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Un nouvel essor

Chapitre 1

La nuit de la mue

Lesbienne
Enfin, le dernier jour, enfin, quitter le lycée de Steamboat Springs. A moi l’université du Colorado à Boulder. Nous ne serons que cinq à y aller, une dizaine allant à l’université d’état à Fort Collins et les autres entrant dans le monde du travail, je me demande bien comment cela se passera et ce qui…— Kimberly !— Oh Brenda  désolée j’étais perdue dans mes pensées— Sans doute le bal de promo je parie ? Ah c’est normal tu formeras un beau couple avec Steve, vous serez peut-être même élu le couple de la soirée. Pendant qu’elle continue à discourir je ne peux m’empêcher de penser a la discussion surprise entre mes parents après que j’eusse reçue mon acceptation pour l’université. Mon père avait avoué à ma mère qu’il avait du financer une partie de la nouvelle bibliothèque et faire appel à un ami  afin que je sois prise au vu de mes résultats qui ne m’auraient permis que d’aller à l’université d’État. J’avais alors compris pourquoi il m’avait sermonnée et fait tout un discours sur la valeur du travail. Venant de lui qui n’avait jamais vraiment travaillé et avait failli faire couler la brasserie familiale fondée par son grand-père et agrandie par son père c’était fort de café. Heureusement le mariage avec ma mère avait sauvé l’entreprise et elle avait eu l’intelligence de confier la direction à un comité d’anciens. J’avais comme toujours promis de mieux faire, mais c’était si bon de profiter de la vie ! Je revins à mon amie qui me complimentait sur ma tenue. — Tu as vraiment toutes les chances, des cheveux longs bruns et soyeux, grande, fine, une jolie poitrine, on voit que ta mère était Miss Colorado.Ça je le savais je l’entendais assez à la maison. Je répondis en arborant mon sourire artificiel habituel, celui que j’utilisais durant les nombreuses disputes entre mes parents.  Tout en écoutant Brenda (qui elle irait travailler dans le salon de beauté de sa mère) je me rendis soudain compte que  ma meilleure amie était toujours à me complimenter et à m’admirer pour ma beauté. Se pouvait-il qu’elle fut une « malade invertie » comme le disait ma mère si méchante en parlant des femmes qui aiment les femmes  ? Et encore je ne parle pas des épithètes qu’utilise mon père. ! Parfois je me demandais comment je pouvais être si différente de mes parents, si libre, si cool avec les orientations sexuelles, l’apparence et les couleurs de chacun ;  sans doute était-ce du aux dernières années avec mon grand-père si libre dans ses propos et sa vision du monde. Vous commencez à comprendre pourquoi j’étais ravie de quitter la ville ?  Je repris le fil en interrogeant Brenda— Et toi Brenda,comment tu vois l’avenir .— Ben..— Sérieusement.Est-ce mon air si différent de ma façade habituelle, mon ton ? Toujours est-il qu’elle prend un air grave pour m’avouer qu’elle n’a pas la possibilité d’aller ailleurs au vu de ses résultats mais qu’heureusement elle a toujours aimé ce métier depuis petite— Hello les girls !L’arrivée tonitruante de nos cavaliers a coupé la conversation mais je jurerais avoir entendu dans un souffle la phrase «  de toute façon ici » mais je n’ai pas le loisir d’y penser, Steve et Carl sont bien trop volubiles pour nous laisser en placer une. Leur préoccupation est de faire entrer de l’alcool dans la salle de bal et de parler des derniers ragots du lycée.— Vous savez que le fils de la sorcière ne viendra pas au bal ?— Il a un nom Carl, Le reprend Brenda encore énervée d’avoir été interrompue.— Ouais bon, Tom le solitaire, Tom le tatoué, Tom l’intello , je ne sais même plus son nom de famille d’ailleurs— Je crois que c’est Hunter Rajoute son pote— Enfin, on s’en fout, et ben il ne vient même pas au bal, on l’a vu partir avec Moore le veto pour aller au Grimpen, le ranch des Stapleton, sans rire s’occuper de bestiaux au lieu de venir au bal !— De toute façon, qu’est ce qu’il ferait au bal ? Personne où presque ne le fréquente à part ces cons d’intellos, bon allez on y va. En avant les Sailors !
