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Nous et les enfants

Chapitre 11

Inceste
Je récupère une bouteille d’eau au bar pour la porter à Carole couverte de sueur et portant de nombreuses traces de sperme sur le corps.
— Merci mon chéri, je t’aime. Tu as vu Marie ?— Non aucune idée d’où elle peut être pourtant j’ai fait le tour du club et je m’occupe d’Eva.— Tu as bon goût, j’espère qu’elle est bi elle me plait beaucoup.
Je refais un tour du club Marie est introuvable. Je croise un couple d’habitués que je connais de vue.
— Bonsoir Pierre, je cherche un partenaire pour me prendre la chatte, Henry a envie de me sodomiser.
Je lui donne satisfaction et descends au bar pour me rafraîchir et discuter un peu avec la future maman avant de retourner voir Eva qui demande à son fils aîné de venir la remplacer et elle m’entraine dans le fond du vestiaire où une porte donne sur son bureau.
— Voilà mon royaume, on va être tranquille.
Eva se colle contre moi et sa bouche dévore la mienne pendant que je lui retire sa robe pour m’apparaître nue. C’est vraiment une belle femme, mes mains caressent son dos et ses fesses. Je sens son corps frémir contre le mien.
— Déshabille-toi, j’ai envie de sentir un corps contre le mien, j’en ai des frissons, caresse-moi, embrasse-moi partout. Mon corps t’appartient, fais de moi ce que tu veux.
Je commence par coller son corps contre le mien pour échanger des baisers profonds, nos langues se mêlent de même que nos salives. Mes mains vont de ses épaules à ses fesses, Eva est parcourue de petits tremblements. Je l’allonge sur un canapé et ma bouche gobe ses tétons saillants et raides puis je descends vers son puits d’amour et il suffit que je pose ma langue sur son clito pour qu’Eva jouisse dans un long feulement. Je la laisse récupérer un petit moment et passe ma langue entre ses lèvres d’où suinte sa cyprine, j’enfonce un peu ma langue, le corps d’Eva est secoué de spasmes. Lorsque j’enfonce ma langue, une nouvelle jouissance secoue son corps ponctué d’un long cri.
— Regarde dans le frigo il doit y avoir une bouteille de champagne j’ai soif.
Deux coupes plus tard, Eva s’allonge de nouveau sur le canapé et ma queue coulisse très lentement pour s’enfoncer dans sa chatte. Le temps d’entrer entièrement en elle, Eva a encore deux petites jouissances. Je décide de la prendre à cadence normale et c’est parti pour une multitude de jouissances qui se succèdent l’une après l’autre. D’un seul coup son corps se tend comme un arc sa tête oscille de gauche à droite et elle s’écroule anéantie par le plaisir les bras et jambes inertes.
Je reste la regarder un bon quart d’heure avant qu’elle retrouve sa lucidité.

