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Le Nouveau Photographe

Chapitre 1

Un bon tuyau

Voyeur / Exhibition
Chapitre 1 : Un bon tuyau


« A quel moment me suis-je retrouvé dans cette situation inédite ?? »J’observe non sans plaisir la bouche de Delphine avaler mon sexe turgescent et dressé, son regard plongé dans le mien. Je demeure interdit mais, assis dans un fauteuil sur sa terrasse, je n’ose bouleverser ce moment exquis.Attendez, il faut que je vous explique un peu. Tout ça partait d’une bonne intention. En effet, en ce moment, fraîchement diplômé dans la photographie, je suis à la recherche d’un travail. Donc pour m’occuper, en attendant d’avoir un retour positif, puisque des retours j’en ai eu, des envois de C.V. et de lettres de motivation sur toute la région, je fais des petits boulots, donne des coups de main à mes voisins. Bref, bien que cela ne rapporte pas vraiment, j’essaie de me rendre utile autour de moi.
C’est ainsi qu’hier je reçus un coup de téléphone :— Allô !La personne qui appelait semblait être en voiture, en entendant le bruit de fond.— Salut Mike, c’est Delphine, ta voisine, à l’appareil ! Je te dérange ?— Oh bonjour Delphine, ça va ? Toujours autant la pêche à ce que je vois ! J’allais partir faire quelques photos, mais dis-moi, lui dis-je avec chaleur.— Oui très bien ! Ah bah je tombe nickel alors ! Écoute, je t’appelle parce que j’ai besoin d’un petit service : j’me fais livrer un meuble demain mais je suis en équipe éducative toute la journée et j’pourrais pas le réceptionner. Tu crois que tu pourrais t’en charger ? débita-t-elle d’une traite.— Euh normalement oui. Il arrive à quelle heure le livreur ? J’ai juste besoin de signer ?— J’sais pas, je te redis ça dans la soirée. Bah si tu peux monter le meuble en même temps ce s’rait parfait.— Ok bah passe ce soir en rentrant me filer tes clés pour que je puisse accéder à ton chez-toi.— Eh tu sais quoi ? J’arrive dans 10 minutes !— A toute de suite alors !
Je regardai mon téléphone : 15h40. Déjà en route ? C’est vrai qu’elle a un boulot parfois tranquille : prof ! Bon ok, avant de m’attirer les foudres de tous les profs, je sais bien qu’elle taffe et qu’elle en fait beaucoup pour ses élèves, qu’il y a des copies à corriger, les cours à préparer, les réunions, etc. Mais bon finir un lundi à 15h30 c’est plutôt confortable pour démarrer la semaine !
Ah la voilà qui sonna à la porte ! J’ouvris la porte et restai bé devant la vue que ma voisine m’offrait. Je savais que c’était une femme plantureuse et très charmante, mais je n’avais jamais imaginé à quel point c’était vrai, surtout en la voyant d’aussi près. En effet, il ne nous était jamais vraiment arrivé de partager plus qu’un simple bonjour en se croisant dans la rue . Sa tenue était somme toute assez classique pour un mois de juin : un débardeur rouge avec un décolleté suffisamment plongeant pour mettre en valeur une poitrine volumineuse et révéler une fine corolle noire de dentelle de son soutien-gorge, un short en jean assez court pour être hypnotisé par ses jambes fuselées se terminant aux pieds par une paire de Dock-Martin noires. Reprenant contenance, je l’accueillis chez moi tout en me demandant si ses élèves ne deviendraient pas fous en la voyant ainsi donner cours :
— Bonjour Delphine ! Très en beauté aujourd’hui ! lui dis-je en la faisant entrer.— Salut voisin ! Parce que d’hab’ c’est pas le cas ? me répondit-elle en souriant.

Elle me claqua deux bises chaleureuses et se glissa dans l’entrée.
— Tiens voici un double de mes clés, me dit-elle en me les montrant accrochées à son doigt.— Ah merci et pour l’horaire tu en sais plus ?— Attends je regarde sur mon tél !
