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Le Nouveau Photographe

Chapitre 2

L'entretien d'embauche

Voyeur / Exhibition
Chapitre 2 - L’entretien d’embauche


Le téléphone sonne. J’espère que l’amie de Delphine va vite répondre. Mon cœur bat la chamade, tellement je suis impatient de la rencontrer, faire mes preuves et enfin décrocher un travail qui me plaira ! J’en ai cruellement besoin. J’ai l’intime conviction que cela pourrait m’aider à rétablir l’équilibre dans mon couple. J’ai à peine vu Sonya, hier elle est rentrée très tard. Je me demande ce qu’il se passe. Apparemment tout va bien. Je me sens coupable car j’aurais dû lui parler de la voisine, mais elle ne m’en a pas encore laissé le temps. Et ce matin, alors que je m’étais levé de bonne heure, elle était déjà sur le départ, m’embrassant brièvement avant de me souhaiter une bonne journée. J’aurais voulu la retenir mais elle fila entre les doigts.
“Mme Lehane, Le Flash X, bonjour !”Me sortant de ma rêverie, je finis par répondre : — Bonjour Mme Lehane, je suis Mike Fox. Je ne sais pas si Delphine vous a parlé de moi mais…“Oui elle m’a envoyé un message hier soir pour me prévenir de votre appel imminent !” me coupe-t-elle dans un souffle.— En effet, je suis diplômé en photographie, j’ai un book que je remplis autant que possible, pas avec n’importe quoi, bien sûr, et je suis à la recherche d’un employeur qui pourrait bénéficier de mes compétences, continué-je, tout en m’interrogeant sur le bruit de fond que je crois percevoir.“Comment vous y allez là ! Ce n’est pas trop comme ça que ça se passe, vous savez ? Vous venez pour un travail, c’est une chose mais ici c’est moi qui contrôle qui reste et qui part ! Si j’estime que vous ne ferez pas l’affaire, vous ne serez pas sous contrat avec nous.” m’assène-t-elle, à juste titre.Effectivement, j’avais cru judicieux de me rendre indispensable mais le fait d’être passé par son amie pour obtenir ce coup de téléphone me rend nécessiteux… J’aurais dû l’anticiper. — Oui très bien Madame, mais serait-il possible que nous nous rencontrions pour discuter de tout cela de vive voix ? Ainsi je pourrais vous montrer mon book et ce que je vaux, tenté-je de relancer.“Cela me semble honnête ! J’espère que vous n’allez pas me faire perdre mon temps.”— Moi aussi. Quand auriez-vous du temps à m’accorder ?“D’ici vingt minutes. J’espère que vous n’habitez pas loin.”— J’y serai sans faute. A tout de suite !
Raccrochant le téléphone, m’habillant en quatrième vitesse et prenant au vol ma tablette et la sacoche de mon appareil photo, je me rue dans ma voiture et file aussi vite que possible à l’adresse indiquée sur la carte de visite. Quinze minutes, c’est le temps de trajet indiqué par Maps. Cela ne me laisse que très peu de temps pour atteindre ma destination et trouver une place.
J’y suis ! Voiture garée, je cours presque dans la rue pour arriver à l’agence. La voyant à quelques mètres, je reprends une démarche sûre pour calmer ma respiration et mon cœur qui tambourine comme un dingue dans ma poitrine. Un coup d’œil à ma montre : dans les temps. Je pénètre dans l’agence. L’entrée donne directement sur un petit couloir qui dessert une salle de restauration à gauche, un atelier à droite, trois studios plus à gauche et au fond et le bureau de la Directrice de l’agence après l’atelier. L’entrée de son bureau est dans un petit renfoncement qui a été aménagé avec trois chaises pour faire patienter les modèles, je suppose. Tout semble bien calme, hormis quelques bruits étouffés qui proviennent du bureau.
Je décide donc de m’asseoir et attendre que Mme Lehane ait fini, puisque, vraisemblablement, elle est encore occupée. Pendant ce temps, je cogite, revois les photos que j’ai prises, fais le point pour être le plus convaincant possible. Les bruits que j’entends ne semblent pas faiblir ni s’arrêter alors je finis par être plus attentif à ce qu’il se passe dans ce bureau plutôt qu’à mon entretien. Soudain un gémissement retentit doucement dans le bureau. Il semblerait que quelqu’un derrière cette porte rouge prenne du plaisir. Je m’approche alors et colle mon oreille. Ce que j’entends me laisse perplexe : "Vas-y Ash rajoute des doigts ! Dilate ma chatte !”