— Tu m’as tuée je n’ai plus l’habitude de jouir, j’ai oublié comme c’est bon et tu as réveillé la gourmande sexuelle que je suis. Tu n’as pas joui Pierre je vais t’honorer avec ma bouche j’espère encore savoir sucer une queue...
C’est comme le vélo une bonne suceuse n’oublie pas son savoir-faire, ma queue est léchée de haut en bas, mon gland avalé, mes couilles prises en bouche et sucées comme un chamallow ; pour finir elle l’avale entièrement et la maintient au fond de sa gorge en plantant ses ongles dans mes couilles. Dans un grand cri je libère des jets de sperme qui lui remplissent la bouche et coulent aux commissures de ses lèvres. Je la laisse déguster et déglutir mon sperme . Avec ma langue je récupère les débordements et les dépose entre ses lèvres pour finir nos bouches s’unissent pour un long baiser au goût de sperme.
— Tu es un amant formidable, Carole a beaucoup de chance de t’avoir pour baiser mais elle me semble insatiable au vu du nombre de queues qu’elle vide dans une soirée. Elle me rappelle moi plus jeune aussi avide de plaisirs, de jouissances.
Nous parlons de nos vies respectives allongés sur le canapé, Eva blottie dans mes bras à demi étalée sur mon torse. Nous avons entamé une deuxième bouteille de champagne en échangeant des caresses et des baisers.
— J’ai encore envie de sentir ta belle queue me remplir le ventre, laisse-moi faire.
Quelques caresses et ma queue est de nouveau raide, Eva m’enjambe et positionne ma queue entre ses lèvres intimes et se laisse tomber de tout son poids . Lorsque mon gland touche son utérus cela déclenche une nouvelle jouissance. Elle continue sa cavalcade, jouissant sans arrêt. J’entends une porte qui s’ouvre, Marie et Victor restent stupéfaits devant le spectacle offert par Eva me chevauchant au grand galop. Ce n’est qu’après avoir terminé son plaisir qu’elle remarque les enfants.
— Désolée de vous offrir ce spectacle mais Pierre est un super amant et je suis en manque de plaisirs.— Maman tu as vu l’heure il ne reste plus personne à part Carole qui dort en haut.
Eva reste toujours assise sur mon bas ventre ma queue plantée en elle débande doucement.
— Victor va chercher Carole et dépose-la dans ma chambre, elle finira sa nuit avec moi et je la raccompagnerai demain si tu n’y vois pas un inconvénient Pierre. Au fait, où étiez-vous tous les deux on vous a cherchés et pas trouvés.
Victor se sauve et laisse Marie donner une réponse.
— On a passé la soirée dans sa chambre, il a averti son frère de l’appeler si besoin, on n’a pas vu l’heure passer, comme vous.
De retour à la maison Marie est heureuse de dormir avec moi, bizarrement elle ne me réclame pas de sexe. Je me lève vers dix heures pour me rendre au marché lorsque je reçois un appel.
— Bonjour mon chéri, je ne te manque pas, je viens de me réveiller avec Eva. Elle est aussi gourmande que moi, elle me ramène vers treize heures.— Très bien, amenez Victor je crois que Marie sera heureuse de le voir, je prépare un barbecue.
J’ai préparé le repas et dressé la table, Marie bronze nue au soleil, je viens de plonger pour me rafraîchir un peu. Carole arrive souriante, ce qui lui a servi de jupe hier au soir ressemble à une serpillière et ne cache rien de son anatomie, son redresse-seins semble intact marbré de traînées blanches séchées. Je sors de l’eau pour accueillir Carole qui m’embrasse et se débarrasse de ses fringues, suivie d’Eva qui porte une petite robe simple. Je la presse contre moi et nous échangeons un long baiser, j’en profite pour ouvrir sa robe et la lui retirer, elle ne porte aucun sous-vêtements.
— Carole m’a dit que tu apprécierais cette tenue.— Tu es très belle, tu as un joli corps fait pour l’amour et n’hésite pas à le montrer d’ailleurs regarde l’effet que tu as sur moi.
Eva se détache légèrement de moi pour saisir ma queue à pleine main, elle se tourne vers Carole et lui demande.
— Je peux ?— Bien sûr profite de l’occasion.
Carole plonge dans la piscine pendant qu’Eva accroupie commence par passer sa langue sur mon gland. Je jette un coup d’œil vers Marie qui est assise sur la queue de Victor et semble avoir beaucoup de plaisir. Eva relève ma queue pour la lécher du gland jusqu’aux couilles très lentement, ce qui me procure un début de plaisir, puis elle l’avale entièrement la maintenant bloquée au fond de sa gorge avant de la recracher pour mieux la reprendre.
— Allonge-toi j’ai envie de m’assoir sur toi comme cette nuit.
Bien plantée sur ma queue Eva glousse de plaisir ce qui attire Carole qui pose sa chatte sur ma bouche, elle est tournée vers Eva. Les deux femmes s’embrassent goulument et se caressent les seins en gémissant. Trop occupée avec Carole, Eva ne monte plus le long de ma queue mais se frotte d’avant en arrière ce qui est très agréable. Cela dure depuis un quart d’heure lorsque la jouissance de Marie et Victor se fait entendre, Carole se lève alors pour aller sucer la queue de Victor pour nettoyer les traces de sperme puis elle explore la chatte de sa fille pour récupérer le foutre qui en coule. Je remarque que la queue de Victor est bien raide en regardant le fessier de Carole.
— Vas-y Victor, baise-la elle n’attend que cela.
Victor semble hésiter mais introduit sa queue dans la chatte de Carole qui est ravie de cette intrusion. Eva libre se déchaîne et entame une cavalcade sur ma queue un moment plus tard je la rejoins dans la jouissance en expédiant mon foutre dans sa chatte.
— Elle est trop bonne ta queue, je vais devenir accro, je ne sais pas si Carole apprécie.— Ne t’inquiète pas elle n’est pas jalouse mais plutôt partageuse et nous nous autorisons des extras à condition de tout se raconter.
Après un repas apprécié par cinq affamés nous reprenons nos parties sexuelles. A la demande de Marie, je la sodomise pendant que Carole décide que Victor baise sa mère. Un peu plus tard, Marie et Victor ont disparu vers la chambre de Marie . Carole est partie aux toilettes et Eva se rapproche de moi.
— J’ai honte, je me suis laissée prendre par mon fils, que vas-tu penser de moi ?— Rien de mal rassure-toi, tu as bien vu que je fais la même chose avec Marie, et son frère le fait avec Carole et même sa copine participe.— Je vais t’avouer que j’ai déjà baisé avec mes deux fils, j’ai peur de le dire mais plus depuis un moment.— Ne te prive pas de ce plaisir, baise avec tes fils, jouis.— Bien je te raconterai alors.
Marie demande si elle peut repartir avec Victor pour une partie ou toute la semaine. Carole est relativement calme ce soir repue de sa journée d’hier. Le lundi matin je suis seul lorsque Carole revient.
— Je fais une valise, on part pour Bordeaux avec le patron, je suis désolée je n’ai même pas le temps de baiser avec toi.— Tu vas te rattraper avec ton patron ce soir.
La voilà partie perchée sur ses Louboutin et avec un tailleur plus que sexy je dirais provocant. Un peu plus tard, je décide de contacter Eva qui accepte aussitôt mon invitation pour quelques jours.
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