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Nous sommes coquines à 18 ans...

Chapitre 2

Je ne peux pas la laisser toute seule !

Avec plusieurs femmes
Je cherche des yeux mes habits, mon sac, ma serviette de bain... et réalise que l’autre gros porc est couché de tout son long sur cette dernière. Laurie est maintenant à quatre-pattes contre lui, les fesses écartées, et elle le suce avec application. D’où je suis, je contemple le petit œillet légèrement plus foncé de ma copine de classe et ne peux m’empêcher de penser qu’elle va peut-être se faire dépuceler par-là cet après-midi...
J’essaye d’ailleurs de m’imaginer la grosse verge de ce vieux pervers dans le petit cul serré de Laurie et sens monter intérieurement un sentiment bizarre, comme si j’étais à la fois excitée et jalouse qu’elle puisse vivre cette expérience initiatique toute seule et avant moi. Il faut dire que je rêve depuis déjà quelque temps de cette première fois, de cette initiation à la sodomie par un homme d’expérience qui sache me faire jouir !

Je tourne de nouveau le regard dans la direction du vieil homme ou plus exactement de sa tête. Je me fais la réflexion que tout me repousse en lui, son visage couperosé, ses cheveux ramenés vers l’avant du crâne pour cacher sa calvitie, son torse velu et son ventre proéminent... Comment ai-je pu me mettre à le sucer tout à l’heure ? J’ai honte...
— Bon, ma grande, ne fais pas ta timide et viens rejoindre ta copine !
— Non... je...
Non, je ne peux quand même pas faire ça à Anthony, mon copain ?! Déjà que je vais devoir lui mentir et lui cacher que j’ai taillé une pipe à un inconnu, à un gros porc même. Pourquoi j’ai fait ça ? Mes yeux vont de ma copine qui continue de sucer ce dernier, à son visage à lui...
Il en profite d’ailleurs pour me faire à chaque regard des gestes obscènes avec sa langue. Il m’obsède littéralement, tout repoussant qu’il est !

Après encore un instant d’hésitation, je m’agenouille à côté de Laurie, lui passe une main sur les fesses puis sur le dos comme si cela pouvait me donner du courage, avant de m’approcher du visage du sexagénaire. Que suis-je en train de faire ?
Comme aimantée par cette bouche qui me fait face, je pose mes lèvres contre les siennes puis, faisant fi de son haleine de chacal, je commence à chercher sa langue avec la mienne...
— Han ! Oh ouiii...
Le vieux pervers a déjà glissé une main sous mon ventre et ses doigts glissent maintenant au niveau de mon entrecuisse, jouant avec mes poils pubiens tout en cherchant à forcer le passage vers mon puits d’amour. Je mouille comme cela ne m’était jamais arrivé auparavant... comme une salope en chaleur, en d’autres termes !

Bien sûr, très vite, trois de ses doigts sont fourrés dans mon vagin et s’activent frénétiquement à l’intérieur de celui-ci tout en me tirant vers lui. Malgré le fait qu’il pue littéralement de la gueule, je suis dans un état second et redouble d’ardeur pour mêler ma langue avec la sienne.
— Hmmm...
Oh oui... je suis sur le point de jouir... et ce gros porc l’a sans doute senti puisqu’il me relève la tête légèrement pour pouvoir me parler...
— Attends, petite pute, pas tout de suite ! Viens sur moi pour que je te bouffe la cramouille... et comme ça, tu vas pouvoir aider ta copine à me pomper !
— Oui, monsieur...
Je marque un temps d’arrêt ; j’ai bien compris ce qu’il voulait que je fasse, enfin je pense... mais je ne sais pas comment m’y prendre, dans quelle position je dois me mettre au-dessus de lui. Je n’ai jamais fait ça...
— Tu attends quoi, la brune ? Tu préfères laisser ta place à Laurie !?
— Je... non...
Je regarde Laurie qui a arrêté de sucer et qui lève la tête en entendant qu’on parle d’elle. Elle a les yeux brillants, comme si elle était fiévreuse. Un filet de bave relie son menton à la bite du vieux.
— Vas-y, Manon... mets-toi à genoux, sa tête entre tes cuisses, et descends jusqu’à ce que tu sentes sa langue sur ta petite chatte.
— Tu crois ?...
— Oui, j’ai vu qu’ils faisaient comme ça, dans des vidéos !
— Mais ?!... J’ai fait pipi tout à l’heure et je ne me suis pas lavée.
Je jette un œil en direction de l’homme et perçois un signe d’agacement de sa part, comme s’il s’impatientait...
— Il s’en fout, ce gros cochon ! Je suis même sûr que ça l’excite encore plus...
Je le vois acquiescer d’un signe de la tête, ses yeux reflétant quant à eux tout le vice et la perversité de ce vieil obsédé. Il repasse une main entre mes cuisses et m’incite à venir sur lui. Laurie à reprit sa fellation.
Je me décide donc à prendre la position que Laurie m’a conseillée, me retenant avec les bras sur le gros ventre de l’homme alors que je cale mes genoux contre ses deux épaules. J’imagine la vue qu’il doit avoir sur mon petit minou et mes fesses, ce qui augmente encore mon trouble.
— Ah enfin, cette jolie petite chatte toute humide et odorante rien que pour moi ! Allez... baisse-toi encore un peu, ma petite chienne chérie !
— Hein ?!... Oui, monsieur... mais...
— Allez, approche ton petit cul et fais pas chier !
Maman, que suis-je en train de faire ?! Je ne sais pas pourquoi, mais c’est à elle que je pense à cet instant précis, alors que ce vieux cochon commence à me lécher mon intimité, sa langue glissant le long de mes petites lèvres et s’attardant sur mon bouton d’amour...
Si elle savait à quoi je m’abaisse, elle me tuerait !
— Oh ouiii !
C’est magique... il aspire maintenant mes petites lèvres et mon clito avec gourmandise, tandis que ses mains jouent avec mes fesses en les écartant puis en les refermant. Il semble d’ailleurs trouver toutes les zones érogènes de mon corps, me provoquant des sensations de jouissance divines et insoupçonnées. Ma respiration s’accélère ; mes bras me lâchent et je m’affale sur le ventre velu de mon amant, ma tête toute proche de celle de ma meilleure copine...
Laurie s’empresse d’ailleurs de me tendre la grosse verge de notre inconnu qu’elle avait en bouche, pour que nous continuions à la sucer toutes les deux de concert...

