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Un nouveau départ

Chapitre 2

Divers
Bonne surprise, que de voir un matin, notre démonstrateur de tracteur, faire une apparition. Je lui dis le mal que j’ai à me faire entendre de cette machine. Il accepte de me montrer encore une fois son fonctionnement. Après avoir attelé les socs de charrues. Nous allons labourer une terre. Je suis assise près de lui, mes fesses touchent son bras ou c’est son bras qui touche mes fesses. Il me montre deux ou trois rangées. Je finis par comprendre le fonctionnement, il faut que les roues suivent dans le sillon vide, et le tracteur fait le reste presque seul. Je suis toute joyeuse d’avoir enfin réussi. Je saute du tracteur en riant comme une folle, je danse autour de l’engin. Il m’attrape dans ses bras et plaque sa bouche sur la mienne.
Je réponds au baiser, il y a longtemps que je n’ai pas eu des lèvres d’homme sur les miennes. Mais je retiens sa main quand elle essaye de passer sous mon tee-shirt.
— Non-Luc, je ne suis pas libre.— Comment, tu n’es pas mariée et tu n’as pas de copain.
Je le regarde dans les yeux, il reste étonné.
— Si Luc, j’ai une copine et je ne peux pas la tromper, je l’aime trop pour faire ça. Je t’assure qu’en d’autres circonstances, je n’aurais pas dit non. — Je comprends, je m’y suis mal pris, je m’excuse, je ne pouvais pas savoir.— Tu n’as pas à t’excuser. Restons amis !— Oui, restons amis. Si je t’avais embrassé la première fois, ça aurait changé quelque chose ?— Peut être, oui, mais depuis les choses ont changé !— Je vois. — Tu restes déjeuner ?— Avec plaisir !
Je ne sais comment elle fait mais quand nous sommes seules à la cuisine, Gisèle me demande.
— Il t’a embrassé ?— Comment le sais-tu ?— L’instinct, il te regarde amoureusement, et dépité. Je présume que tu l’as repoussé gentiment. — Je lui ai expliqué pour nous. — Il te plait bien non ?
— Oui mais je ne veux pas te tromper. Je t’aime trop pour te décevoir. — C’est gentil et tout en ton honneur ma chérie mais tu as besoin d’un homme dans ta vie. Ça ne retire rien à notre amour. S’il est averti, il sait à quoi s’en tenir. Il ne nous séparera pas. Si vraiment il te plait et que tu peux avoir des sentiments pour lui, il ne faut pas tout gâcher !— Il est plus jeune que moi, ça ne marchera jamais. — Quelques années, quatre ans, ça n’a pas d’importance, il est amoureux, ne perd pas cet avantage ! Tu es bien plus jeune que moi et ça marche bien nous deux !— Oui, ça marche bien. Je… j’ai un peu peur…— Je sais, laisse toi aller où la vie te porte, sans regarder en arrière, tu risquerais de tomber. Ne le laisse pas partir, tu le regretterais.
Nous éclatons de rire, je lui fais une bise sur la joue. Elle est vraiment adorable. Le dîner est assez joyeux. Luc nous fait rire avec quelques anecdotes.Il est tard, je le raccompagne jusqu’à sa voiture. Je passe mes bras autour de son cou et l’embrasse sur la bouche. Le baiser ne dure pas longtemps mais il réveille en moi une envie folle de faire l’amour. Je fais un pas en arrière, gardant une main sur son épaule.
— Tu reviendras me voir ?— Je passerai de temps en temps.— Non ! Je te demande de revenir, pas de temps en temps, pas en ami.— Je… Je ne comprends pas trop !— Reste ce soir, j’ai envie de toi, j’ai envie de faire l’amour avec toi !— Gisèle ?— Elle a compris. Viens.
