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Nous roulions l'un sur l'autre comme amant et maîtresse...

Chapitre 1

Hétéro
NOUS ROULIONS L’UN SUR L’AUTRE COMME AMANT ET MAITRESSECe souvenir remonte à plus de trente ans ...C’était en juillet. Ma femme était partie en cure pour soigner son asthme. Mon fils, lui, était en Grèce avec des copains et il passait, à en juger d’après ses lettres (à l’époque, les smartphones n’existaient pas), de très agréables vacances. Je restais donc seul avec Sylvie, ma fille.
Sylvie qui avait alors vingt-deux ans avait décidé de travailler durant le mois de juillet pour se procurer de l’argent de poche supplémentaire.Nous étions ce que l’on peut appeler une famille unie... et nous le sommes toujours ? En dépit de ce qui s’est passé ce mois de juillet !Ma femme et moi, nous avons toujours accordé à nos enfants une grande liberté. Je veux dire qu’il n’a jamais été question de les empêcher de sortir et pas davantage de surveiller leurs fréquentations. Nous n’avons d’ailleurs jamais eu de problème à ce niveau avec eux.
Or donc, en ce mois de juillet 1985, c’était la première fois que nous nous retrouvions seuls Sylvie et moi. Nous ne nous voyions que le soir et, généralement, nous prenions notre dîner ensemble. Un dîner relativement frugal du reste ; Sylvie et moi n’ayant aucun don particulier pour la cuisine. Les choses se passaient très bien ainsi et l’on riait à la pensée de la tête que ferait la mère de Sylvie au vu de la modestie de nos repas.
Trois semaines s’écoulèrent de la sorte. Il arrivait que certains soirs Sylvie aille retrouver des amis et, de mon côté, j’allais de temps à autre au cinéma. Bref, le mois allait s’achever dans le calme le plus complet...
Un soir, l’idée me vint de proposer à Sylvie de l’emmener au restaurant. Je lui annonçai ma décision lorsqu’elle rentra.
— Mais voilà une excellente idée, dit-elle en souriant.
Nous pensions la même chose : après tout, nous pouvions bien nous offrir un excellent repas (nous avions été si sages !) avant le retour du reste de la famille...
— Mais alors, ajouta Sylvie, il faut que ce soit la fête et que nous nous fassions « super beaux » !
Sylvie alla se préparer dans le cabinet de toilette et dans sa chambre, tandis que je sortais mon costume des grandes occasions.Sylvie fut extrêmement longue, à tel point qu’après trois quarts d’heure d’attente, je manifestais une réelle impatience. Je frappais à sa porte et elle m’interdit d’entrer.
— Plus qu’un instant, me cria-t-elle à travers la porte.
On sait ce qu’une telle chose veut dire dans ce cas. J’avais encore une bonne vingtaine de minutes à attendre... Si je n’avais pas eu cette idée, que je jugeais maintenant saugrenue de l’emmener au restaurant, nous aurions déjà fini notre dîner depuis longtemps !Elle sortit enfin. J’allais lui dire qu’elle aurait pu s’arranger pour être moins longue quand mon souffle fut coupé. C’est tout juste si je reconnaissais ma fille ! J’avais devant moi la plus ravissante des jeunes femmes. Elle qui habituellement se maquillait fort peu, c’était, ce soir-là, maquillée avec une distinction et un charme qui, je l’avoue, me troublèrent un instant. De plus, elle avait mis une robe verte assez largement décolletée découvrant avec précision la naissance de sa poitrine ferme et rebondie. Sa robe découvrait de la même manière son dos sur lequel s’ébattaient ses beaux cheveux blonds.Elle me regarda en souriant et me dit simplement ces mots :
— Je suis prête.
Je balbutiais quelque chose en guise de réponse et nous sortîmes immédiatement.Dans la voiture, Sylvie s’amusa de ma surprise.
— Ne t’avais-je pas dit, dit-elle, qu’il fallait que ce soir nous fassions la fête ?— Et bien soit ! répondis-je sans trop savoir à quoi je m’exposais...