“T’inquiète grande sœur, tu vas prendre !!”Du sexe entre sœurs ? Dans ce bureau ? Les gémissements gagnent en intensité et en volume. Apparemment la grande sœur prend grandement son pied. Un second gémissement plus rauque laisse supposer que la dénommée “Ash” est également bien stimulée. Tout cela m’excite énormément et j’appuie encore plus mon oreille contre la porte. Celle-ci n’était pas bien fermée puisqu’elle finit par s’entre-ouvrir légèrement. Le spectacle auquel j’assiste m’achève, mon sexe palpite et semble vouloir transpercer mon jean, me faisant presque mal : une jeune femme rousse, la jupe relevée en ceinture, nue partout ailleurs, est allongée sur le dos sur le bureau, ses gros seins écrasés par les cuisses de la brunette, me tournant le dos, assise sur elle en train de la doigter avec une vitesse incroyable. La rousse n’est pas inactive puisqu’elle inflige un traitement assez similaire à sa cavalière complètement nue, en besognant sa chatte et son cul en même temps. N’y tenant plus, je sors discrètement mon appareil photo. Première image. Compte tenu du raffut, je ne pense pas qu’elles m’entendront si je prends quelques clichés. Par ailleurs, les prendre sur le fait, dans une posture a priori naturelle, me semble être générateur des plus belles photos.C’est alors que la brunette se retourne sur la rousse pour s’asseoir sur son visage et le frotter vivement avec sa chatte. Je constate alors qu’elle aussi est pourvue d’une très belle poitrine, quoiqu’un peu plus petite. Ce faisant, elle enduit littéralement le visage de sa monture de sa mouille et gémit bruyamment. Elle accélère encore plus la cadence, semblant vouloir jouir sur le visage de la rousse. La brune se tend alors, criant de plaisir au moment de son orgasme. Deuxième photo.Elle se relève alors, debout sur le bureau trempé et s’adresse à sa sœur : — Tu veux jouir, F ? lui demande-t-elle avec sourire.— Ouais carrément mais fais vite mon rendez-vous ne devrait plus tarder !— T’inquiète grande soeur !La brunette, Ash apparemment, sort de mon champ de vision. Je m’écarte un peu de l’interstice pour ne pas me faire débusquer, quand j’entends :“Il te va celui-là ? Il va vite te faire grimper ?” avec une pointe d’ironie et de lascivité. Je me rapproche à nouveau et comprends alors ce qui va se passer tandis que la rousse “F” répond qu’elle en bave déjà d’impatience ! Normal, en même temps ! Quand on voit le monstre qu’Ash est en train de s’équiper : un gode ceinture géant noir ! Je n’avais jamais vu un truc pareil. Je vois Ash apprêtée s’avancer dans la pièce avec une démarche grâce et féline. Troisième cliché. Elle saisit la sœur par les chevilles et la retourne sur le bureau. Elle se retrouve la poitrine plaquée dessus, les pieds au sol et les jambes écartées, la chatte bien visible et suintante de son plaisir non dissimulé, le tout tourné vers moi. Quatrième photo. La brunette se positionne, humecte un peu l’objet sexuel avec la mouille de sa sœur et s’enfonce d’un coup dans sa chatte. La violence de la scène arrache un intense cri de plaisir à la rousse. Et lorsqu’Ash se met à la baiser avec un rythme soutenu, la rousse ne fait qu’hurler toujours plus fort et quasiment continuellement. Cinquième image. L’intensité du moment m’hypnotise complètement, j’en suis même rendu à me toucher la bite à travers le pantalon. Alors qu’un cri sort plus fort que tous les autres, je me dis que j’ai assez profité du spectacle, alors je tire doucement la porte au maximum sans bruit et retourne m’asseoir.
