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Nouveau job, nouveau moi

Chapitre 3

Fabienne pour toujours

Travesti / Trans
Chapitre 3, Fabienne pour toujours ?
Lendemain matin, 5h30 j’entends toquer à la porte de la chambre, le temps de me rappeler où je suis, Camille entre sans attendre ma réponse.
— Bonjour Fabienne, j’espère que tu as bien dormi ?— Bonjour maîtresse Camille, oui très bien merci et vous ?— Oui, allez debout, c’est le premier jour de ta nouvelle vie. Ce matin tu vas au travail, le temps de ta douche, je te préparerais une tenue dans ta chambre. Ce soir on se retrouve chez toi, tu m’envoies un message en quittant ton travail. Ça me laissera le temps d’y aller.— Bien maîtresse Camille.— Ton petit-déjeuner est prêt ainsi que des pilules que je veux que tu prennes.— A vos ordres Maîtresse Camille.
Je commence par mon petit-déjeuner, avale un jus de carotte, une biscotte et une petite tasse de café. On est loin de mes petits-déjeuners habituels plutôt garnis. Je monte ensuite dans la salle de bain, douche, dents, je regarde la tablette couverte de produits de maquillage.
— Vas-y Fabienne, ils sont là pour ça.
Camille s’est glissée dans la salle de bain et me regarde. Je croise son regard dans le miroir, elle attend ma réaction en me souriant.
— Tu veux que je te maquille ?— Oui Maîtresse je veux bien, mais léger pour le travail, je ne peux trop me maquiller.— Pas de soucis Fabienne, installe-toi sur le bord de la baignoire et laisse-moi faire.— Merci Maîtresse.
Après un petit quart d’heure, Camille s’écarte et m’invite à me regarder dans la glace murale. Même si le maquillage est dans des tons bruns, on voit clairement l’ombre à paupières, le mascara et le trait d’eye-liner en pointe au coin de mes yeux. Mon teint est lisse rehaussé de fard à joues rosé. Mes lèvres sont dessinées parfaitement et brillent.
— Voilà un joli maquillage pour t’accompagner toute la journée.
— Il n’est pas un peu trop marqué Maîtresse ?— Non il est parfait, file dans ta chambre, tu vas finir par être en retard au travail.— Merci Maîtresse.
J’entre dans la chambre, étalée sur le lit, une blouse blanche avec un motif à fleurs roses, un string jaune dentelle avec son soutien-gorge assorti, un collant chair fin brillant, et une jupe droite beige.
— Maîtresse Camille, je ne peux pas aller au travail dans cette tenue.— Ah bon et pourquoi donc Fabienne ?— Je ne porte des jupes que lorsque je suis toute seule, je ne peux pas arriver en jupe devant mes collègues de travail.— Moi je pense que tu peux le faire, et que tu vas le faire. De toute façon, tu n’as pas d’autres vêtements. Et tu peux regarder dans les placards, tu n’y trouveras rien d’autre que des jupes ou des robes. Mais tu as accepté hier de m’obéir et ça passe par tout ce que je te demande.— Je sais bien maîtresse Camille, c’est juste que...— Que tu n’as pas le choix, je suis gentille avec toi, car c’est ta première journée ici, mais tu me dois obéissance, si cela ne te convient pas, tu peux partir, mais sache que dès la porte passée, les photos prises hier seront envoyées à tes patrons, à l’ensemble de tes contacts. — Maîtresse, arriver ainsi au travail c’est me griller.— Te griller ou juste dire qui tu es vraiment, la fille que tu es et qui ne demande qu’à vivre au grand jour.— Maîtresse, je me suis engagée à vous obéir et vais donc porter la tenue que vous m’avez choisie.— Très bien, tu me retrouves en bas une fois habillée.— Oui maîtresse.
Je ne peux m’empêcher de me regarder dans le miroir, la tenue est juste sublime, la jupe droite juste au-dessus des genoux, me dessine les fesses, le collant brillant, les escarpins beiges à petits talons, la blouse, je suis belle dans cette tenue. Je descends les escaliers le sourire aux lèvres. Maîtresse Camille m’observe, elle me sourit.
— Je t’ai préparé une petite veste et ton sac à main, il y a tout le nécessaire pour te refaire une beauté, un peu de parfum, un déo et tes papiers.— Merci Maîtresse Camille.— Et ce soir n’oublie pas, tu m’envoies un message en partant et on se retrouve chez toi.— Entendu Maîtresse à ce soir.— A ce soir Fabienne et profite bien de ta journée.
