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Nouvelle ange

Chapitre 9

Parking

SM / Fétichisme
J’ai mal au cul, rien de grave, juste des ecchymoses dans mes deux orifices j’imagine. Assise au moindre geste je sens encore en moi ces grosses queues me limer frénétiquement. Quand je marche c’est encore pire. Ce n’est pas désagréable en vérité, ça a surtout pour effet de m’exciter terriblement. Je décide de m’imposer une période d’abstinence, interdiction de me faire jouir jusqu’à nouvel ordre et je me ferai baiser seulement quand la douleur aura totalement disparue. Voilà ma résolution, ma punition. Résultat,après deux jours je suis dans un état d’excitation permanent, je transpire la cyprine, humide en permanence, les seins hypersensibles, je dois faire des efforts pour ne pas penser tout le temps au sexe et chasser tous les souvenirs récents qui dansent dans ma tête. La nuit aussi évidemment, je ne me souviens plus précisément de quoi j’ai rêvé, mais ce matin je me suis réveillée avec une furieuse envie qu’on me jouisse dessus, sur le visage, dans la bouche.
Heureusement mon travail est tellement soporifique que ça calme mes ardeurs, mais quand approche l’heure de débaucher, je me sens à fleur de peau. Ce soir avant de partir j’ai retirer de sous ma robe mon soutien gorge et ma culotte pour mon deuxième bain de foule quotidien. J’aime me sentir vulnérable au milieu d’inconnus. Ce n’est pas encore l’été mais il fait déjà chaud, est-ce du à mon état d’esprit graveleux ou la saison, mais j’ai le sentiment que les hommes me regardent avec plus d’insistance et les femmes avec plus de dédain.
Il y a peu de monde ce soir dans la rame, aucune place libre mais on ne se bouscule pas. Je me tiens à la barre centrale bien en équilibre sur mes 12 cm de sandales compensées et je profite du courant d’air qui file entre mes cuisses. A chaque cahot du métro je cogne mon pubis à la barre et tout mon entre-jambe s’enflamme. 9 voyageurs sur 10 ont le nez sur leur portable. En face de moi un vieil homme assis sur un strapontin me sourit de ses dents marrons, c’est un vieux maghrébin tout sec, dans un vieux costume gris élimé. A pleine vitesse le vent enfle ma robe qui s’agite en haut de mes cuisses. Lui n’a pas de portable, il se tasse sur son siège, pour abaisser son horizon au raz de mon minou et me mate sans retenue. Grand bien lui fasse. Je profite d’un mouvement de voyageur pour passer devant la barre plus proche de lui. De la main posée sur l’anse de mon sac je relève ce qu’il faut le devant de ma robe pour que le prochain courant d’air lui dévoile ma toison.
Il n’en crois pas ses yeux, il me lance un regard surpris et reprend immédiatement son observation se tassant un peu plus et durant plusieurs stations je joue avec le vent pour lui montrer en exclusivité ma foufoune en délicatesse. Lors d’un arrêt, subitement il se lève et m’entraîne par le poignet sur le quai. Je me laisse emporter.
— Viens avec moi.
Je le suis hors de la station puis dans la rue. Il marche d’un pas nerveux et se tourne sans cesse pour vérifier que je suis derrière. Je le suis dans un immeuble et dans l’escalier qui mène au parking, je le suis entre les voitures, jusque dans un coin sombre ou il s’arrête, me tire à lui et m’enlace. Il embrasse mon cou, se frotte à moi, je sens sa queue qui pointe à travers son pantalon, une main passe sous ma robe et masse ma chatte douloureuse, je repousse sa main et protège mon sexe
— Attendez.
Il tente de passer par derrière, la encore je me dégage.
— Je ne peux pas faire l’amour avec vous.— Qu’est ce que tu veux alors ?— Je veux que vous jouissiez sur moi.
Mon aplomb le stupéfie, il est surexcité et tente de réfléchir avec sa tête.
— Montre moi ta chatte.
Je prend un peu de recul et adossée à une voiture je relève ma robe jusqu’au nombril, je reste immobile les yeux en dessous en attente de ses ordres. Mais rien ne vient. Dépassé par l’événement, seuls ses yeux s’agitent. Je pose ma main sur sa braguette et masse le paquet hésitant, il se laisse faire les bras ballants. Je sors délicatement sa queue brune et le branle doucement tout près de ma chatte, sa bite et dure comme du bois. Je me retourne et dos à lui, par la queue je l’entraîne jusqu’au capot d’une grosse voiture, je monte à genoux dessus et le tire à moi pour lui coller mon cul juste sous le nez.
Lentement je fais glisser ma robe par dessus mes fesses exagérément cambrées, je lui déroule en gros plan le fil de ma raie, d’abord ma fente bien ouverte, puis mon trou du cul. Je lubrifie de salive ma main et en passant le bras entre mes jambes, je lui astique le gland dans ma paume. Je ne le vois pas mais je le sais hypnotisé, il respire mon cul tout en caressant mes cuisses et mes fesses sans trop approcher de mon sillon. Régulièrement je bave dans ma main pour le branler onctueusement.
Je sens son souffle s’accélérer sur ma chatte. Je redescend de mon perchoir et l’entraîne contre un pilier qui supporte un néon blafard. Je m’agenouille devant lui, je me débarrasse de ma robe d’un tour de bras et lui présente mes seins dans mes mains sous sa queue. Il se branle au dessus de moi, je veux qu’il me jute dessus comme dans mon rêve. il est à point, je lui ouvre la bouche et lui propose ma langue comme cible, comme une actrice de film de cul, les yeux plantés dans les siens. J’ai envie qu’il m’inonde de sperme bien chaud, mais il semble avoir du mal à venir, j’attrape ses couilles et je fais passer un doigt sur son anus, il gicle aussitôt, je reçois ma récompense sur le visage et les seins, j’avale ce qui est tombé dans ma bouche, j’ai des bouffés de plaisirs qui partent du ventre et se propage dans tout le corps, je jouis d’être si salope. Je me relève pour qu’il me voit toute nue souillée de son sperme. La encore il reste interdit.
Je remet ma robe et m’éclipse dans l’ombre avant qu’il ne reprenne ses esprits. Dans le miroir du hall je me débarrasse du sperme sur mon visage et mes cheveux. En sortant de l’immeuble je croise trois jeunes zonards à casquette qui m’interpellent de leur sifflement caractéristique.
— Hé mademoiselle, vous voulez visiter la cave de mon immeuble ?
J’ai envie de lui répondre que son grand-père viens de le faire, mais je continue ma route sans rien dire en souriant en dedans.
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