Gisèle a été discrète, elle est déjà couchée. Je regagne mon ancienne chambre, en tenant Luc par la main. Je le sens fébrile quand il me déshabille, comme un collégien pour sa première fois. Il regarde mon corps, comme si j’étais sa première femme. Sa maladresse me surprend. Plus que maladroit, il est timide, emprunté, ses doigts caressent mais ne savent pas où aller. Ses lèvres sur mes seins ne sont pas assurées. Je ne peux le laisser s’embourber ainsi. Je prends la direction des opérations.
Je le déshabille, sa timidité me fait sourire quand je quitte son jeans et retire son slip. Tout juste s’il ne met pas la main devant son sexe. J’ai une bouffé d’amour intense pour lui tout à coup. Il en perd ses moyens, sa verge ramollie.
— Luc, ça ne va pas, c’est trop rapide ?— Je… Je n’ai jamais fait l’amour Coralie. J’ai peur de ne pas être à la hauteur.
Là, c’est le choc. Ce beau mec de vingt deux ans n’a jamais fait l’amour. Comment c’est possible ? Peu m’importe, ma grande, à toi de faire en sorte que ça se passe bien pour lui. Je m’allonge sur lui, mes seins plaqués sur son torse musclé, orné d’une fine toison brune. Je l’embrasse à pleine bouche, ma main prenant sa verge.
Il reprend de la vigueur, ma bouche descend sur son torse, mes lèvres emprisonne sa verge. J’aime sucer, c’est, je dois le dire, ce que j’aime le plus avec un homme.
Je sais qu’il ne sera pas long à jouir. Il gémit, sa main se perd dans mes cheveux, il donne des coups de reins. Je le sens au bord du plaisir, je sens sa jouissance monter. Je retire ma bouche pour le branler vigoureusement et le faire jouir en fortes giclées, qui atterrissent sur son ventre. Je ne le laisse pas débander, je le chevauche, dirige sa verge en moi, en me laissant glisser dessus. Il a un cri de bonheur quand il me pénètre.
— Ho ! Que c’est bon…— Laisse toi aller, averti juste quand tu jouis, je ne prends pas la pilule et je n’ai pas de préservatif.
Il est plus endurant que ce que j’aurais pu penser, j’ai le temps de me faire jouir sur sa verge. Avant qu’il me pousse sur le dos et vienne jouir sur mon ventre. La surprise est totale quand dans le même élan, il s’allonge sur moi et me re pénètre aussitôt avec fougues. Cette fois, l’orgasme me foudroie, je jouis avec une intensité peu commune.
Il est viril et endurant, je sens qu’il va jouir, je le pousse sur le dos, prends sa verge entre mes lèvres et lui donne le plaisir qu’il attend. Je le laisse jouir dans ma bouche, recrachant, sans avaler, sa semence.
Epuisante, c’est le mot, une nuit épuisante. J’ai du mal à me réveiller, il dort encore. Discrètement je quitte le lit, prends une douche et regagne nue la cuisine. Gisèle est assise à table, elle me sourit. Je lui fais une bise sur la bouche.
— Il dort encore…— Je suis heureuse pour toi ma chérie.— C’est un amant fabuleux, tu te serais doutée qu’un si beau mec était encore puceau ?— Il est timide, ça s’arrangera avec le temps.— Timide mais alors, quel amant ! — Tu me donnes envie, là.— Je ne suis pas jalouse, surtout avec toi, nous pouvons le partager, si le cœur te dit !— Ça me dirait bien mais il faudrait qu’il soit d’accord !— Laisse moi faire alors.
Ce jour là, Luc se leva à midi, avec comme moi des cernes sous les yeux. Gisèle était partie vendre nos fromages. Il me trouva nue dans la cuisine. Un baiser fougueux en guise de bonjour et une main baladeuse entre mes cuisses. Deux minutes plus tard, j’étais allongée sur la table, sa verge fichée en moi, mes jambes sur ses épaules. Ce mec est insatiable, je dois aller passer une robe pour qu’il arrête de me sauter dessus.