J’ai du mal à me reconnaître : je baise ma voisine comme je n’ai jamais baisé ma copine, je prends des photos “volées” comme un voyeur pervers. Je me révulse un peu mais, d’un autre côté, c’est terriblement excitant ! Retournant m’asseoir, je regarde les clichés que j’ai pris de cette scène : ils ne me semblent pas mal du tout, pour le peu que j’ai pris. Par réflexe, je les ajoute au book sur la tablette. Derrière la porte, les gémissements se sont calmés, et les discussions se font entendre, inaudibles cependant. Je reprends un peu mes esprits, me rhabille et m’apprête à cet entretien, qui, je pense, va être fort original.Soudain, la porte s’ouvre à la volée, la brunette en sort, vêtue d’un short en jean très court et d’un crop-top pour le moins minimaliste à travers lequel ses tétons semblent vouloir passer : — Salut toi ! m’adresse-t-elle avec un léger sourire. Faith !! Ton rendez-vous est là, ajoute-t-elle en braillant à l’intention de sa sœur. Ça fait longtemps que t’es là ? me demande-t-elle.— Euh bonjour ! Non non, dis-je, gêné. — Fais-le patienter un peu, j’irai le chercher moi-même, entendons-nous depuis le bureau qu’Ash referme à moitié.— Ok ! répond-elle à sa sœur, amusée, en me regardant. Je te crois pas, me dit-elle, mais c’est pas grave ! Vas-y rentre !— Mais elle vient de dire que…. commencé-je.— Tu veux ton taf ? Alors rentre maintenant ! m’ordonne-t-elle. Tu me remercies plus tard, ajoute-t-elle en glissant un doigt entre ses seins.Je ne peux m’empêcher de suivre du regard ce doigt prenant une direction envoûtante. Souriante, elle me laisse et file dans le couloir pour rentrer dans une pièce. L’observant, je constate que son côté pile est aussi désirable que son côté face…
Prenant mon courage à deux mains, je suis son conseil et entre dans le bureau de la directrice. Je ne sais pas lequel de nous deux est le plus stupéfait : elle, me voyant débarquer ou moi, la trouvant le tailleur à peine baissé, le chemisier pas encore fermé et laissant apparaître un entre-sein des plus splendides, en train de nettoyer la mouille qui jonche son bureau. Des papiers sont éparpillés partout au sol, l’écran de l’ordinateur est renversé et sa chaise de bureau est rendue au fond de la pièce.— Je lui avais dit d’attendre ! Quelle garce elle peut être ! vocifère-t-elle. Sortez s’il vous plaît !— Je peux vous aider si vous voulez, lui proposé-je, à rassembler les papiers je veux dire, ajouté-je avec un léger sourire.— Très drôle ! me lance-t-elle, en fermant deux boutons de son chemisier blanc, cependant souriante. Ma sœur peut vraiment être chiante quand elle s’y met !— Ah la famille, cela reste sacré ! A priori vous avez des liens très forts.— Hum, fait-elle avec une moue rieuse, je suppose que cela fait un bout de temps que vous êtes arrivé ?— Eh bien, lors de notre entretien téléphonique, vous m’aviez donné vingt minutes pour venir. Donc cela fait quinze minutes que je suis là, lui réponds-je en l’observant jeter son papier absorbant trempé, ses seins ballotant gentiment sous son chemisier. — Oh je vois, dit-elle d’un air absent, en rassemblant les documents par terre, se penchant presqu’ostensiblement . Déposant mes affaires sur le bureau désormais propre, je me penche pour ramasser les documents à mes pieds, profitant de ma vue en contre-plongée sans pour autant voir quoi que ce soit de plus, me relève et les lui tends : — Voilà cela vous en fait déjà moins ! — Bonne tentative de votre part ! Vous avez un côté pervers à exploiter je pense ! me dit-elle avec un grand sourire.— Oh euh… hésité-je, confus d’avoir été si peu discret.— Ne vous inquiétez pas, vous gagnerez en discrétion ! ajoute-t-elle, achevant ma gêne. Allez asseyez-vous et donnez-moi votre C.V.Sans un mot, je lui tends le document en question, et lui laisse le temps d’en prendre connaissance. Ce faisant, j’en profite pour la détailler plus attentivement. C’est une très belle femme avec un visage fin, des yeux clairs et mutins, une chevelure rousse et bien arrangée. Sa poitrine est également assez volumineuse, 90D je crois deviner. D’ailleurs, elle ne semble pas porter de soutien-gorge, puisque ses aréoles sont bien visibles, déjà à travers le chemisier et aussi parce que les boutons laissés défaits ouvrent un plongeant décolleté. A mesure de ce que j’observe, une nouvelle érection me gagne doucement sans que je ne puisse faire quoi que ce soit pour la contrôler.Elle finit par rompre le silence religieux qui s’est installé : — Très intéressant votre C.V., M Fox. Je vois que vous avez pas mal d’expériences professionnelles, mais pas dans le domaine de la photographie. Pourquoi ?— C’est assez simple : il n’y a pas beaucoup de travail dans ce domaine. Et malgré les dizaines de lettres que j’ai envoyées ces derniers mois, je n’ai obtenu aucune réponse favorable. Il m’a fallu donc trouver des jobs saisonniers quand c’est possible, de l’intérim dans mes autres domaines de formation. Toujours est-il que la photographie reste ma passion depuis tout petit, et je n’ai vraiment eu que cela, avec le sport bien sûr, pour m’évader.— Je comprends en effet Mais ici, nous ne faisons pas n’importe quel type de photographie : nous faisons du charme. Alors, j’ai une autre question qui me brûle les lèvres : aimez-vous le sexe ? Accepteriez-vous de voir nos modèles se dandiner devant vous sans réagir, hormis prendre les meilleurs clichés ? Accepteriez-vous de passer potentiellement pour un pervers au regard de la société ?