Au restaurant, nous oubliâmes toute retenue. Nous arrosâmes notre repas assez copieusement. Le bon vin succédait au bon vin et au dessert, nous commandâmes une bouteille de champagne. L’euphorie nous gagnait et la flamme de la chandelle qui éclairait notre table créait entre nous une étrange complicité. Plus la soirée avançait, et plus mon regard avait du mal à se détacher de la poitrine de Sylvie qu’un souffle léger animait. J’avais l’impression que ma vue se brouillait et que mes mains incontrôlées se mettaient à caresser les deux seins que ma fille semblait m’offrir...Je me souviens qu’entre deux coupes de champagne, Sylvie me dit plein de choses agréables comme, par exemple, qu’elle me trouvait très séduisant et que beaucoup de femmes devaient me désirer...Je ne sais ce qui me poussa alors à lui poser à brûle-pourpoint cette question :
— Et toi ?— Moi, dit-elle, c’est autre chose...
Puis elle me fixa longuement et nous changeâmes de conversation.Nous nous sentions tellement bien dans la chaude intimité qui enveloppait notre table que nous n’avions pas envie que la soirée se termine. Et c’est lorsque nous nous aperçûmes qu’il ne restait plus que nous, que nous nous décidâmes à rentrer.Sur le chemin du retour, je sentis qu’elle posait sa main sur ma cuisse. Elle me dit :
— J’ai envie que nous dormions ensemble.
Je sentis mon visage devenir rouge. J’arrivais tout de même à murmurer :
— Si tu me donnes la permission de retirer moi-même ta robe...
Je craignais sur l’instant d’être allé un peu loin, mais elle répliqua d’une voix douce :
— Cela peut se faire...
Nous ne dîmes plus rien durant le reste du trajet, lorsque nous fûmes rentrés, je ne savais trop quelle contenance prendre... C’est elle qui me tendit la main en me disant simplement ceci :
— C’est moi qui t’invite dans ma chambre !
Je la suivis tel un somnambule. Je n’osais imaginer la suite... Sous sa robe légère, je fixais la cambrure de ses reins. Elle ferma la porte et se retourna pour me faire face.
— Comment me trouves-tu ? me demanda-t-elle.
Les mots s’étranglèrent dans ma bouche. Elle rit.
— Ne voulais-tu pas retirer ma robe ? reprit-elle.
Je m’approchais d’elle et l’embrassais dans le cou, oubliant que c’était ma fille. Je la serrais contre moi. Je sentis sa poitrine chaude contre mon torse et mes mains, instinctivement, se dirigèrent vers la fermeture éclair de sa robe...
Nous étions toujours enlacés. Sa robe glissa et je serrais maintenant Sylvie uniquement vêtue d’un soutien-gorge et d’un très mini-slip.A son tour, elle défit les boutons de ma chemise puis ceux de mon pantalon...Mon sexe se dressait, dur comme de la pierre... Sylvie le saisit à pleines mains et nous roulâmes sur le lit...Nous fûmes bientôt entièrement nus l’un contre l’autre. Je caressais, je suçais ses seins qui m’avaient fait rêver toute la soirée, tandis que ses mains s’acharnaient sur mon sexe et mes fesses. Nous roulions l’un sur l’autre comme amant et maîtresse, oubliant tout. Nos deux corps exultaient de désir et de passion... et je m’enfonçais en elle sans qu’elle manifestât la moindre résistance...
Je labourais son intimité avec une ardeur qui me surprit. Je crois n’avoir jamais éprouvé de jouissance meilleure que lorsque j’ai déchargé au plus secret de ma fille ma sève brûlante !Un second assaut succéda vite au premier, plus passionné encore si cela est possible... Puis nous nous endormîmes, épuisés, pour une brève nuit sans rêve.Le lendemain, nous nous regardâmes, étonnés de ce que nous avions fait la veille... Mais aucun de nous deux n’en parla et, par une sorte d’accord secret, n’en fit jamais allusion.Depuis, nous avons repris notre vie de famille comme avant et rien n’est changé. Sauf peut-être qu’il m’arrive souvent de me souvenir non sans émotion à cette fantastique soirée que j’ai passée avec ma fille...
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