Après déjeuner, il a tout simplement pris le tracteur et est allé finir de travailler la terre que nous avions commencés. Ça m’a laissé le temps de me reposer et de faire du travail en retard. Il est resté avec nous tous le week-end. Gisèle a dormi seule tout ce temps. Je n’ai pas osé demander à Luc s’il accepterait que Gisèle se joigne à nous. Je le connais encore trop peu pour cela. Il est parti lundi matin, je ne sais pas quand il reviendra. Il ne m’a rien dit à ce sujet. Le lundi soir, je reprends ma place dans le lit de Gisèle. Jusqu’au mercredi soir, nous sommes allées nous coucher tôt toutes les deux, ayant envies de câlins.
Nous sommes en pleins ébats amoureux, quand on frappe à la porte. Il est dix heures du soir. Je passe un peignoir pour aller ouvrir. Luc est là, il me sourit.
— J’avais envie de te voir.— Entre !
Il m’embrasse à pleine bouche et me prend dans ses bras pour me porter vers ma chambre.
— Luc, je m’excuse mais, j’étais avec Gisèle. Je ne peux la laisser comme ça. Tu dois comprendre que si tu n’es pas là, je suis avec elle. Tu aurais du téléphoner !— Je… Oui, je n’ai pas réfléchi, excuse-moi…
Il me repose à terre, je réfléchi un instant.
— Tu peux rester si tu veux.— Gisèle va le prendre mal, je ne veux pas qu’elle soit fâchée contre moi.— Pas, si nous allons la rejoindre ensemble… Tu viens ?— Heu ! non, je vais vous laisser, c’est mieux.— C’est toi qui vois, je ne veux pas te forcer. Mais tu sais, même si elle est sympa et comprend. Ce n’est pas gentil de ma part de la laisser seule quand tu viens. Je t’apprécie, comme ami et comme amant mais ça ne pourra pas aller très loin nous deux. Gisèle ne mérite pas ça, autant en finir tout de suite, c’est mieux. Je te remercie pour tout ce que tu as fait, vraiment. Je regrette que tu ne veuilles pas comprendre. Au revoir Luc.— Au revoir Coralie, tu es sure ?— Sure, c’est mieux ainsi.
Il a l’air désespéré mais ce n’est pas le premier mec avec qui je romps et ils ont tous cet air là. J’entends démarrer sa voiture. Je retourne avec Gisèle.
— Il est parti ?— Je viens de rompre, il n’avait qu’à téléphoner. Je lui ai proposé de nous rejoindre, il a refusé. — Idiote. Il a eu peur, il y a une semaine, il n’avait jamais couché avec une femme, il couche avec un canon, pour la première fois, dont il est amoureux et toi, tu lui proposes de coucher avec une vieille de cinquante ans. Met-toi à sa place. — Oui, bon c’est comme ça, il en trouvera une autre. — Appelle-le demain.— Non ! C’est fini. Je ne reviendrai pas là dessus. Je ne vais pas te laisser en plan, chaque fois qu’il aura envie de se pointer. Je ne suis pas à son service. C’est à trois ou rien.— C’est toi qui vois.— C’est sur et tu m’ennuis à la fin bonne nuit !— Bonne nuit ma chérie, moi aussi je t’aime fort.
La pauvre, elle n’y est pour rien et je m’en prends à elle. Je regrette beaucoup ce que j’ai fait ce soir mais c’est fait. La vie reprend son cours. Luc a essayé de m’appeler plusieurs fois mais je n’ai pas répondu. La saison des fromages bat son plein. Nous avons un magnifique jardin. Tout va pour le mieux, jusqu’au jours ou en plein ramassage du foin, le tracteur tombe en panne.Je téléphone au concessionnaire. Il ne comprend pas, le tracteur est neuf, ce ne doit pas être grand chose d’après lui mais il vient me dépanner. Il m’envoie quelqu’un.
