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Un nouvel essor

Chapitre 3

Une surprise sous nos fenêtres

Voyeur / Exhibition
Six jours.
Voilà déjà six jours que je suis installée dans une chambre double du  bâtiment de la sororité  Kappa Zeta Tau à l’université du Colorado.  Ce n’est pas la plus fameuse association du campus mais je suis bien. J’avais été approchée par d’autres groupes mais mes nouvelles idées, mon désir de vivre différemment font que je n’avais plus envie de traîner avec des filles écervelées et superficielles. Oh, je reconnais que j’en faisais encore partie l’année dernière mais depuis la nuit de la mue comme je l’appelle, je me sens, non je suis différente. Intérieurement mais aussi extérieurement, car j’ai fait transformer ma coupe brune traditionnelle en une coupe pixie très ébouriffée, avec une partie rasée sur le côté droit qui fait presque punk en fait. J’ai changé de style de vêtements passant de la jupe ou du pantalon droit clair au pantalon cargo noir avec t-shirt.Nous sommes une quinzaine de filles de première année à l’étage qui nous est réservé et les autres sont tout aussi atypiques que mon nouveau moi.  Il y a celles qui ne rentrent pas dans le moule, trois latinos, deux asiatiques, celles plus âgées qui reprennent leur vie en main.. bref toutes celles qui n’ont pas joué le jeu des clubs féminins habituels. Pourtant l’ambiance entre nous me semble moins artificielle qu’ailleurs et j’ai la chance que ma coloc, Deri qui est née en Inde mais est venue aux USA toute petite est super sympa.Nous revenons des inscriptions où j’ai pu valider mes derniers choix et me focaliser notamment sur histoire, comptabilité et commerce. Toute petite j’étais toujours fourrée à la brasserie familiale avec mon grand-père mais à sa mort , mes parents m’ont interdit de m’y rendre et j’ai décidée que je devais maintenant changer la donne. En attendant, je suis là, détendue et  repense à nos deux jours de jeux avec Brenda. Je ne regrette rien même si nous sommes allées très loin dans la découverte, notamment quand elle a sorti un joli gode et un petit canard vibrant…Bon allez il est temps d’aller courir et de profiter des superbes installations de l’université. Il  y a pas mal de monde car les sélections des clubs se tiendront bientôt du moins pour celles et ceux qui, comme moi ne sont pas là avec une bourse sportive. Je cours à mon rythme, je me vide la tête comme à chaque fois, laissant derrière moi mes parents et mes petits problèmes. Je dis petits car par rapport à d’autres, j’ai conscience d’être très bien lotie. Tout en courant autour du stade, j’ai la vague impression qu’une silhouette devant moi ne m’est pas inconnue et quand le garçon s’arrête pour se désaltérer je reconnais Tom Hunter. J’ignorais qu’il était ici lui aussi, comme les autres je ne le fréquentais que peu. Je lui fais un petit signe de tête et il me répond de la même façon avec un air étonné. Je ne peux lui donner tort, comme les autres je l’ai toujours au mieux ignoré et parfois été dans la bête mouvance consistant à le critiquer. Je me rends compte que taper sur les autres pour grandir ou avoir cette impression était très stupide. Surtout qu’il ne m’a jamais rien fait, au contraire il m’avait même aidé à changer une roue de vélo quand j’avais treize ans. Dire que je n’avais pas osé le remercier car je ne voulais pas être vue avec le « fils de la sorcière »comme on disait !
Il me double et je dois avouer que je le mate sans vergogne, il a un beau corps, grand, musclé, fin et mmmh, oui  un joli postérieur. Je sens aussi son regard sur moi un peu de temps avant qu’il ne me double et ça me fait bizarre. Mais je suis différente et, quand il s’arrête à nouveau pour boire, je stoppe et lui dis :— C’est sympa que tu sois aussi ici Tom. Il me fixe avec des yeux ronds – de jolis yeux verts d’ailleurs -  et je reprends ma course. J’imagine qu’il pense encore à l’incident de l’année dernière quand j’ai failli le heurter en voiture et  que je l’ai engueulé devant mes amies de l’époque. J’en ai honte quand j’y repense car c’était ma faute et pas la sienne.  Bon j’ai fini mes tours et je rentre prendre une douche.   
Un peu plus tard, sous l’eau je repense à un épisode récent et je sens mon corps réagir. Je me calme un peu dans mes envies car les douches sont communes et il y a  Lia une des latinos de mon côté et plus loin Susan une rescapée du mouvement hippie.  Néanmoins j’avoue sans honte avoir jeté un œil – enfin plusieurs- vers elles. Si Susan dotée d’un corps plutôt opulent en tous points n’éveille rien en moi, Lia est une petite bombe qui pourrait être la sœur plus jeune  d’une certaine actrice mexicaine très connue. Cheveux noirs mi-longs, corps fin, petit postérieur bombé, seins opulents mais fermes, visage souriant et teint mat, un petit buisson sombre taillé en rectangle...Elle est  sexy et je ne dirais pas non.  J’ignore ce qu’elle en pense mais son regard m’a néanmoins parcouru de haut en bas quand elle est passée devant moi, me laissant un peu pensive. Avant de sortir à mon tour, je croise Allie une jolie brune qui est toujours à chantonner et à griffonner dans un carnet qu’en quelques jours je ne l’ai pas vu la quitter. Ses yeux rieurs me fixent intensément et je lui rends son sourire.  Je sens que je vais me plaire ici.
