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Un nouveau monde ?!

Chapitre 4

Première fois

Divers
Pierre rangea les caisses de cargaison dans un coin de la grange. Théodore ferma les portes derrière lui et les deux hommes se quittèrent. Pierre, les mains terreuses, les lava à l’aide de l’eau d’un puits. Les rayons orangés du soleil illuminaient le flanc de colline sur lequel il se trouvait. Le jeune homme sentait ses muscles fatigués par la journée, mais ce dernier avait encore un peu d’énergie à revendre. Il grimpa la colline jusqu’à l’Église. Un grand groupe de personnes se dirigeait vers le réfectoire et Pierre fit de même. Il remarqua cependant qu’il ne portait pas l’uniforme d’ici, et qu’en plus de cela, sa chemise blanche était teintée d’une couche ocre. Il se dit qu’il vaudrait mieux d’abord être présentable avant de fréquenter le reste du groupe. Le jeune retourna dans sa chambre. Lucy l’attendait. Agenouillée au sol, elle se prosterna et déclara :
— “Bon retour chez vous, maître.”— “Maître ?! Attends, je te prie. Mon nom est Pierre.”
Lucy cligna des yeux et répondit :
— “Dois-je donc vous appeler maître Pierre ?”— “Pierre suffira. Nul besoin de me placer comme ton maître.”
Lucy gonfla ses joues. Mécontente, elle se releva et se plaça juste devant Pierre.
— “Je ne peux pas ne pas vous appeler «maître» alors que vous m’avez sauvée. C’est décidé, vous êtes «maître» !”
Sentant le sérieux et la conviction de la demoiselle, Pierre se résigna à se disputer avec Lucy. Il soupira et s’assit sur une chaise. Son ventre gargouilla et Lucy l’entendit.
— “Avez-vous faim, maître ?” demanda-t-elle d’une voix claire.— “Je ne dirais pas le contraire. Mais je ne peux décemment pas rejoindre les autres dans cette tenue. D’ailleurs, je m’excuse. Je n’ai pas encore d’habits pour toi, mais ce n’est qu’une question de temps.” dit Pierre.
Sans dire un mot, Lucy ouvra la porte et on entendit les bruits de pieds nus résonnant sur le sol en pierre. Intrigué, mais fatigué, Pierre se coucha sur le lit et attendit. Après quelques minutes, Lucy revint.
— “Ils n’ont pas voulu que je prenne d’assiettes ni de plats. Je suis désolée, maître.”— “C’est pour cela que tu étais partie ? Ne t’inquiète pas pour cela, je vais attendre qu’ils aient fini pour y aller.”
Comme pour accompagner ses paroles, quelqu’un toqua à sa porte. Marion entra dans la pièce, un plateau rempli entre les mains.

— “Monsieur ? Je ne vous ai point vu au réfectoire, j’ai donc pensé vous apporter de quoi vous nourrir.”— “Dame Marion ? Encore merci. Je ne sais comment vous exprimer ma gratitude.”— “Vous n’avez nul besoin de le faire. Je prie Fuwu, la déesse serviable. J’aide donc les personnes à la portée.”— “Quand bien même, je vous remercie. Si vous avez besoin de moi, n’hésitez pas.”
Marion lui sourit et laissa les deux jeunes gens dans la chambre. Pierre et Lucy purent donc déguster un bon dîner. Après avoir terminé leur plat, Lucy s’assit à côté de Pierre, en prenant son bras gauche pour elle.
— “Votre chemise... Je vais la laver pour vous.” dit-elle en déboutonnant l’habit.
Trop fatigué pour se rendre compte d’un quelconque problème, Pierre se laissa faire et se retrouva donc torse nu. Lucy prit le vêtement et le serra contre elle, avant de partir avec. Pierre se retrouva donc seul dans sa chambre. Une brise glaciale le fit comprendre qu’il manquait quelque chose. Gêné d’avoir laissé la demoiselle s’occuper ainsi de lui, Pierre se couvrit avec la couverture. La chaleur le gagnait petit à petit, jusqu’à ce qu’il s’endormit.