Sortant son portable de son petit sac à main, je l’entendis pianoter vivement dessus pendant que je continuai à la détailler : ma voisine est vraiment canon et je dois avouer qu’elle ne me laissait pas indifférent. Difficilement, je tentais de dissimuler l’érection qui me gagnait et qui pouvait être visible.
— Ah voilà ! Le livreur arrive entre 10h et 11h !
Sortant de ma rêverie, j’acquiesçai. Elle ajouta que le meuble irait derrière le canapé. Elle précisa aussi qu’elle me récompenserait pour mon service, ce, à quoi, je répondis :
— Attends Delphine, tu n’as pas besoin ! Si on ne peut plus s’aider entre voisins sans rien se devoir, cela ne sert à rien !— Très bien mais si tu as besoin de quoi que ce soit, n’hésite pas ! Allez topette voisin ! me lança-t-elle joyeusement, ses seins se balançant légèrement, alors qu’elle me donna ses clés directement dans la main.— Salut voisine ! lui répondis-je, rêveur, en fermant la porte derrière elle.
Je rangeai les clés dans le vide-poches et mis alors mes chaussures pour aller prendre quelques clichés.
Lorsque je revins par mon jardin (il y a un petit portillon au fond pour accéder aux chemins qui serpentent derrière), je jetai un coup d’œil rapide à gauche par-dessus la haie et remarquai la présence de ma jolie voisine qui s’affairait sur sa terrasse, sûrement avec ses cours. Un détail ne m’échappa pas alors que je traverse mon jardin pour rejoindre la mienne : elle ne portait plus son soutien-gorge. Une idée un peu perverse me traversa l’esprit à laquelle je ne sus y résister. Je sortis alors mon appareil photo et saisis cet instant sur pellicule, caché derrière les buissons. J’ai eu l’impression d’être un voyeur mais il y avait quelque chose d’intense dans ce cliché : Delphine semblait avoir tout occulté autour d’elle, oubliant même qu’un téton était quasiment révélé, l’autre perçant presque le tissu rouge. Je lui montrerais cette prise demain et s’il faut je la supprimerai.
Alors que je me restaurais, je mis un peu de musique sur la platine. Puis je filai à la douche.Voyant l’heure qui avance, j’allai à la cuisine pour commencer à préparer à manger pour le retour de ma compagne. En rythme avec la musique, je m’attelai à la tâche et la salade composée se dressait rapidement, jusqu’à ce que j’entende la porte claquer :
— Coucou mon Mike !Ah, Sonya, mon amour, vient de rentrer ! Arrêtant ma tâche, je sors de la cuisine pour me diriger vers elle et la serrer dans mes bras :— Bonjour mon cœur ! Ta journée s’est bien passée ?— Oui super mais le mec d’une cliente m’a fait du rentre-dedans donc là j’ai faim, me dit-elle, une sourire mutin aux lèvres et les yeux pétillants. Mais pas de bouffe ! Silencieux, elle ajouta alors, en me caressant le sexe à travers mon short : — J’ai envie de toi !
J’émis un instant de recul pour la faire languir un peu et observer ce corps que j’adore. Une analogie assez saisissante m’interpelait alors que je remarquai que Sonya avait une tenue similaire à celle de Delphine. Ainsi, une pulsion m’envahit, s’insinuant dans chaque veine de mon corps. Elle le remarqua puisqu’elle me dit :
— J’aime ce feu dans tes yeux : baise-moi !
Alors je me jetai sur elle. Je l’embrassai avec fougue en la plaquant au mur. Mes mains caressaient chaque parcelle de son corps, je sortis ses seins fermes et remplissant bien mes mains de son débardeur pour les malaxer avec ferveur. Heureusement qu’elle ne porte pas de soutien-gorge aujourd’hui ! Ma bouche saisit ensuite un téton pour l’aspirer tandis que je reprenais l’exploration de son corps, glissant mes mains dans son short, dans lequel je ne trouvai aucune culotte. Devenant fou de désir pour celle que j’aime, je la retournai, baissai son short pour enfoncer mon sexe directement au fond de son vagin complètement trempé :
— Mmmh c’est trop bon Mike, vas-y bien fort, j’en ai besoin !