Trois heures plus tard, j’en ai soupé de la conversation de Steve, il ne parle que de base-ball, de son futur boulot dans le garage de son père et de surcroît il est de plus en plus ivre car leur combine pour boire a fonctionné. En plus il ne pense qu’à se frotter contre moi dés que nous sommes un peu dans l’ombre et je vois le moment où il me demandera d’aller voir sa voiture avec lui. Bon sang est ce que je suis aussi conne que cela ?

Je dois avouer que j’avais fantasmé longtemps sur cette soirée mais cette conversation entre mes parents m’a fait gamberger et puis les vagues frottements que m’impose Steve sont si ridicules et n’éveillent rien par rapport à mes jouissances solitaires. Aussi quand il part vomir je vais retrouver Brenda seule aussi vu l’état similaire de Carl. Nos autres amies dansent encore ou sont déjà en train de  jouer dans certains coins du parking. Avec Brenda on s’esquive donc et, comme ses parents sont partis en voyage on se retrouve seules chez elle. On parle du relatif fiasco de cette soirée et, comme chacune de nous a des taches suspectes sur nos robes vu  les « exploits » de nos cavaliers on décide de se doucher. Tout en papotant, chacune aide l’autre à enlever ces robes un peu bouffantes et si colorées. Une fois en dessous je m’aperçois que Brenda si souvent en jeans et pull large cette dernière année a bien changée et a pris des formes. Elle a toujours été assez jolie, ressemblant à une blonde Vera de la série scoubidou. Cette dernière année la ressemblance s’est encore accentuée car sa poitrine a pris bien du volume, sans parler de sa coupe courte qui lui va d’ailleurs bien mieux que les cheveux longs. Tout comme moi  elle avait mis de jolis dessous sexy avec de la dentelle et on rit un peu de cela qui n’a servi à rien. Enfin,rien, je note qu’elle me regarde un peu bizarrement mais cela doit être du aux deux verres de punch que nous avons bu. Je la suis dans la grande salle de bain en continuant a papoter sur nos vies, nos avenirs,  nos idiots de cavaliers...

Elle se déshabille tranquillement et, sans fermer la porte un peu opaque  commence à se doucher devant moi. Je suis un peu étonnée de son geste mais c’est troublant. Brenda est une vraie blonde avec une petite toison en triangle et ses légères rondeurs la font classer comme pulpeuse. Elle se savonne devant moi, passant le savon sur son ventre, ses bras, ses cuisses puis ses seins lourds dignes d’une femme plus âgée. Elle me regarde intensément pendant qu’elle passe lentement le savon sur ses seins bien plus longtemps que nécessaire, effleurant de plus en plus souvent les tétons, les faisant durcir devant moi avant de passer tout aussi lentement le savon entre ses cuisses. Je regarde ses lèvres serrées et sens la tension qui émane d’elle. Tension un peu rompue quand elle me demande si je peux lui passer le savon dans le dos. Elle se tourne et me présente ses fesses rondes. Je passe le pain de savon dans son dos et ses fesses et j’entends un petit soupir qui fait que j’étale la mousse avec mes mains. C’est la première  fois que nous avons un tel contact alors même que nous continuons à babiller comme les amies que nous sommes depuis le jardin d’enfants. Je flatte ses fesses plusieurs fois me retenant de les saisir à pleine mains. C’est un moment bizarre pour nous qui nous connaissons pourtant si bien et je ne peux m’empêcher de me dire que nous savons toutes les deux que nos chemins vont bientôt diverger. C’est comme si j’avais devant moi une autre Brenda, bien différente de celle que je connais, comme si elle avait décidée  de vraiment se révéler avant mon départ.