Pendant son sommeil, Pierre rêva de sa vie antérieure. Il marchait donc dans une rue enneigée. Il était arrivé devant chez lui : un immeuble de dix étages. Le jeune homme se souvint qu’il avait pris beaucoup de temps avant d’avoir pris ses clés. Après les avoir trouvés, il était entré dans le hall et est monté les escaliers, puis il glissa. Sa tête heurta le sol en premier : la mort assurée. Pierre se réveilla en sursaut. Lucy cria de surprise. Essoufflé, Pierre haletait de stress. Il parcourut son crâne de ses deux mains, mais n’y trouvait aucune marque.
— “Maître ? Maître ? Que vous arrive-t-il ?” demanda Lucy affolée.
Pierre le regarda, les yeux écarquillés de panique. Il en était désormais sûr. Il était mort. Mais pourquoi est-ce qu’il se trouvait là, bien vivant ? Pierre l’ignorait. Lucy s’était entre-temps rapprochée de son bienfaiteur. Entre ses mains, il y avait sa chemise, de nouveau blanche.
— “Regardez ! Elle est comme neuve !” dit fièrement Lucy.
Pierre acquiesça et prit le vêtement. Des larmes montèrent et coulèrent le long de son visage. Lucy, attristée, enlaça Pierre. Ce dernier resta dans cette position pendant plusieurs minutes. La jeune femme allongea Pierre et le recouvrit avec la couverture. Le jeune homme tomba rapidement dans le sommeil.
Le lendemain matin, Pierre se réveilla doucement. Il sentait qu’un élément était inhabituel en cette matinée. Quelque chose, ou plutôt quelqu’un s’affairait au niveau de son entrejambe. Relevant la tête et ouvrant ses paupières, il aperçut Lucy, qui caressait sa verge à travers son pantalon. Surpris, Pierre s’exclama :
— “Que fais-tu, Lucy ?!”— “Je vous soulage... Il faut que je fasse de mon mieux pour vous satisfaire...” répondit-elle.— “Arrête cela !” ordonna Pierre en se reculant brusquement.
Lucy fut subitement projetée vers le sens opposé. Apeurée, la jeune femme grimpa sur le lit et agrippa Pierre par son dos. Ce dernier sentit son dur membre écrasé par le corps de Lucy et grimaça.
— “Ne m’abandonnez pas !” s’écria Lucy.— “... Je ne t’abandonnerais point. Mais tu n’as pas à te rabaisser à cela pour obtenir ma confiance.”
Mais Lucy ne l’écoutait pas. Elle descendit le pantalon et dévoila la longue verge dressée. Surprise par la taille de l’organe, la jeune femme hésita un instant puis prit le sexe en bouche. La chaude et humide cavité n’était pas comparable au vagin d’Alicia, mais cela était tout de même très agréable. Pierre perçut un spasme de plaisir, ce qui lui fit abandonner l’idée d’arrêter Lucy, qui semblait plus que déterminée. La tête de Lucy montait et descendait, sa langue parcourait la hampe de haut en bas, et sa salive lubrifiait le dur membre. Pierre soupirait d’extase et ne répondit qu’au plaisir que lui procurait Lucy. Elle sortit sa bouche pour reprendre son souffle. La jeune femme masturbait désormais Pierre, sa main gauche gluante, car recouverte de fluides biologiques.
— “Je ne pensais pas qu’une personne pouvait avoir un pénis si imposant. Vous me faites honneur, maître. On dirait presque que votre pénis est une forme de vie à part entière.”
Le ton qu’employait Lucy était extrêmement provocateur. Sa voix reflétait une envie profonde et ses yeux brillaient d’impatience. Pierre était encore plus excité, de par l’aura que dégageait Lucy. Cette dernière, de nouveau d’attaque, ravala le dur membre. Elle tentait par orgueil d’avaler l’entièreté de la verge, mais le gland atteignit son palais, bien avant ce qu’elle estimait. Elle eut un renvoi et se retira en toussant et en respirant à grande goulée d’air. Comme pour reprendre de plus belle, Lucy retira le haillon qui lui servait de vêtement, se retrouvant entièrement nue.
