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Le nouveau facteur

Chapitre 1

Gay
Le nouveau facteur (1).

Célibataire, je vivais seul dans un appartement au 8ème étage d’une tour de banlieue. Depuis que j’avais quitté mes parents, j’avais abandonné pyjamas ou autres sous-vêtements et je dormais à poil, dans mon grand lit, sous une bonne couette. Mon logement étant bien chauffé, je déambulais tout nu le matin, avant de m’habiller au dernier moment pour partir au travail. J’aimais, les week-ends et jours fériés, vivre ainsi, en tenue d’Adam, libre de toute entrave et toute gêne, sans risque d’être épié, n’ayant pas de vis-à-vis à cette hauteur. Si je n’avais que quelques courses à faire dans le quartier, j’enfilais juste un pantalon et une veste de survêtement, à même la peau, pour m’en débarrasser dès mon retour chez moi.A quarante trois ans, j’étais heureux ainsi, partageant mon temps libre entre la vision de films à la télé, vautré dans mon canapé et des jeux ou des discussions via mon ordinateur. J’avais eu des maîtresses, mais cela n’avait jamais duré longtemps. Puis je m’étais tourné vers les garçons, trouvant des plaisirs plus vifs et plus variés auprès d’eux, au point de ne plus fréquenter que des mecs. Mais là encore, je ne m’étais jamais attaché.Ce samedi matin, je visionnais un film porno gay que je venais d’acheter la veille, assis dans un fauteuil, les jambes écartées, me caressant doucement la bite de ma main droite, lorsque l’interphone sonna. Je me levais pour aller répondre, laissant la télé allumée. C’était le facteur, qui avait une lettre recommandée à me remettre. Je lui indiquais l’étage et j’allais récupérer une serviette de toilette que je passais autour des reins, dans un souci de décence. J’ouvris ma porte au premier coup de sonnette et me trouvais devant un jeune préposé, aux cheveux blonds bouclés, les yeux bleus, le teint rosé, mince, élancé, gracieux, que je n’avais encore jamais vu. M’apercevant, le sang lui monta aux joues et je m’excusais de ma tenue, disant qu’il m’avait surpris alors que j’allais prendre ma douche. Je l’invitais à entrer, ne voulant pas prendre froid et je refermais la porte. Il me tendit l’accusé de réception à signer et comme je me penchais pour y apposer mon paraphe, ma serviette glissa et tomba à mes pieds. Tous deux en même temps avons voulu la ramasser et nous nous sommes légèrement heurtés. Il était devenu tout rouge, le regard fixé sur mon sexe. Sentant que j’allais commencer à bander, je me retournais en m’excusant, remettais ma serviette et l’invitais à passer au salon pour lui offrir une bière. Le mec devait avoir à peine 22 ans, était visiblement troublé et essayait timidement de refuser mais le prenant par l’épaule je le poussais dans la pièce où je lui désignais le canapé. « Allons, une petite pause dans votre tournée ne vous fera pas de mal . Asseyez-vous, je vais chercher deux bières au frigo » lui dis--je. Je le laissais seul un moment devant l’écran de la télé où deux mâles bien membrés s’ébattaient. Ce garçon me plaisait et j’avais décidé de me le payer, sentant combien mon corps nu l’avait ébranlé. Il est vrai que malgré mon âge, je suis plutôt bien fait, grâce à un entraînement intensif de natation. Grand, large d’épaules, musclé sec, cheveux noirs coupés court, toison pectorale brune et bouclée, ventre plat avec un sillon de poils noirs descendant vers le pubis et jambes assez poilues, en général je fais flipper les hommes aimant les hommes.A mon retour, mon facteur avait déposé sa sacoche et était bien assis devant la télé, rubicond, sidéré par l’écran. Je lui passais une canette de bière et m’asseyais à côté de lui, très près.