Elle sort de la grande douche encore luisante de l’eau et je me déshabille à mon tour pour y entrer. Je me surprends à le faire lentement avant d’y entrer sans fermer non plus la porte. Elle me regarde sans se cacher,et je vois son regard se fixer sur mon buisson sombre taillé en un petit triangle net et mes seins qui même s’ils sont loin d’être aussi gros que les siens sont loin d’être petits. Je laisse l’eau ruisseler en pluie sur moi, m’étirant comme une chatte, je me sens femme, je me sens libre et forte. Je me savonne tout aussi lentement qu’elle, insistant sur ma poitrine avec mes mains pleines de mousse, me pinçant légèrement les tétons en la regardant dans les yeux. Puis je savonne mon petit buisson moussu , passant et repassant lentement sur ma fente en gémissant de façon presque imperceptible ; le presque faisant toute la différence !Je me tourne ensuite, lui présentant mon dos et mes fesses musclées par des années de basket et de sport. Quand je sens ses mains – oh si douces- passer sur ma peau, je frémis de tout mon corps et à l’instar d’elle un peu plus tôt, je gémis un peu plus fort. Je ne sais pas si elle est plus excitée, plus courageuse ou plus folle que moi mais ses mains restant longtemps sur mes fesses et surtout elle passe sa main entre mes cuisses que j’ai un peu écartées.
Je me tourne alors, la regarde sans mot dire mais avec un petit sourire. Elle me fixe l’air un peu interrogateur et cette fois c’est moi  la plus courageuse en lui disant— Je crois que je suis pas assez propre devant…Elle arbore un sourire éclatant et avec ses mains savonneuses me lave – à nouveau- le corps. C’était chaud quand elle m’a caressée le dos et les fesses mais ses doigts qui passent sur mon ventre, mes cuisses mmm et quand elle empaume mes seins, mes expériences seules ou par mes petits copains plongent immédiatement dans l’oubli des faibles sensations. La, c’est chaud, excitant, si différent, si sensuel. Mes tétons deviennent rapidement très durs et je sens ma petite chatte se liquéfier rien qu’avec ses caresses.  Je n’en peux plus et l’attire vers moi, la douche est bien assez grande, on se serre l’une contre l’autre sans même parler, les yeux dans les yeux et le jet en mode pluie ruisselle sur nous et nous débarrasse du savon. Enfin, dans le même mouvement nos lèvres se joignent. C’est très doux, très délicat et nous restons ainsi sans bouger un long moment. Nos bouches sont simplement jointes, nos seins se touchent et nos mains sont posées sur les fesses de l’autre. S’il n’y avait nos respirations toujours plus haletantes d’ailleurs on croirait des statues. Enfin, nos langues viennent goûter les lèvres de l’autre et entament un doux combat très sensuel. Une bataille très douce mais qui nous échauffe tant que nous quittons ensuite la douche pour rejoindre son lit à la décoration typique encore adolescente malgré nos dix-huit ans. Nous y allons en titubant,nouées, collées à  l’autre et nous embrassons encore et encore sans répit, toutes digues rompues.
Au bout d’un moment  qu’aucune de nous deux ne saurait quantifier, nos bouches s’égarent doucement sur le cou de l’autre, ses épaules, ses seins. Je me fais sucer les tétons par une femme et j’aime cela à tel point que je lui rends la pareille avec un plaisir incroyable. Le plaisir que je ressens est tellement fort que je me sens monter et c’est si puissant par rapport aux orgasmes que j’ai eu ; un peu comme un ouragan par rapport à une brise. Nos mains sont partout sur nos corps même si pour l’instant elles n’ont pas -encore-touchées nos petites chattes trempées. On alterne bisous, pincement des tétons entre les doigts, les lèvres, pelotage des seins et baisers de plus en plus sauvages au fur et à mesure qu’on monte et chacune sent vibrer l’autre.
