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Le nouveau Boss

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Ma femme Laurence et moi travaillons dans la même boîte depuis de nombreuses années. Au départ, j’étais le responsable, mais le siège central a récemment parachuté un type qui a pris ma place et j’ai été rétrogradé. C’était très dur pour moi, mais encore plus pour Laurence, qui se la jouait un peu « femme du directeur = directrice » J’ai pratiquement été relogé dans un placard à balais, à côté du bureau du nouveau. Nous nous demandions à quelle sauce nous serions mangés. Contre toute attente, Frédéric, le nouveau boss se montrait charmant avec Laurence. Bénédicte et lui confia même de nouvelles responsabilités. Il se mit régulièrement à la faire venir dans son bureau, à la consulter sur certaines décisions qu’il devait prendre. Souvent, il laissait la porte ouverte et je pouvais entendre leurs conversations. Elle rougissait lorsque Frédéric me faisait des remarques désagréables en sa présence, mais elle n’osait visiblement pas prendre mon parti, trop heureuse que les reproches ne s’adressent pas à elle. Finalement, il l’invita un jour à assister avec lui à une réunion à l’extérieur, et je vis dans les notes de frais qu’ils avaient été au restaurant. J’en étais mortifié, mais n’osait trop rien dire, car je sentais Laurence irritable, et nous nous disputions de plus en plus souvent pour un oui ou pour un non. Frédéric ne rata d’ailleurs pas l’occasion, porte grande ouverte, d’y faire allusion quelques jours plus tard, demandant à ma femme si elle avait apprécié le champagne. Je la vis jeter un regard inquiet vers la porte du « placard » , mais elle hocha silencieusement la tête en rougissant. Le surlendemain, je constatais qu’elle avait mis un tailleur noir très strict, mais à la jupe assez courte (plus en tout cas que ce qu’elle portait d’habitude) et moulant, mettant bien en valeur ses fesses généreuses. Frédéric lui en fit le compliment à haute voix. Plus tard dans la journée, alors qu’elle était à nouveau dans son bureau, je dus venir lui porter un tas de documents, dont je laissais malencontreusement tomber certains sur le sol. Elle voulut m’aider à les ramasser, mais il lui dit « laisse donc, il faut bien qu’il serve à quelque chose », d’un ton qui n’admettait pas la réplique. Elle hésita une fraction de seconde, mais se rassit. Je remarquais que le deuxième bouton du chemisier de Bénédicte était défait, et qu’on apercevait la bretelle d’un soutien gorge en dentelle noire.
Les jours passaient et la situation se consolidait. Il gouvernait par la terreur, cassant tout ceux qui ne lui léchaient pas les bottes, mais épargnant Laurence. Elle prenait un soin nouveau à se maquiller et à s’habiller chic et juste assez sexy pour ne pas paraître vulgaire. Frédéric ne se gênait pas pour faire, sans avoir l’air d’y toucher, de petits commentaires sur son goût pour les tailleurs noirs, les porte jarretelles, les haut talons … et depuis lors, elle ne portait plus que des tenues noires, chemisiers blancs ouverts largement sur sa poitrine enserrée dans des soutiens en dentelle noire. Elle ne portait plus que des haut talons, elle qui détestait ça auparavant. Leurs déplacements à l’extérieur étaient de plus en plus nombreux. Elle en revenait de plus en plus confuse et irritable vis-à-vis de moi. Lorsque je lui reprochais cette connivence avec le nouveau patron, elle s’emporta, me dit que tout cela était de ma faute, que si j’avais été à la hauteur, je serais toujours à la tête de la boîte, et qu’elle ne faisait qu’essayer de sauver son boulot. Elle finit même par me proposer, ou plutôt m’imposer d’inviter Frédéric le week-end suivant à la maison, « pour s’attirer ses bonnes grâces ». Il me semblait