Pierre pouvait alors observer le corps de sa partenaire. Sa poitrine était presque plate, avec juste deux amas de chair pour ses seins. Son fessier était un peu plus développé, mais rien d’extravagant. Cela confirmait l’insuffisance alimentaire qu’elle avait subie, mais pour autant, Lucy semblait énergique. Elle léchait la longue verge de haut en bas, en s’arrêtant à chaque fois au niveau du gland pour léchouiller la couronne. Son souffle chaud refroidissait ses marques de salives, ce qui faisait frissonner le jeune homme. Il sentait lentement la jouissance l’envahir, puis d’un coup, son sexe convulsa et expulsa le sperme. Le liquide blanchâtre atterrit en partie dans les cheveux de Lucy, le restant coula le long de la verge.
Pierre resta couché, respirant pour se calmer. Il ne vit donc pas Lucy, qui ramassa la semence dans ses cheveux pour le déguster. Le jeune homme ne la remarqua que lorsque celle-ci lécha son membre ramolli afin de recueillir le sperme coulant encore un peu. Une fois rassasiée, Lucy se rapprocha de son partenaire pour se coucher près de lui. Pierre put alors observer son corps d’encore plus près. L’aspect juvénile de la personne n’était guère ce qui l’attirait, mais le fait qu’une fille qu’il trouvait aussi belle soit nue à ses côtés le rendait excité.
Comme il ne voulait pas être le seul à s’être senti bien, il prit les épaules de Lucy, qui se demandait ce que son maître souhaitait faire. Ce dernier plaqua la demoiselle contre le lit et descendit pour avoir sa bouche au niveau de l’entrejambe de la jeune femme. En sentant le souffle de son partenaire, Lucy devina ce qu’il comptait faire. N’ayant jamais expérimenté cela, elle avait quelques appréhensions et tenta de dissuader le jeune homme en cachant son intimité.
— “Non... pas ici. C’est sale.” dit-elle.— “Pas si je le lave avec ma bouche.” répondit Pierre, amusé.— “Mais c’est par là que je... que j’urine...”— “Et moi donc, tu n’as pas hésité pourtant à sucer mon pénis.”— “Vous n’avez pas à vous occuper de moi. Je ne le mérite pas...” dit Lucy.— “Eh bien, je t’ordonne de me laisser faire.”
L’ayant désigné comme son maître de son propre chef, Lucy ne pouvait contester un ordre provenant de ce dernier. De plus, en sentant les grandes mains de ce dernier parcourir ses cuisses, elle se laissa gagner par l’excitation. La demoiselle enleva ses mains et dévoila sa nymphe. De petites lèvres roses palpitaient, laissant s’échapper un fluide transparent. De son index, Pierre le toucha. Le liquide était collant, mais très fluide. Intéressé, il posa sa langue sur la vulve et recueillit le liquide. Lucy gémit de surprise, puis mit ses mains devant sa bouche pour ne pas déranger les résidents.
— “Je n’imaginais pas ce goût-là.” dit Pierre en se pourléchant les lèvres. “C’est salé, mais pas dérangeant.”— “Je suis sale. Vous ne devriez pas...”— “C’en est presque enivrant.” dit Pierre, en détachant chaque syllabe du dernier mot pour mettre Lucy en confiance.
La jeune femme était d’ailleurs moins gênée qu’avant. Son bruyant souffle traduisait son excitation, d’autant plus que ses seins avaient gagné un peu en volume. Ses joues rouges contrastaient avec ses cheveux clairs, ce qui lui donnait un visage d’ange, mais dépravé. Pierre continua ses léchouilles pendant quelques secondes, avant d’insérer sa langue dans l’intérieur de l’intimité de Lucy, qui s’extasiait de bonheur. Le corps étranger parcourait les parois du vagin, raclant les bords pour en retirer la cyprine.
Après avoir bien dégusté l’entrejambe de Lucy, Pierre inséra son index dans l’antre humide de la demoiselle. Cette dernière haleta en sentant ce nouvel intrus et commençait à trembler. Pierre faisait de lents allers-retours, ce qui titillait la jeune femme. Puis il inséra un deuxième doigt. Lucy prenait un réel plaisir à ressentir les va-et-vient que lui conférait le jeune homme. De plus en plus de fluide coulait, tachant petit à petit la couverture du lit.
