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Ma nouvelle amie Céline

Chapitre 2

Voyeur / Exhibition
Texte écrit en collaboration avec Yanos :
Nous sommes bientôt en été mais le beau temps est déjà au rendez-vous. Notamment en Espagne, d’où je reviens après un séjour aussi agréable que coquin avec mon chéri, Diego. Je suis bien de retour mais j’ai encore des envies de profiter. Ainsi, je me décide à téléphoner à mon amie Céline afin de lui proposer une petite sortie. Elle est ravie et accepte de suite. L’idée du lieu de cette sortie m’a été soufflée par un ami (dont j’ai déjà parlé dans au moins une autre aventure) avec qui je discute beaucoup. Il m’a également suggéré quels vêtements nous devrions porter pour l’occasion.
Le jour J, je porte donc une robe noire qui se boutonne sur le devant, pas trop longue et joliment décolletée. Conformément à la demande de mon mystérieux ami, je ne porte aucun sous-vêtement. Céline non plus d’ailleurs, elle ne porte qu’un short en jean et un débardeur blanc. De simples baskets aux pieds complètent nos tenues. Je passe la prendre et nous nous rendons à la rivière à quelques kilomètres de chez moi, à l’endroit où j’aime aller pour me poser, et un peu plus parfois. Il fait un temps magnifique, pas un seul nuage à l’horizon et le décor est superbe. À vrai dire il fait même chaud et nous avons très bien fait de venir nous poser au bord de la rivière. Je connais bien ce coin et je suis contente de le faire découvrir à la jolie Céline. Mais ne perdons pas plus de temps et mettons nous à l’aise…
On installe nos serviettes, qu’on colle l’une à l’autre pour nous faire un espace plus grand puis on commence à se déshabiller. Les chaussures d’abord et en même temps, puis, tandis que Céline retire son débardeur pour laisser apparaître ses seins (que j’aime beaucoup) je déboutonne le haut de ma robe, libérant mon opulente poitrine. Ensuite, elle retire son short et je finis de retirer complètement ma robe ; nous voici donc toutes nues et prêtes à profiter pleinement de cet après-midi. Nous ne prenons pas le temps de nous allonger de suite car nous préférons aller nous rafraîchir d’abord. L’eau est un peu fraîche de prime abord et nous y rentrons en douceur, progressivement. Ça y est, nous voilà complètement à l’eau ; nous nageons l’une vers l’autre. Une fois toutes proches, nous nous posons sur nos pieds. Nous avons de l’eau jusqu’à peu près au-dessus du nombril. Nous nous rapprochons, les cheveux mouillés, ramenés en arrière, l’eau ruisselle sur nos peaux, la mienne un plus mate que la sienne, la fraîcheur de la rivière fait pointer nos tétons. Le tableau est magnifique : deux jolies naïades qui s’avancent l’une vers l’autre, dans le lit de la rivière, sous un soleil qui semble briller juste pour mettre en valeur nos peaux soyeuses et nos corps impatients. Céline est là, tout contre moi. Nos poitrines s’embrassent, nous nous enlaçons et mes lèvres se posent sur les siennes. Le baiser est langoureux et sensuel. Désormais la chair de poule sur ma peau, n’est plus seulement due à la température de l’eau. Elle m’a manqué et je lui ai manqué, ça se sent dans nos embrassades. Aux baisers s’ajoutent alors les caresses, mes mains passent dans ses cheveux, sa nuque, ses épaules, son dos, ses fesses et les siennes en font autant sur mon corps. Céline semble bien être autant émoustillée que moi ; la joie des retrouvailles, le bonheur de profiter de la nature et de la rivière, le fait de pouvoir librement se laisser aller à nos coquines envies.
Nos regards se croisent, nos yeux brillent du même éclat, nous n’avons même pas besoin de nous parler pour savoir ce que veut l’autre. Dans un même mouvement, nous nous déplaçons tout en souriant. Nous sortons de l’eau, nues et ruisselantes puis nous nous dirigeons vers nos serviettes. Nous nous agenouillons et nous reprenons nos douceurs. Que c’est bon de sentir ses mains si douces, toucher mon corps, malaxer mes seins volumineux, cajoler mon dos, mon ventre, mes fesses, etc. Je ne me prive pas non plus de profiter de la jolie peau de mon amie et de lui rendre chacune de ses caresses. Je me laisse ensuite glisser pour m’allonger sur la serviette, sur le dos. Aussitôt, Céline se penche sur moi pour m’embrasser encore et toujours plus sensuellement. Puis, elle m’embrasse dans le cou et donne de petits coups de langue avant de me gratifier des ses attentions sur tout mon buste. Sa bouche et sa langue descendent donc de mon cou, jusqu’à mes seins, dont elles s’occupent quelques secondes. Après quoi, sa langue trace un chemin érotique de ma poitrine jusqu’à ma minette, avec une petite escale sur et autour de mon nombril.
— Tu es belle ma Léa, j’ai envie de te goûter, dit-elle doucement. — Mmmh… ouiii, réponds-je dans un souffle, impatiente.