Complètement déconnectées de toute notion d’heure, nous nous déchaînons l’une et l’autre sur ce sexe d’homme en érection, enroulant nos langues autour ou le faisant pénétrer à tour de rôle dans nos bouches respectives. À chaque coup de langue plus appuyé de l’une de nous, je sens ce vieux cochon se raidir et redoubler d’ardeur au niveau de ma chatte ou même de mon petit œillet, celui-ci n’hésitant pas à fourrer sa propre langue dans mon anus. 
Toute proche de l’orgasme, je n’ai bien sûr pas envie que ça s’arrête...
— Humm... que vous êtes bonnes, mes deux petites salopes !... Oh putain, oui... Laurie, ma petite chatte, viens t’empaler sur ma queue !
Je me redresse légèrement et dirige mon regard en direction de mon entrecuisse où il a toujours son visage enchâssé.
— Et moi aussi, monsieur ?
— Bien sûr que oui, ma petite chienne en chaleur !
— Oh ouiii... encore !!!
Il a repris son anulingus...
Laurie, quant à elle, s’est mise debout et elle enjambe maintenant ce gros porc, un pied de chaque côté de son bas-ventre. Elle descend doucement en fléchissant les jambes, sa main droite tenant la bite toujours en érection pour l’aiguiller vers sa petite chatte toute glabre. Étant juste en face d’elle, je suis aux premières loges pour voir le sexe de ma meilleure copine avaler celui de notre inconnu et néanmoins voisin sur Passy.
Ses petites lèvres s’écartent pour accueillir cette colonne de chair qui parait démesurée par rapport à l’orifice dans lequel elle s’apprête à pénétrer. Laurie s’y reprend d’ailleurs à plusieurs reprises, remontant légèrement avant de continuer sa lente descente. Je la vois se mordre les lèvres...
— Oh putain, ouiii !... 
Je ne sais pas si c’est de voir cette grosse queue rentrer dans le vagin de ma meilleure amie comme je ne l’avais jamais vu, ou plutôt cette langue qui se fait de plus en plus inquisitrice au niveau de mon anus, mais je suis d’un seul coup submergée par un très violent orgasme. Tout mon corps est pris de spasmes de jouissance... je m’agrippe aux nichons de ma blonde préférée... je crie... je jouis... je me déhanche et frotte ma chatte trempée de son jus sur le visage de ce vieux pervers...
— Encorrre !... Encorrre !...
Laurie, sans doute encouragée par le spectacle que je lui donne, se met à monter et descendre sur ce pieu dressé vers le ciel, de plus en plus rapidement et bruyamment... Elle se penche tantôt vers l’avant tantôt vers l’arrière, alternant les mouvements amples et ceux plus courts de son corps, déformant ses lèvres vaginales autour de cette bite énorme...

Tentant de récupérer mon souffle malgré la langue toujours active de mon amant, je regarde ce fabuleux balai érotique, à la fois fascinée et terriblement excitée par cette scène de sexe en réel. Je suis heureuse de vivre ces instants incroyables, de voir ma copine prendre son pied à chaque descente de son propre corps juvénile... mais je suis aussi furieusement impatiente qu’elle jouisse et me laisse sa place. Je veux moi-aussi sentir cette putain de queue au plus profond de moi !   
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