Les jours passent et cette première impression c’est vérifiée. Tout est intéressant, je suis bien et je me suis fait des amies de Lia, Allie – qu isont aussi colocs - et bien sûr Deri. Nous fréquentons les mêmes cours et nous entendons parfaitement. J’ai eu la surprise de revoir Tom qui est avec  nous en histoire, en économie et en littérature. Je ne l’ imaginais pas intéressé par cela comme quoi on ne sait souvent rien des autres.
Presque chaque soir, une fois nos devoirs terminés  nous nous retrouvons toutes les quatre dans une de nos chambres pour d’abord évoquer les études ou les points à revoir et ensuite pour échanger de petites confidences sur nos parcours. Ce soir là, nous étions dans la chambre de Lia et Allie. C’est Allie  justement qui soudain nous demande de nous taire et d’éteindre la lumière. Comme elle était à la fenêtre nous avions toutes compris qu’elle avait surpris une scène et avons donc suivies ses indications.Presque juste sous la fenêtre il y avait un banc entre deux buissons ce qui faisait qu’il s’agissait d’un endroit discret. Nous avons donc discrètement regardés et vu Susan, la hippie en train d’embrasser deux garçons. Oui j’ai bien dit deux garçons, bon pas en même temps,  mais l’un après l’autre. Il s’agit visiblement de footballeurs américains vu leurs carrures. On ne voit pas bien leurs visages à cause du jeu des ombres mais j’avoue qu’on s’en fiche un peu, car Susan qui paraît si effacée en temps normal, a désormais enlevée son espèce de blouse dévoilant un soutien gorge beige. Elle ne met pas longtemps à l’enlever et leur présente son opulente poitrine. Prenant un sein en coupe dans chaque main, elle les exhibe bien et se caresse devant eux. C’est déjà sacrément étonnant mais son langage a aussi changé, elle qui parle tout le temps de nature en termes choisis semble devenue une autre .  — Sortez vos queues les mecs, je veux vous voir bander devant mes gros nibards allez !Les deux gars s’exécutent immédiatement et faisant tomber leurs pantalons de jogging et leurs slips exhibent des sexes qui atteignent rapidement leur plénitude. Ils semblent être dans la normalité pour ce que j’en sais et se masturbent sous ses ordres. Car oui elle leur donne véritablement des consignes, semblant être devenue une version hard de la douce Susan.— Voilà, branlez vos pines, mm hé pas si vite putain, prenez le temps de mater mes loches.
Les filles et moi sommes serrées à regarder le délire sexuel la dessous et si aucune de nous ne parle, nos respirations sont un peu plus rapides. Voyeuses volontaires on est toutes fascinées par la passion qui anime la hippie.
Elle se caresse plus fort, tire les tétons vers sa bouche avant de se les sucer avec des bruits obscènes puis se les touche a nouveau en encourageant les deux gars.— Ouais, c’est bon ça, j’adore mater des mecs se branler la bite, vous pouvez aller un peu plus vite maintenant , je commence à être bien chaude.
Susan continue à se toucher les seins, les lèches régulièrement , se les serre fort en continuant son petit discours— Ah ça vous chauffe bien on dirait, mais attention interdiction de gicler encore— On aimerait te prendre Susan.— Faites moi bien mouiller, branlez vous bien devant moi et surtout écoutez moi bien et on verra une autre fois. Allez astiquez bien vos pines,ouais branlez vous a fond putain,Les deux gars commencent à grogner, leurs sexes tendus vers elle et s’astiquent en faisant bien gonfler leurs glands, exactement comme elle demande.