« Vous devriez retirer votre veste car l’appartement est bien chauffé » lui dis-je. A ces mots il se redressa et enleva son blouson d’uniforme, me révélant des fesses bien rondes dans un pantalon moulant et une bosse à l’entrejambes qui gonflait visiblement. Je sentis que ce spectacle attirant réveillait mon pénis qui se mit à pointer sous ma serviette. Alors que le facteur reprenait place sur le canapé, je collais ma jambe gauche contre sa droite. Comme il reculait celle-ci, je pressais un peu plus la mienne contre sa cuisse. Il était devenu écarlate et n’osait plus bouger, déglutissant à grand bruit.Je l’interrogeais innocemment : « Vous aimez ce genre de films ? » C’est d’une voix étranglée qu’il me répondit : « Je ne sais pas. Je n’en avais jamais vu ».« Vous ne regardez jamais de films porno ? »« Si, mais avec des gonzesses ».« Vous n’avez jamais vu de mecs à poils ? »« Non, jamais complètement nus ».Sa voix faiblissait peu à peu, pendant que de ma main gauche je lui caressais l’intérieur de la cuisse et que mon genou se frottait sur le sien. Lorsque ma main effleura son entre jambes, il se recroquevilla dans le coin du canapé, disant : « il faut que je parte ». Mais il restait pourtant assis, les jambes serrées, le visage rubicond, ses yeux bleus fixés sur l’écran et ce qu’il révélait : un mec en train d’en fourrer un autre dans un feulement sauvage.Sentant mon petit facteur hésitant entre peur et désir, je me relevais, dénouais ma serviette et me tenait bien droit devant lui, mon pénis dressé à hauteur de ses yeux, lui disant : « regarde un beau sexe d’homme. Tu peux même toucher si tu veux. Tu verras, c’est chaud et vivant ». Tout en parlant j’approchais ma verge de son visage et posais mon gland sur ses lèvres. Il eut un mouvement de recul de la tête, mais me penchant vers lui j’accentuais ma pression. Lui prenant la main droite, je la portais au contact de mes couilles. Je sentis alors qu’il allait céder à ses envies et de mon gland lui caressais les lèvres de gauche à droite. A ce moment sa bouche s’ouvrit pour accueillir ce morceau de chair à la peau si douce, tandis que sa main pressait enfin mes testicules, puis remontait vers la base de ma verge.Maintenant il suçait lentement mon gland et me masturbait d’une main encore hésitante. Je l’encourageais de la voix : « Prends ton plaisir mon petit gars, je savais bien que tu en mourrais d’envie. Tes yeux parlaient pour toi. Il n’y a pas de honte à avoir, c’est naturel et tu verras que l’amour avec des mecs vaut bien celui avec des nanas ». Je poussais un peu ma verge dans sa bouche entre ouverte et sentais sa langue humide s’enrouler autour d’elle. Il avait maintenant ses deux mains s’activant sur mes couilles et la base de mon pénis désormais très dur. Je profitais de son moment d’abandon, me retirant un instant de sa bouche pour lui ouvrir la chemise de mes deux mains, dévoilant une poitrine toute blanche et glabre, aux tétons brun foncé.Je me suis alors accroupi devant lui, lui ai défait sa ceinture et j’ai commencé à déboutonner sa braguette. Paralysé, le mec me laissait faire tout en murmurant : « Non, non. Pas cela ».Le fixant dans les yeux, je continuais ma manœuvre tout en lui disant : » Ne crains rien. Tu vas voir le plaisir que tu vas éprouver. Tu bandes déjà et ce pantalon te gène. Je vais te libérer ». En effet son vit se dressait sous le coton blanc de son slip, signe évident de son désir. Je l’invitais donc à soulever ses fesses, ce qu’il fit et je lui retirais complètement son pantalon. Il avait des jambes bien dessinées, d’un blanc laiteux, parcourus de petits poils blonds. Je les lui caressais amoureusement, avant de m’attaquer à ce sous-vêtement qui me dissimulait encore un sexe que je devinais long et fin. Je tirais sur