N’ayant pas d’heure précise pour commencer ma journée, je décide d’attendre qu’il ne reste que mon chef de quai à l’agence avant d’y arriver. Il m’a déjà vu porter des tenues féminines, mais jamais à ce point et encore moins en jupe, maquillée et perruquée. J’appréhende mon arrivée, je suis nerveuse, et quand je gare ma voiture sur le parking, je vois Simon sortir du dépôt. Il me regarde avec étonnement lorsque je descends de ma voiture. Il me regarde de la tête aux pieds. J’essaye de faire bonne figure, mais je dois vous avouer que je flippe. Je prends un air des plus naturels pour me diriger vers le bureau.
— Bonjour Simon, désolée du retard, j’ai été un peu longue à me préparer. On fait le point en prenant un café ?— Heu... oui heu... pas grave. J’arrive.
Je rentre dans le bungalow, pose mes affaires sur le bureau et prépare le café. Quand je pose le premier sur mon bureau, Simon est à la porte, il me dévisage.
— N’aie pas peur, je vais pas te manger, tiens ton café, je fais couler le mien.

Simon s’installe tout en continuant à me dévisager, cela m’amuse et en même temps je suis contente de l’effet que j’ai sur lui. Je me sais belle, je décide d’enlever ma veste, la douceur de ce matin de printemps me le permet. J’ouvre mon sac à main, sors ma vapoteuse et m’installe à mon bureau devant mon café.
— Alors comment se sont passés les départs ce matin ? Des soucis ?— Non aucun tout le monde est parti à l’heure et complet.— Parfait et toi sur le quai des soucis ?— Non aucun je vais faire le rangement et préparer les tournées de demain.— Bon nickel, un autre sujet ? À part que ma tenue doit te surprendre ce matin ?— Oui un peu.— Bon tu as souvent remarqué que mes fringues étaient plus féminines que masculines, je me suis toujours sentie femme, on en a parlé vite fais une fois et ce matin avec le beau temps j’ai eu envie d’une tenue plus légère qu’un pantalon. Donc en jupe.— Ça te va bien, mais c’est surprenant.— Je comprends, je ne veux surtout pas que tu te sentes gêné, mais j’ai décidé de m’assumer plus maintenant.— OK...— Donc oui je risque d’être plus souvent en jupe ou en robe. J’ai envoyé un mail à la direction pour les prévenir.— Je retourne bosser.— Je te prépare les tournées et te les emmène.
Je commence donc ma journée, et reçois un SMS de Maîtresse Camille.
— Pour ce midi, tu vas au restaurant manger, je veux une photo. — Une préférence pour le restaurant ? — Quel est l’endroit où tu vas manger le midi quand tu es avec du monde ? — Dans une pizzéria dans le bourg à côté du travail.— Ils te connaissent.— Oui j’y vais deux ou trois fois par mois.— Bien tu y vas ce midi.
Me concentrer sur mon travail est compliqué, je n’ai pas de retour de mon mail et j’appréhende d’aller dans le dépôt pour donner les tournées à Simon. Pour le reste du personnel, je me doute que Simon a déjà envoyé des messages à tout le monde et que le fait que je sois en fille au bureau a déjà fait le tour. Bon je me concentre et arrive finalement à avancer sur mon travail. Midi trente, je vais manger, je commence à avoir faim, le petit-déjeuner matinal est bien loin maintenant. Je me dirige donc vers ma pizzéria habituelle, à mon arrivée, je suis accueilli par la patronne qui me regarde de la tête aux pieds et avec un large sourire m’installe en me donnant de la madame par ci, madame par là. Elle vient en personne prendre ma commande et nous discutons un peu, elle me complimente sur ma tenue, sur mon courage. Je suis soulagée qu’elle s’occupe de moi et de ne pas avoir à faire au serveur.
Le repas se passe bien, la patronne me prend en photo, on fait un selfie toute les deux que j’envoie à Maîtresse Camille. Je ne reçois aucune nouvelle de sa part. Quand je reviens au dépôt, un mail est tombé dans ma boîte.
— J’ai bien reçu ton mail de ce matin et en prends note. On en parle lors de ma prochaine visite à Rennes.
Ludovic directeur d’agence Nantes/Rennes.
Bon plus de marche arrière possible, dans quoi je me suis fourré. D’accord j’assumais une certaine féminité, mais là je viens d’annoncer à mon directeur que je suis une trans pour que le fait que je me pointe en jupe au taf ne lui parvienne pas aux oreilles par les bruits de couloir. Bon je termine ma journée tant bien que mal, Simon est très peu venu dans le bureau. Je me prépare à partir et envoie le message à Maîtresse Camille.
— Je vais partir du travail, environ 40 minutes de route pour arriver chez moi. — Parfait on se retrouve là-bas.
