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Le nouveau monde

Chapitre 3

La traversée (première partie)

Hétéro
Le Nouveau Monde
Chapitre 3 - La traversée (première partie)

Le bateau ne prenait le large que le lendemain aussi, avec les compagnons de voyage, la soirée nous appartenait. Nous décidâmes d’effectuer une virée et, cela va sans dire, d’écumer quelques bars, nombreux sur le port. Nombre de marins pêcheurs se jetaient bocks sur bocks en quelques gorgées d’une façon surprenante, sans même tituber. Beaucoup de filles étaient là aussi pour accompagner ces hommes en mal de sexe facile.
Nous nous arrêtâmes dans une troquet donnant sur la baie. Une belle fille brune, les yeux brillants, ne tarda pas à nous rejoindre, suivie bientôt par deux ou trois autres. Elles nous suivirent dans les autres bars où, à notre tour, nous avalâmes pas mal de verres, trop sans doute avant que de rejoindre chacun notre chambre pour la nuit.
Je me levai une heure avant l’aube, comme j’en avais l’habitude à la ferme. Je découvris alors dans mon lit la jeune fille brune aux yeux pétillants que j’avais rencontrée la veille et dont le prénom m’avait totalement échappé. Elle était nue, étendue sur les draps, jambes écartées me laissant ainsi découvrir son intimité. Sa toison, fournie, laissait apparaître deux jolies petites lèvres brunes mais fines. Ses petits seins en forme de poire se relevaient au rythme de sa respiration, les tétons bruns dressés vers le plafond. Me passant la main dans les cheveux je tentai de me souvenir... mais rien, rien ne me revenait à l’esprit. Avions nous fait l’amour ? La soirée trop arrosée avait laissé des traces, une douleur m’embrumait le crâne où le tam-tam résonnait de façon fracassante...
Il me fallait un café noir. C’est alors que je m’aperçus que j’étais moi aussi nu. Elle, recouvrant ses esprits, me regardait d’un regard complice. Alors me revinrent les souvenirs d’une nuit torride durant laquelle pour la première fois, une femme m’avait fait jouir, trop vite sans doute. Elle posa une main sur sa poitrine, l’autre sur son pubis :
-Tu es un rapide toi !Je sentis mes joues rougir contre mon gré. La voix de cette fille était douce, autant que son regard.-Je suis désolé... c’était la première fois ! Vous avez dû le remarquer !Elle commença à s’enfoncer un doigt toujours le regard fixé sur mon sexe qui se dressait à la vue de cette déesse nue dans ma chambre et, qui plus est, dans mon lit.-Je vois que tu as encore une petite envie ! Moi aussi... ça tombe bien non ? Approche... je vais te faire un truc qu’aucune fille ne t’a jamais fait alors.Sans trop de résistance, j’avançai vers le lit, elle me prit par la taille se mettant à genoux. Je sentis qu’elle prenait mon sexe en main mais je fermai déjà les yeux. C’est alors qu’elle le prit en bouche. Ce fut doux, tendre, et si bon que mon sexe se gonfla de sang encore plus devenant dur à m’en faire mal. Oh, quelle expérience délicieuse. Non, on ne me l’avait jamais fait et sentir cette langue jouer avec mon prépuce, cette bouche gorgée de salive m’avaler dans un doux va et vient, l’excitation fut trop grande. Dans un cri de jouissance extrême, je laissai mon vit décharger son trop plein sans même penser à me retirer. La gourmande avala tout et continua sa caresse buccale jusqu’à la dernière goutte de ma semence.
-Tu as aimé mon poussin ?Gêné et le temps m’étant compté avant l’embarquement, je fis signe de la tête tandis qu’elle se doigtait encore.-Tu pourrais me rendre le même plaisir !Je ne savais quoi faire, de plus je n’avais plus que quelques minutes pour me préparer et rejoindre mes camarades. En toute hâte je saisis mes affaires et lançai une excuse qui, je pense, ne la trompa guère.
-Je n’ai pas le temps ce matin, je dois me hâter mais je te promets de te remercier un de ces quatre !Non, elle n’y avait pas cru, j’en étais persuadé d’autant que je n’avais aucune idée de ce que nous avions pu nous dire la veille et la nuit même... Savait-elle que je quittais la France ?