En réponse, je la baisai avec vivacité, mes couilles claquant contre sa chatte, ma bouche lui mordillant la jonction trapézo-cervicale . Je la pilonnai alors que mes mains avaient saisi ses beaux seins pour les pétrir et les malmener. Sonya criait de plaisir en continu, m’exhortant d’y aller franchement ! Je sentis soudain deux doigts de sa main se glisser dans sa chatte en même temps que ma bite. Accélérant encore la cadence, je finis par jouir à grandes salves. Ma compagne m’accompagna ensuite dans un cri orgasmique, provoqué par mes palpitations.
Soufflant ses cheveux devant ses yeux, elle me dit :— Eh bien tu étais à bloc toi aussi !— Tu sais bien que tu m’excites toujours ! Mais je ne t’avais quasiment jamais vue comme ça.— Ouais, après faut dire que le mec était franchement canon !
Je me retirai d’elle et me rhabillais pendant qu’elle en faisait autant. On se dirigeait ensuite vers la cuisine pour manger.Elle me racontait sa journée, pendant que, silencieusement, je pensais encore à la voisine, elle qui est responsable de cette pulsion sexuelle brutale qui m’a bien fait baiser ma compagne ! Sonya me parlait de ses clients et clientes, me les décrivant parfois. Dans ces conversations professionnelles, elle m’a quelques fois avoué avoir eu des relations avec des clientes pour essayer. Coi, je ne pouvais vraiment pas répondre comme je n’ai pas de travail. Elle m’en parlait avec délectation, s’assurant de ma confiance en elle. En effet, on ne s’est jamais imposé une grande exclusivité l’un envers l’autre, mais au moins la communication doit être de rigueur. Je l’aime pour cela, mais si, souvent, je me sens parfois écrasé par cet aplomb dont elle fait preuve.
— Et toi, ta journée ? me demanda-t-elle.— Oh pas grand-chose : un peu de sport le matin…— Et de la photo, l’après-midi, je suppose ? me coupa-t-elle. Va vraiment falloir que tu trouves quelque chose, Mike. Parce que, ok tu baises bien, mais si on veut se projeter un peu, il nous faut un deuxième salaire !— J’ai envoyé des dizaines de C.V. je te rappelle ! Je n’y peux rien si je n’ai pas de retour positif. Et je me suis inscrit sur des boîtes d’intérim en attendant, mais le travail manque ici, lui rétorquai-je, piqué au vif.— Eh bien fais mieux ! conclut-elle la conversation et le repas.
Se levant de table, elle sortit de la cuisine et s’installa en terrasse, me laissant tout à ranger et débarrasser. Déçu par la tournure que prenaient les choses, je nettoyai la cuisine et montai dans la chambre. Faisant également office de bureau, je repris les photos que j’avais prises dans la journée pour les trier, en retoucher certaines, en supprimer d’autres. La dernière me laissait songeur, je me sentais un peu coupable vis-à-vis de Sonya puisque j’aurais normalement dû lui en parler. Mais sa surréaction m’a particulièrement refroidi, me blessant presque, puisque je commence à voir comment elle me considère.J’envoyai alors un message à Delphine :
[SMS,Delphine,Moi]> Bonsoir Delphine !Je suis désolé de te déranger à une heure pareille. J’aurais effectivement un service à te demander en retour.< Yo voisin !Y a pas de souci, je savais bien que j’allais t’être indispensable ! Mais on en reparle demain, car là je suis un peu occupée ;)
Une photo suivait son message. Par un astucieux jeu de lumière, on la devinait nue sur sa terrasse en plein moment solitaire, sans pour autant voir quoi que ce soit. Mon corps réagit vivement à cette vue magnifique.
