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Nouveau job, nouveau moi

Chapitre 2

1 ère soirée

Travesti / Trans
17h15, je viens de fermer la porte du bureau et monte dans ma voiture, de sa fenêtre elle m’appelle.
— Prends mon adresse au cas où on se perdrait dans la circulation.— Merci Camille.— Une dernière petite chose.— Oui Camille ?— Tu vas me donner tes fringues de mec, et les clés de chez toi.— D’accord.

Je lui donne mon sac contenant mes affaires ainsi que mes clés de maison. Je monte en voiture et nous démarrons. J’ai du mal à la suivre avec le flux de circulation sur la rocade Rennaise à 17h30. Je ne vois plus sa voiture, mais le GPS me guide, j’entre dans un quartier assez chic de Cesson, Mon GPS me signale que je suis arrivée. Le portail est fermé, mais une place de stationnement est libre devant la maison. Je me gare et repère quelques personnes dans la rue où arrivant chez eux et déchargeant leurs voitures de courses ou autre, Camille est devant sa porte et m’observe. Je respire un grand coup, dans ma tenue de petite écolière avec ma jupette plissée, je vais sûrement me faire remarquer.
— C’est ici Fabienne.

Elle vient de m’interpeller en criant, faisant ainsi se retourner plusieurs personnes. Cela ne semble pas la déranger de me faire repérer ainsi. Je devine même un certain plaisir en la regardant me sourire. Je baisse la tête et vais pour ouvrir le portillon.
— N’oublie pas ton sac dans ton coffre Fabienne.

Je retourne à la voiture, ouvre mon coffre, et bien sûr mon sac a glissé au fond du coffre pendant la route, je maudis cette voiture commerciale. Je dois donc bien me pencher pour aller le récupérer et bien sûr ma jupette remonte laissant voir mes bas ainsi que mes fesses. Quand je me redresse, elle est hilare devant sa porte.
— Merci pour la discrétion.— Ne sois pas sotte, tu aimes ça qu’on te remarque ma chérie.

Elle me prend la taille et m’embrasse. Je sens les regards se poser sur nous, ce qui semble lui plaire.
— Viens ma chérie, je vais nous préparer un petit apéro.

Nous entrons chez elle, je découvre une petite entrée, un grand miroir, et un placard.
— Laisse ton sac là pour l’instant. Suis-moi.— Bien sûr Camille.— Ici c’est Madame Camille.— Oui Madame Camille.

Nous passons dans la partie salon, salle à manger, la déco est très soignée, mais très marquée, on sait que l’on est chez une femme, de grandes photos de femmes au mur, des bibelots, c’est moderne, mais très féminin.
— Donc ici nous avons le salon, la salle et derrière dans le coin la cuisine.— C’est très joli Madame Camille.— Merci, Fabienne, je suppose que cet univers féminin te plaît.— Oui beaucoup Madame Camille.— Parfait, enlève tes escarpins, je vais te montrer le reste de la maison, mais je ne veux pas de talons à l’étage sur le parquet.— Oui Madame Camille.— C’est bien j’aime ton obéissance.

Nous montons et arrivons sur le palier.
— La porte en face c’est la salle de bain, à droite c’est ma chambre, à gauche la première porte c’est la chambre d’amiE (elle insiste sur le E) et la porte à côté ce sera pour plus tard. On va d’abord aller dans la chambre d’amiE.— Je vous suis Madame Camille.

Elle ouvre la porte et je découvre une chambre aux murs rose pâle, un lit baldaquin d’une place recouvert d’une couette rose avec une licorne dessus, le mobilier est blanc, coiffeuse, armoire, chaise. La parfaite chambre d’une petite fille. Camille se dirige vers l’armoire.
— Je vais te poser une tenue sur le lit, le temps que je prépare tour ça tu vas prendre une douche et tu reviens nue. Tu pourras mettre tes affaires dans le panier à linge.— Oui Madame Camille.— Tu as 10 minutes et tu utilises les produits qui sont sur la tablette uniquement.

Je file dans la salle de bain, allume la douche et me déshabille, j’ai le ventre couvert de mon sperme, je sens le foutre et j’ai hâte de me débarrasser de cette odeur. L’eau chaude me détend, je prends le flacon sur la tablette, c’est un gel douche corps et cheveux parfumés à la framboise. J’ai mis un chrono sur ma montre, à 5 minutes je coupe l’eau et sors de la douche pour me sécher. Je m’observe dans le miroir, mon sexe encagé, je suis excitée et en même temps me questionne sur ce que Camille veut de moi. Je sors de mon questionnement quand sonne ma montre, 9minutes je dois la rejoindre.
— Très bien en avance c’est parfait, je vois que tu aimes recevoir des ordres et les respecter. Pour ce soir je te laisse le choix entre 2 tenues, mais ce sera pour ce soir et seulement ce soir. Le reste du temps, tu porteras ce que je te dis de porter.— Merci Madame Camille.

