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Nouvelle ange

Chapitre 3

Zoophilie
Résumer : Ange est une jeune femme sage et seule qui s’ennuie. Elle se découvre une passion pour le SM et s’excite sur des sites de rencontres. Elle y fait la connaissance d’un vieil homme qui la maltraite virtuellement pour son plus grand bonheur. Cet homme se révèle être un couple qui finira par l’enlever et la séquestrer. Ange fera la connaissance de la maîtresse qui dirige le couple, de son époux vicieux, de leur chien lubrique et aussi d’un beau voyou avec qui elle passera un moment torride, ce qui aura pour effet de mettre la mégère en furie, au point qu’elle demande à son mari de se débarrasser d’Ange, s’en préciser comment. Celui-ci l’emmène passer la nuit chez un ami et lui promet de lui rendre sa liberté.
Extrait N° 3
J’ouvre les yeux, il fait noir. J’ai dormi, dormi, dormi. Je mets un temps à émerger et me rappeler ou je suis. Il est temps de rentrer chez moi.
— Ah voilà la belle au bois dormant.
Mon nouvel et mon ancien hôte sont tous les deux assis dans le salon devant la cheminée éteinte.
— Je n’ai pas osé te réveiller, tu avais l’air de si bien dormir.— Martial t’a pris pour ma nièce, et tu n’as pas osé le contredire, je lui ai tout lui expliquer.— C’est à dire ?— Que tu es une jeune coquine qui passes quelques temps chez nous pour s’amuser entre adultes. Rassure toi ça ne le choque pas, il sait que nous sommes très libérés de ce coté là.
Je ne sais pas trop ce qu’il a bien pu lui raconter mais c’est évident, le regard qu’il me porte à changé, je reste silencieuse.
— Assieds toi avec nous, sers lui un verre Martial.
Je m’installe sagement dans un fauteuil en face d’eux. Ils sont goguenards. Ils se ressemblent d’être du même cru. Nous trinquons aux femmes, aux hommes, aux vacances, aux plaisirs, je me détend. Il se vante à son ami des moments passés tous les deux. Plus il boit,plus il brode et me raconte insatiable, sans jamais préciser qu’il m’ont enlevée. Je comprend que je ne suis pas encore au bout de mes peines. Mais ces deux là ne sont pas menaçant, comme l’autre rombière et je me sens bien d’avoir mangé et dormi, je bois avec eux et l’alcool me monte immédiatement à la tête. Leurs blagues sont de plus en plus graveleuses, à chacun de mes mouvements leurs regards glissent sous ma robe, plongent dans mon décolleté. Ils ne prennent même pas la peine de le dissimuler et ça ne me dérange pas plus que ça. Je vis nue chez Josèphe depuis des jours, aurais-je perdu ma pudeur ? Je bois, mon verre est toujours plein. Ils s’amusent de mon envie de faire pipi, plaisantent que je dois faire devant eux.
Josèphe m’apporte une cuvette et m’assure que ce sont les seules toilettes de la maison. Je vide mon verre, je rempli ma vessie.
— Bande de vieux cochons, ça vous exciterait de me regarder pisser ?— Mais oui c’est fascinant de voir comment font les filles, allez fais nous plaisir, te fais pas prier.