C’est sans même nous toucher plus intimement qu’on jouit toutes les deux dans un baiser sauvage. On est vautrées l’une contre l’autre, tremblantes de cet orgasme si puissant ; ce plaisir qu’aucune de nous n’avait jamais ressenti. Les petites confidences que nous échangeons alors le confirment bien, jamais aucune n’a eu autant de plaisir. On est toutes les deux adeptes de la masturbation depuis longtemps et les quelques attouchements que nous avons eus n’ont pas vraiment été concluants. Brenda me confie qu’elle a toujours su qu’elle était différente et les quelques caresses avec un lointain cousin, essayées pour voir l’ont confirmée dans ses choix. J’ai eu plus de flirts et quelques sensations avec les garçons qui font que je me sens plutôt bi mais là j’ai eu un coup de cœur, une irrépressible envie d’elle. Nous rendons grâce aux circonstances si spéciales, aboutissement de tant d’années à nous côtoyer et tacitement décidons de profiter de ces instants sans penser à la suite.
C’est ainsi que, après quelques instants à nous contempler l’une l’autre, nous laissons nos mains errer sur nos corps. C’est à nouveau tellement intense que nos cuisses s’ouvrent presque toutes seules, exposant sans fard nos intimités humides. On se caresse l’une en face de l’autre et voyant Brenda plonger profondément ses doigts en elle, elle répond à ma question muette en me confiant s’être dépucelée avec un gode l’été dernier. Je lui avoue ma virginité et mon envie de le rester encore ce à quoi elle me répond avec un sourire très doux— Je serais douce,de toute façon il y a tant de façons de jouir.
Oh oui il y a tant de façons…Nous faisons durer le plaisir en nous provoquant. Elle se tire les pointes de seins, je titille mon clito, elle se pelote la poitrine, je parcours mon corps avec mes mains chaudes, c’est délicieux, le plaisir de faire des choses si différentes de la normalité qu’on nous inculque à la maison et dans nos cours parfois si éloignés de la réalité, mmm tout cela  m’échauffe les sens. Il en va de même pour Brenda et quand la température devient trop élevée entre nous, on se rapproche et on touche le corps de l’autre. Oh ses doigts sur mon clito, oh cette chaleur et cette humidité chez elle. Nous nous touchons, jouons avec le corps de l’autre et nous jouissons tellement rapidement, tellement fort qu’ on se retrouve en sueur, le visage rouge, la respiration haletante en à peine quelques minutes. — Comme c’est bon— Oh, oui et j’en avais envie depuis si longtemps. Découvrir cela avec toi , dans notre petite ville, ça me paraît incroyable.Enfin, si j’en crois ma mère et les histoires du salon que j’ai surprise, je ne suis pas la seule à être ainsi.— Tant que tu est heureuse Brenda c’est le principal n’est ce pas ?— Et là, je suis heureuse avec toi.C’est des paroles un peu mièvres mais nous sommes bien, détendues, alanguies. Nous échangeons encore de petits confidences, elle me parle de sa difficulté à faire semblant devant les autres filles de notre petit groupe et je me rends compte maintenant de l’esprit étriqué de nos amies, de leur rejet de toute personne un peu différente. Oh j’ai été moi aussi souvent très bête à me conformer à l’esprit de groupe, à ne pas réfléchir par moi même bon nombre de fois, mais ces deux derniers trimestres j’ai eu comme des illuminations dans nombre de domaines. J’ai soudain un flash.— Mme Driver, la professeure d’ histoire— Oui qu’est ce qu’il y avec elle ?— Je me rends compte maintenant qu’avec ses leçons elle m’a ouvert les yeux sur plein de choses, que grâce à elle  j’ai appris à réfléchir par moi-même.Brenda a un drôle de petit sourire quand je lui parle et soudain, il devient clair que Brenda, la discrète Brenda a eu droit à d’autres leçons… Je ne l’interroge pas sur ce jardin secret et je suis fière de ma nouvelle attitude. Je reprends : — Tu sais pour nombre de nos amies, cette nuit a été une nuit de découvertes, de changements , souvent à l’arrière d’une voiture étriquée d’ailleurs mais  non seulement je préfère être ici et à l’aise mais pour moi, c’est comme une nuit de la mue.— Et elle n’est pas finie.— Oh non Brenda elle n’est pas finie...
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