[SMS,Delphine,Moi]>Ah tu es comme ça toi ? On se connaît à peine et tu m’envoies une photo de toi en train de te masturber ^^<Bah pourquoi pas ? Et puis, tu sais, quelque chose me dit que tu n’es pas tout à fait innocent et que tu ne diras rien à ta nana ! Allez, à demain !>A demain Delphine.
Au petit matin, je me levai, constatant le vide à côté de moi. Je me renfrognai mais me préparai et partis courir.A mon retour, douche puis petit-déjeuner, j’étais fin prêt pour la réception du colis de ma chère voisine. En attendant, je poursuivais mes recherches sur les sites de recrutement. Car, au fond, Sonya a raison : il faut vraiment que je trouve un travail, si on veut avancer tous les deux. Je sais aussi que vivre de sa passion est un luxe qu’il n’est pas toujours évident de se permettre, mais, malgré tout ce que j’ai essayé, seule la photo me reste. Alors je dois vraiment persister dans cette voie, même si elle ne l’entend pas de cette oreille.
C’est alors qu’une camionnette s’engageant dans la rue vint me sortir de mes pensées. DHL. Ce doit être le livreur. Je sortis alors, réglai les formalités administratives et fis déposer les colis dans le salon, parce qu’il y en a en fait trois ! Je découvris alors l’intérieur, que je trouvais bien aménagé, une décoration sobre mais travaillée. Je remarquai alors un espace vide contre le mur derrière le canapé, j’en déduisis alors de la place du meuble que j’allais monter. Et sa fonction me parut assez évidente lorsque je détaillais le gros fatras sur le canapé, composé de livres, classeurs, documents divers, etc. Après être allé chercher mes outils, faisant de la place dans la pièce, en poussant le canapé notamment, je commençais ma tâche du jour.
Un œil à ma montre, 14h30 ! Je relevai enfin la grande bibliothèque. Cela a été une difficulté sans nom à monter tout seul, mais au moins c’est fait ! La dernière planche est posée et je pus souffler un peu. Dans la cuisine, je me servis un verre d’eau et, revenant dans le salon, je jugeai le canapé du regard. Bon prince, j’entrepris alors de classer et ranger dans le meuble tous les documents et dossiers.
Alors qu’il ne restait que quelques livres à classer, une portière de voiture claqua doucement et Delphine fit son entrée chez elle. Levant les yeux vers elle, je remarquais sa tenue assez similaire à celle d’hier, les seules différences résidant dans la couleur du débardeur désormais blanc, qui dissimulait très peu son soutien-gorge, et et dans les sandales à talons compensés qui remplaçaient les autres chaussures :
— Salut Mike ! Tu t’en es sorti ?— Coucou Delphine ! Ça a été une galère mais ouais ça l’a fait ! Et je t’ai même tout rangé !Constatant le travail abattu dans la journée, elle s’avança vers moi, ses seins tressautant doucement à chaque pas, et me prit dans ses bras :— Merci Mike pour cet énorme service que tu me rends !! me dit-elle, presque chuchotant.— Y a pas de souci ! Cela me fait plaisir.
Je lui rendis son câlin avant de m’écarter un peu. Son parfum m’enivrait un peu et j’avais peur de perdre une certaine contenance, alors que je sentais ses gros seins s’écraser contre mon buste. Nous rompîmes notre étreinte et elle me poussa gentiment vers le canapé sur la terrasse :
— Va t’asseoir, je te sers une bière !