D’un seul coup, quatre doigts la pénétrèrent. Son vagin eut premièrement du mal à accepter l’entrée des membres, puis s’adapta en conséquence. De violents spasmes orgasmiques traversaient Lucy, qui ahanait de plaisir. Sans pouvoir se retenir, elle laissa échapper un cri en jouissant. Le plaisir était si intense qu’elle en perdit la tête pendant plusieurs secondes.
Pierre, ayant perdu toute notion de retenue, s’apprêta à la pénétrer. Sa verge avait en effet retrouvé sa vigueur et semblait attendre de se loger en Lucy. Le jeune homme présenta le gland sur la vulve de la demoiselle. Cette sensation nouvelle surprit cette dernière, qui ne s’attendait pas à ce qu’on la pénètre.
— “Attendez maître !”— “Pardon ! J’étais focalisé sur moi-même. Je ne me suis pas rendu compte de ce que j’allais faire.” s’excusa Pierre.
Lucy secoua la tête, et répondit :
— “Je voulais juste vous demander de le faire doucement. C’est... c’est ma première fois.”
Pierre se sentit honteux d’avoir imaginé Lucy ayant eu des rapports avec d’autres hommes. Confus, mais rassuré, il lui sourit.
— “Bien sûr. Je ferais attention. Au moindre problème, fais-le-moi savoir.”
Lucy acquiesça. Elle se coucha et attendit que Pierre la pénètre. Le gland commença d’abord par épouser la forme de l’antre, puis le jeune homme baissa progressivement son bassin. Lucy sentit l’énorme verge s’installer petit à petit en elle, jusqu’au moment où une vive douleur la perturba. Pourtant, elle le cacha et fit de son mieux pour ne pas crier. Pierre avait cependant remarqué le brusque changement de respiration, mais comme Lucy fermait les yeux, il continua son avancée. La jeune femme agrippait fermement la couverture avec ses deux mains et ouvrit les yeux lorsque Pierre s’arrêta. Elle regarda son entrejambe et vit que la moitié du pénis du jeune homme n’était pas encore rentrée.
— “Pourquoi vous êtes-vous arrêté, maître ?” demanda Lucy.
Pierre ne répondit pas et inséra d’un coup sec le reste de son membre. Lucy sentit le bout frapper contre son intérieur. Une violente douleur comme elle n’avait jamais ressenti s’installa en elle, mais en parallèle, elle ressentait un plaisir comme elle ne l’avait jamais ressentie. Elle se cambra pour mieux accepter la douleur et se rendit compte qu’elle pleurait. Pour la première fois de sa vie, elle se sentait vraiment heureuse. La douleur résonnait dans son crâne, mais elle en voulait plus.
— “Ne vous arrêtez pas, maître... Si vous vous arrêtez, je crains ne pas pouvoir continuer à vivre sans votre pénis...”
Cette déclaration eut l’effet d’un coup de foudre. Pierre abandonna sa raison pour se focaliser sur lui et Lucy. Sauvagement, il enchaînait de violents va-et-vient qui faisaient crier la demoiselle de joie. Chaque coup dans son bas-ventre la faisait frémir de bonheur. La douleur s’estompait pour laisser place à l’extase. L’infernale cadence rendait folle Lucy. Elle n’arrivait plus à penser normalement. Tout son esprit était occupé par la sensation de la verge tapant contre le col de son utérus.
Pierre ressentait aussi un réel plaisir et accélérait sans cesse le rythme jusqu’au moment fatidique, où il se déchargea dans les entrailles de la jeune femme. Il serra fortement le frêle corps de Lucy et enfonça le plus loin possible sa verge. Le sperme jaillit avec force, remplissant l’utérus de la demoiselle, qui cria dans un ultime souffle, dont la sensation du liquide brûlant tapissant son intérieur était orgasmique.
Pendant plusieurs minutes, Pierre et sa partenaire restèrent dans la position de leur orgasme commun. Aucun d’entre eux ne pouvait se mouvoir. La fatigue les étreignait avec force. Lucy, légèrement reposée, leva sa tête pour chuchoter aux oreilles du jeune homme.
— “Vous êtes si bon maître... Je pense que je ne pourrais plus vivre sans votre sexe en moi.” — “N’exagère pas...”— “Non, j’en suis persuadé.” coupa Lucy. “Ou bien comptez-vous m’abandonner ?” demanda-t-elle d’une petite voix.