Je regarde sur le lit, les 2 tenues posées sont très différentes.
— Choisis bien ta tenue, elle dictera ce qui va suivre ce soir.

La première est une tenue qui ressemble à celle que je portais en arrivant, jupe plissée, chemisier, à la place des bas des chaussettes hautes en laine, un soutien-gorge et un tanga le tout en rose pâle. La seconde est rouge, jupe moulante, blouse transparente, soutien-gorge et string noirs.
— Vous préférez laquelle, Madame Camille ?— Je te laisse choisir ce soir, les deux sont à mon goût, mais l’une ou l’autre ne disent pas la même chose. Donc de ton choix dépendra ta soirée.— Je ne sais laquelle choisir sans savoir ce qui va se passer ce soir Madame Camille.— C’est justement le but ma chère Fabienne, dis-moi ce que t’inspirent les tenues ?— La première fait petite fille, écolière, sage, la seconde est tout le contraire, plus vulgaire, le haut transparent, la lingerie noire, la jupe courte et moulante, la tenue fait plus aguicheuse, limite pute.— Donc qui veux-tu être ce soir ?— Je vais prendre la deuxième tenue, Madame Camille.— Je m’en doutais. Habille-toi maintenant et ensuite tu iras à la coiffeuse, tu tourneras le dos au miroir et je vais te maquiller et te coiffer.

Mon sexe n’a aucun mal à entrer dans le string, j’enfile le soutien-gorge, la blouse, la lingerie se remarque beaucoup à travers, Camille me tend une paire de bas noirs que j’enfile avant la jupe.
— Parfait, installe-toi.

20 minutes plus tard, je suis autorisée à me retourner. Le maquillage est très prononcé, mes lèvres rouge vif, je porte une perruque blonde ondulée.
— Tu es parfaite Fabienne.— Je fais très vulgaire Madame Camille.— On accorde toujours le maquillage à sa tenue. Tenue de pute, maquillage de pute.— Oui madame Camille.— Bon maintenant il est temps d’aller boire un verre. Tu veux quoi ?— Je prendrais ce que vous voulez, Madame Camille.— Je pense qu’une coupe de champagne ira bien pour fêter notre rencontre.

Nous nous rendons dans la cuisine où j’ouvre la bouteille de champagne qu’elle me tend pendant qu’elle sort 2 coupes d’un placard.
— A notre rencontre, à nos plaisirs et à nos futurs jeux.— A votre santé Madame Camille.

Nous trinquons en souriant, je me détends un peu même si je me pose toujours des questions sur ses envies.
— Bon maintenant que ma petite pute est prête, je vais te conduire quelque part pour la soirée.— Nous sortons Madame Camille ?— Bien évidemment, avec une petite fille sage, nous aurions dîné et regardé la télé, mais une pute doit travailler le soir.— Je ...— Chut plus un mot, tu avais le choix donc maintenant assume, tu as choisi d’être une pute tu vas être une pute.

Nous sortons et prenons ma voiture, elle me donne la direction, après 30 minutes de route, nous sortons de la voie expresse et rentrons de nouveau dessus dans l’autre sens.
— Tu vas sortir à la prochaine station.

Je viens de comprendre où nous allons, une aire de service très connue dans la région. Des dizaines de camions stationnés le soir, un grand parking donnant sur un bois très peu d’éclairage, l’endroit parfait pour faire des rencontres.
— Quand nous y serons, tu te gares près des chiottes, c’est l’endroit le plus éclairé. Ensuite tu sors de la voiture et tu vas tapiner, mais avant tu iras à la station me prendre un sandwich et une bouteille d’eau.— Oui Madame Camille.— Je vais compter le nombre d’hommes que tu pourras attirer aux toilettes en 2h.— Madame Camille je n’ai jamais fait ce genre de chose.— A toi de voir. Sois-je pars avec la voiture et te laisse toute la nuit ici.
Sois-tu fais ce que je te dis et nous restons ici 2H
Je gare la voiture sous un lampadaire et traverse tout le parking pour me rendre à la station et acheter ce que Madame Camille m’a demandé. Plusieurs routiers me regardent, tout le monde se retourne lorsque j’entre dans la station, heureusement le maquillage masque le fard que je pique. Je retourne à la voiture, la nuit commence à tomber et plusieurs voitures sont venues se garer au fond du parking. Des hommes commencent à se promener sur le parking, certains attendent dans leurs voitures, d’autres font semblant de se promener. Camille a ouvert sa vitre, je lui tends son sandwich et sa bouteille d’eau. Un homme se rapproche de la voiture.
— Je crois que voilà le premier volontaire.