l’élastique du slip, découvrant enfin son pubis orné d’une toison blonde, son gland, rose et de la taille d’une grosse cerise, puis sa hampe frémissante et enfin ses couilles claires à la mousse dorée. J’ôtais le slip comme auparavant le pantalon, sans la moindre résistance de mon petit facteur maintenant à ma merci. J’entrepris alors de prendre ce sexe en bouche, l’avalant complètement et commençant une fellation experte. Lorsque je le sentais trop excité, je lâchais son vit pour avaler ses couilles ou lécher son ventre, sa poitrine, ses tétons maintenant dressés. Il ronronnait littéralement sous l’action de mes lèvres, tout son corps tremblant de plaisir et laissant échapper par moments des petits cris. Je le fis taire d’une pelle profonde et appuyée, pendant que je lui retirais complètement sa chemise. Il était maintenant aussi nu que moi et nous roulions enlacés sur le tapis, nos bites dressées l’une contre l’autre, nos mains cherchant les fesses de l’autre, nos bouches collées l’une à l’autre.Après un long corps à corps, j’explorais la raie de ses fesses, humide et tiède, cherchais son œillet, le trouvais et y introduisais lentement un premier doigt. J’avais envie de le baiser maintenant, de déflorer ce cul vierge, de faire connaître à cet innocent hétéro la domination d’un mec viril, de le traiter comme une femme. Son corps à la fois fin et musclé réagissait avec fièvre entre mes bras puissants et le contact de sa peau, celui de son membre viril pressé sur mon ventre, me rendaient fou. Je tentais d’introduire un second doigt dans son anus mais je sentis le mec se contracter et me repousser brutalement.Je me relevais donc et allais prendre un tube de gel dans le tiroir de la commode. Mon petit facteur s’était également redressé, mais le prenant par les épaules je le retournais et le fit s’étendre sur le ventre. Je prenais un coussin du canapé et le glissais sous lui, pour lui relever le cul et je lui écartais les jambes. Je fis couler du gel dans sa raie ainsi offerte et l’étendait avec les doigts, en enduisant son œillet. Il protestait timidement, mais je lui promettais de ne lui faire aucun mal, tout en introduisant du gel dans l’anus que je caressais de mes doigts.Me couchant sur ce corps de jeune homme livré à mon désir, je dirigeais d’une main mon pénis dur et épais vers son petit trou et doucement enfonçais mon gland et forçais les muscles du sphincter encore contractés. Il eut un petit cri de douleur lorsque son cul s’ouvrit sous la pression du gland, puis se détendit et laissa mon membre tout entier le pénétrer. Il était dominé et l’acceptait. Bien plus il commençait à en éprouver du plaisir et l’exprimait par des soupirs et des râles. Comme je commençais à le ramoner en d’amples mouvements du bassin, mon chibre allant et venant dans ses entrailles, il eut des mouvements du cul vers moi, pour mieux sentir ma verge en profondeur. Accélérant le rythme, je finis par éjaculer à grands jets dans son intimité, dans un grand cri de jouissance, couvrant le sien suraigu. Je le finissais avec la bouche, suçant et mordillant son vit, aspirant son sperme chaud et abondant, le dégustant et l’avalant, sans en perdre une goutte, puis nettoyant de la langue sa verge gluante.Etendu sur le tapis, apaisé, je le regardais se rhabiller à la hâte, sans dire mot, honteux de s’être laissé aller, le regard fuyant le spectacle de mon corps nu et de mon pénis à nouveau bandé, mais y revenant toujours.Je ne le laissais pas partir sans le raccompagner à la porte et l’embrasser sur la bouche, en lui tapotant les fesses.« A bientôt mon petit facteur » dis-je à voix basse en refermant la porte, certain de le revoir un jour.
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