Une main sur mon sein, l’autre sur ma cuisse, mon amante écarte un peu mes jambes et plonge sa tête entre mes cuisses. Sa langue s’infiltre entre mes lèvres puis elle vient se coller à mon clitoris. La belle Céline s’applique à bien le lécher jouant alternativement de sa langue et de ses lèvres sur mon berlingot. Je pousse de petits gémissements discrets et involontaires tandis qu’elle me prodigue un délicieux cunni. Soudain, je sens que mon amie se déplace ; elle vient se positionner en 69, mettant ses genoux de chaque côté de ma tête et abaissant son bassin pour laisser sa minette se poser sur ma bouche. Je commence à la lécher moi aussi, me jetant sur son sexe aussi lisse que le mien. Je m’aperçois à ce moment-là qu’elle mouille aussi, excitée par nos échanges. Je décide de glisser un doigt dans la chatte de Céline et elle m’imite peu après. Tiens, il y a du bruit dans les arbres, derrière nous, près du sentier. Peu importe, c’est peut-être juste le vent dans les branchages. Nous continuons nos coquineries sans chercher à nous retenir. Entre nos gémissements entrecoupés de mots doux ("oh oui", "ma chérie", "ma belle", "c’est bon hein", "tu aimes, hein"...), nous entendons que le bruit dans les arbres se rapproche de plus en plus. Ce ne peut pas être le vent, cette fois, c’est certain. Et en effet un instant plus tard, un homme apparaît. Il se tient à l’orée du bois pour le moment, sans doute attend-il de voir si nous remarquons et acceptons sa présence.
Nous faisons comme si de rien n’était mais l’homme sait que nous avons noté sa présence. Il s’approche alors un peu plus pour continuer à observer le beau spectacle que nous lui offrons. Je sens que Céline mouille énormément et je me régale de sa cyprine, elle au bord de la rupture, je le sais. Moi-même j’en suis toute proche et je sais que je dégouline également. Tout s’accélère alors : les bruits de doigts dans nos chairs et de succions mêlés à nos gémissements, tout s’intensifie, tout devient plus fort, plus prononcé. Et puis, c’est l’explosion simultanée. Nous jouissons de concert ne retenant ni nos cris de plaisir ni nos gestes. C’est tellement bon de retrouver, de retoucher, de regoûter la délicieuse Céline. Et je peux dire sans prétention aucune que le plaisir est partagé par ma partenaire. Et puis, peu à peu les gémissements s’atténuent, les gestes se font plus lents, les corps ne tremblent plus et soudain, tout s’arrête, à part nos souffles, courts.
Nous nous allongeons sur le ventre, l’une à côté de l’autre, face à notre voyeur. Le type est un grand brun, un peu enrobé, en short et en T-shirt. Nous nous embrassons lentement et sensuellement tout en regardant notre spectateur. Il nous fixe avec appétit et finit par baisser son short, nous révélant ainsi une queue en semi érection. Cette fois-ci, avec Diego, nous avions convenu que je ne pourrais faire des choses qu’avec Céline donc je ne réagis pas. Par contre ma copine, elle, s’avance tout de suite vers lui afin de s’en occuper. Le mec s’assoit sur un rocher à proximité et Céline, à quatre pattes, se positionne entre ses jambes pour le sucer et le faire durcir. Je ne vais pas me contenter de regarder ! Je m’avance donc à mon tour, me place derrière mon amante et je recommence à la lécher en lui tenant les fesses. Céline est douée pour la fellation, comme pour toutes les pratiques sexuelles d’ailleurs, et du coup, notre voyeur se retrouve rapidement à bien bander. Je repars donc sur la serviette pour m’y étendre sur le dos, jambes écartées. Céline sourit, lance un regard coquin à l’homme puis me rejoint, toujours à quatre pattes. À son tour, elle se met alors à me lécher. Que va faire notre spectateur ?
Je jette un œil dans sa direction ; il est en train d’enfiler un préservatif. Ah ! Voilà un homme prévoyant. Il s’approche de Céline, se positionne entre ses jambes, en levrette. Il la pénètre et démarre une série de va-et-vient en elle. L’effet sur mon amie est immédiat, elle gémit un peu et surtout, elle met plus d’ardeur dans son cunni, tout en me doigtant encore. Céline arrive à se concentrer à la fois sur son propre plaisir et sur le mien. Plus l’homme la prend avec force, plus elle s’active énergiquement sur ma minette. Je caresse mes seins qui bougent au rythme effréné des ébats de Céline et du mec. Comme nous sommes toujours sous l’effet de notre précédent orgasme, nous ne tardons pas à jouir en même temps une deuxième fois. Et cette fois encore, nous ne cherchons pas à être discrètes et nous jouissons hyper intensément. L’homme se dégage de Céline puis il se relève. Nous nous agenouillons toutes les deux. Ma copine se jette sur l’homme, lui retire le préservatif et se met à le sucer avidement. Il pose ses mains sur la tête de Céline et se laisse faire. Il nous regarde à tour de rôle et soudain, je vois son corps se tendre, il plisse les yeux et grogne. Il est en train de jouir dans la bouche de Céline. Cette dernière continue à le pomper jusqu’à qu’il soit complètement vidé. Elle sort alors la queue encore toute raide de sa bouche, puis elle se tourne vers moi, pose sa main sur ma nuque et m’attire à elle pour qu’on s’embrasse. C’est un baiser très excitant, elle a le goût du sperme, et même quelques gouttes encore, dans la bouche et sur la langue. Notre spectateur, enfin qui a aussi été acteur finalement, se régale les yeux de nous regarder nous embrasser sachant qu’il y a apporté sa petite touche personnelle. Après quoi, il se rhabille, nous remercie simplement puis il continue son chemin, tout heureux de cette petite halte.
Céline et moi sommes restées posées sur nos serviettes, à faire bronzette, nues, tout en discutant comme deux bonnes copines, que nous sommes. Nature, amitié, baignade, rivière, soleil, sexe et jouissances, c’est ce qu’on appelle une belle après-midi de voluptés et de plaisirs. Vivement la prochaine…
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