Il m’interpelle avec un accent assez fort, environ 70 ans, en survêt, il me regarde de haut en bas.
— C’est payant ?— Non.— Super ?— Je lui dit de se rendre dans la cabine des toilettes.— Tu suces à fond et tu avales.

Je regarde Madame Camille d’un air interrogateur, elle me fait un signe de tête me signifiant oui.
— Oui monsieur.— Obéissante en plus.

Je lui indique la cabine des toilettes pour handicapés et nous y entrons. Il sent fort la transpiration, je suppose une hygiène moyenne. Je m’accroupis, baisse son survêt et son slip et approche ma bouche de son sexe. Comme je m’y attendais sa queue sent l’urine et la transpiration, je prends sur moi et entame ma fellation. Heureusement il est rapide à venir et me lâche son jus en bouche. J’avale le tout, remets son slip en place avant d’ouvrir la porte et de sortir. Je retourne vers la voiture.
— Voila Madame Camille.— En 10 minutes de temps ici c’est un bon début.

L’homme est retourné à sa voiture, mais vu le nombre de mecs qui se rapproche, je suppose qu’il a passé le mot. Une pute est à côté des chiottes ce soir. Un homme d’âge moyen se dirige vers moi, Camille d’un signe de tête me dit d’aller vers les toilettes. Je reprends la cabine. Je reprends donc ma position accroupie, je dois défaire sa ceinture, ouvrir son pantalon et baisser son caleçon, il est propre, rasé je suis contente. Je commence à le prendre en bouche, lécher sa queue, ses bourses, il est endurant.
— Ne bouge plus, ouvre juste ta bouche.

Il commence à me baiser la bouche avec force, il va profond, j’ai du mal à respirer, je sens les pulsations de son sexe et il se lâche dans un râle au fond de ma gorge, j’ai du mal à tout avaler et manque de vomir.
— C’est bien, bonne pute.

Il sort en me claquant les fesses. Je prends le temps de me rincer la bouche et retourne voir ma maîtresse.
— A ce train-là on en a pour la nuit, va traîner autour des camions, il y aura sûrement un mec pour te baiser.

Je m’exécute immédiatement, je passe entre les camions et une portière ne tarde pas à s’ouvrir.
— Passe de l’autre côté et grimpe.

Une première, ce n’est vraiment pas facile de monter dans un camion en talon, la minijupe en profite pour remonter au ras de la culotte.
— OK, allonge-toi et montre-moi ton cul.

Je prépare mon gel, et me tartine le cul me rentre un doigt puis deux, au bout de quelques minutes, il enlève ses doigts et son gland se presse contre ma rosette, sans la moindre délicatesse, il me pénètre jusqu’à la garde et commence ses va-et-vient. Il y va fort, ses couilles tapent sur mes fesses, il m’agrippe comme un fou et me défonce littéralement le cul. Je sens malgré la situation le plaisir monter et je commence à gémir.
— Sale pute tu n’as pas intérêt à te lâcher sur ma couchette.

Mon sexe me fait mal, il n’a qu’une envie s’étendre. Bloqué dans sa cage, il est comprimé, ce qui augmente mon plaisir anal. Lorsque je sens les pulsations de son sexe en moi. Ses jets de sperme tapent au fond de mes boyaux, il râle avant de se retirer.
— Aller casse-toi.

Je descends de la cabine et me précipite aux toilettes pour me vider avant que son jus coule le long de mes jambes. Alors que j’ouvre la porte, un homme rentre.
— Combien pour te baiser ?— Rien.— T’as des capotes ?— Oui.— OK alors donne.

Je sors une capote de mon sac à main. Je me retourne et lui présente mon cul. Il déchire l’emballage, enfile la capote. Il regarde mon trou.
— Tu n’as pas besoin de préparation.

Il me prend directement et je me retrouve collée à la cloison pendant qu’il s’active dans mon cul. Contrairement à mon client précédent, il n’est pas très endurant et se lâche rapidement dans la capote. Il sort de mon cul, remonte son pantalon et quitte la cabine. Je retourne vers la voiture, Camille parle avec 2 mecs. Elle me regarde arriver.
— Bon tu as fait la moitié du temps. Ces messieurs vont te suivre dans la cabine pour handicapé et tu vas t’occuper d’eux. Tu feras tout ce qu’ils te demandent, ce seront tes derniers pour ce soir.