Il sont rouges, bedonnants et vicieux, tout à fait le genre d’homme avec lequel j’aimais m’exciter devant mon ordi il y a seulement quelques jours encore et voilà que j’en ai deux spécimen pendus à mes gestes de moins en moins contenus dans mon fauteuil trop mou. Cette pensé file droit entre mes cuisses, pressant encore un peu plus ma vessie, je suis pleine, prête à exploser. Je me lève, je suis saoule, je passe mes mains sous ma robe et fait tomber ma culotte sur mes chevilles, je m’en débarrasse et pose dans un équilibre précaire un pied de chaque coté de la cuvette, je me baisse lentement jusqu’à m’accroupir au dessus. Leurs yeux s’écarquillent et plongent dans ma fente qui s’ouvre à mesure que je descend. J’ouvre ma vanne.
Le jet puissant fait résonner la cuvette en plastique comme un tambour, je pisse les coudes pliés derrières moi, bien calée sur le fauteuil, c’est bon... le soulagement se propage dans tous mon ventre, j’ouvre grand les cuisses totalement indécente, je pisse, la cuvette se rempli, mon jet siffle puis finit par s’épuiser. Ils sont cois devant ma chatte qui goutte, extatique je garde la pose au dessus de la cuvette. Mon kidnappeur se lève et se dézippe au dessus de moi.
— Tu permets ?
Il a sorti sa queue et pisse dans la cuvette entre mes jambes. Il remonte, effleure ma chatte, son jet percute mon clito, c’est surprenant et dégouttant, il remonte sur mon ventre, mes seins. Il inonde ma robe qui se colle à ma peau, ce qui n’est pas absorbé ruisselle sur ma chatte et tombe dans la cuvette, je suis trempée,souillée. Je reçois son jet sans broncher. Je suis une pissotière, ça me fait frissonner d’excitation. Le jet diminue et s’arrête. Je dégouline à grosses gouttes.
— Ne bouge pas. A toi Martial,
Le Martial qui n’en a pas perdu une goutte est rouge, mais hésite à passer à l’action.
— Tu as toujours été un timide toi. Elle adore ça, fais lui plaisir.
Il se lève lentement et dégaine à son tour
— Profite je te dis qu’elle aime ça.
Je ne confirme pas, ni ne dément, je me contente de rester immobile accroupie, les cuisses ouvertes. Il se place devant moi, défouraille. Il bande à moitié. Je suis en tête a tête avec sa queue qui me braque. Naturellement j’ouvre la bouche pour recevoir son jet qui jailli sur ma langue, qui gicle et cascade dans mon cou, entre mes seins et viens tremper encore un peu plus ma robe. Il passe au dessus de ma bouche et m’asperge le visage, les cheveux, puis reviens dans ma bouche. Malgré avoir verrouillé ma gorge, j’avale son odeur et son goût. Quand il a terminé de se soulager, les deux sont au dessus de moi le sourire jusqu au oreilles.
— ça t’a plut ?
J’évacue la pisse que j’ai encore dans la bouche par dessus mes lèvres, je ne répond rien pour ne pas leurs avouer que oui, je me sens résignée,rincée, béate.
— Tu veux la baiser avant qu’on sorte ?— Non, plus tard peut être.— Tu vas te changer pour sortir, déshabille toi.
Mes seins trempent dans mon soutien gorge, mes cheveux dégoulinent, ma robe est lourde. Je m’en débarrasse, je suis de nouveau nue. J’aimerais qu’on me baise, là tout de suite...Martial m’apporte une serviette, je m’essuie le visage, ce sera ma seule toilette. Il me regarde perplexe, à la fois excité et dégoutté.
— Tiens met ça.
Josèphe me tend un jeans et un top court et moulant, que j’enfile. Il me regarde de bas en haut.
— Retire ton jeans.
Il va dans la cuisine et reviens avec une paire de ciseaux.
— Tu es mieux comme ça, mais on va pas te faire sortir cul nu.
Ça le fait marrer, il découpe les jambières de mon jeans tout en haut des cuisses et me rend le short. Je l’enfile, il en reste juste assez pour me cacher la fente. Je remonte sur mes semelle compensées.
— Regarde toi tu ne te trouve pas jolie comme ça ?
Les cheveux mouillés plaqués en arrière, le maquillage qui coule, j’ai l’air d’une pute, qui sent la pisse.
— Allons-y.— Je risque un « Ou allons nous ? »— Tu verras bien, tu ne seras pas déçu, j’ai donné rdv à quelques amis pas loin d’ici. Tu te souviens de la petite séance vidéo qu’on a fait ensemble, et bien tu as plein de fans qui veulent te rencontrer...
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