Au lieu de m’assouvir, la visite entre mes cuisses de mon voisin et de son chien m’a passablement énervée. Cette fois c’est moi qui ai pris l’initiative et j’ai été si salope que je n’en suis pas encore revenue. J’en veux encore, je me met en chasse sur le chat. Les messages fusent. Numéros de téléphone à la pelle. Salut. Chaude ? Tu cherches quoi ? Je ne sais pas trop ce que je cherche. Du non conventionnel, de l’excessif. J’ai envie de me donner au premier qui me propose une belle punition. J’entame une conversation avec un homme de 62 ans, comme chacun sait plus c’est vieux, plus c’est vicieux, mais celui-là a deux de tension. Un autre est trop fleur bleue malgré mes incitations. Je demande à tous les vieux messieurs qui me captent ce qu’ils feraient d’une chienne en chaleur comme moi. Certain sont perplexes, d’autres prennent peur. Je désespère en l’espèce humaine. Puis il en est un qui me prend au mot, il veut m’envoyer un taxi pour me conduire dans sa propriété et me présenter ses chiens. Il me vend du rêve. Je passe en cam avec lui, je veux voir sa tête, je ne veux pas d’un mytho. C’est un homme grisonnant, distingué en chemise blanche, la pièce d’où il me parle est cossue. Il me montre ses deux grands chiens qui lui obéissent au doigt et à l’il, deux molosses qu’il me dit pure race, un brun et un noir. Il veut voir lui aussi si je suis aussi chaude que je le prétend. Je glisse ma main dans ma culotte et lui montre ma mouille récoltée qui file entre mes doigts, puis je les suce. Il m’assure qu’il est en mesure de me recevoir. Tout va très vite 25 minutes plus tard un taxi me dépose devant la grille d’une grande maison du coté d’Enghein, Depuis que j’ai accepté son invitation, je me suis interdite d’imaginer quoi que ce soit. Je carillonne. L’homme m’accueille et me guide jusque dans un luxueux salon. Il me sert une coupe de champagne et m’invite à prendre place sur un sofa. Je me demandais si tu allais vraiment venir. Toujours envie de te faire baiser par mes chiens ? C’est très directe comme proposition, mais effectivement cela avait été évoqué. Je réponds clairement. Oui. Tu es décidée à aller jusqu’au bout ? il ne faudrait pas frustrer mes chiens. Tu as déjà eu ce genre d’expérience ? Oui et oui, je m’en remet à vous. Vous pouvez m’essayer si vous voulez. Merci mais je préfère regarder. Il a visiblement d’autres projets pour moi. Dommage. J’aime son allure, son assurance. Je suis venu pour me soumettre et c’est ce que je vais faire. Inutile de prolonger cette conversation. Je pose ma coupe, je me lève et me tiens toute droite devant lui silencieuse, il comprend, ma posture. Déshabille toi. Il me toise assis dans son fauteuil les jambes croisés son verre au bout des doigts. Je déboutonne mon corsage, puis je retire tous mes vêtements que je dépose soigneusement sur le dos d’une chaise et je me remets en position d’attente. Il reste impassible. Voilà ce que je te propose, Je vais te promener dans le parc et te présenter mes chiens comme promis. Attends moi ici. Sans attendre de réponse, il se lève et quitte la pièce. Accrochée au mur en face de moi il y une grande peinture de chasse à courre. Un équipage et sa meute sur le départ. Il revient avec des objets qu’il me tend. Tiens, enfiles ça.
Les deux rouleaux noir se révèlent être des bas en toile, épais et élastiques qui montent jusqu’au dessus du genoux, Je referme un collier de chien fin en cuir noir autour de mon cou, je coiffe un serre tête avec des oreilles en fourrures. J’enfile une paire de gants en cuir noir et le dernier accessoire de la panoplie est un plug anal prolongé d’une longue queue poilue. Je mouille la pointe sur ma langue et je me l’enfile prudemment jusqu’à ce que mon anus se referme sur la partie plus étroite, tout ça sous le regard de mon hôte. Il me désigne un miroir ou je peux me voir et j’avoue que l’image qu’il me renvoi est à la fois ridicule et sexy. De dos entortillant les fesses je remue la queue. Maintenant je ne veux plus t’entendre et tu te déplaceras uniquement à 4 pattes, Tu es ma petite chienne. Il fixe une laisse à mon collier et je me prosterne à ses pieds. Il me mène derrière la maison. On quitte la terrasse pour suivre un sentier qui chemine entre les arbres. Je marche a ses cotés au bout de la laisse, chaque pas me rappel que je suis à moitié pleine. Nous sommes rejoins par les deux molosses qui courent autour de nous, ils sont vifs et massifs, à 4 pattes ils sont plus grands que moi. Ils saluent leur maître et me reniflent partout, ils passent leurs truffes sous ma queue pour faire connaissance, mais sans s’attarder, ils ne semblent pas plus intéressés que ça. Ils reprennent leur course entre les arbres. L’homme se baisse sur moi, il flatte ma croupe, il active doucement le plug planté dans mon cul tout en palpant mes mamelles qui pendent sous moi. Il passe sa main sous ma queue, et glisse le bout de ses doigts sur ma fente. Je garde le silence, je ne m’exprime que par souffles et frissons. C’est ça mouille bien petite putain. Il me commande de pisser entre mes pattes comme un animal. Je lâche