Je l’entendais s’affairer dans la cuisine avant de revenir avec deux bières à la main. Quelque chose avait changé mais je ne sus le déterminer avec précision, puisqu’elle arriva rapidement au canapé. Nous trinquâmes alors à sa nouvelle bibliothèque. Ce fut elle qui rompit le silence :
— Alors tu as un service à me demander ? me demanda-t-elle, en me regardant dans les yeux, le dos bien appuyé dans le canapé. Cela faisait ressortir encore plus sa belle poitrine et, à cet instant, je compris et mon sexe gonfla encore, voulant presque percer mon short.— Oui, je ne sais pas si tu es au courant, mais je cherche du travail dans la photographie. J’ai des diplômes et un book, mais les annonces ne se bousculent pas dans la région. Et comme je sais que tu es prof, tu as parfois des contacts avec des professionnels.— Ah ah c’est très amusant ! Je discutais justement hier avec une amie qui a son agence de photo sur Biscarrosse !— Mais non ?!?— Mais si je te jure ! Par contre, ce ne sont pas vraiment des photos grand public, si tu vois ce que je veux dire ?Interrogateur, je lui répondis :— Des photos de charme ?— Oui exact. Je ne sais pas quels sont tes thèmes de prédilection, mais si cela te tente, je pourrais te donner ses coordonnées.— Bah écoute je n’ai pas fait beaucoup de photos de ce genre. Justement je voulais te parler d’un truc en même temps. Je reviens !
Je partis puis revins deux minutes après avec ma tablette :— Hier, je n’ai pas pu m’empêcher après ta visite et je t’ai vu sur ta terrasse en train de travailler.L’œil scrutateur, Delphine m’intima de poursuivre, alors que ses tétons semblaient encore plus proéminents que jamais. Je poursuivis donc :— Je t’ai prise en photo.Elle m’observa avec des yeux ronds, il n’y avait aucune colère seulement de la stupéfaction alors que j’allumai la tablette et lui montra la photo en question :— Quel pervers ! Je vois que tu t’es bien rincé l’œil ! m’asséna-t-elle.Je la regardai, interdit, et je vis qu’elle souriait, amusée et qu’elle semblait, au contraire, flattée.— En vrai la photo est très belle, je pense que tu as un bon potentiel. Tu plairas à mon amie.— C’est vrai ? lui dis-je, soulagé de sa réaction.— Oui mais je souhaite que tu supprimes la photo. Je ne t’ai pas donné mon autorisation, ajouta-t-elle, toujours souriante mais il y avait cette lueur de braise dans les yeux.— Mais tu viens de le dire, j’en ai besoin pour l’entretien avec ton amie !— Alors paye-la, me susurra-t-elle en s’avançant franchement vers moi, la main saisissant mon sexe durci sous mon short. J’ai vu comment tu me regardes et que tu as remarqué certains détails.
Silencieux, ne sachant quoi répondre, je la regardai me branler à travers mon short en frottant doucement son entrejambe contre ma cuisse. Sa main gauche pressait son sein, le faisant presque sortir de son débardeur. Ses aréoles étaient tellement visibles à travers le tissu blanc que ma morale flancha. Des deux mains, j’agrippai son haut que je déchirai d’un coup sec. Delphine poussa un petit cri de surprise puis se jeta sur moi et m’embrassa avec une fougue que je n’avais jamais connu jusque-là !Mes mains exploraient chaque partie de son corps pendant qu’elle me masturbait avec son entrejambe encore vêtu. Elle retira son haut déchiré et se mit à genoux devant moi.