Je ne sais pas ce qu’il m’attend, mais je rentre accompagnée de ces 2 mecs dans la cabine.
— A poil, me dit le plus jeune.

J’obéis et me retrouve nue juste avec ma cage. Il me regarde, palpe mon sexe encagé. Ils baissent leurs pantalons, le plus âgé me demande de me pencher en avant et de sucer le jeune. Je sais maintenant que je vais me faire baiser en suçant. Je suis excitée par ce qui va arriver. Je commence à lécher le sexe bien dur devant moi. Il est long épais avec une grosse veine, je salive, je le prends en bouche et commence à sucer en bavant. Le type derrière moi me malaxe le cul avant de me les claquer fortement. Je sens son sexe sur ma rondelle, il me prend d’un coup, mais mon cul ouvert l’accepte sans problème. Que j’aime ça, je prends un pied fou.
— Tu prends ton pied saloppe, tu aimes te faire baiser.

Ne pouvant répondre, je tends plus mon cul pour acquiescer.
— Regarde cette pute comme elle aime la queue, sa maitresse avait raison.— Oui elle aime ça et en plus elle suce divinement.

Les pulsations de leurs sexes respectifs m’indiquent qu’ils sont sur le point de jouir, je m’apprête à leur recevoir quand ils se retirent.
— Allonge-toi par terre saloppe.

Je me positionne au sol sur le dos, le sol est humide, sale, mais j’obéis selon la demande de ma maîtresse. Ils se masturbent au-dessus de moi, ils se mettent à jouir sur moi rependant leur sperme sur mon visage, mon ventre. J’en ai partout.
— Ne bouge pas et ouvre la bouche et ferme les yeux.

Je sens alors un liquide chaud sur moi, dans ma bouche, ils sont en train de me pisser dessus, j’avale ce qui a coulé dans ma bouche. Je me sens humiliée. Alors qu’ils se rhabillent, je me blottis dans un coin. Ils ouvrent la porte et sortent, Camille qui attendait derrière entre aussitôt.
— Ha ben ça pue ici. Regarde dans quel état tu es. Allez viens on va te nettoyer un peu et ensuite on rentrera et tu pourras te doucher.

Je me lave comme je peux à l’eau froide, je grelotte, je n’ai plus aucune volonté. Camille m’aide à m’habiller et nous retournons à la voiture.
— Je vais conduire pour rentrer, je vois bien que tu en es incapable.— Merci Madame Camille.— Après cette soirée, je sais que tu vas m’obéir et faire tout ce que je t’ordonnerai.— Oui Maîtresse.— Bien, très bien, tu sais maintenant à qui tu appartiens.— Oui maîtresse, je vous appartiens.— En rentrant, tu vas directement te doucher, tu pues et ensuite tu passeras la seconde tenue.— Je peux vous poser une question Maîtresse ?— Oui, vas-y.— Il se serait passé quoi si j’avais enfilé l’autre tenue ?— La même chose, mais dans un autre endroit.— Vous m’auriez fait faire la pute ailleurs ?— Pas la pute, j’aurais offert une écolière à un une assemblée. Bon assez de questions maintenant.— Oui Maîtresse Camille.

Le reste du trajet se fait en silence. Je file sous la douche en arrivant, j’arrive à ôter cette odeur d’urine et de sperme, je sens bon la framboise. Je passe dans la chambre, j’enfile la tenue d’écolière, me maquille légèrement. Je retrouve Camille à la cuisine, elle a préparé en encas.
— Viens t’asseoir Fabienne. Et mange ça va te faire du bien.

Je profite de ce dîner et mange avec appétit.
— A partir de ce soir tu es à moi, je décide tu obéis. — Oui maîtresse.— Après le dîner, tu iras dans ta chambre, tu trouveras dans l’armoire de quoi t’habiller pour dormir. Demain matin, réveil à 6h pour te préparer pour ta journée au bureau selon mes instructions.— Oui maîtresse tout ce que vous voulez.— Maintenant, profite de ce dîner, car à partir de demain tu suivras un régime strict. Tu as quelques kilos en trop.

Après le dîner, je débarrasse la table et monte dans ma chambre. J’ouvre l’armoire et découvre sur une étagère les tenues de nuit. Je choisis une nuisette blanche en coton et me mets au lit. Je pensais avoir du mal à m’endormir. Je me suis écroulée...
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