@@@

Le gros Léon descendit alors que j’étais attablé dans la salle commune et que je dégustais mon café... enfin... une espèce d’eau sombre et tiède qui n’avait de café que le nom. Il s’approcha en me souhaitant le bonjour d’une voix pâteuse et enrouée.
-Salut gamin... alors ?N’ayant pas eu le temps de me laver, j’avais encore sur moi l’odeur de mon foutre, je crois qu’il ne fut pas dupe.-Alors ! Raconte !-Je ne peux pas vous dire grand chose, on a un peu taper dans la bouteille hier non ?Son teint rougeaud et son regard de personne encore ivre ne me laissaient aucun doute. Quant à sa tenue, elle donnait l’impression qu’il s’était couché habillé, mais il insista :-Dis moi... la pétillante brune avec laquelle tu es monté ... vous n’avez pas fait que parler je suppose... Mais attends... il est vrai qu’elle te tirait plus que tu ne marchais (rires) Je ne répondis pas, me contentant de plonger mon nez dans mon bol, une tartine à la main restée en instance d’être trempée.-L’heure approche gamin ! As-tu vu nos compagnons de voyage ?-Non, je n’ai vu personne, peut-être faut-il demander à l’aubergiste !-Tu as raison, demandons !Il partit toujours d’un pas mal assuré. J’en profitai pour finir mon bol au plus vite. J’avais vu à l’extérieur une fontaine, et même si le jour était levé, j’avais bien l’intention de me faire une toilette sommaire et enlever ainsi cette odeur de sperme qui me collait au narines.
En sortant j’aperçus le gros Léon discutant avec l’aubergiste. Les deux semblaient emportés mais je ne parvins pas à comprendre de quoi il en retournait. Je sortis et fus surpris de constater que nos camarades attendaient déjà à l’extérieur. Ce fut à leur tour de me taquiner.
-Alors mon garçon... On s’envoie en l’air avant le grand saut... tu ne perds pas de temps pour emballer toi !Je ne répondis pas. A quoi bon donner des explications et de quoi se faire moquer encore plus. Mais ils ne l’entendirent pas de cette oreille.-Elle t’a bien sucé au moins ? Et comment est-elle ? Chaude, tendre, démoniaque ? Tu l’as prise par derrière ?Au lieu de répondre, je pris la direction de la fontaine sous leurs regards amusés. Je me moquais bien d’eux et je n’eus aucune honte à baisser mon pantalon pour m’asperger d’une eau fraîche.J’entendis le plus jeune me lancer :-Ah... on se lave la bistouquette... elle a dû bien chauffer cette nuit ! Regardez moi ce machin, même sous l’eau froide elle est encore énorme !Les autres éclatèrent de rire. En fait, sous l’effet de l’eau froide, mon sexe ne faisait même plus la taille de mon petit doigt. Je vis, toujours le plus jeune, se passer la main sur la toile de son pantalon au niveau de son entrejambe.
-C’est qu’il me ferait bander le lapin !L’allusion ne me plut pas, aussi, je m’empressai de lui tourner le dos pour ne plus qu’il est vue sur mon sexe nu.-Putain les gars, regardez moi son petit cul... un vrai cul de gonzesse, tout rond, tout ferme ! Attends un peu d’avoir parcouru des lieues le cul sur la scelle, t’auras certainement la peau du fion moins rose petit.
Tous commençaient sérieusement à me fatiguer. Heureusement le gros Léon sorti de l’auberge.-Allez les gars, faut embarquer ! Le bateau ne nous attendra pas.Il semblait avoir recouvré un peu ses esprits, même si je doutais qu’il en aie eu beaucoup.Je me rhabillai en hâte. Nous prîmes nos sacs, je récupérai Igor à l’écurie et nous primes la direction du quai d’embarquement.Il y avait foule, certains pour le départ, beaucoup d’autres simplement là pour les adieux de circonstance. Au fond de moi, il me vint l’idée de partager ma couchette avec l’un des compagnons. Cette idée me fut des plus désagréable et je priai le ciel pour qu’il en soit tout autrement. Et bien non, le ciel n’entendit pas mes prières. A peine à bord, un officier de quart nous indiqua nos cabines, je partagerai effectivement celle de mon plus jeune compagnon de route. Que faire, que dire ? Rien. Je me fis la promesse de ne pas trop lui parler et d’éviter toute discussion pouvant avoir de près ou de loin un rapport avec le sexe. Cette façon qu’il avait eue de se caresser restait gravée dans mon esprit.