un jet dans l’herbe, aussitôt les chiens viennent renifler ma pisse et leur attitude change, le plus gros des deux remonte à la source et lèche ma fente, mon odeur de pisse mêlé de mouille doit me rendre subitement intéressante, l’homme défait ma laisse et s’assoie sur un banc, il encourage son chien. Allez Dino, elle est à ton goût cette petite chienne ? Il encourage sa chienne. Tends lui bien ton cul. Je me cambre, ma queue se dresse à la verticale et dévoile mon abricot bien fendu. C’est le noir le plus gros qui mène les opérations, l’autre attend qu’il se retire pour me glisser sa langue à son tour. Les deux se relaient à me lécher et passer leur truffe froide sur ma chatte en feu, ils s’agitent de plus en plus, je vois le bout rouge de leurs queues dépasser de leurs fourreaux. Ça y est tu les intéresses, tu vas peut être avoir droit à leurs faveurs. Ça ne tarde pas, le gros me grimpe. Son bas ventre poilu me recouvre les fesses, il est lourd, je dois trouver le bon équilibre pour le supporter. Des premiers coups de bassin dans le vide, puis sa pointe humide pique mes fesses. Il pèse sur le plug qui prend vie dans mon cul, j’ai la sensation qu’il m’encule. Le vieux se déplace autour de moi pour me mater sous tous les angles, je me vois à travers son regard, tous les deux témoins de ma dépravation. Une voix me dit que s’en est assez, assez excitant pour ce soir de se déguiser en chienne en chaleur et qu’il est inutile de me rabaisser d’avantage, mais au lieu de ça, je m’ajuste pour offrir le mieux possible mon cul au chien qui cherche l’entrée de mon sexe. Cette attente me rend folle. Il finit par faire mouche, sa queue glisse dans mon conduit, par petits coups rapides. Il prend possession de mon vagin. Maintenant qu’il est entré il accélère et me lime avec un empressement tout animal, ses coups de reins rebondissent sur mes fesses et me remplissent doublement, je jouis immédiatement, Le vieux encourage son chien qui me pilonne, je râle d’allégresse, je jouis en continue tant qu’il me baise sur ce rythme, mais il finit par ralentir, puis il s’immobilise, toujours planté dans ma chatte. Je prend le relais c’est moi qui vais vers lui, j’ondule le bassin sous son ventre, je presse ma vulve contre la boule qu’il a à la base du sexe, c’est étrange et très sensuel dommage que les hommes n’en n’aient pas. Je crois qu’il est en train d’éjaculer. Il se retire et son jus s’évacue d’un coup entre mes jambes, sa queue décharnée pend entre ses pattes, c’est dégouttant et fascinant, il y a encore quelques secondes elle était en moi. Aussitôt l’autre me recouvre et lui trouve immédiatement l’entrée. Bien agrippé à ma croupe, il me baise à son tour sur le même tempo et je me remet à râler la même note. Sa queue est moins longue mais plus large. Je salive, mes yeux s’inondent de larmes et de sueur, ma vue se brouille. Avec le même empressement il me baise et s’immobilise pour me remplir lui aussi. Il se retire, je me laisse tomber dans l’herbe, je reprend mon souffle, j’ai intensément joui, mes cheveux sont trempées de sueur, mon mascara se fait la malle, je dois ressembler à un panda. Je retire le plug de mes fesses, je crois en avoir terminé mais le premier de mes amants vient me renifler, il me lèche l’entre jambe puis le visage, il tourne autour de moi et me bouscule du museau, sa bite toute rouge est à nouveau sortie. Le vieux m’explique que c’est à cause de l’odeur de l’autre chien sur moi, maintenant chacun des deux va vouloir laisser son odeur et il vont me baiser à tour de rôle jusqu’à ce que l’un des deux abandonne, ce qui va prendre un certain temps car ils sont jeunes. Si tu veux qu’ils arrêtent tu te mets debout. Au lieu de ça, je me remet à 4 pattes. Aussitôt il m’enserre les hanches entre ses pattes avants et cherche à me fourrer, mais cette fois il se plante dans mon anus, sa queue pointue se faufile sans difficulté. Le vieux exulte de me voir ainsi enculée par surprise, il acclame sa bête. Je prend sur moi de leur faire ce plaisir, je lui donne mon cul sans retenu. Il pèse sur moi et pousse si bien que sa boule finit elle aussi par entrer. je la sens passer, grosse comme une mandarine. Je ne jouis plus, je suis en transe, je prend mon pied à sentir ce mandrin pulser dans mon cul. Par flash je réalise que je suis en train de me donner en spectacle devant un parfait inconnu. Volontaire pour un coït contre nature, je suis une chienne, un vide couille, une exhibitionniste obscène et je dois reconnaître qu’à cet instant j’adore ça. Durant un moment hors du temps, les deux bêtes se relaient dans mes orifices, ils m’accordent quelques pauses, alanguis dans l’herbe, moi dégoulinante et eux haletants, la queue et la langue pendantes jusqu’à ce que l’un de mes deux amants viennent solliciter sa femelle, alors je me remet en position pour qu’il me parfume le cul de son sperme. Le vieux le lendemain m’envoie un mail pour me remercier de cette soirée et que je suis la bienvenue si l’envie me reprend. Je le remercie aussi et prend note de sa proposition.
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