L’ensemble des questions me laisse silencieux quelques secondes.— Je m’en doutais, conclut-elle face à mon silence.— Attendez, j’ai quelque chose à montrer qui pourrait répondre à vos interrogations, somme toute, très pertinentes, compte tenu de la nature du travail que j’aspire avoir chez vous, débité-je précipitamment.— Allez-y.Je sors alors ma tablette et fais le tour pour me mettre à côté de la directrice : — Vous permettez ?— Oui d’accord.J’ouvre la première photo, celle de Delphine que j’ai prise hier : — Ce n’est pas grand chose pour commencer, mais voici un cliché “sauvage” que j’ai pris à l’insu de notre amie commune. Je le lui ai montré ensuite et c’est ce qui lui a donné l’idée de vous contacter.— C’est en effet une belle photo. La lumière est bien maîtrisée malgré la clarté ambiante de la terrasse. Delphine est bien mise en valeur, bien que ce ne soit pas vraiment une photo de charme. Bon d’accord on voit un bout de téton, et, ah oui celui-là est visible par relief et transparence. Bon ok, c’est une très belle photo pour du charme soft, détaille-t-elle, professionnelle.— J’en ai d’autres, dis-je en lui montrant le premier cliché de mon voyeurisme de ce matin.Un silence s’installe. La directrice me regarde avec intensité :— Vous êtes un gros pervers ! me reproche-t-elle, avec un immense sourire. La photo est beaucoup plus explicite, sans nul doute, mais vous avez su prendre un moment parfait, bien qu’on ne voit pas nos visages.— Encore une autre, ajouté-je en montrant la suivante.— Oh elle est très belle celle-là ! Ash adorera savoir que vous l’avez prise au moment de son orgasme ! Très naturel ! s’exclame-t-elle, enjouée.Elle fait défiler la photo suivante, la quatrième et enfin la dernière :— De très belles photos, juste dommage que je n’apparaisse qu’en tant que chatte à bourrer mais bon c’est pas mal tout ça.Je la remercie, alors qu’elle consulte le reste de mon book, critiquant tantôt telle photo, apportant un conseil sur une erreur sur telle autre, ou même me complimentant sur mes paysages. Enfin : — Voilà ce que je vous propose : vous semblez faire un bon travail en amateur, d’après ce que je peux voir. Cependant j’aimerais d’autres clichés, disons aussi téméraires que ceux que vous avez pris toute l’heure, pour confirmer ma pensée. Dès lors, s’ils me conviennent, nous pourrons discuter d’un contrat que nous pourrions mettre en place entre nous : salaire, modalités de travail, etc.— Écoutez, cela me semble correct, encore que je ne sais pas comment je vais me débrouiller pour le faire. Mais je vais me débrouiller !— Vous avez une voisine qui rend bien en photo, il me semble ! Au pire sûrement une petite amie ? — Pas faux ! Merci du tuyau !— De rien ! Au fait, donnez-moi les photos que vous avez prises ce matin. Je ne voudrais pas les voir se perdre, me dit-elle avec sourire. Ensuite, je vais vous souhaiter une excellente journée ! Appelez-moi quand vous aurez vos dix photos ! — Les voici, lui dis-je en lui tendant une carte mémoire, c’est noté. Vous devriez avoir vite de mes nouvelles ! — J’espère bien, me dit-elle en me rendant la carte vidée. Au revoir !— À très vite ! Je me lève, un dernier regard sur elle avant de sortir. En m’engageant dans le couloir je tombe sur la brunette qui devait guetter mon départ puisqu’elle me saute dessus :— Alors ?? Tu l’as ? me questionne-t-elle, en sautillant vers moi, sa poitrine se balançant allègrement. — Un test à passer mais sinon quasiment oui. Merci ! lui réponds-je, les yeux rivés un peu trop bas. — Moi c’est Ashley, mais tout le monde m’appelle Ash ! dit-elle, un peu espiègle. — Enchanté Ash et merci encore. Moi c’est Mike.— Y a pas de quoi ! J’ai hâte de te revoir, me laisse-t-elle avec un clin d’œil. — Salut !
Rêveur et béat après cette matinée hors du commun, je sors de l’agence et grimpe dans ma voiture.J’ai hâte d’annoncer cette super nouvelle à Sonya ! D’ailleurs, il faudra que je pense à remercier Delphine.
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