Je prends la route, contente de cette journée en jupe qui a été très agréable dans l’ensemble. Je me suis sentie bien de pouvoir porter une tenue de femme au travail, je le quitte en ayant l’impression d’avoir été moi au travail pour la première fois de ma vie. Le trajet vers ma maison qui est souvent signe de libération, car je serais enfin moi à la maison n’est pas le même ce soir. Sûrement le fait d’avoir été femme toute la journée au travail. Je fais un arrêt chez le fleuriste du village prendre un bouquet pour Maîtresse Camille avant de rentrer dans la cour de ma maison. La voiture de Maîtresse Camille est garée devant le garage. Je prends mon bouquet, ouvre la porte et découvre Maîtresse Camille installée dans le canapé, un verre de vin à la main, elle a trouvé ma cave et a ouvert l’une de mes meilleures bouteilles.
— Bonsoir Fabienne.— Bonsoir Maîtresse Camille.— Ho des fleurs quelle gentille attention.— Je souhaitais vous faire plaisir et me faire pardonner mon attitude de ce matin.— Parfait, bon je me suis permis de me servir en t’attendant, excellent ce vin tu en veux ?— Oui Maîtresse Camille. Je veux bien un verre.
Je m’installe dans le fauteuil face à ma Maîtresse, nous discutons de ma journée, elle me demande comment je me sens, qu’ont dit mes collègues de travail, me complimentent sur mon attitude au restaurant et qu’elle a aimé les photos. Nous buvons presque la moitié de la bouteille avant que Maîtresse Camille m’indique le but de ce rendez-vous chez moi ce soir.
— Fabienne, ce soir nous allons faire le tour de ta penderie, nous allons prendre le nécessaire et ensuite nous rentrerons chez moi.— Oui Maîtresse Camille.— Nous prendrons uniquement tes tenues féminines et laisserons tous les vêtements masculins ici. Je garderais bien sûr les clés de ta maison. Nous y reviendrons de temps en temps.— Oui Maîtresse Camille.
Nous passons dans ma chambre, je vide mes armoires, elle sélectionne les vêtements que je dois prendre, ceux qui ne lui conviennent pas resteront chez moi. Après une heure de tri, je charge trois valises dans ma voiture, un sac avec mes chaussures et un autre contenant mon maquillage et divers accessoires. Maîtresse Camille ferme ma maison, et nous reprenons la route direction Cesson. Enfin je pensais que l’on rentrait chez Maîtresse Camille, alors que je la suis, elle prend la direction de Chantepie, et s’arrête sur le parking de La Halle. Je me gare à côté de sa voiture.
— Oui juste un petit arrêt je veux que tu achètes une robe, j’ai mon idée en tête je sais qu’ils ont ici le modèle que je veux.— Bien Maîtresse Camille.
Du fait de ma tenue, de mon maquillage et de ma perruque, me sentant tellement femme, je n’appréhende pas de faire du shopping. Nous trouvons la robe, je passe en cabine essayer la robe. Moulante, très courte et surtout d’un rose presque fluo, on ne risque pas de me louper lorsque je la porterais dehors.
— Tu es magnifique, elle te va à ravir et met tes jambes en valeur.— Elle est très courte Maîtresse Camille.— C’est le but Fabienne, ce soir nous allons au Déclic et tu dois être au top pour cette soirée.
Le Déclic est un club Libertin de la région, je m’y suis rendue deux ou trois fois, mais jamais en tant que femme. Je suppose que Maîtresse Camille a prévu une soirée où je serais bien entendu l’attraction. Je sens mon string se mouiller. Je suis vraiment excitée à l’idée de sortir dans cette tenue. Je retourne en cabine, me change, je marque un arrêt devant un ensemble de lingerie blanc en dentelle et ne peux résister, je prends ma taille et me dirige vers la caisse.
— Fabien mon amour, je vois que tu as trouvé ce que tu voulais pour ta soirée je suis contente.— Oui M...— Ne t’inquiète pas je sais que tu ne peux résister à une jolie robe et des dessous sexy. Et puis cela te va si bien.
Je suis honteux lorsque je passe à la caisse, je remarque les regards moqueurs des deux filles des caisses. Je paie et c’est presque en courant que je quitte le magasin. Je rentre dans ma voiture et je vois Maîtresse Camille hilare en rejoignant la sienne. Nous arrivons à la maison, Maîtresse Camille m’ordonne de me préparer entièrement, d’être nickel de partout avant de redescendre en tenue pour ce soir. Robe rose, string dentelle et soutien-gorge rose également, bas et escarpins talons aiguilles. Je me maquille de façon appuyée, maquillage de soirée, perruque blonde, quelques bijoux et une grande dose de parfum. Je suis prête à 19h30. Maîtresse Camille a commandé un UBER, nous allons au centre de Rennes pour dîner et aller dans un bar privé avant notre soirée au Déclic.
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