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Nouvelle ange

Chapitre 7

Mon voisin

Zoophilie
Je ne supporte plus ma garde robe. J’ai perdu plusieurs kilos durant ma captivité, ça change carrément ma silhouette, c’est peut être dans ma tête mais le fait est que dans mon camouflage en jeans et pull trop grand je ressemble à un sac. Je renouvelle entièrement ma garde robe, une partie de mes économies y passe. C’est Noël. Je défile devant ma glace, je suis trop sexy, mes gros seins avec ou sans soutien gorges tiennent la gravité et mon cul est rebondi comme il faut. Je ne crains plus le regard des autres. Même les gens que je crois connaître, j’ai l’impression de les découvrir.
C’est la fin des vacances et je reprend le travail, c’est un choc. Les collègues, la cafette, la cantine, le boulot, tout m’ennuie. Bien que je reste sage dans mes tenues. Je remarque que les regards sur moi sont bien plus insistant qu’avant. Aujourd’hui je m’ennuyais tellement que je me suis mise au défi avant de partir de retirer ma culotte de sous ma jupe pour prendre le métro. Ça m’excite de me savoir la chatte à l’air au milieu d’inconnus. Dans la rame bondée on m’effleure on me presse parfois, on s’attarde innocemment sur mes fesses, Je ne réagis pas, je laisse faire et je souris aux audacieux.
Il y a dans mon immeuble un voisin avec lequel j’échange quelques mots quand on se croise. Il est retraité depuis un moment et vit seul avec son chien. Hier soir il a monté l’escalier juste derrière moi, je portais une de mes nouvelles tenue, une robe noire, moulante assez courte, à mon étage il avait l’œil brillant et m’a sourit largement, presque reconnaissant. Voilà quelques jours que je n’ai pas eu de rapport sexuelle avec autre chose que des engins en plastique et je sens le manque me gagner, j’ai besoin de sexe, je suis devenue une vraie addicte, mais je préfère imaginer que je suis une vampire sexuelle.
Ce soir j’ai soif et m’amuser toute seule ne suffira pas à me contenter. Je me suis bu un verre de vin et me voilà à moitié saoule, nue devant mon miroir. J’admire mes nouvelles parures au bout de mes seins, des anneaux dorés que j’ai reçu ce soir et que je viens d’enfiler, mes tétons sont dressés très durs, je me glisse dans un court peignoir en soie, je couvre et découvre mes seins, je m’excite toute seule à me regarder.
J’entends monter dans l’escalier les pas de mon vieux voisin accompagné de son chien. J’ai besoin d’action, j’ai besoin d’un partenaire, n’importe qui. Il me faut un prétexte pour l’attirer chez moi. Avant qu’il soit à mon étage je coupe le compteur électrique, j’entrouvre ma porte quand il passe sur le palier, je lui demande de l’aide, il entre et à tâtons réenclenche le disjoncteur, quand la pièce s’éclaire il découvre ma tenue très décontractée. Il tente de masquer sa surprise en me souriant largement, toujours bien élevé. Je lui propose de boire un verre pour le remercier, il accepte, je l’invite à prendre place sur le canapé en face du fauteuil ou je m’assois après nous avoir servi. Son chien qui l’accompagne est sagement assis à coté de son maître. Je l’appel et le caresse, nous parlons de lui, il me dit qu’il est jeune et plein de vie et que c’est un bon compagnon. J’en déduis que c’est un mâle.