Face à la mignonitude de la jeune femme, Pierre ne put résister. Pour renforcer l’emprise qu’elle avait sur lui, Lucy approcha ses lèvres de ceux de son partenaire. Pierre l’accepta avec joie et ouvrit sa bouche. La demoiselle prit les devants, agrippant le cou et embrassant ce dernier. Leurs langues s’entremêlèrent dans une danse endiablée. La salive de Pierre glissait dans la bouche de sa partenaire, qui découvrait le baiser pour la première fois. Un frisson nouveau l’envahissait. Obligés de reprendre leurs souffles, les deux amants cessèrent leur baiser. Pourtant, aucun des deux ne voulait arrêter. Les lumineux rayons du soleil leur rappelèrent cependant qu’ils ne devraient pas continuer. Pierre avait du mal à l’admettre, mais il devait se contrôler. Il respira longuement avant de s’écarter. Lucy fut étonnée de voir son partenaire se retenir de continuer.
— “Je vais consumer toute mon énergie à te faire l’amour et ce n’est que le matin.” se justifia-t-il.— “Ah bon...” dit Lucy, déçue. “Mais on recommencera ce soir ?” quémanda-t-elle. — “Si tu le souhaites.” répondit Pierre, incapable de lui dire non.— “Bien sûr que je le veux, maître.”
Sa dernière phrase traduisait plus qu’une furieuse envie de continuer leur ébat. Cependant, convaincue que Pierre ne pourrait résister à son charme, Lucy décida de rester nue. Sans pouvoir le retenir, la semence qui était contenue dans son antre intime coula le long de ses jambes. Pierre l’aperçut et employa un grand effort intérieur pour ne pas sauter sur elle. Il ravala sa salive et s’habilla. En sortant dans les couloirs, il fit la rencontre de plusieurs priants. Pierre les salua à chaque fois et se retrouva dehors. La matriarche priait au pied d’un arbre. Cette dernière repéra le jeune homme, se leva et le salua.
— “Bonjour Pierre. Comment allez-vous ?— “Je vais bien, merci. Comment dois-je me rendre utile pour vous remercier ?”— “Étant donné que vous avez perdu vos souvenirs...” Pierre se souvint de sa mort et essaya de ne pas montrer sa tristesse. “Vous devriez d’abord être à la recherche de ceux-ci. En attendant, vous êtes libre de prier ou travailler. Enfin, c’est ce que j’aimerais vous dire. Je vous trouve culotté de vous montrer devant moi alors que vous avez passé votre matinée à... à s’adonner à de pratiques que je ne saurais tolérer.
Pierre était estomaqué. Certes, il n’avait peut-être pas fait preuve de discrétion, mais il était persuadé que les murs en pierre contenaient les sons.
— “C’est pourquoi je vous excommunie, vous et la chose que vous protégez. Ne tentez pas de quémander l’aide d’autres églises. Que je ne vous revoie plus ici !” cria Adélaïde.
Pierre resta debout quelques secondes, puis se rendit à sa chambre. Lucy fut heureuse de voir son amour aussi vite, mais elle voyait très bien que quelque chose n’allait pas.
— “On part d’ici, Lucy.”
La demoiselle obéit sans demander de détail. Elle s’habilla avec les haillons posés au sol et sortit de la chambre avec Pierre. Ensemble, ils partirent d’abord vers les vergers, là où Théodore avait ses granges. Pierre lui expliqua la situation puis partit sans en dire plus. Ils se retrouvèrent donc dans Empero, mais rapidement, le jeune homme prit la direction du «Chat Perché». Là, il expliqua de nouveau sa situation, mais avec une bonne nouvelle : sa liste de course était complétée. Le gérant le remercia et le paya. L’argent permit donc à Pierre de loger là, mais il ne comptait pas rester ici éternellement. De retour dans la pièce où il avait pris la virginité d’Alicia, Pierre se coucha. Lucy grimpa sur lui et se reposa à ses côtés. Les bruits des passants devinrent de plus en plus ténus, jusqu’à ce que le couple s’endormit.
À suivre...
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