qu’elle n’était déjà que trop dans ses bonnes grâces, mais mes protestations n’y firent rien. Frédéric ne perdait plus une occasion d’afficher devant le groupe l’emprise qu’il exerçait sur ma femme, soit en faisant des commentaires grivois, des sous-entendus de toutes sortes, qu’elle acceptait en rougissant, mais sans protestation. Il était clair qu’elle était sa merci. Un jour où il recevait Laurence dans son bureau, il me « pria » d’aller leur chercher deux expressos. Laurence, inutile de le préciser en mini jupe, escarpins et bas noirs, avait renversé un peu de café par terre en prenant sa tasse sur le plateau que je lui tendais. Avant qu’elle n’ait eu le temps de le ramasser, Frédéric me dit : Pierre, voyons, veuillez ramasser cela, que diable !». Je pensais à mon salaire, à nos fins de mois difficile, et je dus me mettre à genoux devant mon épouse, et frotter le sol avec une serviette en papier. Ce faisant, j’étais bien, plaçé pour voir les cuisses charnues de Laurence, et l’ourlet de ses bas, à trente centimètres de moi, mais désormais inaccessibles à mes désirs. Il ajouta « il y en a aussi sur les chaussures ». Laurence s’apprêtait à me répondre que non, les gouttes de café étaient tombées devant, mais elle comprît ce qu’il voulait et se tût. Bien au contraire, en me regardant dans le fond des yeux, elle avança le pied vers moi et dit « en effet, ma chaussure est sale, essuie !». Le soir de l’ « invitation », tout se déroula comme dans mes pires cauchemars. Frédéric avait apporté des fleurs. Laurence était plus sensuelle et sexy que jamais. La table était dressée pour deux. Il était clair que je serais réduit au rôle de serveur. A mon grand étonnement, on m’offrit tout de même une coupe de champagne. Ce n’est que quelques minutes après l’avoir bue que je compris pourquoi. Je commençai à me sentir vaguement flotter, les mots ne se formaient plus bien dans ma bouche, j’étais comme hypnotisé, et pourtant capable de bouger, car lorsque Laurence me demandait d’aller chercher quelque chose en cuisine, je le faisais comme un automate. Je vis Laurence s’asseoir dans le sofa auprès de Frédéric et se blottir contre lui. Il commença par lui passer le bras autour du cou, et l’attirer à lui. Ils s’embrassèrent. Ils jetèrent un coup d’oeil amusé vers moi, mais je restais debout comme une statue, à les contempler. Frédéric commença à caresser les cuisses de Laurence. Il avait maintenant remonté sa robe, et je voyais clairement sa main s’activer entre ses cuisses, remonter le long de ses bas, s’insinuer entre les lèvres de sa chatte. Je m’aperçus que ma femme ne portait pas de culotte. Loin de se défendre, elle écartait les cuisses afin de faciliter son amant. Il avait maintenant carrément enfoncé plusieurs doigts dans la chatte de mon épouse, et celle-ci gémissait. J’étais fasciné. Laurence me regardait vicieusement par-dessus son épaule, je ne l’avais jamais devinée comme ça. Elle-même commença à caresser l’entre-jambe de Frédéric, extirpant son pénis. J’étais épouvanté de le voir si gonflé. Elle s’agenouilla devant lui, et pris son sexe en bouche. Elle ne faisait cela avec moi que très rarement, et avec réticence, alors qu’ici, on voyait qu’elle y prenait un plaisir fou. Elle parvenait à le faire gémir, en alternant le lèchage du bout de son gland, avec de long mouvement sur toute la longueur de sa hampe. Au bout d’un temps qui me parût interminable, il la releva, la retourna, et l’enfila par derrière. Laurence gémissait et le suppliait de continuer, mais il ne pouvait se contenir, et lâcha sa décharge. Lorsqu’il se retira, je vis son sperme continuer à suinter de sa bite. Mon épouse paraissait brisée. Ils me regardèrent en riant, et je m’aperçus que je bandais.
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