme au-delà de mes espérances, c’était purement magique. — Ton fantasme m’a inspiré, faire l’amour devant la cheminée était tout simplement génial !
Tout en échangeant ces paroles nous nous bécotons, comme deux jeunes mariés.
— Mon chéri, maintenant je suis ta femme, même si cela reste virtuel, nous devrons rester discrets toute notre vie. Tu sais que notre relation serait très mal vue de l’extérieur, on appelle ça l’inceste !... — Je sais tout cela, nous étions consentants tous les deux, l’amour nous est tombé dessus, sans prévenir, et maintenant je ne plus vivre sans toi, même s’il s’agit d’un inceste, je m’en fous, je t’aime mon amour !... — Oh mon chéri, merci pour ces paroles, tu es mon équilibre, je veux être toujours dans tes bras, pour sentir ton amour et te transmettre le mien ! Mon chéri, je suis follement amoureuse de toi !...
Et comme dit l’adage, pour vivre heureux, vivons cachés. Ce sera notre lot pour nous aimer, nous deux, Mary et Pierre.Fin.
Diffuse en direct !
Regarder son live