Bien sur, qui vois-je arriver ? Luc, un peu penaud. Il me dit bonjour du bout des lèvres et regarde le tracteur. C’est d’après lui, la batterie qui est morte, elle est neuve mais ça peut arriver. Il va en chercher une. Deux heures plus tard, il revient et le tracteur redémarre. Bravo monsieur, champion du monde. Il est déjà tard, je rentre le dernier voyage de foin et gentiment il m’aide à décharger. « Pour compenser la perte de temps de la panne » me dit-il. Gisèle se met à rire et me souffle en catimini « Pour rester un peu plus avec toi » J’hausse les épaules mais juste avant qui ne parte, j’ai un petit pincement au cœur.
— Tu restes dîner ?— Je ne veux pas vous déranger, merci.— Ne fais pas l’enfant je te prie. Reste dîner, pour te remercier de m’avoir dépanné.
Je ne peux réprimer un petit rire.
— C’est mon job. Je vous laisse au revoir.— Je t’ai dit de rester, tu restes ou cette fois c’est la dernière que tu me vois. Tu cesses ton caprice de gamin et tu rentres. Tu commences à me prendre la tête, tu ne comprends rien a rien.— Reste Luc, sinon, elle va crier comme ça jusqu’à la nuit.— Bon, je reste alors, tu es sure ?— Zut, va te laver les mains, elles sont toutes noires.
Il passe à côté de moi, je le prends par le cou et l’embrasse à pleine bouche. Il m’entoure de ses bras et caresse ma fesse.
— Tes mains sont sales gros cochon, regarde mon jeans maintenant.
Il rit et m’embrasse encore une fois.
— J’ai langui sans toi.— Moi aussi. Je me ferais pardonner, cette nuit.— Moi aussi, juré.
L’ambiance est bonne pendant le dîner. Encore une fois, il nous fait rire. Gisèle à l’air heureuse. Moi je le suis, je regrettais vraiment d’avoir rompu mais trop fière pour l’avouer et l’appeler. Je n’ai aucune envie de m’attarder après le repas. Gisèle le comprends et nous laisse seuls tous les deux.
— Tu veux vraiment te faire pardonner ?— Oui, vraiment, j’ai été idiot. Je le reconnais.— Vraiment ?— Oui ! Je sais ce que tu vas me demander et je suis d’accord.
Je lui prends la main et docilement il me suit jusqu’au lit.
— Nous avons un invité ma chérie, tu nous fais une place ?— Avec grand plaisir !
J’ai laissé Gisèle le dévêtir, me contentant de le caresser, et de le prendre dans ma bouche. Elle m’a vite remplacée, nous l’avons partagé. Elle a été la première à subir ses assauts, j’ai pris à ce moment là, un énorme plaisir en les regardant faire l’amour. Un plaisir divin à caresser les bourses de Luc alors que sa verge allait et venait en Gisèle. Un énorme plaisir, quand il me prenait et j’étais entre les cuisses de Gisèle, dégustant son fruit mûr. Il nous a regardé faire l’amour, sans vouloir participer, juste profiter de la vision qu’il avait, en se masturbant. IL nous a fait l’amour toute la nuit. Nous-nous sommes s au petit matin
Luc est partit très tôt, son job oblige. Je lui ai demandé simplement « s’y on le revoyait le soir même. » Sa réponse a confectionné la mienne. « Alors, apporte ta brosse à dents et du linge de rechange ça t’évitera des voyages. Et ça économisera un appart »
Il est l’amant de Gisèle, je suis son amante, Gisèle est mon amante, nous sommes amants. Nous ne passons pas toutes nos nuits ensemble, c’est au grès des envies de chacun. Il m’arrive de dormir seule, comme cela arrive à Gisèle ou à Luc. Nous mettons tout en commun, Luc a gardé son job mais c’est lui qui s’occupe du tracteur et du travail de la terre. Gisèle et moi nous occupons du reste.   Ce n’est pas un ménage à trois, personne n’est marié, nous partageons notre vie et notre amour. Il n’y a jamais eu de dispute, jamais de jalousie et même si parfois, Luc préfère dormir avec Gisèle, ça ne me dérange pas, comme quand il préfère dormir avec moi, ça ne la dérange pas et quand nous avons envie de dormir tous les trois, ça ne dérange personne.
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