Mes gestes pour caresser l’animal font bailler mon peignoir, il est interpellé, il peine à me regarder dans les yeux, la soie glisse sur ma peau et s’ouvre comme un rideau dévoilant mes anneaux. Je l’allume sans le brusquer un sein à la fois, il ne parle plus, il me reluque. Je m’assoie sur le bord de l’assise et il ne tarde pas à voir que je ne porte pas non plus de culotte, mes caresses sur le chien sont de plus en plus audacieuses, je lui caresse le ventre, il semble apprécier. Je lui parle d’un chien très affectueux et très coquin que j’ai connu. Je lui demande si le sien à déjà connu une chienne. Il me dit que non, mais qu’il est encore jeune. Contrairement à vous qui avez du vivre des tas d’aventure ? Il sourit toujours mais semble un peu dépasser par les événements. Je lui fais remarquer que son chien en tout cas est pourvu de tout ce qu’il faut puisqu’il commence à bander. Des gestes amples ont fini de lui dévoiler ma poitrine tout entière.
Je le sens excité et stupéfait par le spectacle que je lui offre. Je me penche, il voit mes seins, j’écarte un peu les cuisses, il voit ma chatte rasée de près et de mes mains je fais bander son chien, l’animal à sa tête entre mes jambes que je garde bien fermé pour lui interdire d’aller plus haut.
— Peut-être serait il temps de lui faire connaître une femelle ?— Peut-être...— Moi je suis très ouverte et j’aime les animaux. Je vous choque ?
Il termine d’un trait son verre, puis me répond que non. Alors j’ouvre lentement les cuisses, le museau de l’animal file droit sur ma chatte, il renifle puis lape ma mouille. Je me laisse tomber à la renverse dans le fauteuil à me faire butiner, décidément la langue canine est très appropriée, j’ajuste mon bassin et lui découvre mon clito de mes doigts. Ses coups de langue sont rapides et réguliers. j’ouvre grand mon peignoir, je soupir et regarde l’homme qui n’en crois pas ses yeux, passé la stupeur le désir semble l’emporter. Parfois l’attention du chien se détourne et me laisse toute ouverte, indécente devant mon invité. je me caresse alors et prie le chien de me lécher encore.
— Mettez vous à l’aise.
C’est comme un déclic, il s’agenouille entre mes cuisses, fait tomber son pantalon, il bande et me plante sa vieille queue d’un coup entièrement.
— Tu es une sacrée coquine toi.— Oui monsieur profitez en. Baisez moi.
Je gémis exagérément pendant qu’il s’active en moi, il me caresse de ses mains noueuses les cuisses, le ventre et les seins, le chien nous tourne autour frustré mais son maître n’est plus décidé à me partager. Après quelques minutes je le sens faiblir, la position est inconfortable pour un homme de son age, je l’invite a s’asseoir à ma place et je monte sur lui, c’est moi maintenant qui mène la danse, ses mains sur mes hanches, les mienne sur l’appuie tête mes seins se balancent devant son visage, j’articule mon bassin lentement d’avant en arrière sans me lever de ma selle, j’accélère progressivement sa queue bien au fond de mon trou, et avant de passer au galop je m’arrête, puis je recommence, j’ai envie qu’il prenne son pied après quelques tours de piste je le sens se raidir, je passe au galop et il se déverse dans mon vagin le visage planté dans ma poitrine. Je ralenti en douceur et le libère de mon étreinte.
Je garde en moi sa semence il met un temps à reprendre ses esprits mais dès que c’est fait, il se relève et se reboutonne,je le sens confus et pressé de partir. Je le raccompagne, j’aimerais lui demander de garder son chien avec moi ce soir mais je n’ai pas le temps. Je me contente de le remercier, il me remercie aussi. Dès que je suis seule je reprend ma place dans le canapé et dans le miroir je regarde le sperme s’écouler lentement de mon conduit, j’y mêle mes doigts, j’y goute et je me branle doucement, satisfaite et maintenant je me fais jouir.
Le lendemain je le croise dans le hall, il me salut poliment et me sourit d’un air complice, je lui rend son sourire.
— Merci encore pour hier, peut être aurais je besoin de vos services un de ces soirs.— N’hésitez pas ma demoiselle ma porte vous est ouverte.
Voilà ce que j’appelle de bons rapports de voisinage.
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