Voilà comment je me retrouve assis dans le canapé, sur la terrasse de ma voisine, à me faire pomper proprement la bite par une prof bien cochonne ! Après avoir baissé mon short, elle me prodigue une fellation digne de ce nom, alternant entre rythme effréné sur le haut de mon sexe et des gorges profondes lentes mais intenses. Elle salive suffisamment pour en humidifier ses seins et entamer une masturbation avec ses gros nichons :
— T’aimes ça, hein ?— Oh putain, Delphine, c’est trop bon ce que tu me fais là ! Je ne t’avais pas si…— Vas-y dis-le !— Si… salope, dis-je un peu hésitant.— Ouais je suis une bonne salope qui branle ta belle bite entre ses gros seins !!Je tire alors sur ses tétons, les tordant un peu pour augmenter son plaisir, pendant qu’elle poursuit sa branlette experte !— Vas-y, continue, salaud !J’accentue alors ma prise, ce qui la fait réagir et gémir plus fort. Elle accélère alors un peu la cadence avant que je la fasse s’arrêter :— Maintenant je prends les choses en main !Je me lève alors, et pousse son buste contre l’assise du canapé et lui claque le cul :— Oh vas-y claque le cul de ta salope de voisine !!— T’aimes ça, hein ? lui dis-je en ponctuant chaque mot d’une fessée plus forte que la précédente.N’attendant même pas sa réponse, j’enfonce ma bite au plus profond de sa chatte d’un coup franc. Elle crie de plaisir et de surprise, alors qu’en levrette je commence à la baiser avec ferveur :— Oh putain, vas-y, défonce-moi la chatte, salaud !!
Agrippant d’une main ses cheveux et l’autre un sein pour la cambrer au maximum, je lui assène des coups de reins, profonds et vifs. Ses cris de jouissance redoublent d’intensité. Tout le voisinage risque de nous entendre, mais aujourd’hui on s’en fout. Je maintiens le rythme. D’ailleurs, elle semble très souple puisque je peux l’embrasser en la besognant sans discontinuer. Mon pubis claque contre son cul alors que je maintiens ma prise sur elle :
— Ça, c’est une bonne chienne qui aime se faire baiser !— Oh ouais j’adore ça, me faire déboiter par mon voisin !! Vas-y, fais-moi jouir !!
Ne faiblissant pas, je renforce ma prise sur ses tétons, tout en assénant des coups plus lents mais plus puissants qui la projetteraient en avant si je ne la retenais pas. Soudain, un cri plus fort sort de sa gorge déployée, son corps se tend entre mes mains et Delphine exulte dans un soupir orgasmique.La relâchant, elle extrait ma bite de sa chatte et, de nouveau à genoux, elle l’empoigne :
— Allez Mike, inonde mon visage de bonne salope de ton sperme chaud ! me dit-elle en me branlant avec énergie.— OK !
Alors, je glisse une main derrière sa tête pour la maintenir, tandis que, de l’autre, je prends ma masturbation en charge. Ses yeux observent avec attention chaque goutte qui pourrait s’échapper de mon méat en tirant la langue. Me sentant venir, je prends un tout petit peu de recul puis dans un gémissement de plaisir, j’éjacule sur son visage, zébrant sa peau de traînées blanchâtres.
— Mmmmh merci, me dit-elle en recueillant le sperme sur son visage pour le porter à sa bouche, tu as bon goût, tu sais ?Souriante, elle finit de se nettoyer ainsi.— Non merci à toi pour cet agréable moment, Delphine ! Je ne te savais pas si expressive !— Ah ah je m’en doute ! J’adore le sexe un peu vif et châtier ! La tienne a plutôt l’air discrète non ?— C’est différent, lui réponds-je, évasif.— Je vois, réagit-elle en se marrant.Elle se lève et file dans la salle à manger. Revenant sur sa terrasse, elle fouille dans son sac à main, avant de me tendre une petite carte de visite :— Voici les coordonnées de mon amie en question. Dis-lui que tu viens de ma part. Pour ce que j’en sais, elle croule sous le travail en ce moment, donc elle aura peut-être un travail pour toi.— Encore merci, chère voisine !— Un service pour un service, n’en parlons plus. En revanche, j’espère bien revoir ta belle queue de temps à autre, dit-elle en s’esclaffant.Rigolant, je ne nie pas ne pas le vouloir et prends congé d’elle.
Arrivant chez moi, je vais pour glisser la carte de visite dans mon portefeuille avant d’en prendre finalement connaissance :
Le Flash XPhotographie de CharmeQuand plaisir et professionnalisme s’harmonisent pour le bonheur des yeux !Adresse : Impasse xxxx xxxxxxxx - XX XXX BiscarrosseContact : 05 XX XX XX XX
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