Je sens la tension émaner de mes amies et me rends compte que nous sommes serrées alors même que l’appui de fenêtre est relativement large…
— Rapprochez vous que je mate bien, oui vous écoutez bien, vous méritez un encouragement.Ils s’approchent d’elle et elle crache sur chaque queue avec une satisfaction dans la voix qui en dit long sur ses envies.— Suce nous s’il te plaît.— C’est moi qui décide, si tu n’avais rien demandé je l’aurais fait, vous devez obéir bordel !La façon dont elle joue avec eux, dont elle est passée de « écoutez » à« obéir », j’admire son talent ! Bon les deux sont clairement dominés par leurs hormones et n’ont jamais vu cela ailleurs que dans un porno mais quoi qu’il en soit elle mène clairement la danse.— Ramenez vos queues allez !Ils ‘approchent d’elle, leurs sexes juste devant sa poitrine qu’elle est toujours en train de malaxer ( je ne peux pas dire autrement !) — Allez, je veux votre foutre sur mes seins, couvrez moi les loches, allez branlez vous !Ils ne se le font pas dire deux fois et éjaculent presque en même temps sur ses seins qu’elle leur présente les mains les soutenant par dessous.— Ouais, allez balancez tout mes salauds, videz vos couilles.Et pour se vider comme elle dit, ils se vident. Plusieurs jets de sperme maculent sa poitrine  qu’elle étale avec ses mains en gémissant. Puis, elle renvoie ses étalons, leur rôle de donneur étant désormais fini.Quand ils sont partis, elle passe à un autre niveau en se léchant les mains et les seins, complètement folle de semence et, une fois les mains « propres» elle soulève sa longue jupe, enlève sa culotte blanche, la porte à ses narines avec une main et se fait jouir avec l’autre main en se masturbant furieusement dans un long soupir de plaisir.
Nous reculons et fermons la fenêtre sans faire de bruit et c’est Allie qui résume le sentiment général en disant : - Bon sang si je m’attendais à ça !Nous ne connaissons Susan que peu mais la différence entre son apparence un peu angélique et la   perversion dont elle a fait preuve nous a sacrément étonnées. Évidemment notre sujet de discussion est ce qui vient de se passer et un peu plus tard, quand Deri et moi regagnons nos chambres nous l’évoquons encore.Je ne sais pas si Deri est aussi excitée que moi car nous ne sommes pas allées aussi loin dans nos confidences mais le spectacle était assez impressionnant et nous avons toutes compris qu’une autre séance  -sans doute plus animée encore – aura lieu à nouveau.
Je me tourne et me retourne et je ne suis pas la seule. En plus avec cette chaleur de fin d’été, le moindre drap est de trop. Dans la semi-pénombre, je vois que tout comme moi elle a finalement enlevé son t-shirt et juste gardé un petit shorty de nuit. Ce qui est un peu troublant c’est que la lumière de Séléné éclaire en plein sa poitrine. Avec la couleur un peu chocolat de sa peau cela restitue une image très érotique. Je ne l’ai pas encore vue nue sous la douche, mais elle a une jolie poitrine, comparable en proportions à la mienne avec des aréoles bien brunes qui donnent envie d’être dégustées, surtout ses tétons érigés témoignent de son état similaire au mien. Je profite de l’ombre dans laquelle je suis pour effleurer mes seins avec mes mains, rejouant la scène que nous avons surprises. Je retiens à grand peine un sursaut quand je pince mes bouts tant je suis sur les nerfs. Pourtant j’ai déjà regardé pas mal de film sur le net mais là, c’était du réel et ce choc m’a sacrément excitée. En plus être serrée contre les autres, sentir leurs respirations s’accélérer…Mmm je laisse glisser mes doigts sur mon shorty, ressens toute mon humidité et ne tarde pas à passer la main sous l’élastique pour me toucher plus directement tant j’ai envie. Je me caresse en essayant de ne pas aller trop vite, de ne pas faire trop de bruit mais je dois rester concentrée et j’ai du mal. Autant Susan n’avait rein éveillée en moi, autant cette scène m’a émoustillée !Soudain, en tournant la tête je m’aperçois que je suis plus seule a jouer de mes doigts. Deri se caresse elle aussi et d’une façon presque similaire à la mienne. Je ne peux détacher mes yeux de son joli corps couleur caramel foncé, de ses gestes si érotiques.  Quand elle se débarrasse de son petit short, je fais de même et replie les jambes en les écartant pour mieux accéder à mon intimité.Comme c’est bon de se caresser , de sentir mes doigts plonger dans une humidité chaude. Je me mords les lèvres pour ne pas gémir mais me caresse plus vite.
Et puis, et puis un coup de vent chasse les nuages et la lueur de l’astre de la nuit nous éclaire bien plus fortement. C’est là que nos regards se croisent… Mais nous sommes chacune trop avancées dans le plaisir pour stopper ou se cacher et puis à quoi cela servirait t’il ? Chacune regarde l’autre se donner du plaisir, chacune observe la montée du plaisir chez l’autre dans une tension sexuelle à couper au couteau. Nous ne retenons plus trop nos gémissements sachant que les murs sont assez épais et que nous sommes au bout du couloir.  Se caresser de concert, observer l’autre se donner du plaisir à quelques mètres, je suis en nage et sais déjà que je devrais reprendre une douche. En attendant je me caresse, vais de temps en temps enduire mes pointes de ma cyprine, suscitant la même réaction chez Deri, bon sang comme c’est délicieux. Je la vois bouger, se tendre et je lui renvoie le même spectacle si érotique et si puissant que je sens la houle monter en moi. Nos gestes sont de plus en plus rapides, de plus en plus forts et c’est presque de concert que nous nous tordons de plaisir sur notre lit encore et encore...
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