Le bateau à voile et à roue prit le large sans tanguer, ce qui m’évita ce que je redoutais, le mal de mer. A peine les voies au vent l’odeur du charbon de la chaudière me monta aux narines couvrant ainsi l’odeur de la marée, le bruit aussi me parvint aux oreilles estompant pour un temps le cri des mouettes saluant, sans doute, notre départ.
Je profitai de ce calme relativement plat pour descendre dans la soute donner une caresse à Igor et voir si tout allait bien pour lui. Je le découvris en compagnie d’une charmante jument grise, bien plus fine que lui mais les deux équidés semblaient s’entendre à merveille. Je remontai donc à ma cabine.
Celle-ci étant aussi la mienne, je ne pris pas soin de frapper avant d’entrer... erreur de ma part, à peine la porte ouverte je le vis en train de se masturber, sans même se sentir gêné de me voir ainsi entrer.
-Pardon... je finis et je t’explique après !Je tournai les talons pour sortir mais il m’interpella :-Non reste, ça va allé vite, laisse moi deux minutes, ahh, c’est bon ! Regarde au moins !Sans savoir pourquoi je me retournai. Je vis son membre dressé, fort, beau, luisant. Je n’en fus pas plus surpris que cela, je me doutais qu’il était bien monté le drôle. Voyant que je fixais son membre, il accéléra sa masturbation et un long jet d’un sperme blanc et laiteux, suivi de quelques autres, vinrent se faire recueillir au creux de sa main libre.
-Quel effet ça te fait ?-Quoi, quel effet ?-Ben de voir une belle queue et un mec super se branler devant toi et éjaculer dans la foulée ?-Aucun effet ! Je dis cela d’un air détendu, mais je sentis étrangement que moi aussi je bandais.-T’es sûr ? Cela ne te gêne pas ?-Non pas plus que cela, mais bon, évite de faire ça devant moi !-Pourquoi... tu ne te masturbes pas toi ? Je suis sûr que si ! (rires)-Cela ne te regarde pas et pour tout dire, même si la tienne paraît grosse, la mienne est bien plus belle ! Après je ne suis pas ici pour te voir te branler sans honte !-Je me branle plusieurs fois par jour, et la nuit aussi, tu le verras vite. Je n’y peux rien, je suis stressé de nature, la masturbation me permet d’évacuer en partie mon stress. Mais tu peux en faire autant devant moi ça ne me gênera pas plus.
-Alors ça c’est hors de question... tu serais jaloux !-Jaloux de quoi gamin ! Fais moi voir ce que tu caches !-Je cache un trésor que seules les filles ont le droit de regarder et de toucher. Ne rêve pas et ne va pas te faire d’idée. Je n’aime que les femmes !-Se branler devant moi te gênerait alors ! Tu es un grand timide ?-Non, mais chacun a et doit garder sa part d’intimité.-Tu pourrais au moins me la montrer, je suis sûr que la mienne est plus grosse !Il commença sérieusement à m’agacer et je n’eus qu’une envie, lui montrer mon sexe dressé et surtout la toison de feu qui l’entourait, une toison de la même couleur que mes cheveux, d’un roux flamboyant. Cette envie de lui montrer mon sexe me causa une nouvelle gêne. Je décidai de prendre congé sous un faux prétexte, le laissant seul avec son sexe en main, l’air idiot.
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....A suivre....
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